Je deviens le chauffeur de Julien mais c’est pour la bonne cause

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Je deviens le chauffeur de Julien mais c’est pour la bonne cause Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je deviens le chauffeur de Julien mais c’est pour la bonne cause
Je vous ai souvent parlé de mon ami Julien avec qui j’ai vécu pas mal d’aventures que j’ai partagé avec vous, donc inutile de vous le présenter de nouveau. Quand il m’appelle c’est soit pour se voir entre mec soit pour me proposer un petit plan. En presque 20 ans d’amitié, nous avons toujours partagé ce que nous pouvions (Voir « Testons la secrétaire », « Une soirée déguisée », « Un week end avec mon pote Julien chez Muriel »…)
Donc quand il m’appelle et se met à me parler de la jeune Béatrice je ne suis pas surpris. Elle a 22 ans, elle est brune, très pétillante et avec de très belle forme. Il l’a rencontré dans un café et n’a pas hésité à l’aborder et ils ont fini à l’hôtel. Quand il la raccompagné chez elle dans sa grosse berline allemande, elle lui a fait par de son fantasme. Elle a très envie de faire l’amour dans une grosse voiture avec chauffeur.

Pas besoin de m’en dire, j’ai compris que Julien veut que je devienne, pour un moment, son chauffeur. Mais je ne compte pas seulement les conduire, j’espère bien profiter du spectacle mais aussi participer. J’essaye d’avoir plus de détails mais il est pressé, il me dit juste que nous avons rendez vous ce samedi et qu’il passera chez moi en fin de matinée. Il ne me reste plus qu’à attendre 3 jours et entendant je me fais plein de films.

Le samedi matin, je suis réveillé par la sonnette de chez moi. La veille je suis sorti avec des amis et j’en ai bien profité. Du coup quand je me lève pour aller ouvrir, j’ai tellement la tête dans le cul que j’en oublie de mettre un caleçon. Heureusement que ce n’est que Julien, qui m’a souvent vu à poil, par contre je me prends une réflexion:« Ta tenue peut l’exciter mais ça fait pas tellement chauffeur de maitre! »
Je le fais rentrer et je vais enfiler un short et t-shirt avant d’aller nous préparer un café. Alors que je me réveille tout doucement, il me parle de la jeune et très chaude Béatrice. Il ne sait pas ennuyé avec elle et a profité de chacun de ses 3 trous. Même si j’ai baisé la veille, ma bite se réveille avant mon cerveau et plus il m’en raconte plus je bande.

Une fois son café finit il me demande de me bouger, du coup je file sous la douche pendant que lui va inspecter mon armoire. Je me récure bien de partout et ajuste le rasage de mes couilles et autour de ma queue. Quand je le rejoint dans ma chambre il m’a sorti un costume 3 pièces (je ne parle pas de mes parties intimes mais un pantalon, un gilet et une veste) et une chemise blanche.

Je finis de me sécher lorsqu’il reprend son histoire et m’explique encore une fois à quel point Béatrice aime la bite. Je cherche un boxer mais j’en trouve pas, au moins la dessus il me laisse le choix. J’ouvre mon tiroir pour en sortir un mais mon pote m’arrête en me disant:« Je suis sûr qu’elle va préfère que tu n’en portes pas! »Au moins c’est bien, il a l’attention que je participe, du coup j’enfile directement mon pantalon et le reste des habits qu’il a préparé.

Une fois que je suis habillé et que je m’admire dans le grand miroir de l’entrée, il me dit:« Attends, il manque un truc! »Je le vois fouiller dans sa sacoche et en sortir une casquette qu’il vient poser sur ma tête. C’est vrai que ce petit accessoire change beaucoup à ma tenue. Maintenant que je suis prêt il me tend les clés de sa mercedes, je récupère mes papiers et nous descendions car apparement la jeune Béatrice nous attends déjà.

Je monte côté conducteur et Julien me dit:« Un chauffeur doit ouvrir la porte aux passagers. »Je ressors de la voiture et ouvre la portière à monsieur, une fois qu’il est installé je la referme et vais m’installer derrière le volant. Alors que je démarre, il me dit que l’adresse de la miss est déjà enregistré dans le GPS, il me demande de bien jouer mon rôle de chauffeur pour bien allumer la petite.

Alors que nous discutons de choses et d’autres sur la route, je le sens déjà excité comme un fou. Quand la voix du GPS m’indique que nous sommes plus qu’à quelques centaines de mètres de notre destination, Julien est déjà entrain de la guetter. Il me prévient qu’il a enregistrer une deuxième adresse sur le GPS, la destination d’un coin tranquille où « nous pourrons profiter ensemble de la petite ».

Dès qu’il la voit au loin, il ne tient plus en place, on dirait un gamin qui va recevoir sa surprise. Je me gare juste devant elle. Alors que je sors pour lui ouvrir la portière, Julien se décale pour lui laisser la place côté trottoir. En me voyant Béatrice rougit et j’en profite pour l’admirer. Elle porte un petit top à bretelles encore plus rouge qu’elle, qu’il laisse deviner qu’elle ne porte pas de soutien gorge. En bas elle a un pantalon en jean noir et des bottines à talons. C’est vrai qu’elle est belle mais sacrement jeune.

Une fois qu’elle est installée, je referme la potière et retourne m’installer à ma place de chauffeur, ils se roulent un pelle. Je rentre la nouvelle adresse et mon pote fait les présentations:« Béatrice, je te présente mon chauffeur, Romain. »Je me retourne et lui lance un:« Enchanté mademoiselle »Puis je démarre en suivant les indications.

Julien lui demande si ça correspond bien à ce qu’elle imaginait, elle lui dit oui et ils s’embrassent de nouveau. Je jette de temps en temps des coups d’oeil dans le rétroviseur pour voir ce qui se passe car il ne parle plus. Mon ami caresse la cuisse de la jeune demoiselle, je déplace le miroir et remarque qu’elle a déjà la main sur son paquet, il lui dit:« Ah oui! Ca te plait vraiment! »
Je tourne rapidement la tête, elle lui fait un grand sourire et ouvre le pantalon de mon ami. Quand je repositionne bien le rétroviseur je vois le sexe de Julien, fièrement dressé, avec la main de Béatrice qui le caresse. Comme nous approchons d’un ralentissement je les préviens, dans le rétro je vois Julien ranger son matériel et la demoiselle se redresser.

Il reste calme mais dès que je relance la voiture à vive allure, Béatrice sort ses seins de son top, se pince les tétons et retourne tâter le paquet de notre ami commun. Je la vois étape par étape (j’en ai peut être raté parce que je me concentre quand même sur la route) sortir la bite, le branler, lui lécher le gland et même l’avaler presque entièrement. Julien de plus en plus excité la fait se redresse pour s’occuper, à son tour, de son entrejambe.

A travers le jean, il lui caresse la cuisse et remonte sur son entrejambe. Trop impatient il ouvre la ceinture de la demoiselle, la fois d’après où je regarde il ne s’en sort pas alors elle l’aide. Puis il ouvre les boutons de son pantalon et plonge sa main. Il part frotter son mont de Vénus alors qu’elle se caresse les seins qu’elle a toujours à l’air. Pour ne pas avoir de problème, il lui demande de glisser sur la banquette.

Alors que ses doigts pincent ses tétons, elle glisse doucement, je suis obligé de bouger le rétroviseur pour continuer à l’observer. Dans cette position Julien ne peut plus lui tripoter la chatte mais elle le fait très bien tout seule. Alors qu’une de ses mains empoigne fermement un sein et l’agite, l’autre plonge dans sa culotte pour s’occupe de sa moule. Elle gémit de plus en fort, heureusement que je ne porte pas de boxer sinon ma queue serait très à l’étroit.

Soudain je vois les mains de Béatrice quitter son corps puis elle se penche vers Julien. Je déplace encore une fois le miroir et elle est déjà entrain de le branler à deux mains. Elle se penche encore plus et commence à lui lécher le gland, ses mains ne restent pas inactivent. Au regard suivant elle bien à 4 pattes, sa langue et sur la base de la queue de Julien et remonte doucement vers son gland.

J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la route. J’ai très envie de m’arrêter et d’aller les rejoindre sur la banquette arrière mais je sais que Julien et très à cheval sur les règles pendant un plan cul. Je jette un nouveau coup d’oeil et elle est en train de lui faire une gorge profonde. Plus que 12 kilomètres et alternativement elle le branle, le suce, le lèche, l’avale entièrement, lui aspire les couilles…
Je compresse le plus possible ma bite raide entre mes jambes pour me calmer. Je suis tellement excité que je sens des gouttes de mouilles contre ma cuisse. Merci mon pote de m’avoir interdit de porter quelque chose sous mon pantalon, maintenant je suis encore plus excité et je dois encore conduire un moment! Je décide de me concentrer sur la route pour penser à autre chose.

Nous entrons dans un petit village, du coup je redescends à 50. Les maisons sont éparpillées et il y a personne dons les rues. J’en profite pour regarder dans mon rétro et après l’avoir, encore une fois, bouger je découvre Béatrice avec sa tête sur le ventre de mon ami. Il a une main derrière la tête de la jeune fille et de l’autre il prend appuie sur la banquette.

Il lui baise littéralement la bouche par saccade. A certains moments il s’enfonce encore plus profondément dans la bouche de Béatrice, sa queue en ressort recouverte de salive. Elle le branle un peu avant de le sucer, le lécher ou même le mordiller de nouveau.

Nous ressortons du village alors je me concentre sur la route mais à peine une minute après nous rentrons dans un nouveau village. La circulation et la population étant la même que précédemment, je me concentre sur le miroir. Alors que sa main le branle énergiquement, elle avale ses couilles. Par moment je suis sur qu’elle le mordille même, lui comme moi adorons ça. Je déplace le rétro et vois au visage de Julien qu’il prend vraiment son pied.

Nouvelle sortie de village, nouvelle accélération, nouvelle décélération, nouveau virage, nouvel réajustement du miroir. Béatrice a baissé son pantalon sur ses genoux, sa chatte et totalement épilée et elle est en train de se branler frénétiquement en gémissant de plus en plus fort. Je tourne la tête vers Julien qui se branle en la regardant faire.

Non seulement on quitte un village mais je le GPS m’indique de tourner dans un petit chemin qui à l’air d’être surtout fréquenter par des tracteurs. Au dernier passage de ces engins il a du pleuvoir, maintenant la terre à sécher et le chemin nous chahute bien même si je roule lentement. Je me tourne vers mon pote pour lui demander s’il est sur de la route.

Béatrice le suce goulument et il ne m’entend même pas quand je l’appelle. Je suis le chemin que m’indique le GPS alors que j’entends mon pote gémir de plus en plus fort. Je tourne, comme l’indique la voix, c’est aussi un petit chemin mais beaucoup plus lisse. Je peux l’admirer avaler entièrement la queue de mon ami et lui malaxer les couilles en même temps. Je ne préfère pas imaginer ce que sa langue lui fait.

Le gps indique la destination à seulement un virage et 500 mètres quand je reconnais le gémissements de Julien quand il jouit. Je vois dans le rétro qu’elle continue de le sucer goulument. Je me gare à l’endroit indiquer. Je me retourne vers eux, même si sa queue à perdu de sa splendeur, elle continue de le sucer.

Quand je sors de la voiture et ouvre la portière du côté de la demoiselle en espérant que la bosse de mon pantalon lui donne envie de changer de bite, elle le suce toujours. Je fais le tour de la voiture et ouvre la deuxième portière, il est toujours dans sa bouche. Je ne sais plus quoi faire alors je les regarde faire avec mon érection tristement enfermée dans mon pantalon….

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