Je découvre ma jumelle ! (1)
Récit érotique écrit par Rominet [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Rominet ont reçu un total de 12 628 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 12 628 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Je découvre ma jumelle ! (1)
Je m'appelle Steve j'ai 20 ans et j'ai une sœur jumelle qui s'appelle Marie (nos parents étaient fans de McQueen et de Johnny).
Nous sommes seuls chez nous, comme tous les six mois, nos parents ont coutume d'aller visiter la famille, alors que nous avons cours a la FAC.
Fans de moto Marie et moi avons chacun la nôtre, une modeste "six cents" centimètres cube.
Nous nous rendons à la FAC en moto (sauf quand il pleut) et quand nous avons un créneau de libre nous faisons une balade au moins hebdomadaire voire un peu plus.
Nous habitons Toulon et plutôt que la cote, surfaite et surbookée dès qu'il fait beau, nous allons dans l'arrière-pays, Pierrefeu, La Mole, Cogolin, etc…
Ce jour-là nous nous baladons vers La Mole, lignes droites sympa et virages agréables en roulant cool. Il fait chaud, même en moto, on décide de s'arrêter pour se rafraichir. Le renfoncement ou nous sommes est assez étroit, je passe derrière la moto pour prendre une gourde dans le top-case, la terre sous mes pieds est un peu meuble, je pars a la renverse, geste stupide je me raccroche au top-case : "tout le monde descend" !
Je me retrouve sous la moto un bras sous moi pour amortir le choc, j'ai des jeans, mais le pot est chaud, puis je commence a avoir mal au poignet et à la jambe, pas seulement à cause du pot.
Ma sœur m'aide, avec l'énergie du désespoir je pousse la moto vers le haut, ma sœur la tire et la "six cinquante" s'arrête sur la béquille latérale qui s'enfonce un peu.
J'ai de plus en plus mal, ma sœur appelle le SAMU, au bout d'un temps qui me semble une éternité, l'ambulance est là.
Les premiers soins : jean déchiré au ciseau pour voir la brulure pas hyper grave en fait, mais la jambe semble cassée tout comme le poignet droit.
Pendant le trajet un docteur fait les premiers soins après m'avoir donné des anti-douleurs et les infos par radio a son centre.
Ma sœur restée sur place, a contacté l'assurance pour rapatriement de la moto vers Le garage. Puis elle rentre faire les formalités.
On m'emmène à l'hôpital Sainte Anne (enfin le nouveau) ce qui me rappelle que l'ancien est bien connu d'un membre de ma famille (Gilbert, plus très jeune). Ma sœur prévenue vient me rejoindre, je la rejoins dans la chambre qui m'est attribuée, ou on me garde jusqu’à demain matin.
Résultat : brulure au deuxième degré à la jambe droite qui est cassé au niveau du tibia et poignet droit fracturé (c'est ballot je suis droitier). :
- Si on s'était arrêté sur un renfoncement goudronné tout cela ne serait pas arrivé, dis-je en colère.
- Mais ce n'est pas de ta faute, il faisait chaud on s'est arrêté au premier endroit trouvé, tu n'es pas responsable !
- Eh bien je suis beau, handicapé pendant des semaines ! Heureusement que Lundi c'est les vacances d'été, c'est toujours ça. Et toi tu dois partir 10 jours en vacances avec tes ami(e)s.
- T'inquiété… j'annule mes vacances, je ne peux pas laisser mon frérot dans cet état !
La nuit se passe tant bien que mal, une ambulance me ramène à la maison, ma sœur rentrée la veille au soir m'attend.
J'ai du mal à marcher avec une béquille, j'arrive avec l'aide de Marie à m'assoir sur le canapé un pouf sous le pied droit.
Je veux me mettre à l'aise, je tente d'enlever le T-Shirt a moitié enfilé et d'enlever le vêtement bleu en tissus de l'hôpital afin d'être torse nu et en boxer. Mais… seul ce n'est pas facile.
Marie me donne un coup de main, on enlève le T-shirt, on déchire, plus qu'on enlève, le vêtement papier de l'hosto et … je suis nu ! je mets ma main valide sur mon sexe ! Marie éclate de rire !
- Qu'est-ce que j'ai fait de si marrant ?
- Ohh rien, mais ton geste est amusant, on s'est vu tellement de fois nus, dans nos chambres, dans la salle de bain, a la piscine, que ton geste pudique m'a fait rire !
- D'accord mais ce n'était pas le même contexte, et là tu n'es pas nue, mais très sexy, ton top tank moulant et ton mini short qui laisse voir le creux sous tes fesses … Heuuu
- Ah ça te donne des idées, il n'y a qu'a voir ton sexe qui grossit. ! Mais ce n'est pas grave ! Attends je vais te masser !
Ajoute Marie en s'asseyant a coté de moi… (du coté de la jambe valide !). Elle se penche, love sa tête dans mon cou et pose sa main sur ma cuisse.
- Il y a longtemps que l'on ne s'est pas fait un câlin Steve !
- Eh bien oui, depuis notre adolescence je crois, mais en ce temps c'était innocent, même si j'avoue que j'avais certaines envies.
- Ahh bon ? et pourquoi je l'as-tu jamais dit ou fait comprendre ?
- Nous sommes frère et sœur, ce n'est pas très conventionnel, j'avais peur de ta réaction !
- J'avais les mêmes envies, mais comme tu ne réagissais jamais, j'avais peur que tu te fâches ou que maman et papa s'en aperçoivent !
Marie se lève, enlève le haut et le short :
- Ainsi nous seront à égalité, nus tous les deux !
Elle se love à nouveau, sa main sur ma cuisse et commence a me masser du coté du plâtre, sa main est douce, elle va du genou au haut de la cuisse... Ses tétons sont durs, ils pointent, annonçant un désir montant.
Je bande de plus en plus. Je pose ma main sur son cou et le caresse, je me penche ses cheveux sentent bon, ils caressent le dos de ma main, et je sens son parfum. Mes caresses sont plus précises, ma main descend le long de son dos, sa peau est douce, je caresse le coté de son buste, le coté d'un sein, je passe un doigt sur son téton qui bande. Je le frotte, Marie gémit de plaisir, elle se penche, elle me masse ou plutôt caresse ma cuisse tout en léchant mon gland, elle titille le méat, je soupire de plaisir.
Je caresse le bas du dos, puis une fesse, elle soulève légèrement le bassin, je passe un doigt sur son petit anneau brun, elle a des soubresauts… elle gémit très fort :
- Ohhh ouiii personne ne m'a jamais fait ça, je voulais que ce soit toi, mon souhait est exaucé… mmmmm ouiiii c'est bon !
Elle suçote mon gland, lèche tout autour, puis elle fait ses lèvres rondes et avance lentement la tête en me tenant la base de la queue…. Mmmm que c'est bon de pénétrer cet antre humide doux !
Marie se lève, j'ai peur qu'elle ait du regret ou que quelque chose ne lui ait pas plu !
- Mais nooonn au contraire, je veux tout faire avec toi, je n'ai pas fait grand choses aves les rares mecs que j'ai eus ! Je veux te branler avec la bouche et que tu me donnes ton sperme à boire ! je veux que tu me prennes, que tu me fasses l'amour et heuuuu je veux que tu me baises… que tu me prennes le cul... tout… je veux tout !
Marie se met à genoux, avec prudence, entre mes jambes elle reprend ma bite en main, me lèche, tout le long de la hampe, me suce le gland, puis engloutit ma queue et me suce comme si sa vie en dépendait.
Je ne peux que lui tenir la tête pour accompagner la cadence, et puis je caresse ses nichons, je tire doucement sur ses tétons en les roulants entre mes doigts, nous gémissons, nous soupirons, je sens une onde partir des jambes et monter vers le ventre, je me contracte… je jouis dans la bouche de ma sœur ! Elle me pompe jusqu’à la dernière goutte, me nettoie la bite et vient se rassoir a coté de moi et se love à nouveau.
- Je veux te lécher le vagin Marie, mets-toi debout sur le canapé, les jambes de chaque coté de moi, avance le bassin vers ma bouche et tiens-toi à ma tête.
Ce quelle fait. J'ai sa chatte devant moi, les lèvres gonflées par le désir, elle est trempée, Je passe la main derrière une fesse, et la guide vers moi, ma bouche se pose sur les lèvres de la chatte, je l'embrasse comme si c'était une bouche, ma langue fouille l'intérieur de la fente, je suçote chaque lèvre, puis les deux, Marie gémit, ses jambes tremblent, ma langue atteint le clito, je le titille, Marie a des soubresauts, elle gémit plus fort, soupire, sa respiration est saccadée, je suce son clito de bonne taille, et je pénètre sa chatte avec deux doigts, moins bien adroit de la main gauche je fais de mon mieux. Je tente d'atteindre le point G en frottant au plus vers l'avant de son utérus, je pompe, suce, enserre son clito avec mes lèvres… Marie, crie elle l'orgasme l'envahit, elle a du mal a tenir sur ses jambes, la cyprine coule, son corps cesse de bouger elle se penche sur ma tête se tient a mon cou… attends quelques instants puis elle se rassoit a coté de moi. Elle tourne son visage vers le mien, nos lèvres s'unissent, nos langues se lient….
Puis lovés l'un contre l'autre, nous reprenons nos esprits.
Nous sommes seuls chez nous, comme tous les six mois, nos parents ont coutume d'aller visiter la famille, alors que nous avons cours a la FAC.
Fans de moto Marie et moi avons chacun la nôtre, une modeste "six cents" centimètres cube.
Nous nous rendons à la FAC en moto (sauf quand il pleut) et quand nous avons un créneau de libre nous faisons une balade au moins hebdomadaire voire un peu plus.
Nous habitons Toulon et plutôt que la cote, surfaite et surbookée dès qu'il fait beau, nous allons dans l'arrière-pays, Pierrefeu, La Mole, Cogolin, etc…
Ce jour-là nous nous baladons vers La Mole, lignes droites sympa et virages agréables en roulant cool. Il fait chaud, même en moto, on décide de s'arrêter pour se rafraichir. Le renfoncement ou nous sommes est assez étroit, je passe derrière la moto pour prendre une gourde dans le top-case, la terre sous mes pieds est un peu meuble, je pars a la renverse, geste stupide je me raccroche au top-case : "tout le monde descend" !
Je me retrouve sous la moto un bras sous moi pour amortir le choc, j'ai des jeans, mais le pot est chaud, puis je commence a avoir mal au poignet et à la jambe, pas seulement à cause du pot.
Ma sœur m'aide, avec l'énergie du désespoir je pousse la moto vers le haut, ma sœur la tire et la "six cinquante" s'arrête sur la béquille latérale qui s'enfonce un peu.
J'ai de plus en plus mal, ma sœur appelle le SAMU, au bout d'un temps qui me semble une éternité, l'ambulance est là.
Les premiers soins : jean déchiré au ciseau pour voir la brulure pas hyper grave en fait, mais la jambe semble cassée tout comme le poignet droit.
Pendant le trajet un docteur fait les premiers soins après m'avoir donné des anti-douleurs et les infos par radio a son centre.
Ma sœur restée sur place, a contacté l'assurance pour rapatriement de la moto vers Le garage. Puis elle rentre faire les formalités.
On m'emmène à l'hôpital Sainte Anne (enfin le nouveau) ce qui me rappelle que l'ancien est bien connu d'un membre de ma famille (Gilbert, plus très jeune). Ma sœur prévenue vient me rejoindre, je la rejoins dans la chambre qui m'est attribuée, ou on me garde jusqu’à demain matin.
Résultat : brulure au deuxième degré à la jambe droite qui est cassé au niveau du tibia et poignet droit fracturé (c'est ballot je suis droitier). :
- Si on s'était arrêté sur un renfoncement goudronné tout cela ne serait pas arrivé, dis-je en colère.
- Mais ce n'est pas de ta faute, il faisait chaud on s'est arrêté au premier endroit trouvé, tu n'es pas responsable !
- Eh bien je suis beau, handicapé pendant des semaines ! Heureusement que Lundi c'est les vacances d'été, c'est toujours ça. Et toi tu dois partir 10 jours en vacances avec tes ami(e)s.
- T'inquiété… j'annule mes vacances, je ne peux pas laisser mon frérot dans cet état !
La nuit se passe tant bien que mal, une ambulance me ramène à la maison, ma sœur rentrée la veille au soir m'attend.
J'ai du mal à marcher avec une béquille, j'arrive avec l'aide de Marie à m'assoir sur le canapé un pouf sous le pied droit.
Je veux me mettre à l'aise, je tente d'enlever le T-Shirt a moitié enfilé et d'enlever le vêtement bleu en tissus de l'hôpital afin d'être torse nu et en boxer. Mais… seul ce n'est pas facile.
Marie me donne un coup de main, on enlève le T-shirt, on déchire, plus qu'on enlève, le vêtement papier de l'hosto et … je suis nu ! je mets ma main valide sur mon sexe ! Marie éclate de rire !
- Qu'est-ce que j'ai fait de si marrant ?
- Ohh rien, mais ton geste est amusant, on s'est vu tellement de fois nus, dans nos chambres, dans la salle de bain, a la piscine, que ton geste pudique m'a fait rire !
- D'accord mais ce n'était pas le même contexte, et là tu n'es pas nue, mais très sexy, ton top tank moulant et ton mini short qui laisse voir le creux sous tes fesses … Heuuu
- Ah ça te donne des idées, il n'y a qu'a voir ton sexe qui grossit. ! Mais ce n'est pas grave ! Attends je vais te masser !
Ajoute Marie en s'asseyant a coté de moi… (du coté de la jambe valide !). Elle se penche, love sa tête dans mon cou et pose sa main sur ma cuisse.
- Il y a longtemps que l'on ne s'est pas fait un câlin Steve !
- Eh bien oui, depuis notre adolescence je crois, mais en ce temps c'était innocent, même si j'avoue que j'avais certaines envies.
- Ahh bon ? et pourquoi je l'as-tu jamais dit ou fait comprendre ?
- Nous sommes frère et sœur, ce n'est pas très conventionnel, j'avais peur de ta réaction !
- J'avais les mêmes envies, mais comme tu ne réagissais jamais, j'avais peur que tu te fâches ou que maman et papa s'en aperçoivent !
Marie se lève, enlève le haut et le short :
- Ainsi nous seront à égalité, nus tous les deux !
Elle se love à nouveau, sa main sur ma cuisse et commence a me masser du coté du plâtre, sa main est douce, elle va du genou au haut de la cuisse... Ses tétons sont durs, ils pointent, annonçant un désir montant.
Je bande de plus en plus. Je pose ma main sur son cou et le caresse, je me penche ses cheveux sentent bon, ils caressent le dos de ma main, et je sens son parfum. Mes caresses sont plus précises, ma main descend le long de son dos, sa peau est douce, je caresse le coté de son buste, le coté d'un sein, je passe un doigt sur son téton qui bande. Je le frotte, Marie gémit de plaisir, elle se penche, elle me masse ou plutôt caresse ma cuisse tout en léchant mon gland, elle titille le méat, je soupire de plaisir.
Je caresse le bas du dos, puis une fesse, elle soulève légèrement le bassin, je passe un doigt sur son petit anneau brun, elle a des soubresauts… elle gémit très fort :
- Ohhh ouiii personne ne m'a jamais fait ça, je voulais que ce soit toi, mon souhait est exaucé… mmmmm ouiiii c'est bon !
Elle suçote mon gland, lèche tout autour, puis elle fait ses lèvres rondes et avance lentement la tête en me tenant la base de la queue…. Mmmm que c'est bon de pénétrer cet antre humide doux !
Marie se lève, j'ai peur qu'elle ait du regret ou que quelque chose ne lui ait pas plu !
- Mais nooonn au contraire, je veux tout faire avec toi, je n'ai pas fait grand choses aves les rares mecs que j'ai eus ! Je veux te branler avec la bouche et que tu me donnes ton sperme à boire ! je veux que tu me prennes, que tu me fasses l'amour et heuuuu je veux que tu me baises… que tu me prennes le cul... tout… je veux tout !
Marie se met à genoux, avec prudence, entre mes jambes elle reprend ma bite en main, me lèche, tout le long de la hampe, me suce le gland, puis engloutit ma queue et me suce comme si sa vie en dépendait.
Je ne peux que lui tenir la tête pour accompagner la cadence, et puis je caresse ses nichons, je tire doucement sur ses tétons en les roulants entre mes doigts, nous gémissons, nous soupirons, je sens une onde partir des jambes et monter vers le ventre, je me contracte… je jouis dans la bouche de ma sœur ! Elle me pompe jusqu’à la dernière goutte, me nettoie la bite et vient se rassoir a coté de moi et se love à nouveau.
- Je veux te lécher le vagin Marie, mets-toi debout sur le canapé, les jambes de chaque coté de moi, avance le bassin vers ma bouche et tiens-toi à ma tête.
Ce quelle fait. J'ai sa chatte devant moi, les lèvres gonflées par le désir, elle est trempée, Je passe la main derrière une fesse, et la guide vers moi, ma bouche se pose sur les lèvres de la chatte, je l'embrasse comme si c'était une bouche, ma langue fouille l'intérieur de la fente, je suçote chaque lèvre, puis les deux, Marie gémit, ses jambes tremblent, ma langue atteint le clito, je le titille, Marie a des soubresauts, elle gémit plus fort, soupire, sa respiration est saccadée, je suce son clito de bonne taille, et je pénètre sa chatte avec deux doigts, moins bien adroit de la main gauche je fais de mon mieux. Je tente d'atteindre le point G en frottant au plus vers l'avant de son utérus, je pompe, suce, enserre son clito avec mes lèvres… Marie, crie elle l'orgasme l'envahit, elle a du mal a tenir sur ses jambes, la cyprine coule, son corps cesse de bouger elle se penche sur ma tête se tient a mon cou… attends quelques instants puis elle se rassoit a coté de moi. Elle tourne son visage vers le mien, nos lèvres s'unissent, nos langues se lient….
Puis lovés l'un contre l'autre, nous reprenons nos esprits.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Rominet
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Génial
excellent ! ils ont fait l'amour et ils le referont avec une grande passion, ils feront, ils se bougeront la chatte le cul, le 69, tous les jours, le problème : être pris par les parents, mais peut-être que.... eux aussi voudront , mais c'est une autre que j'aimerais écrire...
raconte nous la suite!!
ça donne envie de connaitre la suite de vos aventures!!
très excitant! la suite? ;)