Je l'adore ...
Récit érotique écrit par NAMOUR [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je l'adore ...
Tout d'abord, sachez que mon épouse est très charmante, quelques rondeurs placées juste où il faut pour permettre à n'importe quel hétéro d'accéder à la douleur d'avoir une érection incontrôlable. Cheveux chatain clairs, yeux gris-vert selon l'humeur, une soixantaine de kilo pour pres d'un metre 70.
Il y a quelques jours, je lui ai glissé à l'oreille que j'apprécierai qu'elle fasse quelque chose pour m'exciter au plus haut point, a elle de se creuser la tête pour organiser cela. Les jours se passent et rien ne vient. Je me dis qu'elle a du oublier et que comme d'habitude, elle ne fera rien.
Tout ceci jusqu'à Vendredi dernier. Je devais spécialement rentrer à midi afin de manger avec elle chez nous et pouvoir me rendre à un rendez-vous dans l'après-midi. Je me gare, ouvre la porte, pose mes clés, enlève mon manteau et suis surpris par un silence inhabituel, une odeur inconnue voyage jusqu'à l'orée de mon nez, délicate et délicieuse. Habituellement mon chien vient me faire la fête quand je rentre, mon épouse dit à voix haute, voire forte, 'Bonsoir mon N'Amour' mais là, rien. Personne dans le salon ni dans la salle à manger, j'arrive à la cuisine, personne, je continue et j'arrive dans ce qui nous sert de chambre depuis quelques temps et là je voit que le lit est grand ouvert, que ma femme est allongée jambes écartées avec sa tablette en train de lire une histoire de sexe sur internet et me voyant m'invite à venir éteindre le feu qui a prit dans son entrejambe.
Elle qui habituellement se cache et n'apprécie pas trop son corps, avait décidé de se mettre en valeur avec un haut en dentelle qui faisait office de soutien gorge mais qui descendait jusqu'à son nombril. Ce haut se finissait en bas par des attaches afin d'y accorcher des bas qu'elle avait pris soin de me cacher. Le tout avec un string me permettant de voir son si joli cul. Une paire de fesses à faire bander un mort. En me voyant, elle rougit un peu, et me dit que je devrai venir m'installer à côté d'elle et lire l'histoire qui était affichée sur sa tablette car elle l'avait trouvée fort émoustillante.
Je me depechais alors de me déshabiller, je passai au-dessus d'elle pour accéder à la tablette de l'autre côté du lit, pris la tablette et commenca à lire. L'histoire était titrée 'Chéri, tu penses que je suis une salope ?' raconte un mari qui appelle sa femme pendant sa pause et qu'elle est à la maison. Il lui demande de parler sexe au téléphone, de se deshabiller et de se masturber par combinés interposés. Pendant leur conversation, des ouvriers viennent prendre quelques mesures et bien sur madame les laisse pour aller se branler avec son mari au téléphone. Sauf que les ouvriers la surprenne et sans bruit pour ne pas prévenir son mari, lui font faire tout ce que son homme lui demande de faire en pensant qu'elle se fait tirer par les trois ouvriers. Bref, une histoire bien écrite plutôt émoustillante et tout en lisant l'histoire sur la tablette, ma main droite carressait le sexe trempé de ma femme. A n'en pas douter l'histoire lui faisait à elle aussi beaucoup de chose et en la relisant avec moi elle me sussure à l'oreille : 'c'est pas une mauvaise idée le téléphone, je crois que je vais y penser une prochaine fois ...' Toute l'ambiguité de savoir qu'est ce qui l'excite ? Se toucher en se parlant au tél ou baiser avec des inconnus en ayant son mari qui ne se doute de rien au tel ?
Bref, je lis l'histoire plutôt en diagonale car mon sexe est dure comme de l'acier et ayant le coeur qui bat la chamade, je pose la tablette de côté et retourne ma femme. A quatre pattes, j'écarte son string, je decalotte ma pine, je passe un peu de salive sur mon gland violacé et je me place à l'entrée de sa chate rasée. Je m'enfonce en elle après avoir forcé un peu le passage car même si elle mouille abondemment, mon gland est bien plus imposant que d'habitude et apres avoir passé les cinq premières secondes, je commence un va-et-vient doux. Je sens qu'avec cette excitation si forte, il me sera impossible de tenir longtemps alors je lui dis quelques mots obsènes, je lui dis que c'est une belle salope, qu'elle a un cul d'enfer et que j'aimerai bien le visiter puis je lui donne une fessée légère sur ses fesses, elle aime et me dit qu'elle n'a pas été sage, qu'elle mérite sa fessée et je m'exécute pour la fesser un peu plus. Maintenant je n'ai même plus besoin d'aller et venir en elle, c'est elle qui vient s'empaler sur moi, elle crie son plaisir et amplifie encore mon excitation. Je sens ma verge frotter le long de son vagin et sens que je ne saurai me retenir longtemps. Après quelques aller et retour dans son sexe chaud, je n'en peux plus, et je joui au fond de sa chatte à grosses giclées, c'est fort et même très fort.
Tout ceci était si bandant, qu'aujourd'hui j'espère qu'elle saura remettre cette tenue afriolante et qu'elle jouera de nouveau à m'exciter comme elle a su si bien le faire. De mon côté, j'espère qu'elle saura me dire ce qui l'excite afin que je puisse lui rendre l'ascenseur. Pour une femme qui se dit pas très portée sur le sexe, Wouahhh je l'adore. Merci mon coeur. A quand tu veux !!
Il y a quelques jours, je lui ai glissé à l'oreille que j'apprécierai qu'elle fasse quelque chose pour m'exciter au plus haut point, a elle de se creuser la tête pour organiser cela. Les jours se passent et rien ne vient. Je me dis qu'elle a du oublier et que comme d'habitude, elle ne fera rien.
Tout ceci jusqu'à Vendredi dernier. Je devais spécialement rentrer à midi afin de manger avec elle chez nous et pouvoir me rendre à un rendez-vous dans l'après-midi. Je me gare, ouvre la porte, pose mes clés, enlève mon manteau et suis surpris par un silence inhabituel, une odeur inconnue voyage jusqu'à l'orée de mon nez, délicate et délicieuse. Habituellement mon chien vient me faire la fête quand je rentre, mon épouse dit à voix haute, voire forte, 'Bonsoir mon N'Amour' mais là, rien. Personne dans le salon ni dans la salle à manger, j'arrive à la cuisine, personne, je continue et j'arrive dans ce qui nous sert de chambre depuis quelques temps et là je voit que le lit est grand ouvert, que ma femme est allongée jambes écartées avec sa tablette en train de lire une histoire de sexe sur internet et me voyant m'invite à venir éteindre le feu qui a prit dans son entrejambe.
Elle qui habituellement se cache et n'apprécie pas trop son corps, avait décidé de se mettre en valeur avec un haut en dentelle qui faisait office de soutien gorge mais qui descendait jusqu'à son nombril. Ce haut se finissait en bas par des attaches afin d'y accorcher des bas qu'elle avait pris soin de me cacher. Le tout avec un string me permettant de voir son si joli cul. Une paire de fesses à faire bander un mort. En me voyant, elle rougit un peu, et me dit que je devrai venir m'installer à côté d'elle et lire l'histoire qui était affichée sur sa tablette car elle l'avait trouvée fort émoustillante.
Je me depechais alors de me déshabiller, je passai au-dessus d'elle pour accéder à la tablette de l'autre côté du lit, pris la tablette et commenca à lire. L'histoire était titrée 'Chéri, tu penses que je suis une salope ?' raconte un mari qui appelle sa femme pendant sa pause et qu'elle est à la maison. Il lui demande de parler sexe au téléphone, de se deshabiller et de se masturber par combinés interposés. Pendant leur conversation, des ouvriers viennent prendre quelques mesures et bien sur madame les laisse pour aller se branler avec son mari au téléphone. Sauf que les ouvriers la surprenne et sans bruit pour ne pas prévenir son mari, lui font faire tout ce que son homme lui demande de faire en pensant qu'elle se fait tirer par les trois ouvriers. Bref, une histoire bien écrite plutôt émoustillante et tout en lisant l'histoire sur la tablette, ma main droite carressait le sexe trempé de ma femme. A n'en pas douter l'histoire lui faisait à elle aussi beaucoup de chose et en la relisant avec moi elle me sussure à l'oreille : 'c'est pas une mauvaise idée le téléphone, je crois que je vais y penser une prochaine fois ...' Toute l'ambiguité de savoir qu'est ce qui l'excite ? Se toucher en se parlant au tél ou baiser avec des inconnus en ayant son mari qui ne se doute de rien au tel ?
Bref, je lis l'histoire plutôt en diagonale car mon sexe est dure comme de l'acier et ayant le coeur qui bat la chamade, je pose la tablette de côté et retourne ma femme. A quatre pattes, j'écarte son string, je decalotte ma pine, je passe un peu de salive sur mon gland violacé et je me place à l'entrée de sa chate rasée. Je m'enfonce en elle après avoir forcé un peu le passage car même si elle mouille abondemment, mon gland est bien plus imposant que d'habitude et apres avoir passé les cinq premières secondes, je commence un va-et-vient doux. Je sens qu'avec cette excitation si forte, il me sera impossible de tenir longtemps alors je lui dis quelques mots obsènes, je lui dis que c'est une belle salope, qu'elle a un cul d'enfer et que j'aimerai bien le visiter puis je lui donne une fessée légère sur ses fesses, elle aime et me dit qu'elle n'a pas été sage, qu'elle mérite sa fessée et je m'exécute pour la fesser un peu plus. Maintenant je n'ai même plus besoin d'aller et venir en elle, c'est elle qui vient s'empaler sur moi, elle crie son plaisir et amplifie encore mon excitation. Je sens ma verge frotter le long de son vagin et sens que je ne saurai me retenir longtemps. Après quelques aller et retour dans son sexe chaud, je n'en peux plus, et je joui au fond de sa chatte à grosses giclées, c'est fort et même très fort.
Tout ceci était si bandant, qu'aujourd'hui j'espère qu'elle saura remettre cette tenue afriolante et qu'elle jouera de nouveau à m'exciter comme elle a su si bien le faire. De mon côté, j'espère qu'elle saura me dire ce qui l'excite afin que je puisse lui rendre l'ascenseur. Pour une femme qui se dit pas très portée sur le sexe, Wouahhh je l'adore. Merci mon coeur. A quand tu veux !!
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