Je fais tu fais nous faisons l'amour

- Par l'auteur HDS Akileditu -
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Je fais tu fais nous faisons l'amour Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Je fais tu fais nous faisons l'amour
Depuis que Rémi est revenu, on ne fait que baiser. La joie des retrouvailles sans doute. Je devrais dire qu’on n’arrête pas de faire l’amour car, pour Rémi, c’est bien de cela qu’il s’agit. Moi, je suis très très attaché à Rémi. J’aime beaucoup quand on fait l’amour ensemble. Je sais qu’il m’aime. Mais moi, c’est Paulo que j’aime.
Ca tombe bien, Rémi est en distanciel. Mais, du coup, il sèche des cours car si ça lui prend pendant un cours il n ‘attendra pas la fin… Des fois, c’est moi aussi. Moi par contre, je dois faire gaffe de ne pas entrer dans le champ de la cam de son ordi car, comme je me balade tout le temps en slip, ça risque de pas le faire pour sa classe. Il paraît que dans sa section, tous savent qu’il est homo, pas de problèmes. Il s’est déjà fait draguer par des mecs de sa classe.
Presqu’à chaque fois, quand il jouit, il me hurle son amour à pleins poumons. Et, tout de suite après, il me dit que quand il est dans cet état là, il ne sait pas toujours ce qu’il dit ! - il a beaucoup d’humour-. Il m’a aussi avoué, dans ces moments d’intimité après l’amour, que quand il allait très mal, il était retourné dans tous les endroits où on avait baisé à deux et, à l’endroit exact, il s’était branlé en pensant que c’était moi qui le branlait…Il m’a aussi avoué que Paulo, lorsqu’il l’avait appelé, lui avait dit qu’il préférait me savoir avec lui qu’avec n’importe quel partenaire de rencontre…C’est pour ça qu’il l’avait envoyé demander des nouvelles. Mais, bon, ça ne le dérangeait pas plus que ça, Rémi. Bien au contraire…Du fait que chez nous c’est sans rideaux et toujours éclairé, nos voisins d’en face, Paul et Fabrice, avaient remarqué la présence de Rémi. Lui s’est glissé sans problème dans les slips et maillots de bain de Paulo. Ce qui fait que, maintenant, on est deux à se balader ainsi tout le temps. D’ailleurs ses copains lui demandent souvent pourquoi il apparaît toujours torse nu à l’écran pendant les visios. Il dit que c’est son appart qui est surchauffé… Le soir, quand il ne fait pas trop froid, on passe un moment à discuter avec eux, de balcon à balcon, par-dessus la rue. En riant, ils nous ont dit qu’il allait à nouveau y avoir des spectacles en nocturne !
En début de nuit, c’est souvent lui qui m’entreprend dans une longue, très longue séance dont il a le secret. Tous feux allumés, - notre côté exhibs -. C’est souvent très très doux, attentionné, voluptueux…Magique. J’adore le sentir me limer tout en puissance contenue. Plusieurs fois, j’ai vu les garçons d’en face nous observer dans nos ébats. On fait pareil aussi. Finalement, je m’aperçois assez vite que je ne l’avais pas oublié tant que ça et que j’aime …sa bite et aussi sa façon d’être avec moi. J’ai toujours trouvé que, malgré son jeune âge, il avait beaucoup de savoir être en amour et de savoir faire en sexe.
C’est après ces moment là et à ma demande qu’il m’expliquait que son endurance lui venait de son initiation au yoga tantrique, lors d’un séjour en Inde à ses 19 ans. Concentration, respiration et lâcher prise. Ca donne envie d’essayer.
L’autre nuit, il avait même laissé - intentionnellement ? – la cam de son ordi branchée en direction du lit. Quand il s’en est aperçu, on a visionné tous les deux. Ben, on était assez content de la séquence, du coup on a décidé de la garder pour la montrer à Paulo.
Quand je me réveille dans la nuit - ce qui n’est pas rare -, c’est moi qui le lutine. A chaque fois, je m’ingénie à trouver des approches différentes. Comme pour Paulo, il ne se réveille pas toujours tout de suite. Je dirais même qu’il a le sommeil plus lourd que Paulo. C‘est d’autant plus rigolo. Souvent, je commence par lui faire sentir ma bite, des fois je pousse un tout petit peu mon gland entre ses lèvres. Eh ben, ça suffit pas toujours à le réveiller. Ce qui marche encore le mieux avec lui c’est quand je me mets à le sucer. Même du bout des lèvres ça le fait réagir. Une fois, j’ai même pointé ma langue un peu dans sa rondelle sans qu’il s’éveille. Un autre truc que j’aime beaucoup chez lui, c’est sa chevelure. Je devrais dire sa crinière. Blonde, ample, très bien coupée. Elle lui fait comme une auréole. J’adore passer mes doigts dedans. Une fois, j’ai même frotté ma bite dans ses cheveux. Super ! Je lui ai dit qu’un jour j’aimerais bien jouir dans ses cheveux. Il n’a rien contreMoi, j’aime bien le rudoyer un peu. Sans lui faire mal bien sûr. Il dit que ça le change de sa façon de faire. Bien que je me souvienne qu’il est aussi parfois capable d’y aller très fort. Je le mets souvent dans toutes sortes de positions qui le font parfois rigoler mais, après, il dit qu’il a aimé les sensations que ça lui avait procurées. J’essaie toujours de durer le plus possible mais, des fois, je suis tellement excité que je dépasse pas les dix minutes ! Y’a aussi un truc que je me mets à aimer de plus en plus avec lui, c’est les « directes ». Je le lime à fond puis d’un seul coup je me retire complètement, attends quelques secondes pour créer le manque et alors, je l’embroche d’un seul coup, à fond jusqu’aux couilles. Il me dit qu’il adore. Des fois, au lieu de ma bite c’est le gode que je lui mets ainsi à fond. Celui qu’il préfère, c’est celui moulé sur la bite de Paulo - le plus grand mais pas le plus gros -. Quand il prend son pied, il est comme Paulo. Je vois ses yeux qui chavirent, sa bouche s’entrouvre légèrement, laissant apercevoir ses deux canines du haut. Trop mignon.
J’aime bien aussi quand on baise dans la grande douche italienne. Lui aussi d’ailleurs. J’adore sentir l’eau chaude ruisseler sur mon corps quand je suis collé à lui. Souvent, dans ces cas là, je le prends autour de ma taille, collé au mur et je le ramone furieusement par en dessous. Ou alors, carrément allongé sur le sol de la douche, lui les jambes au ciel avec toute l’eau qui nous ruisselle dessus. Trop bon ! Ou alors, moi allongé et lui qui monte et baisse sur ma pine. Cool aussi !
Quelques nuits après son arrivée, je me suis promis d’essayer de le « faire jouir du cul » comme il avait réussi avec moi, une fois à l’hôtel ( voir « Une infinie jouissance » ). Pour profiter de sa tension sexuelle - qui devait être légère – je me suis mis à le câliner dès le début de la nuit. On ne va quand même pas attraper des habitudes à nos âges ! Comme il n’avait joui qu’une fois ( !) ce jour là, le matin, je m’étais dit qu’il ne fallait pas qu’il soit rassasié sexuellement en me baisant d’abord. Je lui fais donc le grand jeu. Bougies, musique douce, massage à l’huile - je fais attention de pas lui en mettre dans sa raie - effeuillage - bon, il n’avait qu’un slip de bain - et je me mets à le caresser et à le couvrir de bisous. Il ronronne de plaisir comme un chat.
Je me concentre alors sur sa raie et bien sûr, sa rondelle. Avant sa bite. Je le rimme avec application longuement à grands coups de langue, passant rapidement sur sa rondelle…Puis j’insiste lourdement sur sa rondelle avec ma langue pointée. En écartant bien ses globes, j’arrive à la glisser sur quelques centimètres.
« Wouaah ! Trop bon ! »Je coulisse. Il souffle. J’adore son cul. Je le trouve beau, bien galbé. Ca lui fait une superbe chute de reins, comme à Paulo. Deux belles fesses dans lesquelles je me perds avec délice. Parfaitement bronzé, sans aucune marque. Après un bon petit temps, je me décide à le doigter. Gel par ci, gel par là. Et hop ! J’ai déjà passé un doigt, excité comme il est. Je coulisse bien, je tourne, je glisse sur sa prostate. Pour plus d’aise, j’en passe un deuxième. Facile. Je dilate. Il gémit, la tête dans l’oreiller. Puis je retire mes doigts et lui enfile doucement le gode de Paulo bien bien gélifié. Je le fais coulisser doucement puis un peu plus vite en l’orientant vers l’avant de son ventre, vers sa prostate en fait. Puis, après un petit moment, je retire le gode et le remplace par mon majeur…Va commencer alors une longue séance de frottements sur sa prostate, changeant les pressions de mon doigt, les endroits, la vitesse…Tout quoi. Je l’entends souffler de plus en plus fort. Je vois son superbe cul onduler de plus en plus. Cela fait maintenant plus de quinze minutes que je suis dans son cul avec le gode ou avec mon doigt. Il se met à grogner sourdement avec des mouvements du cul de plus en plus amples et saccadés. J’en profite alors pour lui faire une « directe » et je l’embroche jusqu’aux couilles. Aussitôt je me mets à le limer de plus en plus vite en lui redressant le torse vers moi pour que je lui frotte plutôt l’avant de son rectum. Il accompagne mon mouvement de plus en plus. On atteint un rythme assez fou. Et alors, sans prévenir, il se met à crier, à crier, à hurler, à pleurer presque…« (Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!AAaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh !!!!AAAAAAAAAAAAAAHHHHHH !!! » Sa tête tourne dans tous les sens, j’ai l’impression qu’il reçoit des décharges électriques venant de son ventre« -Ouuuuuiiiiiiiii ! Oooouuuuiiiiiiii !! »Je suis surpris d’y être arrivé. Ca m’excite comme un fou et, du coup, je redouble de vitesse. Cette fois, il pleure carrément. Mais de plaisir. Maintenant, c’est lui et lui seul qui coulisse sur ma pine, à toute vitesse. Je lui saisis sa bite et me mets à la branler furieusement. Il hurle. Complètement allumé, je me tends et me mets à l’inonder de foutre brûlant à l’intérieur de son ventre. Je continue à le branler et très vite, il envoie deux jets jusqu’à son menton en hurlant comme un fou.
« -Je t’aaaaaaaiiimmme !!
Il est maintenant parcouru de spasmes nerveux, comme des décharges électriques. Son visage est mouillé de larmes. Je l’aide à redescendre tout doucement. Je me décolle, le prends dans mes bras et me love contre lui.
« -Ooooh, mon amour ! Je n’ai jamais joui comme ça de toute ma vie. Plusieurs fois, en plus ! C’était…. géant ! Merci ! Merci !! » me dit-il entre deux halètements, le souffle encore coupé.
« -Tu te souviens qu’une fois, à l’hôtel, tu m’avais fait jouir comme ça aussi ?
-Oui, je me rappelle. »Je le caresse doucement, le laissant se calmer ? Cette fois là, c’est moi qui lui ai remis ma bite, à moitié débandée, dans son trou. On s’est endormi comme ça, jusqu’au matin.

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