JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 6
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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JAWAD CHEZ LES NUDISTES - 6
(Histoire loufoque, purement imaginaire, sans lien réel avec la réalité... bien sûr !)
6/ KADER DORT...
Nos corps se sont réchauffés. Autant la peau de Kader est naturellement bronzée, couleur miel, autant la mienne est blanche, couleur lait de chèvre, et craint le soleil...
Le soleil donne... ok mais moi je suis tout simplement en train de cramer !
Mon zebb a retrouvé ses 32 centimètres, mais je ne bande pas. Quand je suis bien, ça fait ça : ça s'allonge sans durcir... c'est pas une érection, c'est juste que je suis bien... et là putain, qu'est-ce que je suis bien !!
Kader s'est endormi, jambes écartées. Il respire fort. Son sexe est gros, tout brillant et tout ramolli par le soleil, ses couilles pendent et son gland bronzé est tout gonflé. Les poils frisés de l'intérieur de ses cuisses font comme des petites bouloches...
Putain mais qu'est-ce qu'il est beau, ce con !!!
Abandonné au sommeil et au soleil, il dort paisiblement en souriant légèrement.
Alors... n'y tenant plus, je m'approche et tout doucement je pose ma main sur l'intérieur de sa cuisse toute chaude... c'est doux... lentement, je glisse mes doigts entre ses poils... et je remonte doucement jusqu'à son gros zebb bicolore. Putain ça y est ! Je suis en train de le toucher !!! Je lui touche son sexe ! Pu-tain !!!
Son pénis frémit à mon contact. La peau de son zob est incroyablement douce ! Mon ami... khouya mon frère... je te touche !! que ton pénis est doux et chaud ! Son zebb frémit à nouveau... son souffle s'arrête... puis reprend lentement... ma main descend le long de ses couilles brillantes... elles sont chaudes et moites... elles collent un chouïa... et ma main remonte encore pour bien lui caresser tout son sexe... bien partout... putain qu'est-ce que j'en profite !!! Mon frère... mon tendre ami... que c'est bon de te toucher enfin le sexe !!!... et que ton intimité est chaude et accueillante...
Je remarque que son pénis bicolore commence à grossir et à s'étirer lentement...
Mais voilà qu'il se réveille. Houla !
Je retire ma main prestement. Lui me regarde et me sourit, puis s'étire en exposant ses aisselles et en écartant grand grand ses jambes...
- Mmmmmhhh... j'ai dormi, moi...
Il me regarde à nouveau et se secoue les couilles et en les grattant ostensiblement.
- Mmmmmh... c'était bon, ce que tu me faisais, là... pourquoi t'as arrêté... tu peux continuer, si tu veux...
- Houla... pas du tout, je...
Et il écarte encore plus les jambes en disant :
- Allez... s'te plaît... Jawad Azebb mon frère, touche moi encore les couilles, là...
- Mais non... wallah je te jure, pas du tout... je n'ai...
- Tu fais ça tellement bien !... Tu serais pas en train de virer pédé, mon Jawad ?... j'espère que c'est pas ça, quand-même ?!
- Houla ! Absolument pas... je...
Alors il me prend la main et la pose de force sur son sexe.
- Allez... s'te plaît... juste un peu... tu fais ça si bien...
- Kader mon frère... arrête ça... lâche ma main, tu veux bien ? Je te dis que...
- Azy...
Il frotte ma main contre son sexe.
- Mon ami... je te rappelle que je suis un futur imam...
Alors il me lâche enfin la main...
- Oui et avec un sacré zebb, mon cochon !
- Kader... arrête... c'est pas qu'on n'est pas bien, là... mais je suis en train de cramer, moi !
- Un imam avec un sacré gros kiki, ha ! ha !...
- Kader... t'es relou... je te dis que je crame, moi là...
- Ok ok... j'ai compris... ça va... on y va.
Alors je me lève. Mon gland tappe contre mes cuisses.
Et j'aide Kader à se lever. Il se redresse. Nos sexes balancent. On se sourit.
- Allez... on y va ?
- Tu ne remets pas tes habits de prière ?
- Non... je... non... je préfère rester comme ça... je suis bien, là...
- Inch'Allah ! C'est toi qui voit, mon ami...
Kader, c'est plus qu'un ami, c'est... je ne saurais dire... et puis putain je lui ai touché son gros sexe tout chaud !!!
En partant, nous repassons devant les volleyeurs blonds avec leurs zizis tout bronzés. Ils continuent à jouer sans prêter attention à nous... Ils sont encore plus beaux de près... des mecs magnifiques.
Puis nous repassons devant les deux papas. Toujours entourés de jouets multicolores, ils ont construit un château et continuent à creuser des douves. Le grand papa debout tire toujours sur sa peau d'zob, pile devant le visage de son ami... c'est pas possible, il le fait exprès... grand pédé, va... Le petit papa sodomite, quant à lui, se retourne, il regarde ma grande queue qui bat contre mes cuisses et nous fait à la fois "Salam" avec la bouche et "o" avec le cul. Mais je lui réponds juste "Salam".
Ils nous suivent du regard alors qu'on s'éloigne... c'est clair ils nous matent le cul ! Alors je fais exprès de faire tomber mon chèche et je le ramasse en écartant bien les jambes et les fesses... vas-y... mate ça puisque t'aimes ça !... et lorsque je me relève, je vois le grand papa qui se tripote et le petit papa sodomite qui fait en même temps "o" avec ses 2 orifices... pédé, va...
En direction du bungalow, nous croisons à nouveau les deux invertis oranges. Ils nous regardent avec des yeux qui brillent. Le plus jeune détaille mon grand corps d'arabe nu, s'attardant sur mon gros zebb circoncis, et m'adresse un sourire niais et libidineux... Ce jeune inverti a décidément une très belle teub semi-décalottée... S'il n'y avait pas l'autre, je lui ferais bien... enfin je lui... c'est quand même très joli ces prépuces, des fois !
Et nous arrivons enfin au bungalow.
Nous entrons...
Nus.
6/ RETOUR AU BUNGALOW
Hurlements !
C'était à prévoir... En me voyant revenir nu, ma fiancée se met à crier, à hurler, à pleurer...
- Wallah zebbi ! Mon amour ! Qu'as tu fait ?! Tu veux tous nous damner ?! Quel malheur ! Tu fais rentrer le diable dans cette maison... enfin ce... bungalow de mes fesses, mon amour ! Je suis tellement déçue... tellement déçue... tu m'interdis de montrer ma chatte et toi tu exhibes ton grand zguège aux roumis ?! tu montres ton sexe de muslim au monde entier ?! toi ? toi, mon fiancé mon promis, tu as exposé ton grand zebb aux impies, et tes fesses aux sodomites ? toi ? un futur imam ?! Jawad Azebb mon amour...
Ses pleurs redoublent. Sa voix monte dans les aigus :
- J'aurais dû écouter ma mère qui disait que tu étais un peu... enfin un peu... un peu comme l'oncle Abdelaziz... tu vois ce que je veux dire...
- Non, je... non...
Mais elle continue à pleurer et à pousser des cris.
- Wallah mon dieu, que vais-je devenir ?...
Et elle pleure... et elle pleure... et elle pleure... Nu devant elle, je la regarde. Mon grand zebb pend entre mes jambes. Elle me fait de la peine.
Alors je lui pose une main sur l'épaule en faisant attention de ne pas la frôler avec mon gland.
- Mon amour ma fiancée... c'est peut-être mieux comme ça tu sais...
Elle m'attarde la jambe.
- Et même... si tu tiens vraiment à montrer ta chatte... eh ben vas-y ! je t'autorise. Va sur la plage et fais comme moi : ouvre tes cuisses et ton cul aux roumis, toi aussi ! Azy !...
Elle me regarde du dessous avec ses yeux noirs et tristes, mais quelque chose dans son regard, presque rien, me dit que l'idée lui plait... Alors la copine de Kader la prend dans ses bras et, tout en regardant Kader, dit :
- Si tu veux, demain, on ira toutes les deux !!
La soirée fut silencieuse. On parla peu. Les femmes sont restées habillées et ont fait à manger (faut pas déconner !) Kader et moi on est resté à poil. On a mangé jambes écartées en regardant la télé et en se grattant les couilles, c'était trop bien !... et puis merde c'est fait pour ça, les amis !
Pour une fois j'ai fait ma prière nu. Je pense que du coup ma prière n'est pas valable... mais bon. Kader dit que dieu ne veut que notre bonheur... alors...
Pendant ce temps, Kader s'est installé avec une bière dans le canapé juste derrière moi... il m'a regardé prier... moi fesses en l'air, lui jambes écartées. Quand j'ai terminé de réciter la dernière sourate et que je me suis tourné vers lui, j'ai bien vu qu'il essayait de cacher son érection... mais il m'a lancé un regard d'une tendresse infinie... son gros zob était beaucoup trop gros pour ses mains...
Puis les femmes se sont enfermées dans la salle de bains et se sont épilées toute la soirée (faut dire, y avait beaucoup à faire...) Quand elles sont ressorties elle semblaient toutes roses et toutes heureuses, prêtes pour demain... Mais ce soir-là personne n'a baisé.
Le lendemain matin, je me réveille le dernier. J'ai fait des rêves torrides ! Il y avait le petit pervers des urinoirs qui montrait à tout le monde qu'on pouvait parfaitement pisser en éjaculant et sans les mains, pendant que le papa sodomite taillait enfin une pipe à son ami. Dans le même rêve, Kader allongé au soleil écartait grand ses jambes, tendait ses bras vers moi... et je m'allongeais complètement sur son corps tout chaud...
Bref, je me réveille super-excité ! J'attends de débander un peu avant de sortir... mais ça veut pas... Bon ben tant pis !
Je sors de la chambre sexe en avant et trouve Kader nu dans le séjour du bungalow, en train de boire un kawa et de se secouer le zguègue... Putain ! Il se masturbe, le pédé !!
Et là les images de mon rêve me reviennent mais je les chasse aussitôt.
- Putain ! Kader... T'es quand même pas en train de te branler, là ?!
Sans arrêter de se la secouer dans tous les sens dans une impudeur totale, il me dit :
- Salam khouya... les femmes sont déjà parties sur la plage pour montrer leurs chattes aux roumis...
- Vraiment ?!
- Oui... et elles ont dit qu'elles allaient s'installer dans un autre bungalow, qu'elles sont pas nos boniches... tout ça...
- Sérieux ??!
- Et elles ont pris toutes leurs affaires...
- Naaaan !?
- Va falloir qu'on se débrouille tout seuls, mon pauvre Jawad... sans elles... pour tout... la bouffe, le ménage... tout...
- Oh putain... tout ?!
- Wallah je te jure... jusqu'à la fin de la semaine !
- Mais... comment ça, tout ?...
- Ben tout , quoi...
- Mais c'est pas possible ! Comment on va faire ?! C'est que j'ai même pas baisé, moi hier soir !
- C'est ce que je vois !... Moi non plus mon pauvre ami... Pourquoi crois-tu que je suis en train de...
- Oh putain les salooopes !! Mais comment on va faire ?
Je pends conscience que nous sommes tous les deux en train de bander comme des étalons arabes, face à face... sans solution !!
- C'est que je suis en rut, moi, là, Kader ! Mes couilles vont exploser ! J'en peux plus, moi !!!
- Moi aussi, mon Jawad... Mais tout ca c'est de ta faute ! C'est depuis que tu m'as touché hier... j'ai pas cessé d'y penser... ça m'a... je sais pas... j'ai fait des rêves...
- Moi pareil... j'ai pas arrêté d'y penser... toute la nuit... tu étais allongé et moi je...
- Arrête, mon ami, arrête... je suis trop excité, là... j'en peux plus ! J'ai trop besoin de fourrer, moi, tu comprends ?!...
Il se secoue le zob et ajoute :
- J'ai besoin d'un trou, là, mon Jawad !... d'un trou, putain !!!
Alors... n'écoutant que mon cœur, je compends qu'il en temps pour moi de me mettre à quatre pattes... tout simplement... comment n'y ai-je pas pensé avant ? ça me vient comme une évidence...
Alors je prends la pose... naturellement... comme si je l'avais toujours fait.
J'ai des très grandes jambes mais quand je suis comme ça, mon gland touche presque par terre...Mais j'aime bien cette position, ça aère les fesses.
Je lève la tête vers lui...
- Des trous, j'en ai deux, khouya mon frère... Mais dis-moi... crois-tu que nous allons nous attirer la colère divine ?...
- Je ne pense pas, Jawad Azebb, dieu veut notre bonheur...
Kader, mon ami... il a toujours le mot qui convient...
- Alors vas-y ma couille, commence par le trou que tu veux !
Tout en se masturbant, mon pote s'approche et me tourne autour... De son zebb pend un long fil de mouille qui s'agite dans tous les sens.
Je lève le cul (comme en position de prière, si vous préférez) et ce pédé il mate mon corps de muslim sous toutes les coutures... je suis comme une pute, une qahba... j'ouvre tout... Azy choisis ton orifice, mon ami...
Je vois que mon grand corps blanc et poilu l'excite beaucoup. Il se branle. Il bave. Il me jette un regard rouge sang, il est fou de désir ! ses yeux puent la bite ! Il est comme une bête ! Il faut qu'il fourre !... mon ami en rut... qu'il est beau !... il faut que je lui dise...
- Kader mon frérot, mon ami de toujours, dieu seul sait à quel point je t'aime... intimement... profondément... Alors azy mon frère, je veux ton zebb !!! Je le veux en moi ! je veux sentir ton gros gland tapper dans le fond de ma gorge, mon nez dans tes poils et tes boules contre ma barbe !! Ensuite je veux que tu m'éclate le cul ! Je veux sentir tes couilles tapper contre les miennes ! Je veux...
Mais avant que je finisse, il agrippe violemment mes cheveux noirs et bouclés et bascule ma tête en arrière...
- Kader mon tendre ami, je veux que tu me... grrglllgbbmmhhbgl...
- Putain ta gueule Jawad !
6/ KADER DORT...
Nos corps se sont réchauffés. Autant la peau de Kader est naturellement bronzée, couleur miel, autant la mienne est blanche, couleur lait de chèvre, et craint le soleil...
Le soleil donne... ok mais moi je suis tout simplement en train de cramer !
Mon zebb a retrouvé ses 32 centimètres, mais je ne bande pas. Quand je suis bien, ça fait ça : ça s'allonge sans durcir... c'est pas une érection, c'est juste que je suis bien... et là putain, qu'est-ce que je suis bien !!
Kader s'est endormi, jambes écartées. Il respire fort. Son sexe est gros, tout brillant et tout ramolli par le soleil, ses couilles pendent et son gland bronzé est tout gonflé. Les poils frisés de l'intérieur de ses cuisses font comme des petites bouloches...
Putain mais qu'est-ce qu'il est beau, ce con !!!
Abandonné au sommeil et au soleil, il dort paisiblement en souriant légèrement.
Alors... n'y tenant plus, je m'approche et tout doucement je pose ma main sur l'intérieur de sa cuisse toute chaude... c'est doux... lentement, je glisse mes doigts entre ses poils... et je remonte doucement jusqu'à son gros zebb bicolore. Putain ça y est ! Je suis en train de le toucher !!! Je lui touche son sexe ! Pu-tain !!!
Son pénis frémit à mon contact. La peau de son zob est incroyablement douce ! Mon ami... khouya mon frère... je te touche !! que ton pénis est doux et chaud ! Son zebb frémit à nouveau... son souffle s'arrête... puis reprend lentement... ma main descend le long de ses couilles brillantes... elles sont chaudes et moites... elles collent un chouïa... et ma main remonte encore pour bien lui caresser tout son sexe... bien partout... putain qu'est-ce que j'en profite !!! Mon frère... mon tendre ami... que c'est bon de te toucher enfin le sexe !!!... et que ton intimité est chaude et accueillante...
Je remarque que son pénis bicolore commence à grossir et à s'étirer lentement...
Mais voilà qu'il se réveille. Houla !
Je retire ma main prestement. Lui me regarde et me sourit, puis s'étire en exposant ses aisselles et en écartant grand grand ses jambes...
- Mmmmmhhh... j'ai dormi, moi...
Il me regarde à nouveau et se secoue les couilles et en les grattant ostensiblement.
- Mmmmmh... c'était bon, ce que tu me faisais, là... pourquoi t'as arrêté... tu peux continuer, si tu veux...
- Houla... pas du tout, je...
Et il écarte encore plus les jambes en disant :
- Allez... s'te plaît... Jawad Azebb mon frère, touche moi encore les couilles, là...
- Mais non... wallah je te jure, pas du tout... je n'ai...
- Tu fais ça tellement bien !... Tu serais pas en train de virer pédé, mon Jawad ?... j'espère que c'est pas ça, quand-même ?!
- Houla ! Absolument pas... je...
Alors il me prend la main et la pose de force sur son sexe.
- Allez... s'te plaît... juste un peu... tu fais ça si bien...
- Kader mon frère... arrête ça... lâche ma main, tu veux bien ? Je te dis que...
- Azy...
Il frotte ma main contre son sexe.
- Mon ami... je te rappelle que je suis un futur imam...
Alors il me lâche enfin la main...
- Oui et avec un sacré zebb, mon cochon !
- Kader... arrête... c'est pas qu'on n'est pas bien, là... mais je suis en train de cramer, moi !
- Un imam avec un sacré gros kiki, ha ! ha !...
- Kader... t'es relou... je te dis que je crame, moi là...
- Ok ok... j'ai compris... ça va... on y va.
Alors je me lève. Mon gland tappe contre mes cuisses.
Et j'aide Kader à se lever. Il se redresse. Nos sexes balancent. On se sourit.
- Allez... on y va ?
- Tu ne remets pas tes habits de prière ?
- Non... je... non... je préfère rester comme ça... je suis bien, là...
- Inch'Allah ! C'est toi qui voit, mon ami...
Kader, c'est plus qu'un ami, c'est... je ne saurais dire... et puis putain je lui ai touché son gros sexe tout chaud !!!
En partant, nous repassons devant les volleyeurs blonds avec leurs zizis tout bronzés. Ils continuent à jouer sans prêter attention à nous... Ils sont encore plus beaux de près... des mecs magnifiques.
Puis nous repassons devant les deux papas. Toujours entourés de jouets multicolores, ils ont construit un château et continuent à creuser des douves. Le grand papa debout tire toujours sur sa peau d'zob, pile devant le visage de son ami... c'est pas possible, il le fait exprès... grand pédé, va... Le petit papa sodomite, quant à lui, se retourne, il regarde ma grande queue qui bat contre mes cuisses et nous fait à la fois "Salam" avec la bouche et "o" avec le cul. Mais je lui réponds juste "Salam".
Ils nous suivent du regard alors qu'on s'éloigne... c'est clair ils nous matent le cul ! Alors je fais exprès de faire tomber mon chèche et je le ramasse en écartant bien les jambes et les fesses... vas-y... mate ça puisque t'aimes ça !... et lorsque je me relève, je vois le grand papa qui se tripote et le petit papa sodomite qui fait en même temps "o" avec ses 2 orifices... pédé, va...
En direction du bungalow, nous croisons à nouveau les deux invertis oranges. Ils nous regardent avec des yeux qui brillent. Le plus jeune détaille mon grand corps d'arabe nu, s'attardant sur mon gros zebb circoncis, et m'adresse un sourire niais et libidineux... Ce jeune inverti a décidément une très belle teub semi-décalottée... S'il n'y avait pas l'autre, je lui ferais bien... enfin je lui... c'est quand même très joli ces prépuces, des fois !
Et nous arrivons enfin au bungalow.
Nous entrons...
Nus.
6/ RETOUR AU BUNGALOW
Hurlements !
C'était à prévoir... En me voyant revenir nu, ma fiancée se met à crier, à hurler, à pleurer...
- Wallah zebbi ! Mon amour ! Qu'as tu fait ?! Tu veux tous nous damner ?! Quel malheur ! Tu fais rentrer le diable dans cette maison... enfin ce... bungalow de mes fesses, mon amour ! Je suis tellement déçue... tellement déçue... tu m'interdis de montrer ma chatte et toi tu exhibes ton grand zguège aux roumis ?! tu montres ton sexe de muslim au monde entier ?! toi ? toi, mon fiancé mon promis, tu as exposé ton grand zebb aux impies, et tes fesses aux sodomites ? toi ? un futur imam ?! Jawad Azebb mon amour...
Ses pleurs redoublent. Sa voix monte dans les aigus :
- J'aurais dû écouter ma mère qui disait que tu étais un peu... enfin un peu... un peu comme l'oncle Abdelaziz... tu vois ce que je veux dire...
- Non, je... non...
Mais elle continue à pleurer et à pousser des cris.
- Wallah mon dieu, que vais-je devenir ?...
Et elle pleure... et elle pleure... et elle pleure... Nu devant elle, je la regarde. Mon grand zebb pend entre mes jambes. Elle me fait de la peine.
Alors je lui pose une main sur l'épaule en faisant attention de ne pas la frôler avec mon gland.
- Mon amour ma fiancée... c'est peut-être mieux comme ça tu sais...
Elle m'attarde la jambe.
- Et même... si tu tiens vraiment à montrer ta chatte... eh ben vas-y ! je t'autorise. Va sur la plage et fais comme moi : ouvre tes cuisses et ton cul aux roumis, toi aussi ! Azy !...
Elle me regarde du dessous avec ses yeux noirs et tristes, mais quelque chose dans son regard, presque rien, me dit que l'idée lui plait... Alors la copine de Kader la prend dans ses bras et, tout en regardant Kader, dit :
- Si tu veux, demain, on ira toutes les deux !!
La soirée fut silencieuse. On parla peu. Les femmes sont restées habillées et ont fait à manger (faut pas déconner !) Kader et moi on est resté à poil. On a mangé jambes écartées en regardant la télé et en se grattant les couilles, c'était trop bien !... et puis merde c'est fait pour ça, les amis !
Pour une fois j'ai fait ma prière nu. Je pense que du coup ma prière n'est pas valable... mais bon. Kader dit que dieu ne veut que notre bonheur... alors...
Pendant ce temps, Kader s'est installé avec une bière dans le canapé juste derrière moi... il m'a regardé prier... moi fesses en l'air, lui jambes écartées. Quand j'ai terminé de réciter la dernière sourate et que je me suis tourné vers lui, j'ai bien vu qu'il essayait de cacher son érection... mais il m'a lancé un regard d'une tendresse infinie... son gros zob était beaucoup trop gros pour ses mains...
Puis les femmes se sont enfermées dans la salle de bains et se sont épilées toute la soirée (faut dire, y avait beaucoup à faire...) Quand elles sont ressorties elle semblaient toutes roses et toutes heureuses, prêtes pour demain... Mais ce soir-là personne n'a baisé.
Le lendemain matin, je me réveille le dernier. J'ai fait des rêves torrides ! Il y avait le petit pervers des urinoirs qui montrait à tout le monde qu'on pouvait parfaitement pisser en éjaculant et sans les mains, pendant que le papa sodomite taillait enfin une pipe à son ami. Dans le même rêve, Kader allongé au soleil écartait grand ses jambes, tendait ses bras vers moi... et je m'allongeais complètement sur son corps tout chaud...
Bref, je me réveille super-excité ! J'attends de débander un peu avant de sortir... mais ça veut pas... Bon ben tant pis !
Je sors de la chambre sexe en avant et trouve Kader nu dans le séjour du bungalow, en train de boire un kawa et de se secouer le zguègue... Putain ! Il se masturbe, le pédé !!
Et là les images de mon rêve me reviennent mais je les chasse aussitôt.
- Putain ! Kader... T'es quand même pas en train de te branler, là ?!
Sans arrêter de se la secouer dans tous les sens dans une impudeur totale, il me dit :
- Salam khouya... les femmes sont déjà parties sur la plage pour montrer leurs chattes aux roumis...
- Vraiment ?!
- Oui... et elles ont dit qu'elles allaient s'installer dans un autre bungalow, qu'elles sont pas nos boniches... tout ça...
- Sérieux ??!
- Et elles ont pris toutes leurs affaires...
- Naaaan !?
- Va falloir qu'on se débrouille tout seuls, mon pauvre Jawad... sans elles... pour tout... la bouffe, le ménage... tout...
- Oh putain... tout ?!
- Wallah je te jure... jusqu'à la fin de la semaine !
- Mais... comment ça, tout ?...
- Ben tout , quoi...
- Mais c'est pas possible ! Comment on va faire ?! C'est que j'ai même pas baisé, moi hier soir !
- C'est ce que je vois !... Moi non plus mon pauvre ami... Pourquoi crois-tu que je suis en train de...
- Oh putain les salooopes !! Mais comment on va faire ?
Je pends conscience que nous sommes tous les deux en train de bander comme des étalons arabes, face à face... sans solution !!
- C'est que je suis en rut, moi, là, Kader ! Mes couilles vont exploser ! J'en peux plus, moi !!!
- Moi aussi, mon Jawad... Mais tout ca c'est de ta faute ! C'est depuis que tu m'as touché hier... j'ai pas cessé d'y penser... ça m'a... je sais pas... j'ai fait des rêves...
- Moi pareil... j'ai pas arrêté d'y penser... toute la nuit... tu étais allongé et moi je...
- Arrête, mon ami, arrête... je suis trop excité, là... j'en peux plus ! J'ai trop besoin de fourrer, moi, tu comprends ?!...
Il se secoue le zob et ajoute :
- J'ai besoin d'un trou, là, mon Jawad !... d'un trou, putain !!!
Alors... n'écoutant que mon cœur, je compends qu'il en temps pour moi de me mettre à quatre pattes... tout simplement... comment n'y ai-je pas pensé avant ? ça me vient comme une évidence...
Alors je prends la pose... naturellement... comme si je l'avais toujours fait.
J'ai des très grandes jambes mais quand je suis comme ça, mon gland touche presque par terre...Mais j'aime bien cette position, ça aère les fesses.
Je lève la tête vers lui...
- Des trous, j'en ai deux, khouya mon frère... Mais dis-moi... crois-tu que nous allons nous attirer la colère divine ?...
- Je ne pense pas, Jawad Azebb, dieu veut notre bonheur...
Kader, mon ami... il a toujours le mot qui convient...
- Alors vas-y ma couille, commence par le trou que tu veux !
Tout en se masturbant, mon pote s'approche et me tourne autour... De son zebb pend un long fil de mouille qui s'agite dans tous les sens.
Je lève le cul (comme en position de prière, si vous préférez) et ce pédé il mate mon corps de muslim sous toutes les coutures... je suis comme une pute, une qahba... j'ouvre tout... Azy choisis ton orifice, mon ami...
Je vois que mon grand corps blanc et poilu l'excite beaucoup. Il se branle. Il bave. Il me jette un regard rouge sang, il est fou de désir ! ses yeux puent la bite ! Il est comme une bête ! Il faut qu'il fourre !... mon ami en rut... qu'il est beau !... il faut que je lui dise...
- Kader mon frérot, mon ami de toujours, dieu seul sait à quel point je t'aime... intimement... profondément... Alors azy mon frère, je veux ton zebb !!! Je le veux en moi ! je veux sentir ton gros gland tapper dans le fond de ma gorge, mon nez dans tes poils et tes boules contre ma barbe !! Ensuite je veux que tu m'éclate le cul ! Je veux sentir tes couilles tapper contre les miennes ! Je veux...
Mais avant que je finisse, il agrippe violemment mes cheveux noirs et bouclés et bascule ma tête en arrière...
- Kader mon tendre ami, je veux que tu me... grrglllgbbmmhhbgl...
- Putain ta gueule Jawad !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci lecteur anonyme... je réfléchirai à une suite... mais j'écris très lentement...
j'aimerai une suite car cette histoire déjantée m'a fait beaucoup rire !!!!
:D
je propose qu'on organise une grande collecte pour t'acheter un nez de clown