Je me rappelle encore de ce vieux vicieux
Récit érotique écrit par FemINCONNUE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2012 dans la catégorie Pour la première fois
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Je me rappelle encore de ce vieux vicieux
Jusqu’à maintenant, je partageais mes récits en temps réel, vécus et postés les mois suivant au plus tard. Ce qui explique le nombre limité de mes histoires, la réalité étant moins quantitative que nos fantasmes.
Je dois avouer qu’écrire mon vécu la 1ère fois était nouveau pour moi, le faire partager avec des lecteurs tenait un peu du hasard, concours de circonstance et d’un test.
Cette nouvelle vie sexuelle est difficile à admettre pour une femme mariée et mère de famille de surcroit, tant les faits sont « humiliants » pour ma petite vie bien rangée. Mais je me suis aperçu du bien être que me procurait le partage de mes aventures avec des lecteurs anonymes, l’anonymat me met à l’abri de jugement direct et en parler m’aide à supporter mes doutes.
C’est suite à un échange de mail avec l’un de mes lecteurs qu’une vieille histoire m’est revenue en mémoire, pas qu’elle soit enfuie ou oubliée dans un coin de ma tête, ni qu’elle m’est traumatisée, il m’arrivait fréquemment d’y penser au début, surtout de comprendre le pourquoi de mon accord à cet homme (vous verrez ça plus loin), mais au fil des années cette question est devenue secondaire.
A l’époque j’avais 16 ans, un âge perturbé où le corps à changé pour devenir une silhouette de femme, découverte de ses nouvelles formes et surtout du regard des autres. J’avais déjà presque atteint ma taille actuelle à 2 cm près, je faisais 1,66 m pour 49 kg, je reconnais volontiers aujourd’hui que j’étais assez bien proportionné à l’époque, on regrette toujours son corps de jeunette, ma poitrine était bien évidemment beaucoup moins volumineuse, mes deux naissances n’ayant pas encore produit l’effet de « protubérance » actuelle. J’avais donc de petits seins (85), toujours un petit cul légèrement cambré et rond (ça s’est resté), des jambes fines et un peu musclés du fait de la gym, donc des cuisses fermes sans avoir un aspect musclé (je faisais de la gym pas de la musculation !), je pense que j’étais ce qu’on appelle « bien foutu », d’ailleurs on me le disait.
Ce qui va suivre sera certainement compliqué à comprendre pour les hommes, mais je suis persuadé que les femmes se reconnaîtront, tout du moins certaines. Même si moi, j’arrive difficilement à décrire cet état d’esprit de l’adolescence.
A 16 ans, mettre en valeur mes nouvelles formes était presque un besoin, pas au sens stricte, plutôt un besoin inconscient, je ne sais pas vraiment, peut-être vouloir connaitre l’effet de ce corps de femme sur les autres, se rassurer. On manque énormément d’assurance à 16 ans sur le plan du physique, d’ailleurs je ne pense pas que s’est changé aujourd’hui, sauf que les jeunes filles sont plus aguichantes dans leurs tenues qu’à mon époque, les mœurs ont changées. Les hommes diront facilement que ce sont de petites salopes, mais je pense plutôt qu’elles ressentent le même besoin que moi à ce même âge.
Les tenues provocantes n’étant pas spécialement acceptées, mes parents ne l’aurais d’ailleurs pas autorisés, là encore, les parents sont certainement plus ouverts aujourd’hui dans ce domaine, la société n’étant pas la même. Il m’était donc difficile de juger de mon attirance sur la gente masculine, sauf l’été, et oui saison propice au petite tenue, surtout les maillots de bain une ou deux pièces, mais une nouvelle mode de maillot de bain très échancré venait de voir le jour, donc une chance pour moi de me mettre en valeur.
Nous étions, mes parents, ma sœur et moi en camping au bord de mer, j’adorais aller chercher le pain à la boulangerie et d’autres petites courses, vêtue uniquement d’un maillot de bain deux pièces (attention ce n’était pas des bikinis non plus, mais assez sexy et échancrée pour me donner l’impression d’être attirante), j’aimai ces regards sur moi, surtout les garçons de mon âge évidemment, j’étais encore vierge mais le flirt était ma principal inquiétude à l’époque. Malgré tout je voyais bien le regard discret des hommes beaucoup plus âgés sur mon corps, je le sentais même si ils feintaient de ne pas me voir, surtout en présence de leur femme. Regards différents de celui des garçons de mon âge, je dirais gênés mais vicieux, un peu plus accentués pour certains, voir insistant pour d’autres qui étaient seul à ce moment là, très appuyés, ceux là me mettaient mal à l’aise, mais ils restaient une minorité, la majorité le faisant l’air de rien avec un petit air « je regarde pas », ça m’amusait.
Je ne sais pourquoi, mais j’adorais sentir ces regards, je plaisais ou tout du moins ça me rassurais de ce coté. Bien sur, je faisais comme si c’était naturel et que je n’avais pas du tout dans l’idée d’attirer les regards, j’évitais d’ailleurs d’en faire trop, la fille discrète qui ne s’imagine pas du tout que sa tenue excite les hommes, mais j’en pensais pas moins. Ce petit jeu était presque une nécessité, j’en avais besoin, seul un psy pourrait en décrire la raison, puisque ce phénomène existe encore aujourd’hui comme je l’ai déjà dit, il ne dure pas très longtemps, mais ça fait partie à mon avis du développement de la femme.
Pour revenir à mon histoire, cet après midi là, j’avais convenu d’aller à la plage, mais pas celle qui était en face le camping, mais une plage qui devait être à 3 kilomètre de là. Pourquoi ? Je savais qu’Alexandre, un copain d’école était en vacances là bas avec ses grands parents, je n’étais jamais sorti avec lui, mais en secret j’étais follement amoureuse de lui et savoir qu’il venait d’arriver en vacances pas très loin était une occasion en or pour moi, sa copine du moment n’étant pas avec lui (eh oui les copines m’ont bien renseignées), il fallait que je tente ma chance.
J’avais tout prévu, je m’étais acheté un petit deux pièces très sexy, enfin ma mère l’avait acheté, j’avais du insisté, faire ma crise d’adolescente pour l’avoir, elle le trouvait trop petit et trop osé pour une fille de mon âge, mais elle avait cédée.
J’étais sur de son effet, le haut laissait apparaitre largement la naissance de mes seins et le bas me faisait un petit cul qui ne pouvait que l’attirer dans mes filets, il laissait apparaitre presque une demie fesse. Avec un paréo en bas, j’avais tout prévu, j’arrivais devant lui, je lui fait la bise, je me retourne, enlève mon paréo devant lui et étend ma serviette sur le sable en me penchant, là mon petit cul et mes jambes devraient l’éblouir, je me met à genoux sur la serviette face à lui pour bien la tendre, il aurait une vue sur mes petits seins qui devrait finir de le faire craquer, si avec ça sa marche pas, c’est foutu, il m’a jamais vu dans cette tenue, toujours en jean et pull, franchement là je devrais le faire tomber, du moins tout ce scénario était prévu pour ça. Le but était le flirt, je n’en n’étais pas encore au sexe, même si je me touchais, je n’avais pas encore franchi le pas.
J’avais demandé à ma sœur de m’emmener à cette plage (elle à 3 ans de plus que moi et donc le permis de conduire), je ne voulais surtout pas de la présence de mes parents.
Sauf qu’au déjeuner, mon père décide d’aller ce même après midi voir des amis en camping eux aussi, mais à plusieurs kilomètre du notre ! Ce n’est pas vrai ! Ma sœur à bien le permis, mais n’a pas de voiture, c’est celle de mes parents qu’elle devait prendre. Je me mets à faire ma crise, je fais tout pour garder la priorité, mes parents ne comprennent pas mon empressement à aller sur cette plage, difficile à comprendre sorti de l’adolescence, je m’en rends compte aujourd’hui. Ma sœur me soutient même pas, elle s’en fou, la seul chose qui l’intéresse s’est de mettre fin à ce calvaire de vacances ici et retourner chez nous pour retrouver au plus vite son petit copain. Bien évidemment je n’ais pas eu gain de cause, seul accord, que je n’aille pas avec eux pour que je puisse aller à la plage, mais pas la plage que je voulais, elle est trop loin à pied. Je passe le reste du déjeuner à faire la gueule.
A 14h30, mes parents prennent la route accompagnés de ma sœur, je me retrouve seul, je suis dépitée. Je me fais une raison, je décide d’aller à la plage du camping, pas le choix, au moins je verrais si ce nouveau maillot de bain me met vraiment en valeur, je vais « allumer » cet après midi, au moins ça me fera une occupation. Je prends ce fameux maillot de bain et je me dirige vers les douches, il fait chaud et je prends beaucoup de douche, j’aime bien.
En ressortant de la douche avec mon nouveau maillot de bain je sens quelques regards sur moi, j’en étais sur, j’en suis presque fière. En arrivant devant la caravane, Monsieur X était à l’entrée- Ah tu es là et tes parents ?
Moi :- Ils sont partis voir des amis
Monsieur X :- Ah, alors c’est raté pour le petit café
Monsieur X était une personne d’une cinquantaine d’année qui occupait un emplacement pas très loin du notre, il été seul et avait la particularité d’être un ancien gendarme comme mon père, ce qui explique qu’il venait parfois boire le café ou l’apéro, ils avaient du faire connaissance au bloc sanitaire ou ailleurs, je ne sais pas, le simple fait d’avoir pratiqué le même métier semblait propice à une relation de voisinage, ça m’a toujours surpris. Je lui réponds donc toute gênée :- Désolé Monsieur X, ils ont du oublier que vous veniez pour le café
Monsieur X :- Ce n’était pas prévu, ce n’est pas grave
Je m’attendais à ce qu’il retourne à son emplacement, mais je vois son regard qui me parcourt de bas en haut, furtivement mais assez pour que je m’en rende compte. Mes joues ont immédiatement pris de la couleur, « allumer » sans le laisser paraitre s’est une chose, mais le sentir face à un vieux (eh oui pour moi c’était un vieux), ca me gênais.
Je le vois faire, enfin, demi-tour et faire quelques pas en direction de sa caravane, puis il se retourne, revient vers moi et me dit :- Il ne vous reste pas un peu de café, j’en ai plus, et à mon âge on a ses habitudes
Moi :- Il doit en rester dans la cafetière mais il doit être froid
Monsieur X :- Tu ne va pas me dire qu’une fille aussi mignonne que toi ne sait pas réchauffer du café
Je ne vous dis pas la couleur de mes joues, « mignonne » m’avait mis d’un état de gêne encore plus important. En plus, faire chauffer du café, ce n’est pas vraiment mon truc, j’en bois pas, mais bon :- Si je sais Monsieur X, vous voulez que je vous en fasse chauffer ?
Monsieur X :- Ce serait gentil de ta part, me faire servir par une aussi jolie fille c’est agréable
Je ne l’avais jamais entendu me faire autant de compliment, il est vrai que le peu de fois où je le voyais, c’était en présence de mes parents.
Je pose donc ma serviette et mon autre maillot de bain (celui que je portais en allant à la douche) sur le dossier de la chaise de l’auvent, je monte dans la caravane, verse le café dans une casserole et je la mets à chauffer. Monsieur X s’était assis à la table de camping face à l’entrée de la caravane. Pour ceux qui connaissent, le gaz de la caravane faisait face à l’entrée, donc imaginé la vue qu’il avait de moi, vu de dos, je sentais son regard, même lorsque je tournais la tête pour répondre à sa conversation, je voyais bien qu’il me regardait pour me parler, je me doutais que son regard devait descendre dès que je tournais de nouveau la tête. Mais la situation m’amusait, plus de gêne, ce petit coté « allumeuse » me plaisait, je savais qu’il me matait en douce en évitant de me le montrer, ce petit jeu était vraiment amusant pour moi, ce n’était pas méchant.
Bref, le café enfin chaud, je lui en sers une tasse et on continu notre conversation.
On discute de tout et de rien, il en vient à me demander pourquoi je les ai pas accompagnés, je lui parle de la plage où je voulais me rendre, ….
Monsieur X me dit qu’il n’a rien de particulier à faire cet après midi et qu’il peut tout à fait me conduire à cette plage pour voir mon copain.
Je m’y attendais pas, tout le scénario imaginé avec Alexandre se remet en ordre dans ma tête, l’occasion est trop belle, pourquoi la rater, je réponds presque immédiatement :- Oui, si ça vous gêne pas bien sur
Il semble un peu surpris de ma spontanéité :- Non, puisque je te le propose, il doit vraiment être mignon ce garçon
Pour seule réponse, je rougie
Je mets mon paréo, prend ma serviette, ferme la caravane et cache la clef à l’emplacement habituelle, puis rejoints Monsieur X en voiture.
La route n’est pas très rapide en cette saison, beaucoup de voiture, on parle de banalité, mais au moment où je baisse la vitre du faite de la chaleur, la conversation change :- Me dit pas que tu as chaud vu le peu de vêtements que tu portes
Ne sachant pas vraiment quoi répondre, je lui dis :- Mais il fait vraiment chaud
Monsieur X fixe mes jambes dénudées, mon paréo laissant une jambe entièrement découverte et l’autre à demie, il remonte sur mon ventre jusqu’à mes seins :- Je sais qu’il fait chaud, mais ce n’est pas le tissu qui doit te donner chaud
Il se met à rigoler, ça me rassure, je préfère le coté blague, c’est moins gênant, mais j’essaye quand même de me défendre :- Vous savez c’est la mode
Monsieur X :- Je sais, je sais
Et il commence un semi-monologue, « tu dois en faire tourner des têtes toi » « ils doivent tous être à tes pieds » …. Puis plus personnel « avec un corps comme le tient » « tu sais te mettre en valeur » « tu es vraiment très jolie » …. Pour finir, plus terre à terre « Il y en a plus d’un qui doivent penser à toi le soir » « ça te fait quoi de les imaginer se toucher en pensant à toi »
Déjà que ça devenait de plus en plus gênant, là ça allait trop loin :- Monsieur X, vous allez trop loin
Lui :- Faut pas être gêné, tu es belle, donc tout ça c’est normal, je ne voulais pas te faire peur, ne t’inquiète pas s’était seulement pour parler, je croyais que ça te ferais plaisir, tu as un jolie corps, c’est mieux que être moche, ça te plait pas ?
Moi :- Heu si, mais Monsieur X je préférerais qu’on change de sujet,
Lui :- Faut pas être gêné comme ça, ok je ne veux pas te mettre mal à l’aise, je peux te poser une dernière question ?
Difficile de dire non :- Euh, oui
La question qui tue :- Tu es toujours vierge ?
Moi :- Monsieur X !!!!!
Lui :- C’est bon j’ai compris, tu es encore vierge
Et il recommence un monologue, me faisant comprendre qu’Alexandre aura certainement envi de plus qu’un simple bisous, que si il est avec ses grands parents, on devra s’écarter un peu dans la dune pour s’embrasser, et que là il essaiera certainement d’aller plus loin … et habillé et mignonne comme je le suis il lui sera difficile de ne pas essayer … Il fini en me disant :- Tu avais pensé à tout ça ?
C’est vrai que la seule chose qui m’importait était de sortir avec Alexandre, mais pas coucher avec lui, je me sentais pas prête pour ça. Il poursuit :- Tu sais je connais bien les garçons, j’en suis un, il voudra au moins te caresser, je veux dire intimement, ça t’es déjà arrivé ?
Et moi bêtement je lui réponds :- Avec un garçon ?
Lui :- Oui évidemment, toit toute seule je me doute que tu le fais, alors avec un garçon ?
Au fur et à mesure de notre conversation, quand même très intimidante pour une jeune fille de mon âge, mais paradoxalement il avait su rendre le sujet naturel, voir instructif, je me sentais plus à l’aise pour en parler :- Non jamais, enfin si, mais pas vraiment
Lui :- Oui j’ai compris, ils t’on touché par-dessus tes vêtements et de façon maladroite et rapide, c’est tout
Moi :- Oui c’est un peu ça
Lui :- Et tu serais prête à aller jusqu’ou cet après midi avec lui ?
Moi :- Je ne veux pas coucher avec lui
Lui :- Et qu’il te touche, qu’il te masturbe ?
Moi :- Euh c’est gênant ce que vous demandez, euh oui peut-être
Lui :- Ca te fait peur de te faire caresser
Moi : - Oui un peu
Il devient compatissant, me disant que c’est normal, qu’à cet âge les garçons son parfois maladroit, qu’il faut les aider ….
Les aider ! Il est gentil lui, je lui coupe la parole :- Les aider !!!!!
Lui :- Oui, ça sera que plus agréable pour toi, tu sais comment faire ?
Tout mon scénario adélique avec Alexandre se transformait en cauchemar, tout ça s’annonçait compliqués, je commençais même à devenir inquiète de ce rendez-vous. 9a se sentait dans ma voix je crois :- Non, je ne l’ai jamais fait Monsieur X
J’avais l’impression d’être une élève qui demandait qu’à s’instruire. Et là sa réponse était tellement directe, qu’elle m’a paru naturelle sur le moment :- Je peux t’apprendre si tu veux, je connais un petit coin tranquille pas très loin, je m’y arrête et je te montre
Tellement inquiète, j’ai répondu immédiatement, naïvement, sans réfléchir :- D’accord
Aujourd’hui encore je me demande pourquoi j’ai dit oui, même si je ne savais pas exactement ce qu’il proposait en terme d’aide, je savait très bien qu’il y avait un caractère sexuel, mais j’avais confiance, pourquoi, je ne sais pas.
Il a simplement souri très gentiment, sans relevé mon accord, il a pris une route sur la droite, puis un petit chemin menant à la lisière d’un petit bois, il a stoppé le véhicule, éteint le moteur, m’a regardé de nouveau avec un petit sourire rassurant, je ne disais rien, je le laissais volontiers prendre les initiatives, ne sachant pas trop quoi faire.
Il est descendu, fait le tour jusqu’à ma portière, l’a ouverte et m’a simplement dit en me regardant avec un air rassurant :- Ne t’inquiète pas, je vais simplement te montrer, je n’irais pas plus loin je te le promets, et si tu veux arrêter, il te suffit de le dire à n’importe quel moment
J’étais anxieuse, ma seule réponse a été un sourire
Il a commencé à écarter et soulever mon paréo, sans geste brusque, il a écarté ma culotte de maillot de bain, toujours sans me regarder, moi j’étais morte de peur, n’osant pas lui dire non. J’ai commencé à ressentir des petites sensations, je sentais ses doigts, on ne peut pas dire que j’étais en transe, non au contraire, je ressentais tous ça de façon mécanique. Je sens et vois sa main qui commence à me caresser mon ventre, je repousse immédiatement sa main, il me regarde et comprend, il me dit « pardon », au même moment la chaleur monte, des sensations nouvelles me parcours, ses doigts semblent doux, il me fond du bien, ma respiration se fait plus haletante, je ne le regarde plus mes yeux se ferme, je me laisse aller. Jamais je n’ais ressenti une telle sensation lorsque je me touchais.
Son autre main me caresse ma cuisse, je m’en fou, c’est trop bon, j’en tremble, je ne peux m’empêcher de lâcher des petits cris, ils sortent tout seul. Ses gestes s’intensifient, ils semblent suivre mon excitation à une cadence que je ne maitrise plus, j’entends sa voix qui lâche des « tu es belle » « qu’est-ce que tu es belle » … Je pars, ouiiiiiii je jouis, tout mon corps tremble, c’est bon.
Ma jouissance redescend peu à peu, qu’est que s’était bon, j’ouvre les yeux, il est toujours là, à genoux ses deux mains qui se promène sur mes cuisses, il se relève légèrement, se penche sur mes seins et embrasse mon sein droit, mon excitation n’est plus là, je mets une main sur sa tête, l’autre sur ma cuisse pour repousser ses gestes, il se retire immédiatement avec un « merci », remet mon paréo que je réajuste moi-même.
Il ferme la portière, reprend sa place, démarre et nous reprenons la direction de la plage. Au bout de quelques minutes il me dit :- Tu as aimé je crois
Je me sentais « vidée » et en même temps plus sur de moi, sur de pouvoir lui répondre sans gêne :- Oui, mais ne te fais pas d’idée je n’aime pas les vieux
Pourquoi avoir dit ça aussi franchement ? Je voulais peut-être que les choses soit clair, et de toute façon s’était tout à fait vrai, il était trop vieux et en plus physiquement rien, rien qui me plaisait, du ventre, une tête ronde, cheveux grisonnant …Ma réflexion lui à fait un peu mal, je l’ai bien vu, il m’a simplement répondu :- Je te remercie quand même, je n’attendais pas plus, tu veux que je vienne te chercher à quel heure … uniquement pour te ramener bien sur, je te le promets
Je ne réponds pas tout de suite, avec tout ça, l’envie de voir Alexandre devenait secondaire, j’étais un peu perdu :- Dans deux heures si ça ne vous gêne pas
Monsieur X :- Non, je serais là … je peux compter sur ta discrétion
Nous venions d’arriver, je lui souris, descends de sa voiture et lui dit :- Bien sur que oui
Il a fait demi-tour et il est bien revenu me chercher deux heures plus tard, nous avons discuté de chose et d’autre sur le chemin de retour, mais aucune allusion à notre acte de l’aller.
J’avais d’ailleurs eu 2 heures pour y réfléchir, l’eau m’a rafraichie, je n’ai pas vu Alexandre, ais-je mal cherché ou n’avais-je pas envie de le trouver ?
J’ai eu l’occasion de voir Alexandre quelques jours plus tard, nous sommes bien sorties ensemble, mais jamais nous n’avons eu de rapports ou attouchements sexuels !
Avec le temps, j’ai compris que ce vieux vicieux avait profité de moi, il a certainement du se branler plus d’une fois en pensant à moi.
Mais moi, pourquoi avoir dit oui ? Je n’ais toujours pas la réponse !!!!!!!!!!!
NB : Si Monsieur X se reconnait, X n’est pas son nom, mais je pense que si à tout hasard il me lit, il se reconnaitra immédiatement, et je serais heureuse de discuter avec lui.
Vu l’âge, cette annonce a peu de chance d’aboutir, mais dans le cas contraire, ça serait marrant.
Je dois avouer qu’écrire mon vécu la 1ère fois était nouveau pour moi, le faire partager avec des lecteurs tenait un peu du hasard, concours de circonstance et d’un test.
Cette nouvelle vie sexuelle est difficile à admettre pour une femme mariée et mère de famille de surcroit, tant les faits sont « humiliants » pour ma petite vie bien rangée. Mais je me suis aperçu du bien être que me procurait le partage de mes aventures avec des lecteurs anonymes, l’anonymat me met à l’abri de jugement direct et en parler m’aide à supporter mes doutes.
C’est suite à un échange de mail avec l’un de mes lecteurs qu’une vieille histoire m’est revenue en mémoire, pas qu’elle soit enfuie ou oubliée dans un coin de ma tête, ni qu’elle m’est traumatisée, il m’arrivait fréquemment d’y penser au début, surtout de comprendre le pourquoi de mon accord à cet homme (vous verrez ça plus loin), mais au fil des années cette question est devenue secondaire.
A l’époque j’avais 16 ans, un âge perturbé où le corps à changé pour devenir une silhouette de femme, découverte de ses nouvelles formes et surtout du regard des autres. J’avais déjà presque atteint ma taille actuelle à 2 cm près, je faisais 1,66 m pour 49 kg, je reconnais volontiers aujourd’hui que j’étais assez bien proportionné à l’époque, on regrette toujours son corps de jeunette, ma poitrine était bien évidemment beaucoup moins volumineuse, mes deux naissances n’ayant pas encore produit l’effet de « protubérance » actuelle. J’avais donc de petits seins (85), toujours un petit cul légèrement cambré et rond (ça s’est resté), des jambes fines et un peu musclés du fait de la gym, donc des cuisses fermes sans avoir un aspect musclé (je faisais de la gym pas de la musculation !), je pense que j’étais ce qu’on appelle « bien foutu », d’ailleurs on me le disait.
Ce qui va suivre sera certainement compliqué à comprendre pour les hommes, mais je suis persuadé que les femmes se reconnaîtront, tout du moins certaines. Même si moi, j’arrive difficilement à décrire cet état d’esprit de l’adolescence.
A 16 ans, mettre en valeur mes nouvelles formes était presque un besoin, pas au sens stricte, plutôt un besoin inconscient, je ne sais pas vraiment, peut-être vouloir connaitre l’effet de ce corps de femme sur les autres, se rassurer. On manque énormément d’assurance à 16 ans sur le plan du physique, d’ailleurs je ne pense pas que s’est changé aujourd’hui, sauf que les jeunes filles sont plus aguichantes dans leurs tenues qu’à mon époque, les mœurs ont changées. Les hommes diront facilement que ce sont de petites salopes, mais je pense plutôt qu’elles ressentent le même besoin que moi à ce même âge.
Les tenues provocantes n’étant pas spécialement acceptées, mes parents ne l’aurais d’ailleurs pas autorisés, là encore, les parents sont certainement plus ouverts aujourd’hui dans ce domaine, la société n’étant pas la même. Il m’était donc difficile de juger de mon attirance sur la gente masculine, sauf l’été, et oui saison propice au petite tenue, surtout les maillots de bain une ou deux pièces, mais une nouvelle mode de maillot de bain très échancré venait de voir le jour, donc une chance pour moi de me mettre en valeur.
Nous étions, mes parents, ma sœur et moi en camping au bord de mer, j’adorais aller chercher le pain à la boulangerie et d’autres petites courses, vêtue uniquement d’un maillot de bain deux pièces (attention ce n’était pas des bikinis non plus, mais assez sexy et échancrée pour me donner l’impression d’être attirante), j’aimai ces regards sur moi, surtout les garçons de mon âge évidemment, j’étais encore vierge mais le flirt était ma principal inquiétude à l’époque. Malgré tout je voyais bien le regard discret des hommes beaucoup plus âgés sur mon corps, je le sentais même si ils feintaient de ne pas me voir, surtout en présence de leur femme. Regards différents de celui des garçons de mon âge, je dirais gênés mais vicieux, un peu plus accentués pour certains, voir insistant pour d’autres qui étaient seul à ce moment là, très appuyés, ceux là me mettaient mal à l’aise, mais ils restaient une minorité, la majorité le faisant l’air de rien avec un petit air « je regarde pas », ça m’amusait.
Je ne sais pourquoi, mais j’adorais sentir ces regards, je plaisais ou tout du moins ça me rassurais de ce coté. Bien sur, je faisais comme si c’était naturel et que je n’avais pas du tout dans l’idée d’attirer les regards, j’évitais d’ailleurs d’en faire trop, la fille discrète qui ne s’imagine pas du tout que sa tenue excite les hommes, mais j’en pensais pas moins. Ce petit jeu était presque une nécessité, j’en avais besoin, seul un psy pourrait en décrire la raison, puisque ce phénomène existe encore aujourd’hui comme je l’ai déjà dit, il ne dure pas très longtemps, mais ça fait partie à mon avis du développement de la femme.
Pour revenir à mon histoire, cet après midi là, j’avais convenu d’aller à la plage, mais pas celle qui était en face le camping, mais une plage qui devait être à 3 kilomètre de là. Pourquoi ? Je savais qu’Alexandre, un copain d’école était en vacances là bas avec ses grands parents, je n’étais jamais sorti avec lui, mais en secret j’étais follement amoureuse de lui et savoir qu’il venait d’arriver en vacances pas très loin était une occasion en or pour moi, sa copine du moment n’étant pas avec lui (eh oui les copines m’ont bien renseignées), il fallait que je tente ma chance.
J’avais tout prévu, je m’étais acheté un petit deux pièces très sexy, enfin ma mère l’avait acheté, j’avais du insisté, faire ma crise d’adolescente pour l’avoir, elle le trouvait trop petit et trop osé pour une fille de mon âge, mais elle avait cédée.
J’étais sur de son effet, le haut laissait apparaitre largement la naissance de mes seins et le bas me faisait un petit cul qui ne pouvait que l’attirer dans mes filets, il laissait apparaitre presque une demie fesse. Avec un paréo en bas, j’avais tout prévu, j’arrivais devant lui, je lui fait la bise, je me retourne, enlève mon paréo devant lui et étend ma serviette sur le sable en me penchant, là mon petit cul et mes jambes devraient l’éblouir, je me met à genoux sur la serviette face à lui pour bien la tendre, il aurait une vue sur mes petits seins qui devrait finir de le faire craquer, si avec ça sa marche pas, c’est foutu, il m’a jamais vu dans cette tenue, toujours en jean et pull, franchement là je devrais le faire tomber, du moins tout ce scénario était prévu pour ça. Le but était le flirt, je n’en n’étais pas encore au sexe, même si je me touchais, je n’avais pas encore franchi le pas.
J’avais demandé à ma sœur de m’emmener à cette plage (elle à 3 ans de plus que moi et donc le permis de conduire), je ne voulais surtout pas de la présence de mes parents.
Sauf qu’au déjeuner, mon père décide d’aller ce même après midi voir des amis en camping eux aussi, mais à plusieurs kilomètre du notre ! Ce n’est pas vrai ! Ma sœur à bien le permis, mais n’a pas de voiture, c’est celle de mes parents qu’elle devait prendre. Je me mets à faire ma crise, je fais tout pour garder la priorité, mes parents ne comprennent pas mon empressement à aller sur cette plage, difficile à comprendre sorti de l’adolescence, je m’en rends compte aujourd’hui. Ma sœur me soutient même pas, elle s’en fou, la seul chose qui l’intéresse s’est de mettre fin à ce calvaire de vacances ici et retourner chez nous pour retrouver au plus vite son petit copain. Bien évidemment je n’ais pas eu gain de cause, seul accord, que je n’aille pas avec eux pour que je puisse aller à la plage, mais pas la plage que je voulais, elle est trop loin à pied. Je passe le reste du déjeuner à faire la gueule.
A 14h30, mes parents prennent la route accompagnés de ma sœur, je me retrouve seul, je suis dépitée. Je me fais une raison, je décide d’aller à la plage du camping, pas le choix, au moins je verrais si ce nouveau maillot de bain me met vraiment en valeur, je vais « allumer » cet après midi, au moins ça me fera une occupation. Je prends ce fameux maillot de bain et je me dirige vers les douches, il fait chaud et je prends beaucoup de douche, j’aime bien.
En ressortant de la douche avec mon nouveau maillot de bain je sens quelques regards sur moi, j’en étais sur, j’en suis presque fière. En arrivant devant la caravane, Monsieur X était à l’entrée- Ah tu es là et tes parents ?
Moi :- Ils sont partis voir des amis
Monsieur X :- Ah, alors c’est raté pour le petit café
Monsieur X était une personne d’une cinquantaine d’année qui occupait un emplacement pas très loin du notre, il été seul et avait la particularité d’être un ancien gendarme comme mon père, ce qui explique qu’il venait parfois boire le café ou l’apéro, ils avaient du faire connaissance au bloc sanitaire ou ailleurs, je ne sais pas, le simple fait d’avoir pratiqué le même métier semblait propice à une relation de voisinage, ça m’a toujours surpris. Je lui réponds donc toute gênée :- Désolé Monsieur X, ils ont du oublier que vous veniez pour le café
Monsieur X :- Ce n’était pas prévu, ce n’est pas grave
Je m’attendais à ce qu’il retourne à son emplacement, mais je vois son regard qui me parcourt de bas en haut, furtivement mais assez pour que je m’en rende compte. Mes joues ont immédiatement pris de la couleur, « allumer » sans le laisser paraitre s’est une chose, mais le sentir face à un vieux (eh oui pour moi c’était un vieux), ca me gênais.
Je le vois faire, enfin, demi-tour et faire quelques pas en direction de sa caravane, puis il se retourne, revient vers moi et me dit :- Il ne vous reste pas un peu de café, j’en ai plus, et à mon âge on a ses habitudes
Moi :- Il doit en rester dans la cafetière mais il doit être froid
Monsieur X :- Tu ne va pas me dire qu’une fille aussi mignonne que toi ne sait pas réchauffer du café
Je ne vous dis pas la couleur de mes joues, « mignonne » m’avait mis d’un état de gêne encore plus important. En plus, faire chauffer du café, ce n’est pas vraiment mon truc, j’en bois pas, mais bon :- Si je sais Monsieur X, vous voulez que je vous en fasse chauffer ?
Monsieur X :- Ce serait gentil de ta part, me faire servir par une aussi jolie fille c’est agréable
Je ne l’avais jamais entendu me faire autant de compliment, il est vrai que le peu de fois où je le voyais, c’était en présence de mes parents.
Je pose donc ma serviette et mon autre maillot de bain (celui que je portais en allant à la douche) sur le dossier de la chaise de l’auvent, je monte dans la caravane, verse le café dans une casserole et je la mets à chauffer. Monsieur X s’était assis à la table de camping face à l’entrée de la caravane. Pour ceux qui connaissent, le gaz de la caravane faisait face à l’entrée, donc imaginé la vue qu’il avait de moi, vu de dos, je sentais son regard, même lorsque je tournais la tête pour répondre à sa conversation, je voyais bien qu’il me regardait pour me parler, je me doutais que son regard devait descendre dès que je tournais de nouveau la tête. Mais la situation m’amusait, plus de gêne, ce petit coté « allumeuse » me plaisait, je savais qu’il me matait en douce en évitant de me le montrer, ce petit jeu était vraiment amusant pour moi, ce n’était pas méchant.
Bref, le café enfin chaud, je lui en sers une tasse et on continu notre conversation.
On discute de tout et de rien, il en vient à me demander pourquoi je les ai pas accompagnés, je lui parle de la plage où je voulais me rendre, ….
Monsieur X me dit qu’il n’a rien de particulier à faire cet après midi et qu’il peut tout à fait me conduire à cette plage pour voir mon copain.
Je m’y attendais pas, tout le scénario imaginé avec Alexandre se remet en ordre dans ma tête, l’occasion est trop belle, pourquoi la rater, je réponds presque immédiatement :- Oui, si ça vous gêne pas bien sur
Il semble un peu surpris de ma spontanéité :- Non, puisque je te le propose, il doit vraiment être mignon ce garçon
Pour seule réponse, je rougie
Je mets mon paréo, prend ma serviette, ferme la caravane et cache la clef à l’emplacement habituelle, puis rejoints Monsieur X en voiture.
La route n’est pas très rapide en cette saison, beaucoup de voiture, on parle de banalité, mais au moment où je baisse la vitre du faite de la chaleur, la conversation change :- Me dit pas que tu as chaud vu le peu de vêtements que tu portes
Ne sachant pas vraiment quoi répondre, je lui dis :- Mais il fait vraiment chaud
Monsieur X fixe mes jambes dénudées, mon paréo laissant une jambe entièrement découverte et l’autre à demie, il remonte sur mon ventre jusqu’à mes seins :- Je sais qu’il fait chaud, mais ce n’est pas le tissu qui doit te donner chaud
Il se met à rigoler, ça me rassure, je préfère le coté blague, c’est moins gênant, mais j’essaye quand même de me défendre :- Vous savez c’est la mode
Monsieur X :- Je sais, je sais
Et il commence un semi-monologue, « tu dois en faire tourner des têtes toi » « ils doivent tous être à tes pieds » …. Puis plus personnel « avec un corps comme le tient » « tu sais te mettre en valeur » « tu es vraiment très jolie » …. Pour finir, plus terre à terre « Il y en a plus d’un qui doivent penser à toi le soir » « ça te fait quoi de les imaginer se toucher en pensant à toi »
Déjà que ça devenait de plus en plus gênant, là ça allait trop loin :- Monsieur X, vous allez trop loin
Lui :- Faut pas être gêné, tu es belle, donc tout ça c’est normal, je ne voulais pas te faire peur, ne t’inquiète pas s’était seulement pour parler, je croyais que ça te ferais plaisir, tu as un jolie corps, c’est mieux que être moche, ça te plait pas ?
Moi :- Heu si, mais Monsieur X je préférerais qu’on change de sujet,
Lui :- Faut pas être gêné comme ça, ok je ne veux pas te mettre mal à l’aise, je peux te poser une dernière question ?
Difficile de dire non :- Euh, oui
La question qui tue :- Tu es toujours vierge ?
Moi :- Monsieur X !!!!!
Lui :- C’est bon j’ai compris, tu es encore vierge
Et il recommence un monologue, me faisant comprendre qu’Alexandre aura certainement envi de plus qu’un simple bisous, que si il est avec ses grands parents, on devra s’écarter un peu dans la dune pour s’embrasser, et que là il essaiera certainement d’aller plus loin … et habillé et mignonne comme je le suis il lui sera difficile de ne pas essayer … Il fini en me disant :- Tu avais pensé à tout ça ?
C’est vrai que la seule chose qui m’importait était de sortir avec Alexandre, mais pas coucher avec lui, je me sentais pas prête pour ça. Il poursuit :- Tu sais je connais bien les garçons, j’en suis un, il voudra au moins te caresser, je veux dire intimement, ça t’es déjà arrivé ?
Et moi bêtement je lui réponds :- Avec un garçon ?
Lui :- Oui évidemment, toit toute seule je me doute que tu le fais, alors avec un garçon ?
Au fur et à mesure de notre conversation, quand même très intimidante pour une jeune fille de mon âge, mais paradoxalement il avait su rendre le sujet naturel, voir instructif, je me sentais plus à l’aise pour en parler :- Non jamais, enfin si, mais pas vraiment
Lui :- Oui j’ai compris, ils t’on touché par-dessus tes vêtements et de façon maladroite et rapide, c’est tout
Moi :- Oui c’est un peu ça
Lui :- Et tu serais prête à aller jusqu’ou cet après midi avec lui ?
Moi :- Je ne veux pas coucher avec lui
Lui :- Et qu’il te touche, qu’il te masturbe ?
Moi :- Euh c’est gênant ce que vous demandez, euh oui peut-être
Lui :- Ca te fait peur de te faire caresser
Moi : - Oui un peu
Il devient compatissant, me disant que c’est normal, qu’à cet âge les garçons son parfois maladroit, qu’il faut les aider ….
Les aider ! Il est gentil lui, je lui coupe la parole :- Les aider !!!!!
Lui :- Oui, ça sera que plus agréable pour toi, tu sais comment faire ?
Tout mon scénario adélique avec Alexandre se transformait en cauchemar, tout ça s’annonçait compliqués, je commençais même à devenir inquiète de ce rendez-vous. 9a se sentait dans ma voix je crois :- Non, je ne l’ai jamais fait Monsieur X
J’avais l’impression d’être une élève qui demandait qu’à s’instruire. Et là sa réponse était tellement directe, qu’elle m’a paru naturelle sur le moment :- Je peux t’apprendre si tu veux, je connais un petit coin tranquille pas très loin, je m’y arrête et je te montre
Tellement inquiète, j’ai répondu immédiatement, naïvement, sans réfléchir :- D’accord
Aujourd’hui encore je me demande pourquoi j’ai dit oui, même si je ne savais pas exactement ce qu’il proposait en terme d’aide, je savait très bien qu’il y avait un caractère sexuel, mais j’avais confiance, pourquoi, je ne sais pas.
Il a simplement souri très gentiment, sans relevé mon accord, il a pris une route sur la droite, puis un petit chemin menant à la lisière d’un petit bois, il a stoppé le véhicule, éteint le moteur, m’a regardé de nouveau avec un petit sourire rassurant, je ne disais rien, je le laissais volontiers prendre les initiatives, ne sachant pas trop quoi faire.
Il est descendu, fait le tour jusqu’à ma portière, l’a ouverte et m’a simplement dit en me regardant avec un air rassurant :- Ne t’inquiète pas, je vais simplement te montrer, je n’irais pas plus loin je te le promets, et si tu veux arrêter, il te suffit de le dire à n’importe quel moment
J’étais anxieuse, ma seule réponse a été un sourire
Il a commencé à écarter et soulever mon paréo, sans geste brusque, il a écarté ma culotte de maillot de bain, toujours sans me regarder, moi j’étais morte de peur, n’osant pas lui dire non. J’ai commencé à ressentir des petites sensations, je sentais ses doigts, on ne peut pas dire que j’étais en transe, non au contraire, je ressentais tous ça de façon mécanique. Je sens et vois sa main qui commence à me caresser mon ventre, je repousse immédiatement sa main, il me regarde et comprend, il me dit « pardon », au même moment la chaleur monte, des sensations nouvelles me parcours, ses doigts semblent doux, il me fond du bien, ma respiration se fait plus haletante, je ne le regarde plus mes yeux se ferme, je me laisse aller. Jamais je n’ais ressenti une telle sensation lorsque je me touchais.
Son autre main me caresse ma cuisse, je m’en fou, c’est trop bon, j’en tremble, je ne peux m’empêcher de lâcher des petits cris, ils sortent tout seul. Ses gestes s’intensifient, ils semblent suivre mon excitation à une cadence que je ne maitrise plus, j’entends sa voix qui lâche des « tu es belle » « qu’est-ce que tu es belle » … Je pars, ouiiiiiii je jouis, tout mon corps tremble, c’est bon.
Ma jouissance redescend peu à peu, qu’est que s’était bon, j’ouvre les yeux, il est toujours là, à genoux ses deux mains qui se promène sur mes cuisses, il se relève légèrement, se penche sur mes seins et embrasse mon sein droit, mon excitation n’est plus là, je mets une main sur sa tête, l’autre sur ma cuisse pour repousser ses gestes, il se retire immédiatement avec un « merci », remet mon paréo que je réajuste moi-même.
Il ferme la portière, reprend sa place, démarre et nous reprenons la direction de la plage. Au bout de quelques minutes il me dit :- Tu as aimé je crois
Je me sentais « vidée » et en même temps plus sur de moi, sur de pouvoir lui répondre sans gêne :- Oui, mais ne te fais pas d’idée je n’aime pas les vieux
Pourquoi avoir dit ça aussi franchement ? Je voulais peut-être que les choses soit clair, et de toute façon s’était tout à fait vrai, il était trop vieux et en plus physiquement rien, rien qui me plaisait, du ventre, une tête ronde, cheveux grisonnant …Ma réflexion lui à fait un peu mal, je l’ai bien vu, il m’a simplement répondu :- Je te remercie quand même, je n’attendais pas plus, tu veux que je vienne te chercher à quel heure … uniquement pour te ramener bien sur, je te le promets
Je ne réponds pas tout de suite, avec tout ça, l’envie de voir Alexandre devenait secondaire, j’étais un peu perdu :- Dans deux heures si ça ne vous gêne pas
Monsieur X :- Non, je serais là … je peux compter sur ta discrétion
Nous venions d’arriver, je lui souris, descends de sa voiture et lui dit :- Bien sur que oui
Il a fait demi-tour et il est bien revenu me chercher deux heures plus tard, nous avons discuté de chose et d’autre sur le chemin de retour, mais aucune allusion à notre acte de l’aller.
J’avais d’ailleurs eu 2 heures pour y réfléchir, l’eau m’a rafraichie, je n’ai pas vu Alexandre, ais-je mal cherché ou n’avais-je pas envie de le trouver ?
J’ai eu l’occasion de voir Alexandre quelques jours plus tard, nous sommes bien sorties ensemble, mais jamais nous n’avons eu de rapports ou attouchements sexuels !
Avec le temps, j’ai compris que ce vieux vicieux avait profité de moi, il a certainement du se branler plus d’une fois en pensant à moi.
Mais moi, pourquoi avoir dit oui ? Je n’ais toujours pas la réponse !!!!!!!!!!!
NB : Si Monsieur X se reconnait, X n’est pas son nom, mais je pense que si à tout hasard il me lit, il se reconnaitra immédiatement, et je serais heureuse de discuter avec lui.
Vu l’âge, cette annonce a peu de chance d’aboutir, mais dans le cas contraire, ça serait marrant.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
delicieuse histoire magnifiquement racontée tout en petites touches sensuelles
c'est de l'erotisme vrai bravo
cela donne tres envie d'ecrire avec vous a 4 mains.........
c'est de l'erotisme vrai bravo
cela donne tres envie d'ecrire avec vous a 4 mains.........
SAlut j'aimerai bien en savoir plus vous et sur toutes vos histoires ainsi que voir des
photos de vous bien cochonnesmmmmmmmmmmm
photos de vous bien cochonnesmmmmmmmmmmm
Rassure toi je ne suis pas déçu, par contre je voulais utiliser le terme de nuisettes
( plus adaptées à la quarantaine ) et non pas combinaison.
Par contre continue à me ( nous ) faire rêver avec tes belles histoires de femmes
infidèles...Un admirateur nullement déçu.
( plus adaptées à la quarantaine ) et non pas combinaison.
Par contre continue à me ( nous ) faire rêver avec tes belles histoires de femmes
infidèles...Un admirateur nullement déçu.
Je vais en decevoir au moins un, non je ne porte pas de "combinaison" sous mes robes,
"combinaison" pour moi c'est un truc de grand mère !!!
Même si je n'ai plus 20 ans, j'en ai pas 70 non plus
"combinaison" pour moi c'est un truc de grand mère !!!
Même si je n'ai plus 20 ans, j'en ai pas 70 non plus
Tu ne portes jamais de combinaison sous ta robe ???
Allez reprend vite ta plume, j'attends la suite de tes aventures de femmes infidèles
avec tes tenues sexy hyper excitantes ( en bottes et des bas ) HUM !!! une combinaison
avec de la dentelle en plus pour une femme de 40 ans et ce serait parfait.
Allez reprend vite ta plume, j'attends la suite de tes aventures de femmes infidèles
avec tes tenues sexy hyper excitantes ( en bottes et des bas ) HUM !!! une combinaison
avec de la dentelle en plus pour une femme de 40 ans et ce serait parfait.
REPREND VITE TON ECRITURE...Impatient d'avoir la suite des autres aventures après ton
mariage. Pense à mettre tes bottes comme la fois où tu es aller voir un arabe...C'était
hyper excitant.
mariage. Pense à mettre tes bottes comme la fois où tu es aller voir un arabe...C'était
hyper excitant.
Bien pascal, merci pour la precision, je viens d'apprendre quelque chose !!!!
Serieusement, tu es le genre de mec qui se ballade de récit en récit pour touver
l'erreure commise !
Donc je suis un homme, ouhaou, tu dois être un fan de roman policier toi, bon j'avoue
Colombo, oui barbu hyper poilu ... ne le dit à personne stp
Pour être franche, au risque de te vexer, ce genre de remarque du mec qui amène sa
science (qu'un ado, d'ailleurs, connait déjà la réponse) c'est fatiguant, c'est
exactemment ça qui me gêne ici et qui me poussera certainement à arreter, c'est usant
Serieusement, tu es le genre de mec qui se ballade de récit en récit pour touver
l'erreure commise !
Donc je suis un homme, ouhaou, tu dois être un fan de roman policier toi, bon j'avoue
Colombo, oui barbu hyper poilu ... ne le dit à personne stp
Pour être franche, au risque de te vexer, ce genre de remarque du mec qui amène sa
science (qu'un ado, d'ailleurs, connait déjà la réponse) c'est fatiguant, c'est
exactemment ça qui me gêne ici et qui me poussera certainement à arreter, c'est usant
Je ne sais pas si vous etes une femme ou un homme mais la taille 85 n à jamais donné
une grosseur de poitrine se sont les A B C D E qui donnent le volumes, les chiffres
donnent la taille du dos et c'est un homme Pascal qui vous dis ça !!
une grosseur de poitrine se sont les A B C D E qui donnent le volumes, les chiffres
donnent la taille du dos et c'est un homme Pascal qui vous dis ça !!
C'est oser. Tu dois cacher tout ca a ton mari. ?
J'ai lu tout tes recits. C'est oser pour une femme mariée.
A deux reprises j'ai vecu ce que tu as vecu mais je ne peux pas en parler ici.
A deux reprises j'ai vecu ce que tu as vecu mais je ne peux pas en parler ici.