Je découvre une voisine
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Je découvre une voisine
Je le réveille en lui portant un café. Il bande, même avant de se réveiller. Je veux faire l'expérience : savoir combien de temps il tient en se masturbant, donc dès le réveil, quand je le regarde.
Je reste au pied du lit, en pyjama. Mes formes sont cachés, il ne voit rien de moi, je ne fais rien pour l'exciter. Un sourire et il enlève le drap. Je sais que maintenant il va s'astiquer.
C'est beau un homme qui prend sa queue dans la main qui commence à baisser la peau en découvrant son gland, que j'aime tant sucer. Il m'oublie en fermant les yeux, sa main s'agitant en cadence sur la tige.
Il commence fort pour une fois, ma présence peut être. Il passe l'autre main vers ses couilles qu'il caresse doucement. Le prépuce remonte doucement : j'ai compris il veut faire durer son plaisir : je pourrais le voir jusqu'au bout. Je comprends bien qu'il veuille économiser son plaisir : j'en fais autant quand je me caresse, même avec le gode enfoncé dans mon con.
Je me retiens, je me masturberais plus tard, seule comme j'aime, sur le lit, les jambes ouvertes devant la glace.Je penserais à sa bite et sa main, ensemble. Peut t'être je resterais debout pour me la mettre, toujours devant la glace, ou cette fois sous la douche.
Il continue ses va et vient. Des couilles sa main passe entre ses cuisses. Je ne savais pas qu'il aimait se faire ça : je le lui ferais quand il me baisera sur moi, je pourras facilement passer ma main sur ses fesses, dans sa raie et son cul, comme il me fait des fois, le salaud qui profite de mon corps pour nous donner du plaisir.
Ses jambes ouvertes me montre le chemin de son doigt. Il se caresse de suite après les couilles en allant doucement vers son cul qui attend. Son doigt est sur son anus. Il se fait comme à moi. Le doigt caresse le pourtour de l'anus que je vois frémir.
Petit salaud, il va entrer ce doigt au fond de ton cul. Il entre une phalange, la ressort. Comme pour moi. Il entre à nouveau ce
morceau de doigt, il se l'enfonce presque à fond. Il le ressort pas en entier avant de le remettre en entier : il se sodomise.
Sa main n'abandonne pas la bite. Il descend la peau jusqu'au couilles l'y laisse un instant avant de remonter.
Quand il me fait la même chose je jouis assez vite, trop vite pour moi.
Je pourrais lui proposer de se mettre lui même le gode dans le cul. Ce serait moins naturel.
Il ajoute un autre doigt, il le rentre comme l'autre, son ouverture se forme en plus gros. Il aime se qu'il se fait, je ne vais pas l'en empêcher.
C'est un réveil merveilleux pour lui, surtout que je le regarde, je vérifie son plaisir. J'en suis au point où s'il me demandait de lui embrasser son trou, je le ferais volontiers en y mettant ma langue profond.
Sa bite enfle un peu. Je connais la suite, il va jeter son jus merveilleux que j'aime goûter, même à jeun.
Ça y est, le grand jet de semence jaillit quand il jouit. C'est joli ce jet blanc qui résume l'homme dans ce qu'il fait de meilleur en jouissant. Je pense en un éclair qu'il me donne cette liqueur dans le cul quand je lui demande de me sodomiser. Mes fesses le voudraient maintenant. Elles attendront le gode tout à l'heure.
Il se lève, se lave comme un chat pour partir, il est en retard.
Il est à peine dehors que j'enlève ce que je porte. Je traîne un moment nue dans l'appartement, même si les fenêtres ouvertes me montrent dehors. Je reviens dans la chambre prendre le gode. Je vais me faire l'amour dans le salon.
J'espère que la voisine me regarderas me donner du plaisir, qu'elle fera comme moi, devant moi.
Un jour il faudra que je la trouve pour nous connaître de plus près, sans doute pour faire un amour saphique.
Dans le divan du salon, je suis bien en plein soleil, toujours nue. Je montre ma chatte à qui veut voir cette merveille : je mouille terriblement. Je passe le bout du gode sur le clitoris : je jouis presque. Pour me calmer je laisse le gode, je caresse à peine le bout des seins.
J'ai de la chance, le voisine regarde, elle aussi nue. Elle est bien fichue, je le verrais bien dans un lit avec moi. Je lui lace un grand sourire. Elle me répond : j'ai de la chance.
Je m'installe confortablement, elle reste à sa fenêtre pour me regarder. Je lui donne un spectacle classé X. Je mets le gode entre mes jambes ouvertes. Je caresse à peine le clito, juste pour mouiller encore.
Ç’a y est je me baise. Je ferme les yeux pour imaginer la bite de mon chéri quand il se caresse comme tout à l'heure. Je regarde par la fenêtre, la voisine visiblement fait comme moi. qu'
Je le regarde avec application, sa masturbation me plaît. Je pense il faut que nous nous connaissions mieux pour passer un après midi au moins ensemble. Je laisse tomber les caresses sur le clitoris pour me baiser avec le gode. Qu'il me fait du bien dans le con, j'en jouis trop vite. Je le change de place pour le au fond de moi. C'est bon de se sodomiser soi même.
J’allais jouir quand le voisine montre une ardoise : je dois lui donner mon numéro, Je l'écris en gros sur une feuille.
Je rentre le gode au fond de mon anus. Je le serre comme si j’avais peur qu'il parte. Je me lève un peu, même en le gardant . Je l'écris en gros sur une feuille.
Deux minutes après je reçois son coup de fil. Elle voudrait me voir de près.
J'attends derrière la porte : elle entre vite, me donne ses lèvres. Je l'embrasse quand elle n’est pas encore à l'intérieur.
Pas la peine de changer d'endroit. Nous nous réfugions enlacées vers le divan : nos lèvres ne se quittent pas. J’étais nue, elle se déshabille aussi. Nos corps se collent. Nos mains caressent l'autre avec un seul but, le plaisir. C'est elle qui pose sa main sur mon minou. Je le lui ouvre. Ses doigts fouillent lentement mon sexe, allant vers l'anus.
C'est une femme sacrément coquine. Elle le montre en me masturbant doucement, en mettant un doigt dans le petit trou. Elle fait durer le plaisir après le premier orgasme que j'ai. Elle se met devant moi, m'ouvre les jambes, glisse sa tête entre elles. Me voilà avec une tête de fille qui cherche mon sexe. Ma première fois avec une autre.
Elle m'embrasse l'intérieur des jambes en montant trop doucement vers moi. Je lui tiens la tête comme si j'allais accélérer son rythme. Elle arrive doucement près de mon intimité que j'ouvre en grand. Je sens d'abord son nez sur ma chatte. Puis lentement ses lèvres qui me mordillent avec adresse. Enfin elle passe mon intimité dans sa bouche entière.
Je reste la tête en arrière dans l'attente. Sa langue n'est plus immobile. Doucement, comme pour ne pas m'effrayer, elle lèche ce qu'elle trouve et elle trouve bien.
J'ai un premier orgasme avec sa langue sur le clitoris, le second suit presque de suite avec toujours sa langue dans le vagin, elle remplace avantageusement une bite par ses mouvement latéraux. Elle me lèche mieux que mon compagnon, ce qui n'est pas peu dire. Elle n'arrête pas, elle prolonge ses attouchements en mettant deux doigts dans l'anus.
Et moi qui jouis sans rien lui donner. Elle sait me le demander quand elle prend ma tête, la penche vers elle. Je ne force pas, de moi même je connais la destination.
Pour la première fois de ma vie ma langue passe sur l'intérieur des cuisses puis de son sexe. J'y trouve un goût particulier, proche du mien, mais plus sexy. J'arrive au but, je le sens jouir : une victoire sur moi.
Elle est gourmande, elle veut encore que nous fassions je ne sais quoi. Elle me demande d'aller dans la chambre. Au lit nous sommes bien enlacées, presque trop serrées. Elle me laisse sur le dos, se tourne pour me manger l'abricot. Elle le fait avec une telle dextérité que je jouis trop vite.
Elle se tourne en 69 pour que nous nous dévorions. Son sexe est appétissant même pour moi qui n'en avait jamais vu de près, ni surtout goûter. Nos plaisirs restent dans la catégorie de luxe. Je ne sais combien de fois j'ai joui ni elle. Mes lèvres ne veulent pas quitter son frifri.
Elle m'oblige à changer de position en nous aimant autrement. Nous sommes les jambes en ciseau, emmêlées, sexe à sexe. Je découvre le summum de l'érotisme avec cette fille.Les orgasmes aussi trouvés sont d'un autre facture qu'avec un mec et sa bite, même dans l'anus.
Je reste au pied du lit, en pyjama. Mes formes sont cachés, il ne voit rien de moi, je ne fais rien pour l'exciter. Un sourire et il enlève le drap. Je sais que maintenant il va s'astiquer.
C'est beau un homme qui prend sa queue dans la main qui commence à baisser la peau en découvrant son gland, que j'aime tant sucer. Il m'oublie en fermant les yeux, sa main s'agitant en cadence sur la tige.
Il commence fort pour une fois, ma présence peut être. Il passe l'autre main vers ses couilles qu'il caresse doucement. Le prépuce remonte doucement : j'ai compris il veut faire durer son plaisir : je pourrais le voir jusqu'au bout. Je comprends bien qu'il veuille économiser son plaisir : j'en fais autant quand je me caresse, même avec le gode enfoncé dans mon con.
Je me retiens, je me masturberais plus tard, seule comme j'aime, sur le lit, les jambes ouvertes devant la glace.Je penserais à sa bite et sa main, ensemble. Peut t'être je resterais debout pour me la mettre, toujours devant la glace, ou cette fois sous la douche.
Il continue ses va et vient. Des couilles sa main passe entre ses cuisses. Je ne savais pas qu'il aimait se faire ça : je le lui ferais quand il me baisera sur moi, je pourras facilement passer ma main sur ses fesses, dans sa raie et son cul, comme il me fait des fois, le salaud qui profite de mon corps pour nous donner du plaisir.
Ses jambes ouvertes me montre le chemin de son doigt. Il se caresse de suite après les couilles en allant doucement vers son cul qui attend. Son doigt est sur son anus. Il se fait comme à moi. Le doigt caresse le pourtour de l'anus que je vois frémir.
Petit salaud, il va entrer ce doigt au fond de ton cul. Il entre une phalange, la ressort. Comme pour moi. Il entre à nouveau ce
morceau de doigt, il se l'enfonce presque à fond. Il le ressort pas en entier avant de le remettre en entier : il se sodomise.
Sa main n'abandonne pas la bite. Il descend la peau jusqu'au couilles l'y laisse un instant avant de remonter.
Quand il me fait la même chose je jouis assez vite, trop vite pour moi.
Je pourrais lui proposer de se mettre lui même le gode dans le cul. Ce serait moins naturel.
Il ajoute un autre doigt, il le rentre comme l'autre, son ouverture se forme en plus gros. Il aime se qu'il se fait, je ne vais pas l'en empêcher.
C'est un réveil merveilleux pour lui, surtout que je le regarde, je vérifie son plaisir. J'en suis au point où s'il me demandait de lui embrasser son trou, je le ferais volontiers en y mettant ma langue profond.
Sa bite enfle un peu. Je connais la suite, il va jeter son jus merveilleux que j'aime goûter, même à jeun.
Ça y est, le grand jet de semence jaillit quand il jouit. C'est joli ce jet blanc qui résume l'homme dans ce qu'il fait de meilleur en jouissant. Je pense en un éclair qu'il me donne cette liqueur dans le cul quand je lui demande de me sodomiser. Mes fesses le voudraient maintenant. Elles attendront le gode tout à l'heure.
Il se lève, se lave comme un chat pour partir, il est en retard.
Il est à peine dehors que j'enlève ce que je porte. Je traîne un moment nue dans l'appartement, même si les fenêtres ouvertes me montrent dehors. Je reviens dans la chambre prendre le gode. Je vais me faire l'amour dans le salon.
J'espère que la voisine me regarderas me donner du plaisir, qu'elle fera comme moi, devant moi.
Un jour il faudra que je la trouve pour nous connaître de plus près, sans doute pour faire un amour saphique.
Dans le divan du salon, je suis bien en plein soleil, toujours nue. Je montre ma chatte à qui veut voir cette merveille : je mouille terriblement. Je passe le bout du gode sur le clitoris : je jouis presque. Pour me calmer je laisse le gode, je caresse à peine le bout des seins.
J'ai de la chance, le voisine regarde, elle aussi nue. Elle est bien fichue, je le verrais bien dans un lit avec moi. Je lui lace un grand sourire. Elle me répond : j'ai de la chance.
Je m'installe confortablement, elle reste à sa fenêtre pour me regarder. Je lui donne un spectacle classé X. Je mets le gode entre mes jambes ouvertes. Je caresse à peine le clito, juste pour mouiller encore.
Ç’a y est je me baise. Je ferme les yeux pour imaginer la bite de mon chéri quand il se caresse comme tout à l'heure. Je regarde par la fenêtre, la voisine visiblement fait comme moi. qu'
Je le regarde avec application, sa masturbation me plaît. Je pense il faut que nous nous connaissions mieux pour passer un après midi au moins ensemble. Je laisse tomber les caresses sur le clitoris pour me baiser avec le gode. Qu'il me fait du bien dans le con, j'en jouis trop vite. Je le change de place pour le au fond de moi. C'est bon de se sodomiser soi même.
J’allais jouir quand le voisine montre une ardoise : je dois lui donner mon numéro, Je l'écris en gros sur une feuille.
Je rentre le gode au fond de mon anus. Je le serre comme si j’avais peur qu'il parte. Je me lève un peu, même en le gardant . Je l'écris en gros sur une feuille.
Deux minutes après je reçois son coup de fil. Elle voudrait me voir de près.
J'attends derrière la porte : elle entre vite, me donne ses lèvres. Je l'embrasse quand elle n’est pas encore à l'intérieur.
Pas la peine de changer d'endroit. Nous nous réfugions enlacées vers le divan : nos lèvres ne se quittent pas. J’étais nue, elle se déshabille aussi. Nos corps se collent. Nos mains caressent l'autre avec un seul but, le plaisir. C'est elle qui pose sa main sur mon minou. Je le lui ouvre. Ses doigts fouillent lentement mon sexe, allant vers l'anus.
C'est une femme sacrément coquine. Elle le montre en me masturbant doucement, en mettant un doigt dans le petit trou. Elle fait durer le plaisir après le premier orgasme que j'ai. Elle se met devant moi, m'ouvre les jambes, glisse sa tête entre elles. Me voilà avec une tête de fille qui cherche mon sexe. Ma première fois avec une autre.
Elle m'embrasse l'intérieur des jambes en montant trop doucement vers moi. Je lui tiens la tête comme si j'allais accélérer son rythme. Elle arrive doucement près de mon intimité que j'ouvre en grand. Je sens d'abord son nez sur ma chatte. Puis lentement ses lèvres qui me mordillent avec adresse. Enfin elle passe mon intimité dans sa bouche entière.
Je reste la tête en arrière dans l'attente. Sa langue n'est plus immobile. Doucement, comme pour ne pas m'effrayer, elle lèche ce qu'elle trouve et elle trouve bien.
J'ai un premier orgasme avec sa langue sur le clitoris, le second suit presque de suite avec toujours sa langue dans le vagin, elle remplace avantageusement une bite par ses mouvement latéraux. Elle me lèche mieux que mon compagnon, ce qui n'est pas peu dire. Elle n'arrête pas, elle prolonge ses attouchements en mettant deux doigts dans l'anus.
Et moi qui jouis sans rien lui donner. Elle sait me le demander quand elle prend ma tête, la penche vers elle. Je ne force pas, de moi même je connais la destination.
Pour la première fois de ma vie ma langue passe sur l'intérieur des cuisses puis de son sexe. J'y trouve un goût particulier, proche du mien, mais plus sexy. J'arrive au but, je le sens jouir : une victoire sur moi.
Elle est gourmande, elle veut encore que nous fassions je ne sais quoi. Elle me demande d'aller dans la chambre. Au lit nous sommes bien enlacées, presque trop serrées. Elle me laisse sur le dos, se tourne pour me manger l'abricot. Elle le fait avec une telle dextérité que je jouis trop vite.
Elle se tourne en 69 pour que nous nous dévorions. Son sexe est appétissant même pour moi qui n'en avait jamais vu de près, ni surtout goûter. Nos plaisirs restent dans la catégorie de luxe. Je ne sais combien de fois j'ai joui ni elle. Mes lèvres ne veulent pas quitter son frifri.
Elle m'oblige à changer de position en nous aimant autrement. Nous sommes les jambes en ciseau, emmêlées, sexe à sexe. Je découvre le summum de l'érotisme avec cette fille.Les orgasmes aussi trouvés sont d'un autre facture qu'avec un mec et sa bite, même dans l'anus.
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