Je m'aime, et j'aime les autres
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je m'aime, et j'aime les autres
Je ne suis pas égoïste. Je partage volontiers ce que je possède, et
pourtant........... Pourtant il est une chose que je partageais
rarement: mon corps. C'est vrai ça, c'est mon seul capital. En plus
quand je me regarde dans une glace, nue, je me trouve très belle
avec mes seins durs haut perchés, mon ventre plat, mes longues
jambes le tout recouvert d'une abondante chevelure presque rousse
qui tombe sur les fesses. A chaque fois j'ai envie de moi. J'écarte
mes jambes, ouvre bien mon sexe et regarde de près mon con. Il
me plait encore plus que le reste. je ne peux jamais résister à la
tentation: je pose trois doigts sur mon bouton que je caresse: j'en
jouis toujours. Quand je sors mon joli gode et que je me le met je
jouis encore plus. Quelque fois, trop rarement, je le reconnais, je me
le met dans l'anus. Ces fois là, je suis couchée presque à plat
ventre, avec ma main droite je me mouille bien le cul et je rentre à
fond le gode, une fois même je me le suis tellement mis qu'il y était
en totalité. Quel orgasme cette fois là. Par contre j'ai eu quelques
difficulté à le sortir. Je songe à en acheter un autre peut-être plus
gros, mais surtout plus long.
Je n'ai que 30 ans, j'ai des aventures avec des garçons et même
une copine. Je commençais à me masturber très jeune sur les
conseils de cette copine justement. Elle m'avait bien expliqué
comment faire. Je ne regrette pas de l'avoir écouté. J'en ai eu des
jouissances, seule dans mon lit, sous la douche où dans les
toilettes de bistrot quand l'envie de jouir devenait trop forte. Un soir,
nous étions sortie avec ma copine quand je ne sais comment nos
lèvres au lieu de se poser sur nos joues se sont rencontrées. C'était
étrange d'avoir cette bouche sur la mienne. Je ne savais pas
embrasser quelqu'un sur la bouche et pourtant quand je sentais
cette langue qui venait sur mes lèvres, j'ouvrais ma bouche pour la
recevoir. Ce plaisir nouveau pour moi me faisait mouiller. Elle en
profitait pour me caresser les seins par dessus mon t-shirt. Je la
laissais faire en fermant les yeux. Nous étions dans la rue, en bas
de chez elle. Elle m'y entrainait. Une fois chez elle, ses parents
étaient absents, elle me menait dans sa chambre et recommençait
à m'embrasser. Cette fois elle allait bien plus loin que la poitrine:
elle posait une main sur mon sexe qu'elle caressait également par
dessus mes vêtements. J'étais passive. je posais ma tête sur son
épaule en attendant le suite: elle passait une main sur ma cuisse et
remontait lentement, trop lentement à mon gré vers mon con.
J'écartais bien les cuisses pour qu'elle ai libre accès et elle passait
une main sous mon slip. Sa main trouvait mon bouton, elle y avait
droit puisque c'est bien elle qui m'avait dit comment me faire jouir.
Pourtant il y avait une grande différence entre sa main et la mienne:
elle me donnait plus de plaisir. J'étais poussée vers le lit, les jambes
entrouvertes. Elle m'enlevait ma culotte et venait poser sa bouche
sur mon sexe. Elle sortait la langue pour venir lécher mon clitoris.
J'ignorais qu'une fille puisse faire ça à une autre. J'en jouissais et lui
disais "encore". Elle restait sur moi, la langue toujours là où elle
m'avait faite jouir et recommençait. Pourtant elle partait, me laissant
immobile. Elle se couchait à coté de moi, son string enlevé et me
demandait de la sucer à mon tour. J'hésitais un moment: j'avais un
peu honte de mettre ma bouche à cet endroit. Elle insistait.
Finalement en reconnaissance pour ce qu'elle m'avait fait je me
devais de lui rendre la pareille. A mon tour, je mettais ma tête entre
ses jambes. L'intérieur de ses cuisses était doux. Plus je remontais
plus je sentais l'odeur de son sexe. Ce n'étais pas désagréable, au
contraire, c'était même excitant. J'arrivais directement sur son
clitoris et je le léchais comme elle me l'avait fait. A son tour elle
jouissait et en demandait de recommencer. Nous nous sommes
mises nues et nous prenions la position préférée des filles entre
elles: en 69. Nous en profitions pour nous caresser le cul: je n'y
pénétrais pas alors qu'elle me rentrait ses doigts.
Nous nous retrouvons quelque fois et nous baisons bien mieux,
d'antant plus que depuis j'ai connu quelques copains, enfin des
amants.
Le premier avait mon âge, n'en connaissait pas plus que moi sur
l'art de baiser. J'en garde un seul souvenir: il m'a dépucelée. Le
deuxième avait trois ans de plus. Par contre il m'a baisée comme je
ne l'avais pas été même par ma copine, et pourtant il me suçait
aussi. Il avait pour habitude de commencer par là justement.
Ensuite, il me caressais tout le corps, m'embrassait à des endroits
improbables: sur le bas du dos, sur les fesses, sous le bras....Je
voyais son sexe devenir de plus en plus gros et long. Il m'avait appris
à le branler pendant qu'il me branlait. J'aimais voir son sperme
quand il sortait. Il m'avait même appris à gouter son jus. J'avoue que
je n'aimais pas le goût. Il se passait de jouir dans ma bouche,
seulement sur mon visage. La première fois qu'il m'a baisée, j'avais
peur de ne rien sentir d'intéressant. Après quelques coups de queue
dans mon con je sentais enfin le plaisir arriver. Je jouissais bien
avant lui et sentais son sperme jaillir en moi. C'était délicieux de le
sentir prendre son pied grâce à moi. Quand sa bite sortait, elle
devenait flasque. Je le prenait en bouche: il bandait vite pour me la
remettre. Je prenais réellement goût à ses baises. Le jour où il m'a
dit qu'il allait me la mettre au cul, j'ai eu peur. Mon anus n'avait
connu que les doigts de ma copine. Mais sa queue ?
Il a su me tranquilliser. Il m'a mis sa langue sur le cul, l'a rentrée un
peu et m'a léché longtemps. J'étais enfin prête à la pendre. Il me
mouillait l'entrée: sa queue allait facilement se loger dans mes
entrailles. Je sentait la dureté de cette bite et le petit soubresaut de
son gland quand il me passait dans mon sphincter. Le reste de la
pine était en moi totalement et je jouissais plusieurs fois encore. je
sentais également sa jouissance dans mes boyaux.
Un soir, il me dit de m'habiller très légèrement: il voulait m'emmener
dans une soirée, spéciale où je pourrai me donner à qui je voudrai
devant les autres. Il m'excitait assez pour accepter cette idée de
baiser avec un autre devant lui et le voir aussi avec sa queue dans le
con d'une autre. Je ne regretterai jamais cette fête des sens. Au
début je regardait autour de moi: c'est lui qui me disait avec qui je
pouvais aller tirer un coup. Je regardais les autres femmes et moi
aussi je lui disait celle qui me plaisais le plus pour lui.
Nous nous sommes séparés un instant, juste le temps d'aller
proposer à un ou une autre de venir baiser. Nous nous arrangions
pour baiser l'un à coté de l'autre. J'aimais le voir prendre son plaisir
avec une blonde parfaite ( comme j'aimais le voir se branler devant
moi quand j'en faisait autant ) pendant qu'un grand type me mettait
dans le cul.
Autour de nous il y avait des couples et surtout des trios. J'aurai bien
aimé être la proie de deux hommes à la fois. Je ne m'attendais pas
à la suite. C'est mon homme à qui j'en parlais en me faisant mettre
qui obtenait de celui qui de baisait de venir m'enculer. J'ouvrais les
fesse, il me crachait dessus et une fois mon anus bien humide, il
venait m'enculer directement. Je me régalais d'avoir ces deux
queues bien dures en moi. Je jouissais comme une nymphomane,
ce que je suis peut être au fond. Quand ces deux hommes
jouissaient presque à la fois et se retiraient je n'hésitais pas un seul
instant: je me branlais..... Un reste de souvenirs de ma copine me
portait vers une autre fille: elle me semblait très belle et surtout
baisable. Je m'assayais à coté d'elle, l'embrassais et directement lui
mettais ma main sur son con. Elle me rendait la pareille et nous
nous sommes branlées un bon moment, jusqu'à ce qu'elle me
demande le 69. Je n'hésitais pas un instant, j'était venu pour ça
justement. Elle était dessous, sa langue collée contre mon clito et la
mienne se promenait dans tout le con depuis le cul jusqu'à son
bouton. Nous avons joui plusieurs fois. La dernière fois je sentais
une bite contre mon cul: c'était mon amant qui venait me donner le
coup de grâce en m'enculant. Je jouissais une dernière fois. En
rentrant je lui demandais quand et où il pourrait m'emmener dans ce
genre de soirée. En souriant, il me disait qu'il savait que j'aimais
baiser et que je venait de me découvrir une bombe sexuelle. C'est
promis, lundi prochain nous irons dans une boite d'échangistes
pourtant........... Pourtant il est une chose que je partageais
rarement: mon corps. C'est vrai ça, c'est mon seul capital. En plus
quand je me regarde dans une glace, nue, je me trouve très belle
avec mes seins durs haut perchés, mon ventre plat, mes longues
jambes le tout recouvert d'une abondante chevelure presque rousse
qui tombe sur les fesses. A chaque fois j'ai envie de moi. J'écarte
mes jambes, ouvre bien mon sexe et regarde de près mon con. Il
me plait encore plus que le reste. je ne peux jamais résister à la
tentation: je pose trois doigts sur mon bouton que je caresse: j'en
jouis toujours. Quand je sors mon joli gode et que je me le met je
jouis encore plus. Quelque fois, trop rarement, je le reconnais, je me
le met dans l'anus. Ces fois là, je suis couchée presque à plat
ventre, avec ma main droite je me mouille bien le cul et je rentre à
fond le gode, une fois même je me le suis tellement mis qu'il y était
en totalité. Quel orgasme cette fois là. Par contre j'ai eu quelques
difficulté à le sortir. Je songe à en acheter un autre peut-être plus
gros, mais surtout plus long.
Je n'ai que 30 ans, j'ai des aventures avec des garçons et même
une copine. Je commençais à me masturber très jeune sur les
conseils de cette copine justement. Elle m'avait bien expliqué
comment faire. Je ne regrette pas de l'avoir écouté. J'en ai eu des
jouissances, seule dans mon lit, sous la douche où dans les
toilettes de bistrot quand l'envie de jouir devenait trop forte. Un soir,
nous étions sortie avec ma copine quand je ne sais comment nos
lèvres au lieu de se poser sur nos joues se sont rencontrées. C'était
étrange d'avoir cette bouche sur la mienne. Je ne savais pas
embrasser quelqu'un sur la bouche et pourtant quand je sentais
cette langue qui venait sur mes lèvres, j'ouvrais ma bouche pour la
recevoir. Ce plaisir nouveau pour moi me faisait mouiller. Elle en
profitait pour me caresser les seins par dessus mon t-shirt. Je la
laissais faire en fermant les yeux. Nous étions dans la rue, en bas
de chez elle. Elle m'y entrainait. Une fois chez elle, ses parents
étaient absents, elle me menait dans sa chambre et recommençait
à m'embrasser. Cette fois elle allait bien plus loin que la poitrine:
elle posait une main sur mon sexe qu'elle caressait également par
dessus mes vêtements. J'étais passive. je posais ma tête sur son
épaule en attendant le suite: elle passait une main sur ma cuisse et
remontait lentement, trop lentement à mon gré vers mon con.
J'écartais bien les cuisses pour qu'elle ai libre accès et elle passait
une main sous mon slip. Sa main trouvait mon bouton, elle y avait
droit puisque c'est bien elle qui m'avait dit comment me faire jouir.
Pourtant il y avait une grande différence entre sa main et la mienne:
elle me donnait plus de plaisir. J'étais poussée vers le lit, les jambes
entrouvertes. Elle m'enlevait ma culotte et venait poser sa bouche
sur mon sexe. Elle sortait la langue pour venir lécher mon clitoris.
J'ignorais qu'une fille puisse faire ça à une autre. J'en jouissais et lui
disais "encore". Elle restait sur moi, la langue toujours là où elle
m'avait faite jouir et recommençait. Pourtant elle partait, me laissant
immobile. Elle se couchait à coté de moi, son string enlevé et me
demandait de la sucer à mon tour. J'hésitais un moment: j'avais un
peu honte de mettre ma bouche à cet endroit. Elle insistait.
Finalement en reconnaissance pour ce qu'elle m'avait fait je me
devais de lui rendre la pareille. A mon tour, je mettais ma tête entre
ses jambes. L'intérieur de ses cuisses était doux. Plus je remontais
plus je sentais l'odeur de son sexe. Ce n'étais pas désagréable, au
contraire, c'était même excitant. J'arrivais directement sur son
clitoris et je le léchais comme elle me l'avait fait. A son tour elle
jouissait et en demandait de recommencer. Nous nous sommes
mises nues et nous prenions la position préférée des filles entre
elles: en 69. Nous en profitions pour nous caresser le cul: je n'y
pénétrais pas alors qu'elle me rentrait ses doigts.
Nous nous retrouvons quelque fois et nous baisons bien mieux,
d'antant plus que depuis j'ai connu quelques copains, enfin des
amants.
Le premier avait mon âge, n'en connaissait pas plus que moi sur
l'art de baiser. J'en garde un seul souvenir: il m'a dépucelée. Le
deuxième avait trois ans de plus. Par contre il m'a baisée comme je
ne l'avais pas été même par ma copine, et pourtant il me suçait
aussi. Il avait pour habitude de commencer par là justement.
Ensuite, il me caressais tout le corps, m'embrassait à des endroits
improbables: sur le bas du dos, sur les fesses, sous le bras....Je
voyais son sexe devenir de plus en plus gros et long. Il m'avait appris
à le branler pendant qu'il me branlait. J'aimais voir son sperme
quand il sortait. Il m'avait même appris à gouter son jus. J'avoue que
je n'aimais pas le goût. Il se passait de jouir dans ma bouche,
seulement sur mon visage. La première fois qu'il m'a baisée, j'avais
peur de ne rien sentir d'intéressant. Après quelques coups de queue
dans mon con je sentais enfin le plaisir arriver. Je jouissais bien
avant lui et sentais son sperme jaillir en moi. C'était délicieux de le
sentir prendre son pied grâce à moi. Quand sa bite sortait, elle
devenait flasque. Je le prenait en bouche: il bandait vite pour me la
remettre. Je prenais réellement goût à ses baises. Le jour où il m'a
dit qu'il allait me la mettre au cul, j'ai eu peur. Mon anus n'avait
connu que les doigts de ma copine. Mais sa queue ?
Il a su me tranquilliser. Il m'a mis sa langue sur le cul, l'a rentrée un
peu et m'a léché longtemps. J'étais enfin prête à la pendre. Il me
mouillait l'entrée: sa queue allait facilement se loger dans mes
entrailles. Je sentait la dureté de cette bite et le petit soubresaut de
son gland quand il me passait dans mon sphincter. Le reste de la
pine était en moi totalement et je jouissais plusieurs fois encore. je
sentais également sa jouissance dans mes boyaux.
Un soir, il me dit de m'habiller très légèrement: il voulait m'emmener
dans une soirée, spéciale où je pourrai me donner à qui je voudrai
devant les autres. Il m'excitait assez pour accepter cette idée de
baiser avec un autre devant lui et le voir aussi avec sa queue dans le
con d'une autre. Je ne regretterai jamais cette fête des sens. Au
début je regardait autour de moi: c'est lui qui me disait avec qui je
pouvais aller tirer un coup. Je regardais les autres femmes et moi
aussi je lui disait celle qui me plaisais le plus pour lui.
Nous nous sommes séparés un instant, juste le temps d'aller
proposer à un ou une autre de venir baiser. Nous nous arrangions
pour baiser l'un à coté de l'autre. J'aimais le voir prendre son plaisir
avec une blonde parfaite ( comme j'aimais le voir se branler devant
moi quand j'en faisait autant ) pendant qu'un grand type me mettait
dans le cul.
Autour de nous il y avait des couples et surtout des trios. J'aurai bien
aimé être la proie de deux hommes à la fois. Je ne m'attendais pas
à la suite. C'est mon homme à qui j'en parlais en me faisant mettre
qui obtenait de celui qui de baisait de venir m'enculer. J'ouvrais les
fesse, il me crachait dessus et une fois mon anus bien humide, il
venait m'enculer directement. Je me régalais d'avoir ces deux
queues bien dures en moi. Je jouissais comme une nymphomane,
ce que je suis peut être au fond. Quand ces deux hommes
jouissaient presque à la fois et se retiraient je n'hésitais pas un seul
instant: je me branlais..... Un reste de souvenirs de ma copine me
portait vers une autre fille: elle me semblait très belle et surtout
baisable. Je m'assayais à coté d'elle, l'embrassais et directement lui
mettais ma main sur son con. Elle me rendait la pareille et nous
nous sommes branlées un bon moment, jusqu'à ce qu'elle me
demande le 69. Je n'hésitais pas un instant, j'était venu pour ça
justement. Elle était dessous, sa langue collée contre mon clito et la
mienne se promenait dans tout le con depuis le cul jusqu'à son
bouton. Nous avons joui plusieurs fois. La dernière fois je sentais
une bite contre mon cul: c'était mon amant qui venait me donner le
coup de grâce en m'enculant. Je jouissais une dernière fois. En
rentrant je lui demandais quand et où il pourrait m'emmener dans ce
genre de soirée. En souriant, il me disait qu'il savait que j'aimais
baiser et que je venait de me découvrir une bombe sexuelle. C'est
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