James 11
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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James 11
J’ai commandé d’autorité deux purs malts avec une petite carafe d’eau et Bruno nous a ramené la carte avec les verres.
Après avoir ajouté une goutte d’eau nous avons trinqué et gouté, le visage de James a rosi.
-C’est fort mais quelles saveurs !
Il y en a de meilleurs mais celui-ci est bon. Nous avons trinqué à quoi dans ta tête ?
-Euh, bon j’ose. A nos amours.
-J’ai eu la même pensée, si elles durent.
C’est déjà bien engagé non ?
On en reparlera. Alors de huitres en entrée ? Leur foie gras n’est pas maison et on est près de la manche.
-Oui ok ça me va.
Je suis avec une entrecôte sauce marchand de vin et sa grenaille. Je sais que la viande est belle et bonne. On aura besoin de protéines. Pour les desserts regarde ce qui te plais
-Bah autant prendre un truc léger, un soufflé au grand Marnier ?
Ok , J’ai fait signe à Bruno, attentif comme toujours. Une fille servait aussi en salle. Bruno, tu nous ramène deux apéritifs et je lui ai énuméré la liste choisie. Tu dois avoir du blanc sec en demi-bouteille au frais pour les huitres et mets un Saint Estèphe à température. Prévois aussi un soufflé au grand Marnier.
Je l’ai fixé dans les yeux. Pour toi bois de l’eau je te préfère presque à-jeun et propre de partout.
Ila baissé les yeux, acquiesçant, soumis déjà.
-C’est avec lui qu’on va s’amuser ?
Tu as tout compris.
Aller, buvons et mangeons, prenons notre temps. Après le deuxième malt et les huitres avec le vin blanc sec il eut les yeux plus brillants et j’ai senti son pied pousser conte ma cheville. Un mec bien mur a surpris le geste et a eu un rictus je l’ai fixé d’un regard méprisant. Il a plongé le nez dans son assiette.
L’entrecôte était parfaite et les grenailles cuites comme juste comme il faut. Bruno avait changé les verres. Et on a mangé et bu en discutant. Un peu de nos gouts et pas mal de nos envies sexuelles qui s’accordaient comme je l’avais pensé. La salle se vidait comme la bouteille et Bruno qui surveillait a amené le soufflé bombé qui s’est dégonflé au premier coup de couteau pour le séparer. Il a parlé bas, il restait peu de monde.
Vous m’attendrez je n’en ai pas pour longtemps et la fille sait que j’ai rendez-vous elle fera ce que je n’aurais pas le temps de finir.
Tu sais où on sera, prends le temps de la toilette de tes fesses.
-Oui. Voilà Bon appétit.
Le soufflé était comme le reste et on est sorti de table les derniers. La fille était déjà au travail pour débarrasser.
Inutile de passer à la chambre, viens j’ai la clé.
Après un peu de marche et un raidillon on est arrivé devant une petite maison sombre dont j’ai ouvert la porte avec ma clé. Entre, je n’allume pas je vais te guider. Le tenant par le bras il m’a suivi dans un escalier assez raide après que j’ai ouvert une trappe. Après une deuxième volée on a eu un peu de clarté. Je me suis retourné et plaqué à lui pour l’embrasser à pleine bouche.
On est dans la première parie d’un vieux blockhaus. J’ai acheté la maison déjà bâtie avec l’escalier qui y mène pour presque rien. Avance vers la clarté. C’est là ou était installé le canon et je n’éclaire pas pour que l’on ne puisse pas le situer dans la falaise. Au loin par temps clair on verrait les lumières anglaises. Mais viens par là. Derrière une porte que j’ai refermée et quand j’ai allumé, tout ce qui pouvait servir à asservir un homme était là. Prends le temps de tout examiner je vois que tu es excité.
On le serait à moins. Ici tout est donc à toi. Je suppose que le courant vient de la maison.
Oui je l’ai installé moi-même. Regarde aussi dans le coin, en haut. Tu vois sur l’écran l’entrée de la maison via une caméra en nocturne. On verra venir Bruno.
Il a regardé mais c’était les accessoires pendus au mur qu’il fixait et détaillait.
-Il y en a de vraiment gros ! Il caressait les godes et plugs.
Moins que ta main ou la mienne.
-C’est vrai. Ha, ça bouge là-haut.
La bouille de Bruno était au niveau de la caméra. J’ai appuyé sur un bouton et dit « entre, mets-toi nu et referme le verrou » ensuite tu connais le chemin. Il a disparu et on a entendu le verrou se refermer. Peu après il est entré, nu sa queue n’était qu’un semblant de sexe.
Tu as peur bâtard ?
-Ben vous êtes deux et je n’ai pas l’habitude.
Il faudra t’y habituer car nos gouts sont très proches. Branle ton petit bout qu’il ressemble à une vraie queue ! Et ne ferme pas les yeux ! Alors ? tu ne bandes pas ?
-Non, j’ai un peu la frousse.
Pourtant tu sais pourquoi tu es venu ?
-Oui mes maîtres et je m’en remets à vous.
Allonge-toi sur la croix les bras sur chaque poutre comme les pieds. J’ai fait signe à James de faire comme moi et on a attaché ses poignets dans des maniques de cuir elle-même reliées à un anneau. Les poutres du bas étaient un peu plus écartées et on a fait de même. Attaché comme ça on voyait le sac recroquevillé et ridé serré sur ses boules. J’ai installé un boudin contre ses reins attaché par derrière. Il relevait ainsi son sexe mou.
Je vais te mettre un masque, tu ne sauras pas qui t’utilise et te mettre un écarteur de mâchoire.
Voilà. J’ai sorti aussi un casque Wi-Fi qui allait l’empêcher d’écouter nos dialogues, n’ayant que le son de groupes de hard rock.
Voilà James ton premier soumis à ta disposition. Tout le matériel est contre le mur et à côté.
-Il a des traces sur le torse et le pubis, il aime ?
Fais ce dont tu as envie je t’arrêterais si tu vas trop loin.
Il a pris un petit fouet et l’a passé du cou aux pieds avant de commencer à fouetter doucement puis plus fort vers les tétons et le torse.
Bruno geignait doucement bouche grande ouverte.
J’ai tendu à James des aspirateurs à tétons. Il faut lécher les tétons avant de l’appliquer et tourner.
Il m’a maté en souriant.
-Tu as du en porter toi !
Après avoir ajouté une goutte d’eau nous avons trinqué et gouté, le visage de James a rosi.
-C’est fort mais quelles saveurs !
Il y en a de meilleurs mais celui-ci est bon. Nous avons trinqué à quoi dans ta tête ?
-Euh, bon j’ose. A nos amours.
-J’ai eu la même pensée, si elles durent.
C’est déjà bien engagé non ?
On en reparlera. Alors de huitres en entrée ? Leur foie gras n’est pas maison et on est près de la manche.
-Oui ok ça me va.
Je suis avec une entrecôte sauce marchand de vin et sa grenaille. Je sais que la viande est belle et bonne. On aura besoin de protéines. Pour les desserts regarde ce qui te plais
-Bah autant prendre un truc léger, un soufflé au grand Marnier ?
Ok , J’ai fait signe à Bruno, attentif comme toujours. Une fille servait aussi en salle. Bruno, tu nous ramène deux apéritifs et je lui ai énuméré la liste choisie. Tu dois avoir du blanc sec en demi-bouteille au frais pour les huitres et mets un Saint Estèphe à température. Prévois aussi un soufflé au grand Marnier.
Je l’ai fixé dans les yeux. Pour toi bois de l’eau je te préfère presque à-jeun et propre de partout.
Ila baissé les yeux, acquiesçant, soumis déjà.
-C’est avec lui qu’on va s’amuser ?
Tu as tout compris.
Aller, buvons et mangeons, prenons notre temps. Après le deuxième malt et les huitres avec le vin blanc sec il eut les yeux plus brillants et j’ai senti son pied pousser conte ma cheville. Un mec bien mur a surpris le geste et a eu un rictus je l’ai fixé d’un regard méprisant. Il a plongé le nez dans son assiette.
L’entrecôte était parfaite et les grenailles cuites comme juste comme il faut. Bruno avait changé les verres. Et on a mangé et bu en discutant. Un peu de nos gouts et pas mal de nos envies sexuelles qui s’accordaient comme je l’avais pensé. La salle se vidait comme la bouteille et Bruno qui surveillait a amené le soufflé bombé qui s’est dégonflé au premier coup de couteau pour le séparer. Il a parlé bas, il restait peu de monde.
Vous m’attendrez je n’en ai pas pour longtemps et la fille sait que j’ai rendez-vous elle fera ce que je n’aurais pas le temps de finir.
Tu sais où on sera, prends le temps de la toilette de tes fesses.
-Oui. Voilà Bon appétit.
Le soufflé était comme le reste et on est sorti de table les derniers. La fille était déjà au travail pour débarrasser.
Inutile de passer à la chambre, viens j’ai la clé.
Après un peu de marche et un raidillon on est arrivé devant une petite maison sombre dont j’ai ouvert la porte avec ma clé. Entre, je n’allume pas je vais te guider. Le tenant par le bras il m’a suivi dans un escalier assez raide après que j’ai ouvert une trappe. Après une deuxième volée on a eu un peu de clarté. Je me suis retourné et plaqué à lui pour l’embrasser à pleine bouche.
On est dans la première parie d’un vieux blockhaus. J’ai acheté la maison déjà bâtie avec l’escalier qui y mène pour presque rien. Avance vers la clarté. C’est là ou était installé le canon et je n’éclaire pas pour que l’on ne puisse pas le situer dans la falaise. Au loin par temps clair on verrait les lumières anglaises. Mais viens par là. Derrière une porte que j’ai refermée et quand j’ai allumé, tout ce qui pouvait servir à asservir un homme était là. Prends le temps de tout examiner je vois que tu es excité.
On le serait à moins. Ici tout est donc à toi. Je suppose que le courant vient de la maison.
Oui je l’ai installé moi-même. Regarde aussi dans le coin, en haut. Tu vois sur l’écran l’entrée de la maison via une caméra en nocturne. On verra venir Bruno.
Il a regardé mais c’était les accessoires pendus au mur qu’il fixait et détaillait.
-Il y en a de vraiment gros ! Il caressait les godes et plugs.
Moins que ta main ou la mienne.
-C’est vrai. Ha, ça bouge là-haut.
La bouille de Bruno était au niveau de la caméra. J’ai appuyé sur un bouton et dit « entre, mets-toi nu et referme le verrou » ensuite tu connais le chemin. Il a disparu et on a entendu le verrou se refermer. Peu après il est entré, nu sa queue n’était qu’un semblant de sexe.
Tu as peur bâtard ?
-Ben vous êtes deux et je n’ai pas l’habitude.
Il faudra t’y habituer car nos gouts sont très proches. Branle ton petit bout qu’il ressemble à une vraie queue ! Et ne ferme pas les yeux ! Alors ? tu ne bandes pas ?
-Non, j’ai un peu la frousse.
Pourtant tu sais pourquoi tu es venu ?
-Oui mes maîtres et je m’en remets à vous.
Allonge-toi sur la croix les bras sur chaque poutre comme les pieds. J’ai fait signe à James de faire comme moi et on a attaché ses poignets dans des maniques de cuir elle-même reliées à un anneau. Les poutres du bas étaient un peu plus écartées et on a fait de même. Attaché comme ça on voyait le sac recroquevillé et ridé serré sur ses boules. J’ai installé un boudin contre ses reins attaché par derrière. Il relevait ainsi son sexe mou.
Je vais te mettre un masque, tu ne sauras pas qui t’utilise et te mettre un écarteur de mâchoire.
Voilà. J’ai sorti aussi un casque Wi-Fi qui allait l’empêcher d’écouter nos dialogues, n’ayant que le son de groupes de hard rock.
Voilà James ton premier soumis à ta disposition. Tout le matériel est contre le mur et à côté.
-Il a des traces sur le torse et le pubis, il aime ?
Fais ce dont tu as envie je t’arrêterais si tu vas trop loin.
Il a pris un petit fouet et l’a passé du cou aux pieds avant de commencer à fouetter doucement puis plus fort vers les tétons et le torse.
Bruno geignait doucement bouche grande ouverte.
J’ai tendu à James des aspirateurs à tétons. Il faut lécher les tétons avant de l’appliquer et tourner.
Il m’a maté en souriant.
-Tu as du en porter toi !
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