Je lui ai appris !
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je lui ai appris !
Au début de notre liaison nous avions les rapports comme tout le monde : nous baisions à peu près normalement. Sauf qu'elle ne jouissait pas toujours. Un jour j'en ai eu assez et je lui ai demandé de se donner du plaisir. Elle savait que les filles pouvaient se branler, mais pas elle. Elle le savait par une copine de dortoir quand elle était en pension et qui le soir se masturbait en se mettant la culotte entière dans le con et qui lui disait toujours quand elle jouissait.
Je lui ai imposé de se masturber. Enfin, elle m'écoutait : elle mettait sa main gauche les doigts bien écartés pour faire ressortir son clitoris, se mouillait avec sa salive trois doigts de la main droite et elle se caressait jusqu'au moment où pour la première fois elle jouissait de ses propres œuvres. Elle me demandait de me branler aussi devant elle. Je prenais ma bite dans la main droite, descendais mon prépuce jusqu'en bas et le remontais d'abord lentement et de plus en plus vite jusqu'au moment où je giclais sur son ventre.
C’était notre première fois. Plus tard elle en voulait plus: je lui achetais un godemiché qu'elle étrennait devant moi. Elle était couchée, bien à l'aise sur le lit, la tête un peu surélevée pour mieux voir, un coussin sous les fesses pour être aussi à la hauteur et enfin elle se branlait tout d'abord le clitoris pour être bien excitée et enfin elle se mettait elle même dans son con. D’abord lentement comme nous faisions en baisant en ensuite de plus en plus vite jusqu'au moment où elle gémissait pour finir par me dire doucement qu'elle jouissait.
Ensuite j'ai voulu la sodomiser. Je l'avais fait une fois par surprise et elle m'avait demandé d'arrêter. Maintenant qu'elle se branlait seule, et souvent sans moi, je pouvais insister. C'est ainsi qu'un soir je lui demandais de se caresser le clitoris et elle était mise de telle façon que je pouvais la baiser ou la sodomiser, au choix. Je commençais par la baiser en lui mettant ma queue dans son con. Associé à sa masturbation elle ne tardait pas à jouir. Comme beaucoup de femmes elle pouvait jouir ne nombreuse fois à la suite.
Je n'avais pas joui en me retenant et cette fois elle recommençait une autre masturbation. Je la laissais faire et je lui posais ma bite sur son cul. Elle ne me disait rien. Je lui caressais le cul avec le bout de ma bite et comme elle répondait bien à cette caresse, je rentrais lentement dans son anus. Elle n'arrêtait pas sa masturbation et j'étais maintenant avec le gland dans son cul: le plus dur était fait. Je m'enfonçais à fond et je la limais sans arrête.
Elle me disait au bout d'un moment qu'elle aimait bien ce que je lui faisait. Je la sentais jouir. Cette jouissance provoquait la mienne.
Nos spasmes se confondaient et mon sperme partait dans son cul.
Je sortais d'elle: nous échangions un long baiser. Elle me disait qu'elle avait très bien jouit et que la prochaine fois elle aimerai encore que je la lui mette au cul.
La fois suivante était le lendemain soir. Nous avions décidé de passer une bonne partie de la nuit à baiser. Nous avons commencé à 22 heures. Je n’étais pas pressé et elle commençait à se caresser d'abord les seins et ensuite le pubis. Je voyais sa main se perdre entre ses jambes qu'elle ouvrait déjà largement. Elle me demandait de bien la regarder se donner du plaisir: en effet je la voyais prendre une avance sur moi en jouissant. Je bandais comme un âne et pourtant je voulais qu'elle prenne le plus de plaisir possible. Finalement je la laissais jouir en lui racontant des histoires de baise où elle était prise par un couple: elle aimait que je lui raconte des histoires imaginaires ou pas d'ailleurs.
Enfin c'était à moi de jouer: je me mettais entre ses jambes, la langue bien en avant pour arriver à son bouton et je la suçais comme elle aimait. Elle jouissait avant moi. Elle se tournait pour me prendre dans sa bouche et en 69 nous sommes arrivés à un orgasme particulièrement fort. Elle avalait mon sperme, alors que d'habitude elle ne voulait pas. Je restais dans sa bouche jusqu'à ce qu'elle avale la dernière goutte. Je l'embrassais pour la remercier et nos goût se retrouvaient dans la bouche de l'autre: divin.
Nous étions un peu fatigués, surtout moi qui venais de jouir. Pour me faire bander elle me demandait de la regarder: elle se tournait sur le ventre et entrait dans son cul un puis deux puis enfin trois doigts.
Elle se sodomisait seule et en jouissait. Bien sur je bandais bien
vite. Je ne voulais pas encore l'enculer: son con me tentait. Elle se remettait sur le dos, les jambes bien écartées et me disait: baises ta salope de femme. Je lui mettais ma pine dans son con et nous entamions la danse de la baise: nos mouvements parfaitement coordonnés et synchronisés faisaient qu'elle jouissait encore une fois. Je sortais d'elle et comme elle restait dans cette position je lui mettais ma bite entre les seins: elle louchait pour bien voir mon bout glissait sur elle. Elle sortait la langue pour tenter de lécher ma queue. Je ne faisais ça que pour elle. Elle devenait une véritable furie du sexe. Elle me suppliait de venir dans son cul. Elle restait couchée sur le dos, comme à chaque fois et au lieu de lui mettre ma bite au cul je lui caressais le tour de l'anus: lentement sans appuyer et avec son excitation elle ne tardait pas à partir encore une fois.
Maintenant je satisfaisais sa demande: elle écartait les jambes, commençais à se caresser le clitoris, levait la jambe gauche, pour que je puisse y glisser la mienne et posait son autre jambe sur la mienne. Ainsi positionnés nous pouvions sacrifier à notre sodomie. elle se mouillais les trois doigts avec sa salive (je n'ai jamais compris pourquoi elle ne se servait pas de la mouille de son con).
Elle se doigtait quelque fois. Pourtant quand je poussais ma queue sur son cul, c'était trop sérieux pour perdre son temps en vaine excitation. Elle se branlait simplement pour avoir plus de plaisir et elle en prenait déjà avec ma queue dans son cul. Une fois en elle je poussais à fond et je la limais: elle accompagnait toujours mes mouvements. Je sentais mes couilles contre ses fesses et je sentais bien mon bas ventre contre son cul. Je faisais durer le plus possible cette prise "sodomiale". Ces fois là nous jouissions toujours ensemble. Nous jouissions d'autant plus fort que nous sentions l'orgasme de l'autre elle dans son cul et moi autour de ma bite. Pour parfaire son plaisir elle avait pris son gode et se baisait seule, le temps pour moi de récupérer un peu. Elle avait une façon de se branler qui frisait le film X. Bien sur je bandais encore. Je lui demandais où elle voulait que je case ma pine. Dans mon cul. Elle avait entendu parler des doubles pénétrations qui donnaient de fameux résultats chez les femmes. Après tout pourquoi pas: elle jouirait et moi aussi. Nous reprenions la position de la sodomie. je la voyais non plus se caresser le clitoris, mais se mettre dans le con le gode. Quand elle me demandait de l'enculer je ne me faisais pas prier. Je rentrais toujours facilement dans son cul Et là, surprise: je sentais contre ma queue la gode et l'effet était totalement différent: d'abord pour elle puisqu'elle gémissait sans arrêt et pour moi qui trouvait un cul plus serré. Nous n'avons pas tardé à jouir. Elle retirait le gode et je me retirais de son cul. Elle venait vers ma bute pour sucer les derniers gouttes de sperme.
Nous avons arrêté là notre baise: il était 3 heures du matin: nous avions baisé pendant 5 heures d'affilé. Le lendemain matin nous avons dormi jusqu'à 11 heures et je me réveillais en bandant. Elle aussi avant envie de baiser une dernière fois. Nous avons fait un 69 final.
Je lui ai imposé de se masturber. Enfin, elle m'écoutait : elle mettait sa main gauche les doigts bien écartés pour faire ressortir son clitoris, se mouillait avec sa salive trois doigts de la main droite et elle se caressait jusqu'au moment où pour la première fois elle jouissait de ses propres œuvres. Elle me demandait de me branler aussi devant elle. Je prenais ma bite dans la main droite, descendais mon prépuce jusqu'en bas et le remontais d'abord lentement et de plus en plus vite jusqu'au moment où je giclais sur son ventre.
C’était notre première fois. Plus tard elle en voulait plus: je lui achetais un godemiché qu'elle étrennait devant moi. Elle était couchée, bien à l'aise sur le lit, la tête un peu surélevée pour mieux voir, un coussin sous les fesses pour être aussi à la hauteur et enfin elle se branlait tout d'abord le clitoris pour être bien excitée et enfin elle se mettait elle même dans son con. D’abord lentement comme nous faisions en baisant en ensuite de plus en plus vite jusqu'au moment où elle gémissait pour finir par me dire doucement qu'elle jouissait.
Ensuite j'ai voulu la sodomiser. Je l'avais fait une fois par surprise et elle m'avait demandé d'arrêter. Maintenant qu'elle se branlait seule, et souvent sans moi, je pouvais insister. C'est ainsi qu'un soir je lui demandais de se caresser le clitoris et elle était mise de telle façon que je pouvais la baiser ou la sodomiser, au choix. Je commençais par la baiser en lui mettant ma queue dans son con. Associé à sa masturbation elle ne tardait pas à jouir. Comme beaucoup de femmes elle pouvait jouir ne nombreuse fois à la suite.
Je n'avais pas joui en me retenant et cette fois elle recommençait une autre masturbation. Je la laissais faire et je lui posais ma bite sur son cul. Elle ne me disait rien. Je lui caressais le cul avec le bout de ma bite et comme elle répondait bien à cette caresse, je rentrais lentement dans son anus. Elle n'arrêtait pas sa masturbation et j'étais maintenant avec le gland dans son cul: le plus dur était fait. Je m'enfonçais à fond et je la limais sans arrête.
Elle me disait au bout d'un moment qu'elle aimait bien ce que je lui faisait. Je la sentais jouir. Cette jouissance provoquait la mienne.
Nos spasmes se confondaient et mon sperme partait dans son cul.
Je sortais d'elle: nous échangions un long baiser. Elle me disait qu'elle avait très bien jouit et que la prochaine fois elle aimerai encore que je la lui mette au cul.
La fois suivante était le lendemain soir. Nous avions décidé de passer une bonne partie de la nuit à baiser. Nous avons commencé à 22 heures. Je n’étais pas pressé et elle commençait à se caresser d'abord les seins et ensuite le pubis. Je voyais sa main se perdre entre ses jambes qu'elle ouvrait déjà largement. Elle me demandait de bien la regarder se donner du plaisir: en effet je la voyais prendre une avance sur moi en jouissant. Je bandais comme un âne et pourtant je voulais qu'elle prenne le plus de plaisir possible. Finalement je la laissais jouir en lui racontant des histoires de baise où elle était prise par un couple: elle aimait que je lui raconte des histoires imaginaires ou pas d'ailleurs.
Enfin c'était à moi de jouer: je me mettais entre ses jambes, la langue bien en avant pour arriver à son bouton et je la suçais comme elle aimait. Elle jouissait avant moi. Elle se tournait pour me prendre dans sa bouche et en 69 nous sommes arrivés à un orgasme particulièrement fort. Elle avalait mon sperme, alors que d'habitude elle ne voulait pas. Je restais dans sa bouche jusqu'à ce qu'elle avale la dernière goutte. Je l'embrassais pour la remercier et nos goût se retrouvaient dans la bouche de l'autre: divin.
Nous étions un peu fatigués, surtout moi qui venais de jouir. Pour me faire bander elle me demandait de la regarder: elle se tournait sur le ventre et entrait dans son cul un puis deux puis enfin trois doigts.
Elle se sodomisait seule et en jouissait. Bien sur je bandais bien
vite. Je ne voulais pas encore l'enculer: son con me tentait. Elle se remettait sur le dos, les jambes bien écartées et me disait: baises ta salope de femme. Je lui mettais ma pine dans son con et nous entamions la danse de la baise: nos mouvements parfaitement coordonnés et synchronisés faisaient qu'elle jouissait encore une fois. Je sortais d'elle et comme elle restait dans cette position je lui mettais ma bite entre les seins: elle louchait pour bien voir mon bout glissait sur elle. Elle sortait la langue pour tenter de lécher ma queue. Je ne faisais ça que pour elle. Elle devenait une véritable furie du sexe. Elle me suppliait de venir dans son cul. Elle restait couchée sur le dos, comme à chaque fois et au lieu de lui mettre ma bite au cul je lui caressais le tour de l'anus: lentement sans appuyer et avec son excitation elle ne tardait pas à partir encore une fois.
Maintenant je satisfaisais sa demande: elle écartait les jambes, commençais à se caresser le clitoris, levait la jambe gauche, pour que je puisse y glisser la mienne et posait son autre jambe sur la mienne. Ainsi positionnés nous pouvions sacrifier à notre sodomie. elle se mouillais les trois doigts avec sa salive (je n'ai jamais compris pourquoi elle ne se servait pas de la mouille de son con).
Elle se doigtait quelque fois. Pourtant quand je poussais ma queue sur son cul, c'était trop sérieux pour perdre son temps en vaine excitation. Elle se branlait simplement pour avoir plus de plaisir et elle en prenait déjà avec ma queue dans son cul. Une fois en elle je poussais à fond et je la limais: elle accompagnait toujours mes mouvements. Je sentais mes couilles contre ses fesses et je sentais bien mon bas ventre contre son cul. Je faisais durer le plus possible cette prise "sodomiale". Ces fois là nous jouissions toujours ensemble. Nous jouissions d'autant plus fort que nous sentions l'orgasme de l'autre elle dans son cul et moi autour de ma bite. Pour parfaire son plaisir elle avait pris son gode et se baisait seule, le temps pour moi de récupérer un peu. Elle avait une façon de se branler qui frisait le film X. Bien sur je bandais encore. Je lui demandais où elle voulait que je case ma pine. Dans mon cul. Elle avait entendu parler des doubles pénétrations qui donnaient de fameux résultats chez les femmes. Après tout pourquoi pas: elle jouirait et moi aussi. Nous reprenions la position de la sodomie. je la voyais non plus se caresser le clitoris, mais se mettre dans le con le gode. Quand elle me demandait de l'enculer je ne me faisais pas prier. Je rentrais toujours facilement dans son cul Et là, surprise: je sentais contre ma queue la gode et l'effet était totalement différent: d'abord pour elle puisqu'elle gémissait sans arrêt et pour moi qui trouvait un cul plus serré. Nous n'avons pas tardé à jouir. Elle retirait le gode et je me retirais de son cul. Elle venait vers ma bute pour sucer les derniers gouttes de sperme.
Nous avons arrêté là notre baise: il était 3 heures du matin: nous avions baisé pendant 5 heures d'affilé. Le lendemain matin nous avons dormi jusqu'à 11 heures et je me réveillais en bandant. Elle aussi avant envie de baiser une dernière fois. Nous avons fait un 69 final.
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