Je fais la salope 2. J’allume les hommes.
Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je fais la salope 2. J’allume les hommes.
Au moment du déjeuné toujours la même attitude de salope. Il y avait trois hommes à deux tables de la mienne, pas mal, dans la trentaine, bien habillés. Je les matais et eux aussi. Je les regardais avec mon regard de chienne en manque la bouche à moitié ouverte tout en passant ma langue entre mes lèvres. Je mouillais. Je finissais mon plat, lorsque l’un d’eux est venu m’aborder « Bonjour Madame, nous souhaiterions mes amis et moi vous conviez à prendre un café à notre table » L’approche était soignée. Moi « c’est un peu gênant » L’homme « il n’y a rien de gênant de prendre un café ensemble ici » Moi « oui très bien, je vous rejoins » Je demandais l’addition au serveur, je voyais bien qu’ils me regardaient de façon appuyée. Je faisais aussi un peu durer le plaisir pour me faire encore plus désirer. Une fois la note réglée, je me levais pour aller les rejoindre. Lors de mon arrivée, ils se levèrent tous les trois et m’invitèrent à m’assoir sur la banquette entre deux, le troisième étais assis en face sur une chaise.
Après avoir fait connaissance, Laurent, Philippe et Jean Michel, ils commandèrent des café. Laurent était assis à ma droite, Philippe à ma gauche et Jean Michel en face.
Nous avons échangé des banalités, sur le temps, les vacances etc.
Ils étaient plaisants. Laurent était le leader, il avait un certain ascendant sur les deux autres, c’est lui qui c’était levé pour m’inviter.
Nous étions assez serrés et nos genoux se touchaient. Les cafés sont arrivés nous continuions à parler.
Ils me demandèrent dans quel secteur je travaillais. Ils me complimentaient sur ma tenue. Je les fixais avec un regard de chienne.
J’essayais en regardant ma montre « excusez moi, je sais que cela n’est pas très poli, mais je regarde l’heure, car il faut que je retourne travailler » Laurent « vous avez le temps c’est les vacances et les horaires sont plus souples pendant cette période » Philippe « personne ne va vous disputer, ni vous punir si vous êtes un petit peu en retard » Moi « oui il faut éviter de se mettre en faute » Laurent « je vais vous faire un billet de retard en expliquant que c’est à cause de moi » Jean Michel « vous prendrez bien un deuxième café » tout en les commandant Moi « oui mais après je dois y aller » J’avais les jambes croisées sous la table et le temps que les cafés arrivent, Laurent avait passé sa main sous la table et commençait à me caresser les cuisses. Je fus un peu surprise. Je le regardais droit dans les yeux. Il me sourit tout en continuant.
Les cafés arrivèrent et Philippe me caressa de l’autre coté. Je dégoulinais littéralement ; J’avais le souffle qui s’accélérait. Je me contrôlais tout en essayant de rester stoïque.
Leurs caresses se précisaient car ils remontaient mes cuisses de plus en plus hautes.
Laurent, toujours lui, me pris le genou à pleine main pour me le lever et me décroiser les jambes. Je résistais un peu pour la forme et je finissais par le laisser faire.
Ma jupe qui était boutonnée devant leur facilitait la tache, et sans attendre, Laurent commença la déboutonnage et remonta sa main jusqu’à mon string. Il n’hésita pas une seconde à me caresser à travers. Je mettais le nez dons mon café car je transpirais de partout. Philippe de son coté me remontait les cuisses et s’aventurait entre, sous le regard amusé et excité de Jean Michel.
Laurent décala mon string et accéda à mon intimité, j’étais au bord de l’explosion. Je continuais à avoir mon attitude de chienne ce qui les excitait au plus au point. Il me caressa le clitoris et commença à passer ses doigts entre mes lèvres pour accéder à mon vagin qui dégoulinait de plus belle. Je me dandinais comme une pucelle sainte ni touche ; J’avais qu’une envie c’était de me faire besogner comme une trainée ; j’imaginais me retrouver à plat ventre sur une table et me faire prendre par les trois à la suite. J’ai contenu deux orgasmes, sur le deuxième, cela à été très difficile.
En bonne salope, je les regardais droit dans les yeux et leur dit « excusez moi messieurs mais je vais aux toilettes. Je reboutonnais rapidement ma jupe et me leva en tortillant sérieusement du cul, surtout qu’il me fallait remonter toute les tables de la brasserie pour y aller, car ils étaient au font à coté de la cuisine.
Une fois arrivée, je me suis masturbée, j’ai joui plus que rapidement et j’ai poursuivi pour me redonner encore du plaisir.
Je me suis réajustée et ai regardé en direction de la table, ils parlaient, je ne pose pas la question sur quoi. Je me suis lavée les mains au lavabo et j’ai aperçu dans la glace que j’avais une tête de fille de mauvaise vie, mais qu’il y avait une autre porte qui devait donner directement dans la cuisine. Je l’ai ouverte et en croisant un cuisinier, je lui ai demandé où se trouvait la sortie. Il me l’indiquait, je suis sortie sur une autre rue, plantant mes trois lurons qui ne voulaient que me baiser.
A Suivre
Après avoir fait connaissance, Laurent, Philippe et Jean Michel, ils commandèrent des café. Laurent était assis à ma droite, Philippe à ma gauche et Jean Michel en face.
Nous avons échangé des banalités, sur le temps, les vacances etc.
Ils étaient plaisants. Laurent était le leader, il avait un certain ascendant sur les deux autres, c’est lui qui c’était levé pour m’inviter.
Nous étions assez serrés et nos genoux se touchaient. Les cafés sont arrivés nous continuions à parler.
Ils me demandèrent dans quel secteur je travaillais. Ils me complimentaient sur ma tenue. Je les fixais avec un regard de chienne.
J’essayais en regardant ma montre « excusez moi, je sais que cela n’est pas très poli, mais je regarde l’heure, car il faut que je retourne travailler » Laurent « vous avez le temps c’est les vacances et les horaires sont plus souples pendant cette période » Philippe « personne ne va vous disputer, ni vous punir si vous êtes un petit peu en retard » Moi « oui il faut éviter de se mettre en faute » Laurent « je vais vous faire un billet de retard en expliquant que c’est à cause de moi » Jean Michel « vous prendrez bien un deuxième café » tout en les commandant Moi « oui mais après je dois y aller » J’avais les jambes croisées sous la table et le temps que les cafés arrivent, Laurent avait passé sa main sous la table et commençait à me caresser les cuisses. Je fus un peu surprise. Je le regardais droit dans les yeux. Il me sourit tout en continuant.
Les cafés arrivèrent et Philippe me caressa de l’autre coté. Je dégoulinais littéralement ; J’avais le souffle qui s’accélérait. Je me contrôlais tout en essayant de rester stoïque.
Leurs caresses se précisaient car ils remontaient mes cuisses de plus en plus hautes.
Laurent, toujours lui, me pris le genou à pleine main pour me le lever et me décroiser les jambes. Je résistais un peu pour la forme et je finissais par le laisser faire.
Ma jupe qui était boutonnée devant leur facilitait la tache, et sans attendre, Laurent commença la déboutonnage et remonta sa main jusqu’à mon string. Il n’hésita pas une seconde à me caresser à travers. Je mettais le nez dons mon café car je transpirais de partout. Philippe de son coté me remontait les cuisses et s’aventurait entre, sous le regard amusé et excité de Jean Michel.
Laurent décala mon string et accéda à mon intimité, j’étais au bord de l’explosion. Je continuais à avoir mon attitude de chienne ce qui les excitait au plus au point. Il me caressa le clitoris et commença à passer ses doigts entre mes lèvres pour accéder à mon vagin qui dégoulinait de plus belle. Je me dandinais comme une pucelle sainte ni touche ; J’avais qu’une envie c’était de me faire besogner comme une trainée ; j’imaginais me retrouver à plat ventre sur une table et me faire prendre par les trois à la suite. J’ai contenu deux orgasmes, sur le deuxième, cela à été très difficile.
En bonne salope, je les regardais droit dans les yeux et leur dit « excusez moi messieurs mais je vais aux toilettes. Je reboutonnais rapidement ma jupe et me leva en tortillant sérieusement du cul, surtout qu’il me fallait remonter toute les tables de la brasserie pour y aller, car ils étaient au font à coté de la cuisine.
Une fois arrivée, je me suis masturbée, j’ai joui plus que rapidement et j’ai poursuivi pour me redonner encore du plaisir.
Je me suis réajustée et ai regardé en direction de la table, ils parlaient, je ne pose pas la question sur quoi. Je me suis lavée les mains au lavabo et j’ai aperçu dans la glace que j’avais une tête de fille de mauvaise vie, mais qu’il y avait une autre porte qui devait donner directement dans la cuisine. Je l’ai ouverte et en croisant un cuisinier, je lui ai demandé où se trouvait la sortie. Il me l’indiquait, je suis sortie sur une autre rue, plantant mes trois lurons qui ne voulaient que me baiser.
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