Je la voyais

Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Je la voyais
Je la voyais, blonde, mince, cambrée dans sa robe noire très élégante, ses cils voilant son regard vert souligné de khôl qui le rendait encore plus percutant.
Volubile, elle parlait….. avec sa longue main qui portait sans cesse une cigarette dans sa bouche qu’elle aspirait goulument….. elle ne me faisait pas spécialement de charme mais elle en dégageait tellement que je voyais notre rencontre sous un autre angle.
Il y avait une musique jazzy romantique, une jolie lumière dans sa pièce, pêche, comme ses murs, des plantes luxuriantes, une odeur de cèdre dans un brûle parfum, c’était serein et chargé de je ne sais trop quoi……
Elle parlait avec sa voix grave et un peu cassée, je lui répondais, on évoquait je ne sais trop quoi , sa vie, la mienne, ma béquille, son chien…
Ses jambes étaient croisées, sa robe un peu remontée, et je voyais le dessin des muscles de ses cuisses….
Puis tout à coup, contre toute attente, elle est venu s’asseoir près de moi sur le canapé, elle envoyait des ondes partout……Je ne sais pas comment c’est arrivé….. on s’est embrassés….. sa langue était douce, voluptueuse, fouillante, tournant autour de la mienne comme si nous avions flirté depuis longtemps, elle m’avait compris…. Je la comprenais….
Au bout d’un temps indéterminable de baisers profonds, de lèvres mordues, elle a dégagé ses seins, ronds, durs, érectiles dont j’ai sucé les bouts proéminents, comme des pointes de crayon, puis elle s’est laissée aller sur le dos, lascive.
J’ai passé ma main sous sa robeElle ne portait rien dessous, comme d’habitude m’a-t-elle ditJ’ai caressé son sexe aux poils blonds, ses lèvres encore fermées, je sentais la petite bosse de son clitoris les soulever un peu, il était dur, elle vibrait.
Puis les lèvres doucement se sont écartées d’elles mêmes, je passais mes doigts sur sa fente humide de haut en bas, sans trop voir ce qui se passait sauf dans son regard chaviré.
Mes doigts ont glissé ver le bas, où c’était le plus humide et en ai rentré un facilement, elle était ouverte, puis deux, elle était béante…j’ai soulevé sa robe pour regarder, elle s’est mise à couler, mon regard sur son ventre l’excitait manifestement, j’insistais, écartais ses lèvres pour mieux voir son secret, je me régalais à la fouiller de mes yeux, j’aime voir les femmes ouvertes, les fentes ruisselantes, leurs sexes à l’état brut animales !
elles sont animales même quand elles se targuent d’être intellos…..
je lui écartais les jambes plus encoreelle avait posé sa jambe droite sur le dossier du canapé, ouverte, je voyais tout….
Son clitoris rouge et pulsant, sa vulve brillante de son jus , son vagin ouvert et mes doigts dedans qui allaient et venaient, trempés, elle poussait de l’intérieur pour ouvrir plus encore sous mon regard, je rêvais d’y enfoncer quelque chose.
Une bougie était posée sur sa table basse, je l’ai prise, l’ai léchée pour la laver puis lui ai enfoncé doucement dans le ventre.
Elle était pliée sous le plaisir.Je voyais cet objet entrer et sortir, luisant de son foutre, je lui faisait gouter, elle suçait comme une folle, puis je la remettait dans son vagin de plus en plus béant.
Son anus était fermé, une petite étoile brillante de son jus, j’y ai introduit un doigt doucement, avec précaution….. il s’est dilaté légèrement, puis plus largement à mesure que la jouissance la faisait déraper ailleurs.
J’ai approché la bougie trempée et l’ai enfoncé tout en fourrant ma langue dans son ventre dégoulinant.
Elle avait mis ses longs ongles rouges sur sa petite lame vibrante qu ‘elle agitait compulsivement, et qui prenait la couleur des ses griffes, mes doigts dans son vagin et la bougie dans son cul, c’était trop bon, je voyais tout ça et mon gland enflait, elle m’excitait comme je pensais ne plus pouvoir l’être…..
Puis, tout à coup, d’une voix rauque, elle m’a dit « fourre moi », « vite »
J’ai libéré ma queue violette, l’ai installée en levrette et lui ai rentré profond, et à grands coups presque violents, l’ai faite jouir.
Elle avait des soubresauts inquiétants, elle feulait comme une lionne, les cheveux longs en bataille sur son dos et sa nuque trempée de sueur odoriférante.
Mais je n’avais pas eu le temps de jouir……
Elle s’est retournée et m’a sucé la queue avec application : le gland, tournant sa langue sur le frein, me décalottant, avalant mes couilles turgescentes, massant mon trou et m’offrant en spectacle son ventre béant et ruisselant, me disant des mots crus entre deux caresses de la langue : « gicle, je te bois, gicle et défonce moi, enfonce tout ce que tu veux dans mes trous, j’aime ça, regarde moi ouverte, excitée, suce ma chatte, regarde la qui coule de plus en plus, je vais jouir dans ta bouche, te noyer sous mon jus…… »
j’ai craqué, ma verge pulsait comme un cœur, ses yeux verts étaient devenus émeraude, mouillés comme son sexe, les miens pleuraient les couleurs de la mer, je l’ai fourrée avec une presque violence, elle me rendait dingue, pilonnée, empalée et puis j’ai senti la sève monter, mon gland durcir et j’ai explosé ! elle s’est vite retirée pour lécher ma semence, la croupe offerte, ronde et musclée dans laquelle j’ai glissé un doigt dans cette intimité palpitante…..
Elle s’est endormieMoi aussi
Volubile, elle parlait….. avec sa longue main qui portait sans cesse une cigarette dans sa bouche qu’elle aspirait goulument….. elle ne me faisait pas spécialement de charme mais elle en dégageait tellement que je voyais notre rencontre sous un autre angle.
Il y avait une musique jazzy romantique, une jolie lumière dans sa pièce, pêche, comme ses murs, des plantes luxuriantes, une odeur de cèdre dans un brûle parfum, c’était serein et chargé de je ne sais trop quoi……
Elle parlait avec sa voix grave et un peu cassée, je lui répondais, on évoquait je ne sais trop quoi , sa vie, la mienne, ma béquille, son chien…
Ses jambes étaient croisées, sa robe un peu remontée, et je voyais le dessin des muscles de ses cuisses….
Puis tout à coup, contre toute attente, elle est venu s’asseoir près de moi sur le canapé, elle envoyait des ondes partout……Je ne sais pas comment c’est arrivé….. on s’est embrassés….. sa langue était douce, voluptueuse, fouillante, tournant autour de la mienne comme si nous avions flirté depuis longtemps, elle m’avait compris…. Je la comprenais….
Au bout d’un temps indéterminable de baisers profonds, de lèvres mordues, elle a dégagé ses seins, ronds, durs, érectiles dont j’ai sucé les bouts proéminents, comme des pointes de crayon, puis elle s’est laissée aller sur le dos, lascive.
J’ai passé ma main sous sa robeElle ne portait rien dessous, comme d’habitude m’a-t-elle ditJ’ai caressé son sexe aux poils blonds, ses lèvres encore fermées, je sentais la petite bosse de son clitoris les soulever un peu, il était dur, elle vibrait.
Puis les lèvres doucement se sont écartées d’elles mêmes, je passais mes doigts sur sa fente humide de haut en bas, sans trop voir ce qui se passait sauf dans son regard chaviré.
Mes doigts ont glissé ver le bas, où c’était le plus humide et en ai rentré un facilement, elle était ouverte, puis deux, elle était béante…j’ai soulevé sa robe pour regarder, elle s’est mise à couler, mon regard sur son ventre l’excitait manifestement, j’insistais, écartais ses lèvres pour mieux voir son secret, je me régalais à la fouiller de mes yeux, j’aime voir les femmes ouvertes, les fentes ruisselantes, leurs sexes à l’état brut animales !
elles sont animales même quand elles se targuent d’être intellos…..
je lui écartais les jambes plus encoreelle avait posé sa jambe droite sur le dossier du canapé, ouverte, je voyais tout….
Son clitoris rouge et pulsant, sa vulve brillante de son jus , son vagin ouvert et mes doigts dedans qui allaient et venaient, trempés, elle poussait de l’intérieur pour ouvrir plus encore sous mon regard, je rêvais d’y enfoncer quelque chose.
Une bougie était posée sur sa table basse, je l’ai prise, l’ai léchée pour la laver puis lui ai enfoncé doucement dans le ventre.
Elle était pliée sous le plaisir.Je voyais cet objet entrer et sortir, luisant de son foutre, je lui faisait gouter, elle suçait comme une folle, puis je la remettait dans son vagin de plus en plus béant.
Son anus était fermé, une petite étoile brillante de son jus, j’y ai introduit un doigt doucement, avec précaution….. il s’est dilaté légèrement, puis plus largement à mesure que la jouissance la faisait déraper ailleurs.
J’ai approché la bougie trempée et l’ai enfoncé tout en fourrant ma langue dans son ventre dégoulinant.
Elle avait mis ses longs ongles rouges sur sa petite lame vibrante qu ‘elle agitait compulsivement, et qui prenait la couleur des ses griffes, mes doigts dans son vagin et la bougie dans son cul, c’était trop bon, je voyais tout ça et mon gland enflait, elle m’excitait comme je pensais ne plus pouvoir l’être…..
Puis, tout à coup, d’une voix rauque, elle m’a dit « fourre moi », « vite »
J’ai libéré ma queue violette, l’ai installée en levrette et lui ai rentré profond, et à grands coups presque violents, l’ai faite jouir.
Elle avait des soubresauts inquiétants, elle feulait comme une lionne, les cheveux longs en bataille sur son dos et sa nuque trempée de sueur odoriférante.
Mais je n’avais pas eu le temps de jouir……
Elle s’est retournée et m’a sucé la queue avec application : le gland, tournant sa langue sur le frein, me décalottant, avalant mes couilles turgescentes, massant mon trou et m’offrant en spectacle son ventre béant et ruisselant, me disant des mots crus entre deux caresses de la langue : « gicle, je te bois, gicle et défonce moi, enfonce tout ce que tu veux dans mes trous, j’aime ça, regarde moi ouverte, excitée, suce ma chatte, regarde la qui coule de plus en plus, je vais jouir dans ta bouche, te noyer sous mon jus…… »
j’ai craqué, ma verge pulsait comme un cœur, ses yeux verts étaient devenus émeraude, mouillés comme son sexe, les miens pleuraient les couleurs de la mer, je l’ai fourrée avec une presque violence, elle me rendait dingue, pilonnée, empalée et puis j’ai senti la sève monter, mon gland durcir et j’ai explosé ! elle s’est vite retirée pour lécher ma semence, la croupe offerte, ronde et musclée dans laquelle j’ai glissé un doigt dans cette intimité palpitante…..
Elle s’est endormieMoi aussi
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