Je le connaissais 03
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je le connaissais 03
Je le connaissais 03
Je remarquais qu'il bandait de nouveau. Il venait de jouir deux fois de suite, en effet ce dispositif l'excitait au plus haut niveau. En rigolant il le plaçait juste à côté de son sexe.
– Je ne sais pas si la taille est bonne mais comment tu veux la mettre quand tu es comme ça ?
– Il ne faut pas bander sinon, tu n'y arriveras pas.
Sans plus se prendre la tête il commençait à se masturber. Je le regardait faire avec envie, puis avec plus qu'une simple envie de faire comme lui, avec besoin. Et là c'est la frustration qui m'envahissait. Je bandais avec force dans ma cage et elle se relevait.
C'était pas spectaculaire, non pas vraiment. Je parle de ma réaction là. Ma queue était confinée et elle ne pouvait que manifester d'une manière assez discrète. Il le remarquait et s'en amusait. Il me taquinait en me tripotant les couilles, en me masturbant les couilles. Je me penchais sur lui et de nouveau je le suçais.
Il continuait à me tripoter les couilles avec de plus en plus de force, ça l'amusait. Il faut croire qu'un rien l'amuse. C'est un peu comme moi, enfin là il abusait un peu, il s'amusait à m'écraser les couilles, à la limite de me faire mal, bon, à la limite, je ne dis rien.
Il me glissait un ou deux doigts dans le cul, là non plus je ne dis rien, c'était plutôt agréable. Et moi je me dévouais pour lui faire plaisir et je prenais sa queue bien à fond dans ma bouche, je le masturbais. Quand je relevais la tête je le masturbais avec vigueur.
Par moment il préférait intervenir, il écartait mon visage et se masturbais lui-même. Là je faisais attention de ne pas me prendre quelque chose dans l’œil. Bein oui ça pique, dans l’œil c'est pas cool une giclée dans l’œil.
Il me laissait intervenir par intermittence pendant un long moment puis s'installait en face de moi sur un fauteuil, il écartait bien les cuisses et allongeait les jambes. Il se branlait en prenant bien son temps. Il faisait monter le plaisir, je regardais ça et j'avais envie d'intervenir mais il me faisait signe de rester à distance.
Je ne le lâchais pas des yeux, et je bavais d'envie. Ma queue continuait à protester et poussait de toutes ses forces contre les barreaux de la cage. Au départ c'était excitant à la longue ça devenait frustrant. Il y avait là, à portée de main un mec plutôt mignon, qui se branlait et savait en tirer un grand plaisir et moi en face de lui. En apparence j'étais détendu, mais en apparence seulement.
En fait je me sentais à l'étroit. La peau de ma bite faisait des bourrelets qui ressortaient un peu comme des bulles par toutes les ouvertures de ma cage. Ce n'était pas douloureux, c'était seulement désagréable. Je tentais de remuer et d'ajuster ma cage, pas moyen, je bandais tellement à l'intérieur que la peau ne pouvait pas glisser d'un millimètre.
Il me regardait faire et s'en amusait. Je le regardais faire et je ne m'en amusais plus. C'est la frustration qui gagnait. Une frustration pourtant consentie mais par moment le désir du plaisir devient plus fort, j'avais choisi la situation dans laquelle j'étais mais ce n'était pas toujours le plaisir qui se manifestait, là c'était le désir et le manque.
J'avais envie de pouvoir faire comme lui, j'avais envie de le sucer, j'avais envie de me prendre sa queue dans le cul. J'avais envie … J'avais envie de tout ce que je ne pouvais pas avoir. Surtout qu'à chacune de mes tentatives pour l'approcher, pour le toucher ou le sucer, il me repoussait.
Il me repoussait avec douceur mais avec fermeté. Il avait compris le jeux et il s'en amusait. Il arrêtait de se masturber et reprenait bien son souffle, il faisait durer le plaisir. Puis il reprenait avec vigueur, avec douceur, avec force, il alternait.
Il est resté comme ça pendant un long moment à jouer avec mes nerf autant qu'avec sa queue. Je voyais une grimace s'afficher sur son visage, il arrêtait, exprimait du plaisir puis reprenait, là encore il faisait durer le plaisir, il le faisait monter et dans mon corps, dans tout mon corps, c'est le désir qui montait et ce désir ne redescendait pas, et je savais, je l'avais compris, il ne serait pas satisfait aujourd'hui.
Ça faisait partie du choix qu'on fait quand on porte ce genre de dispositif. Ce dispositif on le choisi, on le garde, on l'aime, on le déteste … A cet instant je le détestais mais je savais déjà que quelques heures plus tard je l'aimerais et ne voudrais en aucun cas le retirer. Mais à cet instant, pour un instant j'avais envie de l'arracher et de le jeter loin, j'avais envie de me branler et d'éjaculer.
C'est au moment ou il a éjaculé que la frustration atteignait son plus haut niveau. J'ai cru ressentir du plaisir mais je ne ressentais rien, je ne respirais plus face à ce plaisir qui pourtant n'était pas le mien. Il venait de jouir deux fois un peu plus tôt mais cette troisième fois restait spectaculaire, ou alors c'était le manque, mon manque qui me fait dire cela.
Il soupirait fort, très fort et je le voyais s'effondrer sous son propre poids. Il s'effondrait lourdement sur le fauteuil pourtant il n'était pas bien gros. Tous ses muscles se détendaient, il me regardait alors avec un petit sourire satisfait et coquin.
– Ça va toi ! Me demandait-il.
Je lui répondais par une grimace, en me tripotant les couilles.
Il prenait alors le dispositif dans la main, celui que je lui destinais. Le cock-ring du dispositif de chasteté était de la même taille que le cock-ring que je lui avait donné quelques semaines plus tôt.
– Tu l'as retiré ton cock-ring depuis l'autre jour ? Lui demandais je.
Il me faisait non de la tête puis glissait sa queue hors de l'anneau, elle était maintenant devenue toute molle. La mienne dans sa cage continuait à protester et occupait toute la place, sa peau ressortait toujours.
Lui maintenant était détendu. Il glissait une couille hors de l'anneau puis la suivante.
– Il est super confortable ton truc, merci de me l'avoir donné. Me disait-il.
Il manipulait l'autre cock-ring, celui du dispositif de chasteté que j'avais fait pour lui.
– Alors tu l'essayes ? Lui demandais-je.
Il ne me répondait pas tout de suite, il continuait à examiner et à retourner encore et encore l'anneau dans la main. C'était l'anneau qui devait recevoir sa cage. Je savais qu'il lui irait, il avait exactement la même taille que celui qu'il venait de retirer.
Puis il passait le nouvel anneau, celui de la cage. Dans l'ordre sinon ça ne passe pas, il faut d'abord passer une couille, puis la seconde et enfin on passe la queue qui doit être au repos le plus total. On ne peut le retirer qu'en procédant dans l'autre sens. Les anneaux que je fabrique sont ajusté de telle manière que c'est le seul moyen de les passer ou de le retirer, ce qui les rends très sécurisés.
Ça lui allait bien, il prenait alors la cage de taille moyenne, la plus grosse lui semblait trop grosse, la plus petite lui faisait peur. Il glissait alors sa queue dans la cage choisie, l'enclenchait bien dans le cock-ring. Je lui tendait le cadenas, il avait une dernière hésitation puis verrouillait son dispositif avant de me rendre la clé.
Puis il a rigolé généreusement.
– C'est terrible ce truc, je le porte depuis quelques secondes et j'ai déjà envie de bander.
En effet il bandait, sa queue commençait déjà à gonfler de nouveau, là c'est moi qui rigolait.
– Bien et maintenant si on parlait … Combien de temps vas-tu garder ce truc ?
Il était debout devant moi, il se regardait dans un miroir.
– Je ne sais pas. On peut garder un truc comme ça combien de temps ?
– Je le porte non stop depuis plus de douze mois.
– Un an !
– Oui un an. Ça change la manière de voir les choses !
Il faisait le clown, commentait longuement ce que je venais de dire.
– Je veux bien croire que ça change la manière de voir la vie, mais c'est un truc de fou, et un ans c'est … C'est complètement dingue. Et tu vas le garder combien de temps encore …– J'en sais rien, on verra bien !
– Et pour se faire plaisir, tu proposes quoi ?
– Gode, gode ceinture, et à l'occasion quand on en trouve un, un mec avec une grosse queue …– Bon je le garde jusqu'au retour de ma femme.
– Ah ! Parce que en plus tu es marié.
– Bein oui. Me répondait-il en relevant les sourcils.
– Et tu dragues les mecs aussi.
– Bein oui. Mais là il rigolait en me répondant.
Je le regardais, je le trouvais gonflé. J'ai jamais trop compris les mecs qui draguent autant les filles que les mecs mais, bon, c'est la vie. Il en faut pour tous les goûts.
– Et elle revient quand ta femme ?
– Dans trois semaines, elle est chez ses parents.
– Et ça se passe comment avec elle ?
– Normal, pourquoi tu me demandes ?
– Pour essayer de comprendre, tu dragues toujours les mecs quand elle a le dos tourné.
– Pas seulement, il nous arrive de faire des petites soirées à quatre, on a un couple d'amis, un homme de mon âge et sa femme.
– D'accord, et ta femme …– Se fait aussi d'autres femmes …
J'étais surpris, moi je suis plus simple, ou plus compliqué peut être.
– Bien tu gardes ton dispositif pendant au moins deux semaines. C'est au bout de deux semaines que ça commence à déménager dans la tête.
– Ok ! J'essaye ton truc.
Il est resté un moment chez moi, on a parlé, j'ai vérifié si le dispositif était bien ajusté, il l'était. J'en profitais pour lui tripoter les couilles, il semblait apprécier. Je bandais toujours mais maintenant c'était de le voir en cage.
Ses couilles se resserraient et formaient deux boules bien dures, bien fermes, sa queue remplissait bien la cage mais c'est vrai qu'à ce moment il bandait.
– Tu as des godes ?
J'ouvrais un large tiroir dans, il était plein de gode de toutes tailles.
– Ah oui, je vois !
Il en prenait un bien large et me le tendait.
– Fais voir ! Me disait-il.
– Tu veux que je te l'enfonce dans … ?
– Non, toi, dans ton cul ! Il est trop gros pour moi.
Il rigolait à moitié en me disant ça. Je prenais le gode, il en avait choisi un gros, j'en faisais à peine le tour avec les doigts. Je m'allongeais sur le dos, relevais les jambes et me lubrifiais le cul. J'avais bien lubrifié le gode, le positionnais et me l'enfonçais lentement dans le cul.
Il regardait ça, il s'était installé aux premières places sur le fauteuil en face de moi. Il devait trouver que je n'allais pas assez vite, il se penchait vers moi et saisissait le gode. Il continuait alors à me l'enfoncer jusqu'à la garde mais avec un peu plus de conviction que moi. Je râlais autant de plaisir que d'une légère douleur. Il y allait un peu fort.
Le gode bien enfoncé dans mon cul il s'amusait à le faire pivoter et m'arrachait quelques grognements de plaisir. Il continuait et sans prévenir me le retirait du cul. Il remettait une dose de gel, je râlais et respirais fort, puis avec vigueur il me l'enfonçait de nouveau en un mouvement rapide bien à fond.
C'est mon gode, je sais, mais je vous jure que quand c'est moi qui le manipule c'est avec un peu plus de douceur. Il y allait avec force et rapidement il me limait le cul en me l'enfonçant et en le retirant.
J'avais les cuisses relevées et j'avais passé mes bras sous mes jambes et les tirais contre moi, un peu crispé, je laissais faire mais c'était limite. Je prenais un pied terrible, j'ai adoré, rapidement j'en pouvais plus et j'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais.
Il me limait avec rapidité maintenant et ça faisait un moment que ça durait. Puis, voyant l'heure …
– Oh mais il faut que je te laisse, on m'attend, des amis doivent passer.
Il me laissait là, se relevait s'habillait, je n'avais pas vraiment le temps de réagir ni de comprendre. J'allongeais les jambes, je respirais fort, le gode était toujours en place dans mon cul. Il me donnait un baiser sur le front et s'en allait.
– On va se revoir bientôt !
Il sortait et fermait la porte derrière lui. Je n'avais pas vraiment compris ce qui venait de se passer, le gode était toujours en place et c'est au moment ou je l'ai retiré que j'ai joui. Je me suis retrouvé submergé de plaisir et j'ai éjaculé. J'ai éjaculé généreusement plusieurs jets de sperme sont passés entre les barreaux de ma cage puis j'avais l'impression de juter pendant longtemps, très longtemps.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je remarquais qu'il bandait de nouveau. Il venait de jouir deux fois de suite, en effet ce dispositif l'excitait au plus haut niveau. En rigolant il le plaçait juste à côté de son sexe.
– Je ne sais pas si la taille est bonne mais comment tu veux la mettre quand tu es comme ça ?
– Il ne faut pas bander sinon, tu n'y arriveras pas.
Sans plus se prendre la tête il commençait à se masturber. Je le regardait faire avec envie, puis avec plus qu'une simple envie de faire comme lui, avec besoin. Et là c'est la frustration qui m'envahissait. Je bandais avec force dans ma cage et elle se relevait.
C'était pas spectaculaire, non pas vraiment. Je parle de ma réaction là. Ma queue était confinée et elle ne pouvait que manifester d'une manière assez discrète. Il le remarquait et s'en amusait. Il me taquinait en me tripotant les couilles, en me masturbant les couilles. Je me penchais sur lui et de nouveau je le suçais.
Il continuait à me tripoter les couilles avec de plus en plus de force, ça l'amusait. Il faut croire qu'un rien l'amuse. C'est un peu comme moi, enfin là il abusait un peu, il s'amusait à m'écraser les couilles, à la limite de me faire mal, bon, à la limite, je ne dis rien.
Il me glissait un ou deux doigts dans le cul, là non plus je ne dis rien, c'était plutôt agréable. Et moi je me dévouais pour lui faire plaisir et je prenais sa queue bien à fond dans ma bouche, je le masturbais. Quand je relevais la tête je le masturbais avec vigueur.
Par moment il préférait intervenir, il écartait mon visage et se masturbais lui-même. Là je faisais attention de ne pas me prendre quelque chose dans l’œil. Bein oui ça pique, dans l’œil c'est pas cool une giclée dans l’œil.
Il me laissait intervenir par intermittence pendant un long moment puis s'installait en face de moi sur un fauteuil, il écartait bien les cuisses et allongeait les jambes. Il se branlait en prenant bien son temps. Il faisait monter le plaisir, je regardais ça et j'avais envie d'intervenir mais il me faisait signe de rester à distance.
Je ne le lâchais pas des yeux, et je bavais d'envie. Ma queue continuait à protester et poussait de toutes ses forces contre les barreaux de la cage. Au départ c'était excitant à la longue ça devenait frustrant. Il y avait là, à portée de main un mec plutôt mignon, qui se branlait et savait en tirer un grand plaisir et moi en face de lui. En apparence j'étais détendu, mais en apparence seulement.
En fait je me sentais à l'étroit. La peau de ma bite faisait des bourrelets qui ressortaient un peu comme des bulles par toutes les ouvertures de ma cage. Ce n'était pas douloureux, c'était seulement désagréable. Je tentais de remuer et d'ajuster ma cage, pas moyen, je bandais tellement à l'intérieur que la peau ne pouvait pas glisser d'un millimètre.
Il me regardait faire et s'en amusait. Je le regardais faire et je ne m'en amusais plus. C'est la frustration qui gagnait. Une frustration pourtant consentie mais par moment le désir du plaisir devient plus fort, j'avais choisi la situation dans laquelle j'étais mais ce n'était pas toujours le plaisir qui se manifestait, là c'était le désir et le manque.
J'avais envie de pouvoir faire comme lui, j'avais envie de le sucer, j'avais envie de me prendre sa queue dans le cul. J'avais envie … J'avais envie de tout ce que je ne pouvais pas avoir. Surtout qu'à chacune de mes tentatives pour l'approcher, pour le toucher ou le sucer, il me repoussait.
Il me repoussait avec douceur mais avec fermeté. Il avait compris le jeux et il s'en amusait. Il arrêtait de se masturber et reprenait bien son souffle, il faisait durer le plaisir. Puis il reprenait avec vigueur, avec douceur, avec force, il alternait.
Il est resté comme ça pendant un long moment à jouer avec mes nerf autant qu'avec sa queue. Je voyais une grimace s'afficher sur son visage, il arrêtait, exprimait du plaisir puis reprenait, là encore il faisait durer le plaisir, il le faisait monter et dans mon corps, dans tout mon corps, c'est le désir qui montait et ce désir ne redescendait pas, et je savais, je l'avais compris, il ne serait pas satisfait aujourd'hui.
Ça faisait partie du choix qu'on fait quand on porte ce genre de dispositif. Ce dispositif on le choisi, on le garde, on l'aime, on le déteste … A cet instant je le détestais mais je savais déjà que quelques heures plus tard je l'aimerais et ne voudrais en aucun cas le retirer. Mais à cet instant, pour un instant j'avais envie de l'arracher et de le jeter loin, j'avais envie de me branler et d'éjaculer.
C'est au moment ou il a éjaculé que la frustration atteignait son plus haut niveau. J'ai cru ressentir du plaisir mais je ne ressentais rien, je ne respirais plus face à ce plaisir qui pourtant n'était pas le mien. Il venait de jouir deux fois un peu plus tôt mais cette troisième fois restait spectaculaire, ou alors c'était le manque, mon manque qui me fait dire cela.
Il soupirait fort, très fort et je le voyais s'effondrer sous son propre poids. Il s'effondrait lourdement sur le fauteuil pourtant il n'était pas bien gros. Tous ses muscles se détendaient, il me regardait alors avec un petit sourire satisfait et coquin.
– Ça va toi ! Me demandait-il.
Je lui répondais par une grimace, en me tripotant les couilles.
Il prenait alors le dispositif dans la main, celui que je lui destinais. Le cock-ring du dispositif de chasteté était de la même taille que le cock-ring que je lui avait donné quelques semaines plus tôt.
– Tu l'as retiré ton cock-ring depuis l'autre jour ? Lui demandais je.
Il me faisait non de la tête puis glissait sa queue hors de l'anneau, elle était maintenant devenue toute molle. La mienne dans sa cage continuait à protester et occupait toute la place, sa peau ressortait toujours.
Lui maintenant était détendu. Il glissait une couille hors de l'anneau puis la suivante.
– Il est super confortable ton truc, merci de me l'avoir donné. Me disait-il.
Il manipulait l'autre cock-ring, celui du dispositif de chasteté que j'avais fait pour lui.
– Alors tu l'essayes ? Lui demandais-je.
Il ne me répondait pas tout de suite, il continuait à examiner et à retourner encore et encore l'anneau dans la main. C'était l'anneau qui devait recevoir sa cage. Je savais qu'il lui irait, il avait exactement la même taille que celui qu'il venait de retirer.
Puis il passait le nouvel anneau, celui de la cage. Dans l'ordre sinon ça ne passe pas, il faut d'abord passer une couille, puis la seconde et enfin on passe la queue qui doit être au repos le plus total. On ne peut le retirer qu'en procédant dans l'autre sens. Les anneaux que je fabrique sont ajusté de telle manière que c'est le seul moyen de les passer ou de le retirer, ce qui les rends très sécurisés.
Ça lui allait bien, il prenait alors la cage de taille moyenne, la plus grosse lui semblait trop grosse, la plus petite lui faisait peur. Il glissait alors sa queue dans la cage choisie, l'enclenchait bien dans le cock-ring. Je lui tendait le cadenas, il avait une dernière hésitation puis verrouillait son dispositif avant de me rendre la clé.
Puis il a rigolé généreusement.
– C'est terrible ce truc, je le porte depuis quelques secondes et j'ai déjà envie de bander.
En effet il bandait, sa queue commençait déjà à gonfler de nouveau, là c'est moi qui rigolait.
– Bien et maintenant si on parlait … Combien de temps vas-tu garder ce truc ?
Il était debout devant moi, il se regardait dans un miroir.
– Je ne sais pas. On peut garder un truc comme ça combien de temps ?
– Je le porte non stop depuis plus de douze mois.
– Un an !
– Oui un an. Ça change la manière de voir les choses !
Il faisait le clown, commentait longuement ce que je venais de dire.
– Je veux bien croire que ça change la manière de voir la vie, mais c'est un truc de fou, et un ans c'est … C'est complètement dingue. Et tu vas le garder combien de temps encore …– J'en sais rien, on verra bien !
– Et pour se faire plaisir, tu proposes quoi ?
– Gode, gode ceinture, et à l'occasion quand on en trouve un, un mec avec une grosse queue …– Bon je le garde jusqu'au retour de ma femme.
– Ah ! Parce que en plus tu es marié.
– Bein oui. Me répondait-il en relevant les sourcils.
– Et tu dragues les mecs aussi.
– Bein oui. Mais là il rigolait en me répondant.
Je le regardais, je le trouvais gonflé. J'ai jamais trop compris les mecs qui draguent autant les filles que les mecs mais, bon, c'est la vie. Il en faut pour tous les goûts.
– Et elle revient quand ta femme ?
– Dans trois semaines, elle est chez ses parents.
– Et ça se passe comment avec elle ?
– Normal, pourquoi tu me demandes ?
– Pour essayer de comprendre, tu dragues toujours les mecs quand elle a le dos tourné.
– Pas seulement, il nous arrive de faire des petites soirées à quatre, on a un couple d'amis, un homme de mon âge et sa femme.
– D'accord, et ta femme …– Se fait aussi d'autres femmes …
J'étais surpris, moi je suis plus simple, ou plus compliqué peut être.
– Bien tu gardes ton dispositif pendant au moins deux semaines. C'est au bout de deux semaines que ça commence à déménager dans la tête.
– Ok ! J'essaye ton truc.
Il est resté un moment chez moi, on a parlé, j'ai vérifié si le dispositif était bien ajusté, il l'était. J'en profitais pour lui tripoter les couilles, il semblait apprécier. Je bandais toujours mais maintenant c'était de le voir en cage.
Ses couilles se resserraient et formaient deux boules bien dures, bien fermes, sa queue remplissait bien la cage mais c'est vrai qu'à ce moment il bandait.
– Tu as des godes ?
J'ouvrais un large tiroir dans, il était plein de gode de toutes tailles.
– Ah oui, je vois !
Il en prenait un bien large et me le tendait.
– Fais voir ! Me disait-il.
– Tu veux que je te l'enfonce dans … ?
– Non, toi, dans ton cul ! Il est trop gros pour moi.
Il rigolait à moitié en me disant ça. Je prenais le gode, il en avait choisi un gros, j'en faisais à peine le tour avec les doigts. Je m'allongeais sur le dos, relevais les jambes et me lubrifiais le cul. J'avais bien lubrifié le gode, le positionnais et me l'enfonçais lentement dans le cul.
Il regardait ça, il s'était installé aux premières places sur le fauteuil en face de moi. Il devait trouver que je n'allais pas assez vite, il se penchait vers moi et saisissait le gode. Il continuait alors à me l'enfoncer jusqu'à la garde mais avec un peu plus de conviction que moi. Je râlais autant de plaisir que d'une légère douleur. Il y allait un peu fort.
Le gode bien enfoncé dans mon cul il s'amusait à le faire pivoter et m'arrachait quelques grognements de plaisir. Il continuait et sans prévenir me le retirait du cul. Il remettait une dose de gel, je râlais et respirais fort, puis avec vigueur il me l'enfonçait de nouveau en un mouvement rapide bien à fond.
C'est mon gode, je sais, mais je vous jure que quand c'est moi qui le manipule c'est avec un peu plus de douceur. Il y allait avec force et rapidement il me limait le cul en me l'enfonçant et en le retirant.
J'avais les cuisses relevées et j'avais passé mes bras sous mes jambes et les tirais contre moi, un peu crispé, je laissais faire mais c'était limite. Je prenais un pied terrible, j'ai adoré, rapidement j'en pouvais plus et j'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais.
Il me limait avec rapidité maintenant et ça faisait un moment que ça durait. Puis, voyant l'heure …
– Oh mais il faut que je te laisse, on m'attend, des amis doivent passer.
Il me laissait là, se relevait s'habillait, je n'avais pas vraiment le temps de réagir ni de comprendre. J'allongeais les jambes, je respirais fort, le gode était toujours en place dans mon cul. Il me donnait un baiser sur le front et s'en allait.
– On va se revoir bientôt !
Il sortait et fermait la porte derrière lui. Je n'avais pas vraiment compris ce qui venait de se passer, le gode était toujours en place et c'est au moment ou je l'ai retiré que j'ai joui. Je me suis retrouvé submergé de plaisir et j'ai éjaculé. J'ai éjaculé généreusement plusieurs jets de sperme sont passés entre les barreaux de ma cage puis j'avais l'impression de juter pendant longtemps, très longtemps.
A suivre
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