Je croyais me connaitre - histoire érotique

Bonjour;Je suis Florence, une jolie femme de 46 ans, 1m68 pour 57 kg, cheveux châtains méchés en blonds yeux marrons. Mariée, Sage, sans histoire, je possède deux salons de coiffure. Plutôt BCBG je suis fière de moi et de ma réussite ...
j'ai conté récemment mes aventures pour faire venir une nouvelle clientèle masculine dans mes salons. Je vous raconterai prochainement en détail ma dernière idée. Une journée hawaïenne où moi et mes deux assistantes étaient habillées de paréos légers, pieds nus, sans soutiens-gorge et juste un string. Pour l'anecdote Judicaël, une jolie jeune femme blonde de 25 ans qui travaille depuis 2 ans chez moi, avait oublié son string et comme il était hors de question de mettre sa culotte qui marquait ... imaginez la suite.
Mais aujourd’hui je voulais vous détailler un autre aspect de ma vie. Je suis une Femme sérieuse et rangée, mais il y a un an, comme un jeu sans conséquence, je suis allé sur un site de dialogues et me suis fait passer pour une soumise. Je me suis beaucoup amusé à jouer celle que je ne suis absolument pas avec de faux dominants. Puis un jour je suis tombé sur un vrai Maître. J'ai tout de suite senti la différence, son autorité naturelle, sa parfaite connaissance des femmes et de nos petits secrets. Il n'y avait pas de doute il n'était pas là pour jouer. J'aurai dû immédiatement cesser tout contact, je n'ai pas une nature de femme faible et soumise. Mais j'ai voulu voir ou cela me mènerait, bien certaine que je fixerai mes limites et m'y tiendrai.
Dès le début je l'ai prévenu, il ne me verra jamais en réel, il ne verra jamais mon visage et ne saura jamais rien de ma vie privée.

C'était il y a un an, comme j’étais prétentieuse à cette époque, comme je me connaissais mal finalement. ….. En un mois je lui avais confié mon adresse mail personnel, mon prénom, mon âge, le prénom de mon mari et de mes enfants, les noms de mes assistantes et tant d'autre détail intime.
Il m'a même rebaptisé et il m'appelle « Sa truie » ... et je l'avoue, j'aime ça.
Il a ensuite voulu des photos de moi ... et je les aie faite. Des photos en gros plan de mes seins, de mes fesses et … oui, de mon sexe. Pour lui plaire j'en ai même faites au salon. Un jour habillée avec un bustier, une jupe noire courte, des bottes hautes et des dims-up, j'ai attendu la fermeture et une fois tout le monde partie, je me suis couchée sur les banquettes, j'ai enlevé ma culotte, j'ai relevé ma jupe, écarté grand les cuisses et en tenant mon appareil à bout de bras j'ai photographié mon entre jambes. De ma main libre j'ai même écarté les lèvres de mon sexe pour lui montrer ma soumission. Moi la femme BCBG si stricte... Vous imaginez ????
Puis il a voulu des photos de mon visage. Là c'est NON ! Je me suis jurée de ne jamais le faire. C'est trop personnel. Tout cela n'est qu'un jeu et je ne suis pas d’une nature soumise. Enfin, je le croyais, car bien sûr … je lui aie envoyé des photos de mon visage. Une première, puis deux, puis trois, puis plein de photos prises par mon mari, mes amies, la famille. Certaines photos sont même prises parce que je veux les faire pour lui …Et puis hier … il m'a demandé une photo de moi... avec mon visage et … aucun vêtement.
Je n'ose pas, c'est trop dur.

Mais aujourd'hui entre midi et deux j’étais seule à la maison. Et si je la faisais cette photo ? juste la faire mais ne pas l'envoyer. Je me suis alors mise nue dans la salle de bain. Je me suis regardé dans le miroir en pieds. Ce miroir et cette lumière ne trompent pas et je me suis regardée sans complaisance. J'ai encore de jolie forme, mes seins sont encore fermes et après quelques pressions mes tétons pointes joliment. Mon ventre est resté plat, j'ai des hanches accueillantes et de jolies jambes ainsi que de jolis pieds. Seule mes fesses sont moins rebondies qu'avant et je déplore un peu de cellulite. Il faudra que je me photographie de face, c'est tout. Mon regard revint sur mon sexe, je le touche, je l'ouvre, je joue avec maïs je n'ai pas d’avis, jolie? pas jolie? Je n'ai aucune tendance lesbienne, alors si je me réfère à mon mari et aux 2 hommes qui l'ont précédé, il doit être jolie. En tout cas c'est ce qu'ils disaient. Je les revois encore, leurs têtes entre mes jambes, me léchant la chatte ( que j'avais encore poilue à l'époque) avec plus ou moins de talent et disant entre deux coups de langue -hum comme c'est bon !-. Moi aussi je disais que c'était bon, alors qu'en fait je n'ai jamais vraiment aimé cela. Par contre j'ai toujours bien aimé sucer leur queue. Je l'avoue ! Finalement je n'en ai sucé que trois différentes mais toujours avec plaisir. Mon seul regret et de ne pas en avoir sucé plus de différente, car aujourd'hui celle de mon mari j'en ai vraiment fait le tour et c'était de loin la plus petite des trois Lol ! .. et surtout je regrette de ne pas avoir pompé un mec jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche, mon mari ne veut pas et je ne vais quand même pas payer un homme pour ça... … peut-être un jour, Celui qui est devenu mon Maître ?... … Mais je m'égare . Je reviens à ma chatte... c'est décidé, je vais faire cette photo pour mon Maître. Je me coiffe, je me maquille, je me fais belle pour lui, je choisis une chemise longue noire à manches courtes que j'enfile sans la fermée. Je déambule dans la maison à la recherche du meilleur endroit. Je choisis finalement le canapé, pose l'appareil sur la table du salon, règle le minuteur . C'est partie ... je cours au canapé, m'allonge, écarte ma chemise découvrant mes seins, mon ventre, mon sexe, mes cuisses. Au dernier moment j’enlève mes chaussures pour être plus sexy, je regarde l'objectif et je sourie à mon maître ... heureuse de me dévoiler... c'est si simple finalement. Je vais voir le résultat. C'est joli. J'oublie tout, je me sens belle, je fais une deuxième série. Je retourne au canapé. Finalement pourquoi cette chemise, je l’enlève, je veux qu'il me voie nue. Je m'allonge, j'écarte les jambes cette fois … puis je porte les mains entre mes cuisses … je pose mes doigts sur ma chatte et en souriant à l'objectif j'ouvre les lèvres de mon sexe et montre toute mon intimité à l'objectif ….
je n'ai pas vu le temps passer, je dois retourner au salon, je plane ... les photos sont là maintenant, sur mon appareil … que faire ... vais-je osée les lui envoyer? … je m'habille vite. Au moment de partir je croise mon mari qui arrive à l'improviste, il dit – tu es encore là, ça va? -. Moi – oui très bien à ce soir chéri -... je file, je n'ose pas le regarder dans les yeux … il y a un instant j'appartenais à mon Maître, à celui pour qui je ne suis qu'une truie... et j'ai terriblement aimé ça... vais-je osée lui envoyer ??? ...