James 6
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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James 6
Il s’est collé à moi pour un bon baiser que je sentais plus appuyé que le premier. J’ai éteint et on s’est endormi, formant un cœur avec nos corps. Je me suis endormi assez facilement fatigué par ce qui venait d’arriver. Je me suis réveillé dans la nuit, il me tournait le dos et se lovait littéralement contre moi. Réveillé ou pas je ne sais mais moi en tout cas je bandais, ma queue avait grossie le long de sa raie des fesses. Je n’aime pas surprendre un mec endormi par une sodomie et j’ai caressé ses fesses et ses hanches. Je l’ai entendu pouffer et glisser la main entre ses fesses et prendre ma queue raide.
-Vas-y prends moi, j’espérais te réveiller et je sens que j’ai réussi.
J’ai senti sa main guider mon gland vers le centre de ses fesses. Je n’ai qu’à me presser un peu plus contre lui pour le pénétrer. J’ai passé la main sur son ventre et vite rejoins sa tige raide et humide dès que je l’ai décalottée. Je l’ai branlé au même rythme que ma queue dans ses fesses et de lui-même il a accéléré les coups de reins sur mon sexe. J’ai fait de même sur sa queue. Il poussait de petits cris et j’ai lâché les vannes quand j’ai senti les spasmes de sa queue dans ma main. Une fois dégagé il s’est tourné vers moi.
-Je ne pensais pas que ce soit si bon d’avoir un sexe presque à ma disposition.
Ce ne sont que des choses normales quand on vit ensemble. Une nuit ce sera toi. On s’est longuement embrassé et réendormi.
Cette fois c’est le bruit de la douche qui m’a réveillé et le chien qui grattait à la porte. Je me suis levé et suivant l’odeur du café, j’ai vu James sortir nu et se sécher en souriant.
-Tu crois que je peux sortir le chien sans problèmes ?
Je pense qu’il t’a adopté alors mets un jogging et vas-y. Evite seulement ceux qui sortent des boîtes. Laisse le te guider il connaît bien le chemin.
Il a mis le jogging haut et bas sans rien dessous et dès que la laisse lui a été attaché le chien a compris. Un bisou et ils sont sortis. J’ai pris une douche rapide et une fois que je me sois séché me suis mis devant l’ordi, cherchant dans mes contacts pros et perso la personne idéale pour aider James. Une brasserie avec qui j’avais résolu une affaire d’assurance me paraissait l’idéal. J’ai appelé le patron et une fois en contact et s’être salués et reconnus je lui ai demandé s’il pouvait jauger un jeune sur sa qualité professionnel au bar pour commencer.
-Si c’est un ami à toi je te le juge rapide et même s’il est efficace je l’embauche. Mais on en parlera lundi, viens avec lui.
Gentil de le faire je te le revaudrais.
-Non ne t’inquiètes pas si c’est un ami à toi je le ferais avec plaisir.
Je coupais après que l’on se soit salué quand j’ai entendu les pattes du chien dans l’entrée.
-Tu es encore à poil ?
Bah je peux m’habiller pour boire le café, je t’attendais.
-Non reste c’est moi qui me dessape.
Il s’est tourné pour lever la jambe et retirer son pantalon de jogging m’offrant la vue de ses fesses et même du centre où peu de poils cachaient l’endroit plus foncé. Il a jeté un œil vers moi.
-La bête n’est pas morte Alain. Le serpent se déplie.
Je ne sais pas quand elle mourra mais j’espère le plus tard possible, tu as de superbes fesses Et il est logique que ça me fasse de l’effet. Que cela ne nous empêche pas de déjeuner. Face à face sur la petite table de la cuisine, et une fois le café mis dans les bols je lui ai parlé des coups de fils passés.
-Tu as déjà appelé une brasserie ? C’est dingue, et il a prévu de me jauger professionnellement ?
Tout à fait. On verra ça lundi je t’y accompagnerais. Avant il te faut d’autres nippes. Tu ne peux pas te présenter dans la tenue que tu avais.
-Je te rappelle que je n’ai pas de fric.
Considère que je fais ça par amitié. Je n’ai jamais pu laisser un chien a demi écrasé dans la rue. Et puis tu me rends heureux pour certaines choses.
-Hé ! Je ne veux pas me faire entretenir. Je te rembourserais au fur et à mesure.
Tu m’as déjà donné beaucoup. Et…On en parlera plus tard je pense.
Non vas-y, Ne te gêne pas j’accepte très bien les désillusions.
-T’es bête, désolé de te le dire mais c’est la première fois que je me trouve bien et à ma place. Si ça peut durer je serais partant.
Ne prends pas de décisions hâtives. Laissons passer un peu de temps comme on vit et plus tard on en reparle.
-Ok pour moi. Alors quel est le programme ?
Je pense à nous calmer d’abord de façon à être présentable dehors puis tu mets tes vieilles fringues et on va chez Métro. J’ai ma carte pro et on y trouvera une tenue de travail et on fera des courses pour le week-end. J’avais prévu une nuit sur la côte et l’hôtel est réservé. Je peux annuler si tu n’aimes pas.
-Non, ne change rien si je suis avec toi je serais content. A propos de ce que tu disais tout à l’heure je ne suis pas que chien ! Je me sens aussi chienne parfois. Enfin, avec toi !
Alors commence par t’occuper d’un os qui me fait mal. Je me suis levé, ma queue était raide et suintait un peu. Il n’a pas hésité et a changé de place, venant à genoux face à moi et me fixant des yeux il a saisi la tige et ouvert la bouche. Après quelques va et vient il l’a laissé pour me dire qu’il avait saisi le lieu de la douleur et de me laisser aller.
Il a repris sa sucette me tenant par les fesses, les écartant un peu puis un peu plus pour faire glisser un doigt dans la raie, titillant ma fente de mec.
Je ne vais pas tenir longtemps ! Il me surveillait des yeux et quand il a senti ma verge prête à jouir il a poussé le doigt dans mon cul. J’ai couiné en vidant ma vigueur de mec dans sa bouche.
-Je pense que la douleur est passée. Il souriait et avait savouré avant d’avaler mon sperme.
Il s’était relevé et m’embrassait à bouche que veux-tu et je sentais son sexe raide frotter ma cuisse. Je n’ai pas été long à me laisser glisser contre lui, laissant mes mains s’attarder sur ses tétons. Il avait de fort belles aréoles brunes et je l’ai senti frémir quand ma bouche s’est refermée sur son gland. Tout en le suçant je faisais rouler les tétons sous mes doigts, étonné de les sentir si souple. Pressant plus fermement il a eu un sursaut et m’a giclé dans la bouche.
C’est la pression sur tes bouts de tétons ?
-Je ne te l’avais pas dit mais je suis très sensible de là.
Naturellement ou tu t’es amusé avec ?
Il a eu un petit sourire.
-Tu es curieux mais oui je me suis amusé à les pincer tout seul en me branlant et à chaque fois j’éjaculais plus vite. Bof ce doit être mon côté féminin qui ressort.
Aller un petit coup de brosse sur les dents et on s’habille. Cette fois mon sexe était plus normal. Je suis allé m’habiller. Il a vite fait de même.
-On laisse le chien ?
Oui, il a l’habitude.
-Vas-y prends moi, j’espérais te réveiller et je sens que j’ai réussi.
J’ai senti sa main guider mon gland vers le centre de ses fesses. Je n’ai qu’à me presser un peu plus contre lui pour le pénétrer. J’ai passé la main sur son ventre et vite rejoins sa tige raide et humide dès que je l’ai décalottée. Je l’ai branlé au même rythme que ma queue dans ses fesses et de lui-même il a accéléré les coups de reins sur mon sexe. J’ai fait de même sur sa queue. Il poussait de petits cris et j’ai lâché les vannes quand j’ai senti les spasmes de sa queue dans ma main. Une fois dégagé il s’est tourné vers moi.
-Je ne pensais pas que ce soit si bon d’avoir un sexe presque à ma disposition.
Ce ne sont que des choses normales quand on vit ensemble. Une nuit ce sera toi. On s’est longuement embrassé et réendormi.
Cette fois c’est le bruit de la douche qui m’a réveillé et le chien qui grattait à la porte. Je me suis levé et suivant l’odeur du café, j’ai vu James sortir nu et se sécher en souriant.
-Tu crois que je peux sortir le chien sans problèmes ?
Je pense qu’il t’a adopté alors mets un jogging et vas-y. Evite seulement ceux qui sortent des boîtes. Laisse le te guider il connaît bien le chemin.
Il a mis le jogging haut et bas sans rien dessous et dès que la laisse lui a été attaché le chien a compris. Un bisou et ils sont sortis. J’ai pris une douche rapide et une fois que je me sois séché me suis mis devant l’ordi, cherchant dans mes contacts pros et perso la personne idéale pour aider James. Une brasserie avec qui j’avais résolu une affaire d’assurance me paraissait l’idéal. J’ai appelé le patron et une fois en contact et s’être salués et reconnus je lui ai demandé s’il pouvait jauger un jeune sur sa qualité professionnel au bar pour commencer.
-Si c’est un ami à toi je te le juge rapide et même s’il est efficace je l’embauche. Mais on en parlera lundi, viens avec lui.
Gentil de le faire je te le revaudrais.
-Non ne t’inquiètes pas si c’est un ami à toi je le ferais avec plaisir.
Je coupais après que l’on se soit salué quand j’ai entendu les pattes du chien dans l’entrée.
-Tu es encore à poil ?
Bah je peux m’habiller pour boire le café, je t’attendais.
-Non reste c’est moi qui me dessape.
Il s’est tourné pour lever la jambe et retirer son pantalon de jogging m’offrant la vue de ses fesses et même du centre où peu de poils cachaient l’endroit plus foncé. Il a jeté un œil vers moi.
-La bête n’est pas morte Alain. Le serpent se déplie.
Je ne sais pas quand elle mourra mais j’espère le plus tard possible, tu as de superbes fesses Et il est logique que ça me fasse de l’effet. Que cela ne nous empêche pas de déjeuner. Face à face sur la petite table de la cuisine, et une fois le café mis dans les bols je lui ai parlé des coups de fils passés.
-Tu as déjà appelé une brasserie ? C’est dingue, et il a prévu de me jauger professionnellement ?
Tout à fait. On verra ça lundi je t’y accompagnerais. Avant il te faut d’autres nippes. Tu ne peux pas te présenter dans la tenue que tu avais.
-Je te rappelle que je n’ai pas de fric.
Considère que je fais ça par amitié. Je n’ai jamais pu laisser un chien a demi écrasé dans la rue. Et puis tu me rends heureux pour certaines choses.
-Hé ! Je ne veux pas me faire entretenir. Je te rembourserais au fur et à mesure.
Tu m’as déjà donné beaucoup. Et…On en parlera plus tard je pense.
Non vas-y, Ne te gêne pas j’accepte très bien les désillusions.
-T’es bête, désolé de te le dire mais c’est la première fois que je me trouve bien et à ma place. Si ça peut durer je serais partant.
Ne prends pas de décisions hâtives. Laissons passer un peu de temps comme on vit et plus tard on en reparle.
-Ok pour moi. Alors quel est le programme ?
Je pense à nous calmer d’abord de façon à être présentable dehors puis tu mets tes vieilles fringues et on va chez Métro. J’ai ma carte pro et on y trouvera une tenue de travail et on fera des courses pour le week-end. J’avais prévu une nuit sur la côte et l’hôtel est réservé. Je peux annuler si tu n’aimes pas.
-Non, ne change rien si je suis avec toi je serais content. A propos de ce que tu disais tout à l’heure je ne suis pas que chien ! Je me sens aussi chienne parfois. Enfin, avec toi !
Alors commence par t’occuper d’un os qui me fait mal. Je me suis levé, ma queue était raide et suintait un peu. Il n’a pas hésité et a changé de place, venant à genoux face à moi et me fixant des yeux il a saisi la tige et ouvert la bouche. Après quelques va et vient il l’a laissé pour me dire qu’il avait saisi le lieu de la douleur et de me laisser aller.
Il a repris sa sucette me tenant par les fesses, les écartant un peu puis un peu plus pour faire glisser un doigt dans la raie, titillant ma fente de mec.
Je ne vais pas tenir longtemps ! Il me surveillait des yeux et quand il a senti ma verge prête à jouir il a poussé le doigt dans mon cul. J’ai couiné en vidant ma vigueur de mec dans sa bouche.
-Je pense que la douleur est passée. Il souriait et avait savouré avant d’avaler mon sperme.
Il s’était relevé et m’embrassait à bouche que veux-tu et je sentais son sexe raide frotter ma cuisse. Je n’ai pas été long à me laisser glisser contre lui, laissant mes mains s’attarder sur ses tétons. Il avait de fort belles aréoles brunes et je l’ai senti frémir quand ma bouche s’est refermée sur son gland. Tout en le suçant je faisais rouler les tétons sous mes doigts, étonné de les sentir si souple. Pressant plus fermement il a eu un sursaut et m’a giclé dans la bouche.
C’est la pression sur tes bouts de tétons ?
-Je ne te l’avais pas dit mais je suis très sensible de là.
Naturellement ou tu t’es amusé avec ?
Il a eu un petit sourire.
-Tu es curieux mais oui je me suis amusé à les pincer tout seul en me branlant et à chaque fois j’éjaculais plus vite. Bof ce doit être mon côté féminin qui ressort.
Aller un petit coup de brosse sur les dents et on s’habille. Cette fois mon sexe était plus normal. Je suis allé m’habiller. Il a vite fait de même.
-On laisse le chien ?
Oui, il a l’habitude.
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