JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 5 - histoire érotique

(Histoire loufoque, purement imaginaire, sans lien réel avec la réalité... bien sûr !)

5/ PETIT VEINARD...

Mais heureusement c'est là que Kader intervient. Il était derrière moi, je ne l'ai pas entendu venir. Et d'un coup il se positionne debout entre le jeune voyeur et moi, au-dessus de mon corps, une jambe de chaque côté, comme s'il allait s'asseoir sur mon zebb ! Je le regarde par le dessous : quel point de vue extraordinaire ! Merci mon ami !
Il expose aussi son cul et l'arrière de ses couilles au jeune pervers qui est derrière lui... Et le jeune homme, submergé par une nouvelle vague de plaisir, pique du nez à nouveau. Il n'en espérait pas tant ! Deux culs d'Arabes pour le prix d'un !!!... Petit veinard...
- Allez viens, Jawad, tout le monde te regarde...
Et en effet, je réalise alors que depuis que j'ai sorti mon gros zebb, les volleyeurs blonds se sont tous tournés vers moi, ils ont arrêté de jouer... Les papas creuseurs me regardent aussi, l'un se tirant sur la peau, l'autre exposant toujours son anus de sodomite... Les femmes me sourient, les hommes ont la bouche ouverte... (merci messieurs, j'apprécie mais vous êtes trop nombreux, je ne vais pas pouvoir...)
- Azy viens Jawad Azebb, on va se baigner... ça va te calmer...
Je me dis qu'il a raison. Mon ami, jambes ouvertes au-dessus de moi, n'a peut-être que 18 ans mais c'est déjà un homme sage. Je lui suis tellement reconnaissant de veiller sur moi comme ça... Toi mon tendre compagnon... avec ton sexe bicolore qui jute doucement... là j'ai juste envie de te... de te... oh putain de te...
- Allez ! Lève-toi, khouya mon frère...
Je comprends qu'il est temps pour moi d'en finir et d'enlever complètement mes habits de prière, pour aller me plonger dans l'eau froide.
Inch'Allah, je me mets debout. Tout le monde me regarde... Ils attendent tous pour voir le grand muslim de 1,90m se déshabiller complètement... ils veulent me voir nu, ces pédés... ils veulent voir mon grand corps d'Arabe mince et poilu... tout nu... bande de pédés, va !!!
Et dans un geste se mépris, bouche vers le bas, je crache hostensiblement dans le sable...
... Eh ben c'est d'accord, je vais vous montrer, moi, bande d'impies, ce que c'est qu'un vrai mâle arabe, un étalon fougueux, libre, sans attache et sans peau d'zob, je vais tous vous humilier, bande d'invertis, bande de fornicateurs et de sodomites !
La plage entière est tournée vers moi... et en vrai... je me sens super bien.
Alors j'enlève d'abord mon chèche pour dévoiler mes cheveux noirs bouclés... c'est agréable...
Puis je me baisse pour soulever ma gellabah... Et là, dans un geste lent, très lent, volontairement érotique, je commence à la soulever... dévoilant mes mollets blancs, fins et poilus... mes genoux caleux... mes cuisses encore plus blanches et encore plus poilues... les gens sont silencieux... comme pétrifiés... je marque une pose (bande de pédés !) puis je continue... et je relève ma gellabah en étirant mes bras au-dessus de ma tête, ce qui voile mon visage et expose mes couilles pendantes... je perçois un léger "oh" admiratif, un peu sourd mais général... matez, bandes d'invertis, matez-moi ces couilles de rebeu...
Putain mais qu'est-ce que c'est bon de s'exhiber !!!... Alors je continue à soulever le tissu pour libérer complètement mon gros braquemart d'étalon... et paw !!!... Voilà ! Vous le vouliez mon gros zebb circoncis ? Eh ben vous l'avez, bande d'infidèles ! Nouveau "oooooh" admiratif... Mon visage reste voilé, mais je sens tous ces regards sur mon zob, énorme, fier, tendu, dressé vers le ciel... allez-yyyy... matez-moi çaaaa... fils d'invertis...
Lorsque j'ôte complètement mon qamis de prière, mes yeux tombent d'abord sur ceux de Kader. Et ce que je lis dans son regard, c'est une immense fierté. Il semble dire : "Bravo, mon ami... c'est bien... tu as réussi..." Il me sourit... calme... mon poto...
Mais, comble de surprise, je remarque alors que toute la plage me sourit également... gentiment... comme s'ils étaient heureux pour moi... comme s'ils me souhaitaient la bienvenue parmi eux... je n'en reviens pas ! Moi qui imaginait de leur part une sorte d'hostilité, voilà qu'ils m'offrent leur bienveillance... ils sont limite un peu risibles, on dirait des bisounours... je ne comprendrai jamais ces roumis... à moins qu'ils soient juste fascinés par mes 1,90m et par mes 32 centimètres...
J'entends le papa sodomite (toujours à quatre pattes à exposer son anus) dire à sa progéniture "ne regardez pas, les choupis" tandis que l'autre papa, face à lui, tirant roujours sur sa peau d'zizi, me sourit et me dit de loin : "vous devriez allez vous baigner, là, monsieur..."
Mon regard tombe alors sur mon petit obsédé de 18 ans, toujours à plat ventre. Son visage est rouge tomate... il semble fasciné, il n'en peut plus... je devine que ses couilles menacent d'exploser... et là... j'ai pitié de lui : je voudrais lui donner l'occasion de se finir...

Alors, après avoir plié mon chèche et mon qamis, je m'approche de lui, mon énorme sexe coulant au dessus de son visage, puis je me retourne... et je me baisse pour poser mes vêtements de prière bien pliés sur le sable, lui offrant une vue imprenable sur mon anus poilu de muslim, sur l'arrière de mes couilles, et sur mon gros gland qui coule...
Penché, je le regarde entre mes jambes... et nos yeux croisent... cette fois il ne fuit plus, il assume, il mate, il profite... vazy mon grand... gad'zy les couilles à papa... gad'moi ce cul de rebeu... enjoy, mon grand...
Et, juste pour lui faire plaisir, tout en le regardant entre mes jambes, je contracte mon anus et je le décontracte... Le petit obsédé n'en revient pas... je lis dans ses yeux qu'il n'a jamais rien vu d'aussi bandant... jeune inverti, va... puis je me concentre pour lui offrir un ultime cadeau : un petit jet de pisse, rien que pour toi, mon mignon, juste un jet, un seul, pas plus...
Cul en l'air, je le regarde entre mes jambes, et... psssst ! Juste un coup !... Tu l'as vu mon mignon, le grand rebeu qui pisse en montrant son cul ?
Et là ce petit obsédé des urinoirs, il ne peut pas s'empêcher de pousser un petit cri aigu de tapette : Aaah !
Tu le voulais ton cul de muslim, petite pédale ? Eh ben tu l'as eu, wallah !
Ses yeux se révulsent, son regard blanc annonce son orgasme... ça monte... ça monte...
Et brusquement, comme s'il recevait une énorme décharge électrique, tout son corps sursaute !... une fois... puis rien pendant 3 secondes... puis une deuxième fois... son orgasme est d'une intensité incroyable... ses yeux se révulsent à nouveau... on dirait qu'il ne respire plus... puis un troisième sursaut... et là ça y est ! Il semble comme pris de convulsions qui se succèdent... il jouit !! "Rhhhhaaahh..."
Je t'ai eu, petit morveux, je t'ai bien eu... tu l'as peut-être vu ton cul d'arabe, mais moi aussi je t'ai chopé, petit pédé, va...
Les roumis semblent s'amuser de la situation... les parents tout fripés du jeune homme, par contre, sont restés absorbés par leur lecture.

Alors, pendant que le petit pédé des urinoirs continue à évacuer son plaisir, je m'élance à toutes jambes vers l'océan, en criant à l'adresse de Kader :
- Tu viens te baigner ?
Avez-vous déjà vu un grand muslim courir avec une énorme érection ?... non ?... eh bien je pense que vous n'êtes pas les seuls ! Sans honte, je m'élance à toute jambe. Mon sexe tout dur bat l'air dans tous les sens, comme ces mecs qui bandent quand on les encule ! (...oui ben c'est pas parce que je suis un futur Imam que j'ai pas internet...)
Mon énorme zebb tendu valdingue de haut en bas et de droite à gauche. Je sais que tout le monde me regarde... J'entends un papa gronder : "Je vous ai dit de ne pas regarder, les choupis !"... Mais que c'est bon !... le vent caresse mes poils... tous mes poils... je me sens tellement libre !!!
J'entre dans l'eau en courant et je plonge, conscient que j'expose à tous mon cul blanc et osseux et ma raie fournie... Matez, matez, bande d'impies... c'est cadeau !
L'eau est froide, ça devrait me calmer. Quand je me relève, l'eau m'arrive aux cuisses, je me retourne juste pour bien exhiber mon sexe. Je sens les gouttes glisser dans ma barbe et dans mon pubis, et je sens les vagues jouer avec mes poils du dessous. Je bande toujours. Je regarde Kader venir vers moi tranquillement, en marchant bite au vent. Il vient vers moi en souriant. Il est tellement beau !
Alors, sans y réfléchir, je le prends dans mes bras :
- Mon poto... mon meilleur ami... je t'aime tellement !
Et je le serre contre moi. Je sens tout son corps chaud... il est plus petit que moi, son zob circoncis se glisse sous mes couilles, je le sens, il est tout chaud... ça fait tellement de bien !!... Dans un élan d'amitié pure, j'écarte un peu les genoux pour bien plaquer mon gros zebb contre lui.
Mais je sens qu'il tente immédiatement de se dégager...
- Jawad...
Il me repousse. Je desserre mon étreinte.
- Putain Jawad... bite contre bite, putain !!! Azy ça se fait pas ! Y'a du monde, putain, Jawad !!
Il me ramène à la réalité. Je me suis complètement laissé dépasser, emporté par une sensation nouvelle de déshinibition !
- Désolé, ma couille, je voulais pas... je...
Mais son regard est de nouveau espiègle et rieur...
- Putain Jawad, tu fais mal, wallah tu bandes super dur !!
- Oui... ha ! ha !
- Par contre je suis pas ta couille, ok ?
- Ah si, khouya mon frère !... Ça... tu seras toujours ma couille !!
Alors il se jette sur moi et on saute dans les vagues ! On nage on plonge on joue comme des gamins on se grimpe sur le dos sans gêne on se saute dessus on se fait couler on rigole on boit la tasse. Nos corps d'adultes se touchent sans tabou, s'attirent et se repoussent. Ils sont beaux et complices dans le jeu, ils rentrent et sortent de l'eau, exposant à la vue de tous, nos épaules nos jambes nos sexes et nos fesses ouvertes. Deux arabes sans tabous qui jouent dans les vagues...
Je me dis qu'après ça je ne sais pas si je pourrai jamais remettre ma gellabah... on verra...
Les hommes de la plage, zizis à l'air nous regardent jouer, envieux.
Cette complicité dans le jeu fait un peu redescendre ma tension sexuelle. Le froid nous gagne, nous rétracte, resserre nos peaux, hérisse nos poils et pénètre nos muscles... Brrr vite au soleil !
On court. Kader se jette sur sa serviette. Je l'imite. Tous les 2 côte à côte face à la mer, on contemple nos 2 corps parallèles.
Nos tétons pointent à cause du froid, nos peaux mouillées grelottent, nos poils sont hérissés et nos doigts plissés. Nos couilles sont dures et remontées, et nos zizis resserrés.
La plupart des hommes a arrêté de nous regarder. Le jeune pervers et ses deux vieilles pommes sont partis.
Les volleyeurs blonds ont repris leur match en secouant à nouveau leurs zizis bronzés. Ils sont beaux.
Fesses en l'air, le papa sodomite regarde le zizi de son ami en souriant.
Face à nous, le soleil nous réchauffe déjà. Ça fait du bien. J'ouvre les jambes. Kader aussi.
Je ferme les yeux et je repense à cette sensation incroyable de son gland tout chaud sous mes couilles... quelle sensation merveilleuse... mon tendre ami...