Je continue - je veux découvir

- Par l'auteur HDS Sofi -
Récit érotique écrit par Sofi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 6 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Sofi ont reçu un total de 35 270 visites.
Récit libertin : Je continue - je veux découvir Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 480 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Je continue - je veux découvir
Cela faisait plusieurs semaines que ma vie de comptable et d’épouse modèle étaient revenues dans une routine quotidienne, une sorte de léthargie.
J’avais moins de périodes de remords. La résilience faisait son effet.
Mon esprit était plus serein sur bien des points mais je sentais qu’un manque commençait à pointer le bout de son nez.
Plus de jeux ni de pression de la part de ma hiérarchie, plus d’adrénaline et ce questionnement obsédant : « aurais-je déçu ? » pourtant rien au départ des aventures précédemment contées ne laissait présager que j’allais y prendre autant de plaisir.
De fait, c’est un peu moi qui pris l’initiative de ce qui allait suivre en allant voir mon supérieur.
En effet j’ai attendu un midi et la sortie de tous mes collègues pour me rendre dans le bureau d’Arnaud.
- Bonjour puis je me permettre une question ? Est-ce que je n’ai pas été à la hauteur de vos attentes lors de la vente de l’immeuble où nous nous sommes rendus à plusieurs ?
Je ne savais pas trop comment aborder le sujet. C’est donc sous un prétexte mercantile que je faisais allusion à nos ébats débridés, au chantage dont j’avais fait l’objet.
Ce qui m’embêtait le plus était le fait que je savais que j’y avais pris beaucoup de plaisir et que l’envie de nouveaux scénarios me tenaillait. Je ne pouvais l’aborder directement, mon éducation pudibonde s’y opposait et pourtant mes sens, mon ventre demandaient une suite à ce que j’avais vécu plus ou moins contrainte.
- Non Sofi mais une chose promise est une chose due tu as gagné ta sérénité et je ne vais pas abuser car tu as été parfaitement à la hauteur.
En qualité de comptable tu n’as pas à me poser la question car tu sais très bien que tes démarches nous ont aidées à engranger une très belle plus-value.
Toutefois il me semble que tu y as pris plaisir aussi – en tout cas cela a été le ressenti de tous.
Je ne pouvais qu’approuver ce que l’on me mettait en évidence. J’avais pris énormément de plaisir à découvrir d’abord forcée puis beaucoup plus conciliante des choses encore inconnues pour moi. Rien qu’à l’évocation et à la pensée je me sentais fondre et cela devait se voir car mon supérieur me regarda avec plus d’insistance. Je sentais que mon bas ventre commençait à s’humidifier.
- Je ne peux nier avoir pris du plaisir à être votre soumise durant ces tractations, certes j’ai découvert, pour vous obéir des choses jusque-là inconnues et vous y avez été gagnant. De mon côté le plaisir a été au rendez-vous et je ne me l’explique pas.
- Il n’y a rien à comprendre Sofi, je vous ai aidé ou forcé, à aller plus loin dans vos plaisirs physiques. Voudriez-vous que nous explorions ensemble d’autres pistes et que d’autres scénarios vous soient proposés ? Mais si c’est le cas cela sera de votre propre gré et je n’accepterai aucun pas en arrière une fois que j’aurai eu votre aval préalable. Je vous laisse y réfléchir et revenir vers moi si c’est votre désir.
Vous aurez 1 mois d’essais durant lequel votre abandon à mes ordres et fantasmes sera toujours évalué – le CDI du plaisir ne dépendra que de vous.
Si vous échouez, je vous le dis, ce sera sans retour possible et j’aurais avec vous une attitude courtoise mais vous n’aurez rien d’autre à attendre.
En quelques mots, il venait de m’avilir.
Je devais si je voulais être à nouveau sous son emprise, revenir vers lui et l’implorer de m’exposer à mes envies et fantasmes inavoués.
Après une nuit de turpitudes, pensées que la morale réprouve, durant laquelle mon cerveau mais également mon bas ventre était en ébullition, je me suis présenté à Arnaud.
Mes collègues venaient de quitter les locaux pour profiter de leur pause méridienne. Nous restions seuls dans les locaux.
- Arnaud, après réflexion, j’accepte d’être votre soumise. Si vous voulez bien je me livrerai complétement et j’espère que je serai à la hauteur de vos attentes. Je sais que je devrais vous obéir et que je vais être obligée de me lancer dans des démarches et jeux sexuels auxquels je n’aurais jamais cru pouvoir participer.
Avant de m’engager faites-moi quand même la promesse de veiller a ce que je ne sois pas exposée et donc ma famille à des risques sanitaires majeurs.

- Il est certain que moi ou certains de mes amis te prendront à cru mais dans ce cas j’aurais effectué toutes les vérifications qui s’imposent. Je vais te faire explorer beaucoup de choses. Je vais te faire tomber en décadence pour ton plaisir. Demain tu viendras avec un sac contenant talons aiguille, mini-jupe, corsage boutonné. Tu prends de quoi te remaquiller. Ta journée est finie et tu je te donne 200 € pour prendre soins de toi cet après-midi. Préviens ton mari que demain soir tu restes avec moi et des clients pour finaliser une belle affaire. Demain matin je ne serai pas là. Tu me finalises le dossier de rachat du restaurant sur Barbizon.
Le lendemain comme convenu je suis arrivée avec une jupe tailleur assez courte et légèrement fendue sur le côté, je portais des talons assez haut et mon corsage blanc.
La matinée s’est déroulée de façon très studieuse et j’ai finalisé la revente d’un estaminet. Le nouveau propriétaire était relativement jeune. Je l’avais déjà vu à l’agence, un beau gosse un peu sur de lui et il reprenait une affaire que des anciens avaient fait fructifier mais qui permet de sa notoriété depuis quelques années. La clientèle du midi était principalement composée de commerciaux ou employés de passage et aussi quelques chauffeurs. Le soir le cuisinier, et co-gérant, proposait une carte sympathique mais les clients se faisaient plus rares. Outre l’établissement, des investissements dans une extension étaient prévus. Des alcôves étaient prévues dans cette partie de l’extension et allaient permettre de se sustenter en toute intimidité.
Le maitre d’œuvre avait déjà rendu sa copie, la banque également et nous allions clôturer cette affaire ce soir.
Un repas était prévu où nous serions dans un premier temps avec le cuisinier, le gérant et une future employée de salle. Le maitre d’œuvre devait nous retrouver dans le courant de la soirée.
Vers 18 heures, j’ai passé un appel à mon mari lui confirmant que je ne pourrai pas rentrer de bonne heure. J’étais rassurée, il avait récupéré les enfants et se trouvait bien occupé au foyer.
Arnaud est arrivé vers 18h30, nous avons fait le point au niveau administratif puis il m’a demandé d’enlever 2 boutons à mon corsage.
Nous avons quitté Milly la Foret pour nous rentre dans le village des peintres, Barbizon étant connu pour être très prisé des barbouilleurs de toiles. Durant le trajet Arnaud m’a indiqué que le futur gérant était de ses connaissances et qu’il avait montré toutes les garanties nécessaires me laissant ainsi dans l’expectative, voulait-il parler business a des ébats qui semblaient au programme.
A notre arrivée nous avons été reçus par le cuisinier. Le gérant prénommé Alexandre étant parti chercher la future serveuse. Le cuisinier, Baptiste, nous a indiqué qu’il était heureux de reprendre l’affaire avec Alexandre. Ils pensaient refaire fructifier l’affaire en lui mettant dixit « un coup de jeune ».
Je voyais bien son regard sur mes cuisses et mon patron m’avait fait signe de ne pas croiser les jambes mais au contraire de laisser accessible aux regards le début de mon intimité. Baptiste ne s’en privait pas.
Ils m’ont demandé mon avis sur le restaurant et il est vrai que l’établissement avait besoin d’être remis au gout du jour.
Lorsque Alexandre arriva il était accompagné d’une très belle femme d’une trentaine d’année. Il nous présenta Sylvie et spécifiant que celle-ci allait être la serveuse du restaurant et que lui et Baptiste espérait qu’elle saurait rendre les lieux attrayants. Pas besoin de beaucoup d’explications pour comprendre ce qu’ils attendaient d’elle. Arnaud de son côté m’avait demandé dans la voiture de toujours le vouvoyer et de toujours valider ce qu’il allait me demander, comme convenu dans notre contrat moral, en l’appelant systématiquement « Monsieur ».
Après quelques palabres, Arnaud me désigna Sylvie comme étant une nouvelle soumise de son cercle d’ami(e)s et m’indiqua que je devais lui montrer l’exemple.
- Bien Monsieur et que voulez vous que j’enseigne à Melle Sylvie ?
- Nous allons nous mettre à l’aise pour discuter et Sylvie va commencer par te déshabiller. Je te veux en bas, string et talons.
Sylvie me regarde et hésite, ne sachant que faire.
- Viens, j’obéis à Monsieur et si il me le demande, ce sera un plaisir pour moi. Je sens que je commence déjà à m’habituer à ce que je suis venue chercher, ma soumission et ma découverte de mes fantasmes.
Elle hésite puis s’approche de moi. Plus personne ne parle. Elle commence par déboutonner mon corsage. Je sens mon souffle plus court et mon rythme cardiaque augmenter. Le plaisir psychologique est au rendez-vous. Je retrouve les sensations que j’avais eu lors de mes premières dépravations sous chantage. Cette fois c’est moi qui suis demandeuse. J’éprouve déjà du plaisir physique lorsque mes tétons sont frôlés par le tissu. Ils sont gonflés et turgescents. Ma jupe suit le même chemin que mon haut et finie sur une banquette du bar. Je me retrouve nue, les joues rouges et toute émoustillée mais je sais que je ne dois rien faire d’autre que d’obéir. Suivant les indications qu’Arnaud me donne, je me retrouve assise à ses côtés, face à Baptiste et Alexandre, nos clients.
Le dossier d’acquisition est sorti et je dois expliquer le montage financier que j’ai élaboré. Alexandre ordonne à Sylvie de se mettre dans la même tenue que moi et y rajoutant un tablier de serveuse. J’apprends qu’elle aussi débute dans la soumission mais qu’elle a deux maitres à savoir ses futurs employeurs.
Elle revient dans la tenue qui lui a été indiquée chargée de rafraichissements. Batiste lui ordonne de s’assoir à nos côtés pour discuter de l’avenir de l’établissement et des engagements qu’ils vont prendre.
J’apprends qu’elle devra servir le midi dans une tenue sexy mais convenable. Le but est de faire revenir un maximum de clients qui viendront pour se restaurer mais aussi jouir d’une belle et aimable serveuse dans un établissement complétement rénové. La carte est évoquée et j’avoue que les mets sont alléchants. L’extension et ses alcôves doivent permettre d’intimiser les lieux pour les commerciaux qui auront pris une chambre mais aussi pour les couples qui désireront s’isoler un peu pour ce que bon leur semblera. Enfin il est prévu que cette partie du restaurant puisse être privatisée pour des soirées à thèmes. Sylvie s’engage à servir dans ce cas, dans la tenue qu’elle porte actuellement. La région ne possède pas d’endroit libertin et il s’agit ici de proposer une prestation originale où les plaisirs de la chaire seront mis en exergue.
- Sylvie, passe sous la table lui lance Baptiste, et va sucer Arnaud.
Elle se met à quatre pattes et avance vers mon patron qui reste stoïque.
- Tu es une belle coquine toi. On voit que tu aimes la bite.
Sylvie faire signe que oui en hochant de la tête. Car elle vient de prendre Arnaud en bouche. Elle lèche le gland gonflé et enfourne la queue à sa disposition. Elle fait couler de la salive. Elle suce avec avidité le membre de mon supérieur. Pour ma part je dois expliquer les modalités administratives et les montages financiers avant que le banquier arrive et cela en ayant les doigts d’Alexandre qui viennent prendre possession de mon sexe et celles de Baptiste qui jouent avec mes tétons. Je mouille énormément.
L’atmosphère change peu à peu et nous sommes tous très émoustillés mais je me dois de répondre aux exigences de mon Maitre et continuer vaille que vaille à expliquer mes travaux.
- Viens prendre le relais de Sylvie.
L’ordre fusse et je ne me fais pas prier. Je prends la bite en bouche et m’évertue à procurer un maximum de plaisir à mon responsable d’agence. Sylvie de son coté se retrouve à quatre pattes, Alex est sur le dos la queue bien droite et les jambes repliées. Baptiste se positionne derrière elle. Il lui indique qu’il va la sodomiser et qu’elle doit sucer le vit d’Alex tout en lui léchant les bourses. Elle s’applique tout autant que moi. De longs filets de bave descendent de la tige et sa langue passe du méat à la base des couilles.
- Continues et mets dans langue dans son anus. Tu vas me le préparer que je puisse l’enculer à son tour.
Malgré une réticence que je remarque, je vois ma consœur positionner sa langue à l’entrée du cul d’Alex et l’insérer peu à peu. Elle ne manque pas de saliver un maximum pour faciliter la lubrification tandis que Baptiste lui de son coté force son œillet. Elle semble souffrir un peu au début mais très vite ce sont des râles de plaisir qui se font entendre. Elle monte la salope et cela me fait également partir dans la jouissance. Je me retourne vers elle et l’embrasse à pleine bouche. Un léger gout acre se révèle mais je n’en n’ai cure et je continue de l’embrasser et lui pétrir les seins.
Arnaud lui titille le clitoris et j’entends Sylvie qui monte dans les tours « baissez moi à fond ».
Baptiste vient vers son acolyte et l’encule. Sylvie de son coté se positionne sur la queue bien rigide d’Alexandre et ils ont ainsi tout deux le même tempo que leur impose Baptiste.
Sur les indications d’Arnaud j’approche ma chatte de la bouche d’Alexandre et ce dernier va directement titiller mon bouton d’amour déjà bien gonflé. Sylvie est derrière moi, elle se penche et vient maintenant lécher ma rondelle. Je sens sa langue fouiller mon fondement et je prends un plaisir indéniable à savoir que ce ne sont que les prémices d’une belle soirée qui s’annonce. Arnaud profite à nouveau de ma bouche et je sens les premiers soubresauts du plaisir. Il se raidit et m’asperge le fond du gosier d’une abondante dose de sperme. Je me régale.
Baptiste pense me gratifier en m’assenant quelques coups de cravaches mais Arnaud intervient :
- Ne la marquez pas. Son cocu de mari ne connait pas ses activités et j’ai bien d’autres étapes à lui faire découvrir avant qu’elle sache si elle veut continuer et lui dévoiler d’autres activités ou si elle veut rester une comptable coquine et libertine mais sans pouvoir accomplir tous ses fantasmes.
Baptiste vient de se lâcher dans l’anus. De longs filets de sperme font leur apparition lors de la sortie de sa queue qui commence à se ramollir. Je dois, sur ordre, immédiatement reprendre son sexe en bouche pour le maintenir en état de nous saillir. Le gout est encore plus prononcé que lorsque ma langue est venue chercher celle de Sylvie. De son coté Alexandre lui demande de nettoyer toutes les traces de la saillie. Elle s’applique et l’on constate que son activité procure, à celui qui en bénéficie, beaucoup de plaisir son sexe est toujours bien droit et la mouille de Sylvie bien visible sur la colonne de chaire. Elle doit maintenant, fesses écartées, s’assoir sur ce bel instrument de plaisir. Le passage ayant déjà été bien dilaté par Baptiste elle obtempère rapidement.
En quelques coups de reins, Alexandre se libère et c’est moi qui hérite de la mission de laisser place propre. Ma langue vient chercher la rondelle et je m’applique à absorber tous les reliquats de ce coït. Mes doigts viennent titiller le clitoris de Sylvie qui part en fontaine et là aussi on m’enjoint de tout nettoyer. Je ressors le menton visqueux mais heureuse de découvrir d’autres faces de ma soumission. Je sens que je vais encore me régaler sous le joug d’Arnaud.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci Sofi pour cette histoire passionnante où l'on aime à "particiter" à la soumission, d'une épouse piégée par son patron, puis consentante et demandeuse.
J'attends la suite où sont patron la livrera à des inconnus lors de dogging plus brûlant les uns que les autres.

Histoire Libertine
On n’a pas d’esprit étriqué. Vous prenez votre mari pour 1 con et délaissez vos enfants.
Votre mari devrait prendre vos enfants et se barrer.



Texte coquin : Je continue - je veux découvir
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Sofi

Je continue - je veux découvir - Récit érotique publié le 29-12-2024
epilogue du piège - Récit érotique publié le 19-03-2024
Le piège presque fin - Récit érotique publié le 08-02-2024
le pieghe suite - Récit érotique publié le 29-01-2024
le pieghe - Récit érotique publié le 26-01-2024
Mon premier "dérapage" - Récit érotique publié le 15-10-2023