Je deviens addicte des "cochonneries" - histoire érotique

JE DEVIENS ADDICTE DES "COCHONNERIES"
SUITE DE "COMMENT LE GOÛT DES COCHONNERIES VIENT AUX FILLES"

Ce récit est une période de ma vie antérieure à 1974 où la majorité était à 21 ans, tous les protagonistes sont donc mineurs

J'ai été réveillée le lendemain matin par les rayons du soleil qui filtraient dans la chambre et un bruit d'eau dans la douchière.
Comme Anne n'était plus à mes côtés j'ai su que c'était elle dans la salle de bain d'autant plus que Sophie et Pierre dormaient enlacés. Ce dernier devait faire des rêves heureux car il avait une superbe érection et son sexe se dressait fièrement tel un étendard.
Ouvrant un oeil et voyant son état Sophie le prit dans sa bouche et lentement commença à parcourir son gland du bout de la langue, il eut un soupir de satisfaction qui a encouragé Sophie à poursuivre son "exploration" en l'absorbant presque complètement tout en le masturbant d'une main.

J'étais subjuguée par le spectacle de ces lèvres allant et venant, sur cette tige raide, dans un mouvement de plus en plus rapide. La respiration de Pierre devenait, elle aussi, de plus en plus rapide, devinant qu'il n'allait pas tarder à jouir Sophie s'est arrêtée un instant pour lui dire :
- Donnes moi ton sperme, j'ai envie de le sentir sur ma langue et c'est le matin qu'il est le plus abondant.

J'étais moi même très mouillée par ce que je voyais et je commençais à parcourir ma fente avec mes doigts, réveillant un clitoris douloureux des traitements qu'il avait subi pendant la nuit.

Soudain Pierre dit :
- Je vais jouir!!!

Et il se vida dans la bouche de mon amie qui se délecta et vint m'embrasser en me disant :

- Tu vas avoir le goût d'un garçon dans ma bouche, tu vas voir comme c'est délicieux!

Effectivement j'ai trouvé le goût sur sa langue très différents de celui de toutes les cyprines que j'avais connues, mais pas désagréable du tout. Que devait être l'intégralité de la gorgée ? Il faudrait que je teste.

De la porte de la salle de bain Anne nous observait en souriant et me dit :

-Viens prendre ta douche avec moi Florence et laisse les à leurs jeux "cochons".

Je ne me fis pas prier et allais la rejoindre dans la vaste salle de bain. Elle décida de ma frotter des pieds à la tête avec une éponge remplie de mousse odorante, insistant sur mes seins et mon minou en me disant :

- Il faut bien frotter ta touffe qui est raide de mouille et elle avait raison.

Plus ses caresses se faisaient insistantes sur mon abricot plus je sentais que je commençais à mouiller et que les longues pointes de ses seins durcissaient.
Quand elle m'eut bien savonné, elle prit la pomme du flexible de douche pour me rincer, arrivant à mon jardin secret, elle me dit d'en écarter les lèvres et faisant varier la puissance du jet elle se mit à titiller mon bouton d'amour qui n'en pouvait mais….
Tandis que je lui caressais les pointes de seins en collant ma bouche à la sienne pour mêler nos langues. C'est là que j'ai découvert l'utilité cachée d'une pomme de douche.

Comme le temps était superbe ce jour là, nous avons décidé de prendre le bateau des parents de Pierre et Anne pour aller passer l'après midi aux îles de Lerins afin de prendre, en paix, un bain de soleil naturiste.

Nous étions tous les quatre allongés côte à côte sur le pont, absorbant avec délices les rayons du soleil. De temps à autres une main effleurait un minou ou Sophie la bite, au repos mérité, de Piere, la branlant mollement.

Les yeux clos, je repensais à ce qui s'était passé depuis la veille au soir et je fis les constatations suivantes :

J'avais fait, en une soirée et une nuit, un grand pas dans la découverte des diverses facettes de la sexualité, avec une autre fille et entre un garçon et une fille.

J'y avais pris tellement de plaisir (s) que je réalisais que je ne pourrai plus m'en passer.
J'avais encore des lacunes en ce qui concernait les jeux avec des garçons, mais je comptais bien combler ce retard, tout en sachant que je ne me sentais pas encore prête pour être pénétrée par une queue bien raide, mais tant d'autres choses étaient possibles….

En un mot je savais être devenue "addicte aux cochonneries" et cela pour mon plus grand bien.

Nous avions décidé d'aller le soir en boite et j'avais la ferme intention de mettre à profit cette soirée pour mieux découvrir la gente masculine. Anne était ravie également car disait elle, dans son langage cru, qu' avec ce qu'elle avait vu la veille elle avait besoin "qu'un dard vienne s'enfoncer au plus profond de son trou".

Nous connaissions une boite, dans le vieux Nice, fréquentée par des garçons et filles de notre age et étions certains d'y rencontrer des gens sympathiques. A cette époque les slows étaient encore à la mode et cette danse était très propice aux rapprochements.

Nous nous étions installés à une table, Sophie et Pierre sur la banquette, Anne et moi en face d'eux sur des tabourets. Sophie avait mis une mini jupe et d'où j'étais je voyais clairement qu'elle ne portait pas de culotte, je savais qu'Annenon plus car avec son pantalon en toile blanche le triangle sombre de sa chatte se devinait distinctement.
Il en était de même pour moi, mais mon jeans ne laissait rien voir ce qui n'était pas le cas de mon débardeur gonflé par mes pointes de seins.

L'ambiance était assez chaude et le flirt battait son plein. Deux garçons, assez mignons, buvaient tranquillement au bar, promenant sur l'assistance un regard de prédateur cherchant une proie. Ils ne tardèrent pas à nous remarquer et deux ou trois slows plus tard, il ne faut jamais avoir l'air trop pressé, il se levèrent pour venir vers nous et nous inviter. Anne et moi avons accepté d'air air volontairement peu enthousiaste, il n'est pas bon de monter que l'on est ravies.

J'ai oublié leur nom, disons qu'il y avait X1 et X2, ils étaient cousins. Je dansais avec X1, j'aimais bien ses yeux bleus, il me serrait d'assez près et me débitait à l'oreille les fadaises d'usage pour une entrée en matière. A la fin de la danse ils nous invitèrent à prendre un verre avec eux, mais devant notre refus ils demandèrent s'ils pouvaient venir à notre table, ce que nous avons accepté et ils s'installèrent en face de nous, la musique sans être très forte ne permettait pas beaucoup de conversation. Anne me dit à l'oreille :

- Le quel préfères – tu ? Je lui ai répondu que les deux me convenaient.
- Fort bien car moi aussi, en faite nous pourrions les prendre tous les deux. Je sais que tu ne veux pas faire encore l'amour, mais je suis prête à combler l'insatisfaction de celui que tu choisiras.

Pour sceller notre accord, nous nous sommes embrassées, devant leurs yeux médusés.

- Et oui nous aimons tout autant les filles que les garçons avons nous dit en cœur.

Le slow suivant, nous avions changé de partenaire, même fadaises, mais cela n'avait aucune importance pour ce à quoi ils allaient nous servir. L'un comme l'autre se montrait plus entreprenant, n'ayant sans doute pas encore jeter leur dévolu sur laquelle de nous deux ils allaient s'attribuer et ne se doutant pas que pour notre part nous avions choisi les deux….

A la danse suivante j'étais de nouveaux dans les bras de X1 qui avait compris que le langage des mains est plus expressif et facile à comprendre que le verbal, surtout avec le bruit de la musique. Il avait donc passé sa main sous mon débardeur et commençait à me caresser les reins et remontant petit à petit en étudiant mes réactions. Pour le moment je n'en avais, volontairement pas, il continuât donc son exploration ascendante et j'ai vu la surprise sur son visage quand il s'est rendu compte qu'effectivement ma poitrine était nue. Il fit glisser sa main vers un de mes seins, à ce moment là j'ai décidé de l'encourager en collant mon bas ventre au sien. Un bref coup d'œil à Anne me confirma qu'elle avait adopté la même tactique. Le slow prit fin et en retournant à la table il me tenait par la taille d'un air conquérant…. De même X2 avec Anne
Ayant vérifié, à la danse suivante, que son pantalon était gonflé de manière intéressante, je fis un signe à Anne pour lui signifier que le temps de lever le camp était venu.

Sophie et Pierre continuaient à se bécoter et à se tripoter dans leur coin, nous leur avons glissé à l'oreille que nous serions tous mieux à l'appartement. Les deux X ne firent aucune difficulté pour nous suivre, mais ils n'étaient pas au bout de leurs surprises.

Manifestement les 2X, se demandaient comment aller se jouer le scénario ? La banse des quatre, Sophie Pierre Anne et moi le savions fort bien, ils le sentaient et n'étaient pas très à l'aise.
Assis au salon, Sophie avait ouvert, avec plaisir, le pantalon de Pierre pour s'occuper de son membre, lui n'ayant aucun mal, avec la mini jupe à bichonner son "puits d'amour". La pauvre avait été frustrée, car en boite, à cette époque, il n'était pas de bon ton de faire jaillir, aux vues de tous, la tige de son petit copain, même pour lui prodiguer des baisers voluptueux.

La braguette de X2 était explorée par Anne, tandis que moi je laissais à X1 le plaisir d'ouvrir la fermeture de mon jeans pour qu'il découvre ce qu'il contenait. Comme ils étaient un peu timorés nous avons accéléré le mouvement pour nous trouver, tous les quatre, dans une tenue plus propice à ce que nous voulions faire. Et d'un commun accord Anne et moi les avons pris par la main pour les conduire dans la chambre au lit XXXL et cela à leur grande surprise car ils pensaient sans doute que chaque couple allait gagner une chambre séparée pour y faire en paix leur "petite affaire". Mais ce n'était pas nos plans, nous avions bien l'intention d'utiliser, toutes deux, et en même temps, les deux mâles. N'ayant accepté seulement que Sophie et Pierre aillent dans une autre, dont la porte était d'ailleurs restée ouverte.

Ils étaient surpris et nerveux ne comprenant pas très bien ce qui allait se passer. L'un des deux nous dit :

- On ne va pas baiser dans la même chambre et dans le même lit ?

- Si dit Anne car nous aimons cela à 4, mais Florence ne veux pas être pénétrée par une bite, un homme averti en vaut deux !!!!

J'étais donc toujours avec X1, maintenant,, tout comme moi, nu comme un ver. Cela me permettait de voir son sexe en détail, ( Je rappel que le premier que j'avais vu de près était celui de Pierre). Il était long, fin et circoncis, j"ai eu immédiatement envie de le prendre dans ma bouche, mais lui avait d'autres idées en tête que j'étais bien décidée à ne pas satisfaires….

Il me caressait les seins et le sexe, plus exactement il pétrissait l'un et l'autre, ce que je ne trouvais pas particulièrement plaisant comparé aux caresses de Sophie ou d'Anne.

Cette dernière avait pris les choses en main avec X2 qui voulait la pénétrer dans la position classique et peu érotique du missionnaire. Elle l'avait donc mis sur le dos et à cheval sur lui elle introduisait sa verge dans son trou.

Pour ma part, j'avais décidé de sucer X1 jusqu'à ce que son sperme jaillisse dans ma bouche!!!

Son sexe, dans ma bouche était agréable, pas trop gros, pas trop long, de plus je sentais que ses bourses étaient pleines de sperme et j'avais, depuis la veille, très envie de savoir ce que c'était. Lui voulait décharger dans ma fente et c'était hors de question…

Mon mouvement sur sa tige devint donc de plus en plus rapide et j'ai senti monter en lui le plaisir. Je commençais à mouiller d'autant plus, que bien qu'occupée avec X2 Anne me caressait de façon délectable le clito.

Brusquement sa semence emplie ma bouche, cette sensation était nouvelle pour moi, l'abondance de la décharge et le goût bien différent du jus des filles que j'avais sucé, ce n'était pas désagréable pour autant.

Voyant cela Anne accéléra son mouvement pour qu'X2 se vide aussi en elle, elle poussa un long soupir de satisfaction et me dit :

- Ca y est, il s'est vidé et son sperme coule de mes lèvres, viens boire cette liqueur divine.

Je m'exécutais sans tarder, laissant X1 sur sa faim de me pénétrer le con.

Une fois qu'ils s'étaient bien vidés nous étions moins intéressées par eux. Nous leur avons signifié que la partie était finie et qu'ils étaient priés de partir. Ce fût décevant pour eux, mais la décision était sans appel…..

Eux partis nous sommes allées voir ce qu'il en était de Sophie et Pierre imbriqués l'un dans l'autre nous avons jugé bon de les laisser en paix et sommes retournées dans le lit XXXL. Pour y finir la nuit en mêlant nos salives, nos cyprines et nos doigts dans nos chattes.

Ce week-end fût délicieux, l'année scolaire allait s'achever, je savais que je quitterai Sophie. car mon père avait décidé que j'effectuerai ma première et ma terminale en Angleterre, ce qui ne me déplaisait pas pour bien connaître déjà le pays et aller au devant de nouvelles découvertes. En fait j'allais en faire pendant l'été où j'ai passé un mois sur le bateau d'un amis de mon père en compagnie de sa fille, du même age que moi et de son frère jumeau, ainsi que de la seconde épouse de l'ami et d'une amie à elle. Mais c'est une autre histoire que je raconterai peut être…………..