Je cherche un puceau pour ma femme...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Je cherche un puceau pour ma femme... Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je cherche un puceau pour ma femme...
À plusieurs reprises lors de nos galipettes, je soumis à ma femme, le souhait d’ajouter dans nos ébats un jeune partenaire masculin. Mais pas n’importe lequel. J’aurais de préférence aimé que ce soit avec un puceau. Et comme un fait exprès, ce que je cherchais désespérément ce trouvait tout près. De l’autre côté de mon grillage. Oui ! Le fils du voisin. Ce n’était pas son physique qui m’attirait mais sa timidité. Qui le rendait doux comme un agneau. Idéal pour réaliser mon fantasme.
Mais à présent le plus dur restait à faire. Créer une liaison avec lui. Et ce ne fut pas de la tarte. Après quelques cuisants échecs, le hasard fit que le jeunot frappa un matin à ma porte pour un problème de batterie sur sa voiture.
Grâce à une paire de pince, un début de relation commençait à naître entre nous. Au point que quelques jours plus tard, il passait de son propre initiation, par-dessus le grillage pour me venir en aide à poser le liner dans la piscine. Et c’était comme ça qu’était née notre amitié. Je n’étais pas mécontent de moi. Mais notre relation était encore fraîche pour le pousser à faire ce que je désirais de lui. Jusqu’au jour où je le surpris en train de feuilleter un magazine de cul dans mon garage.
- Je vois que tu as trouvé de la lecture ! Ça te plait ?
- Je croyais que… arrivait-il à articuler.
- Ne t’en fait pas, j’en ai d’autre ! Tu veux les voir ?
Je m’absentais quelques instants et revins avec une pile de revues. Que je posais devant lui. Il ne savait plus où se mettre. Je pris place près de lui. Et me mis à commenter les photos.
- T’as celle-là, elle est bien foutu, non ?
Il était obligé de reconnaître que j’avais raison.
- Et celle-là, regarde un peu, cette chatte poilue.
Je me mis à tourner les pages ayant sur chaque modèle une opinion. Quand j’eus fini le magazine, je me penchai pour m’en saisir d’un autre.
- Tiens, celle là est super excitante, non ?
Et je continuai mon commentaire. Les photos étaient plus hard, des fellations, des cunnilingus, des baises sous difformes positions.
- Ça te fait bander ? Lui fis-je. Parce que moi oui ! Vivement que ma femme rentre, si tu vois ce que je veux dire !
Cela le fit sourire.
- De toi à moi, tu la trouve comment ma femme ?
- Je ne sais pas… - Comment ça tu ne sais pas ! Elle ne branche pas ?
- Oui bien sûr… mais… - Mais quoi ! Elle est mariée c’est ça ?
- Oui en quelque sorte… - Mais il ne faut pas ! À ton âge j’étais déjà de belle lurette l’amant de ma voisine mariée avec deux enfants.
- Et alors ?
- Et alors s’était l’extase ! Dit moi tu t’ais branler en fantasmant sur ma femme.
- Je ne sais pas si je dois… - Tout est permis. Tiens pour revenir à ma voisine, un jour j’ai attendu pour qu’elle aille cherchait son courrier pour entrer chez elle. Et comme son appartement était identique au mien j’ai tout de suite trouvé la salle de bain et par la même occasion le panier de linge sale. J’ai fouillé pour trouver une culotte d’elle. Je l’ai fourré dans la poche et je me suis empressé de ressortir. Heureusement pour moi elle poussait la discussion avec je ne sais qui. Je te laisse deviner ce que j’ai fait avec la culotte.
- Oui, j’imagine… - Ça t’arrive de faire la même chose.
Comme il restait mué, je l’ai poussé.
- Deux fois… oui. Me murmurait-il.
- Il n’y a pas de honte. En prend le plaisir où il est ! Non ? Tu n’ais pas d’accord avec moi ?
- Oui.
- Tu préfères l’odeur de la chatte ou du cul ?
- De la chatte.
- Le cul ne t’aime pas.
- Non !
- Attends moi là je reviens.
À mon retour j’avais en main une culotte en tulle marron de ma femme.
- Regarde moi celle-là, elle n’est pas bandante ?
- Oui… - Touche un peu comme le tissu est doux.
- Effectivement !
- Prend-la, vas-y !
Il la prit entre ses mains la scrutant.
- Je t’invite à la porter à tes narines !
- Je ne sais pas si je dois !
- C’est moi qui te le dis. Tu verras-tu ne le regrettera pas.
Et il s’exécuta.
- Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ?
- Ça sent la pisse.
- Tu veux dire que ça pue sa moule oui ! Sa grosse moule poilue ! Tu aimes les chattes poilues. Qu’est-ce que je peux être con. C’est vrai que tu n’en as jamais vue.
Et comme il ne disait toujours rien, j’ai ajouté.
- Cela te dirai t’en voir une ? Celle de ma femme.
- Vous m’embarrassez là monsieur.
- Mais c’est moi qui te le propose.
- Alors si cela viens de vous, pourquoi pas.
- Bon ! Voilà comment on va si prendre… Et je me mis à lui expliquer ce que je voulais qu’il fasse. Le soir même après dîner je proposais à ma femme d’aller se poser près de la piscine. Je m’étais saisi du caméscope et elle avait tout de suite pigé.
- Tu veux peut-être que je me fasse belle !
- S’il te plaît, oui ! Tu me rejoins ?
Elle me rejoignit en déshabiller transparent noir. Dessous elle portait une parure de bas fixé à une porte jarretelle aux pieds des mules à talons.
- Je te plais ?
- Encore plus qu’en tu auras retiré ton déshabillé.
- Mais si le voisinage me voit qu’est-ce qu’ils vont penser de Moi ?
- Que tu as ce que tu ais soit une grosse cochonne qui a envi de ce faire baiser.
- Pas si fort, on pourrait nous entendre.
- Qui veux-tu à dix heures du soir ce trouve encore dehors.
- On ne s’est jamais !
- Ce sera alors pour lui pour bonne occasion pour se donner un plaisir. Aller maintenant retire ta merde que je filme ta chatte.
Sitôt dit, sitôt fait. Je lui fis faire quelques pas pour que le gamin derrière la haie se rince les yeux.
- J’espère que je te fais bander ?
- Viens voir de toi-même.
Elle ne ce l’ait pas fait dire une seconde fois. Se jetant sur moi comme la famine sur le monde. Satisfaite par ce qu’elle voyait elle me prit pris en bouche pour me donner encore plus de volume. Mais ce soir je voulais éblouir notre spectateur. Je voulais lui en mettre plein les yeux. Je fis pour cela allongé ma femme sur le dos sur la table du jardin. Sa tête retombant dans le vide. Je me penchais au-dessus d‘elle, agrippant ses cuisses pour les faire reposer sur mes larges épaules, je plaquais mes mains sur ses fesses et l’attirai à moi, me redressant en s’entrainant avec moi. Elle faisait son poids ! Nous étions, alors en position 69, moi debout, elle la tête en bas, la bouche à hauteur de ma queue. Je me déplaçais de quelques pas en direction du grillage. Pour être au plus près des yeux du voyeur. Ma femme en grande gourmande comme elle l’était, me prit en bouche, alors que je posais la mienne au contact de son sexe. Comme toujours elle a jouit la première. Deux fois à ce que je me souvienne. Puis j’ai éjaculé dans sa bouche. Elle m’a bu jusqu’à la dernière goutte. Quand tout fut terminé, je me suis approché de la table et délicatement je l’ai posé. Cela valait bien que j’arrose cela ! Le temps d’allais chercher une bouteille de champagne et deux coupes, elle avait repassé son déshabiller.
- Tu as pris le caméscope pour rien ? Me fit-elle.
- Quand je te dis qu’il nous faudrait une partenaire ? Fis-je en faisant sauter le bouchon.
- Tu sais que le jeune voisin à le béguin de toi. Lui ai-je lancé en lui tendant la coupe.
- Comment tu sais ça, toi ?
- A la manière qu’il a de te regarder.
- Ah oui !
- Cela te fait plaisir ?
- Nous les femmes, aimant qu’on nous regarde.
- En voilant un puceau intéressant.
- Tu ne vas pas me remettre cela !
- Je ne pense qu’à ça. Si tu veux savoir. Je me masturbe même en y pensant.
- Je vais y réfléchir.
- Avoue qu’il est bien ?
- Oui ça va !
- Tu l’imagines venir te rendre une petite visite à la maison et là hop ! Il s’en voit en l’air.
- Mais Alain tu rêves ! Il ne sera incapable de faire cela. C’est un grand timide.
- Il faut toujours se méfiait des timides, ma chérie. Répond maintenant à ma question, tu te laisserais faire.
- Je ne sais pas ! Si je suis excité pourquoi pas !
- Tu es toujours excité ma chérie. Imagine qu’il possède dans son pantalon une grosse queue.
- Arrête Alain tu me fais saliver.
- Je suis sûr qu’il a une belle queue, moi. Je compte sur toi pour te renseigner.
- D’accords ! Baise-moi maintenant !
- A une condition !
- D’accords, mais baise-moi.
- Mais je ne te l’ai pas dit !
- Je suis devins.
- Alors c’est oui ?
- Si il a une belle queue, sans problème.
- J’espère qu’il t’écoute.
- Et pourquoi il écouterait. Il doit faire dodo à cette heure.
- Viens t’asseoir sur ma queue !
- Chouette !

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