Je n'ai pas le sens de l'orientation ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2018 dans la catégorie Plus on est
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Je n'ai pas le sens de l'orientation ...
Depuis ce matin je suis hantée par ce que j’ai vu par inadvertance dans le parc où je passe souvent le matin pour faire mon jogging, et ça se traduit par de fortes souillures au fond de ma petite culotte… Moi une épouse modèle et fidèle depuis dix ans voilà que le démon d’adultère se profile dans mes pensées jusque-là irréprochables, ce matin je suis passée de bonne heure dans ce parc réputé paisible, la seule faute que j’ai commise est de m’être trompée de sentier, j’ai bifurqué dans une zone moins fréquentée, le chemin se réduisait considérablement, alors je me suis arrêtée pour faire le point et reprendre mon souffle lorsque des gémissements, apparemment féminins, me sont parvenus accompagnés d’une voix rauque celle-là bien masculine … lorsque j’en ai compris le sens je me suis sentie rougir jusqu’aux oreilles- Tu la sens ma grosse bite espèce de trainée ?
- Oui-oui-oui-oui-oui- vas- y bourre moi le con, je vais jouir- Tu vas le sentir passer …Là, sous le sous-bois un couple a demi dévêtu, elle, adossée à un arbre, dépoitraillée, la petite culotte accrochée à une cheville, vu que la jambe était relevée par l’homme qui lui-même avait le pantalon tirebouchonné a ses mollets, lorsqu’il s’est mis à donner trois coups violent faisant décoller la femme avant de s’immobiliser totalement dans un long râle, je connais bien ce phénomène lorsqu’au au bout de trois minutes mon mari geint ainsi affalé sur moi pour se vider les testicules ,stupéfaite, dans l’impossibilité de bouger, j’ai vu un membre luisant de sécrétions se retirer du corps de la femme et battre dans le vide tandis qu’un paquet de sperme échappé du vagin s’écrase à leurs pieds- Si tu en veux encore vient demain matin, même heure même endroit, salut …- Demain ? je vais faire mon possible Déboussolée je suis repartie en silence avant de me faire repérer, ce qui me turlupine depuis ce matin est, un tel sexe, existe donc ? moi qui croyais Hervé bien pourvu … jamais ma vulve n’avait réagi ainsi, des contractions, des pincements et pour finir la sensation de faire des gouttes de pipi dans ma culotte, a tel point que j’ai écourté mon footing pour aller me changer, sous la douche mes doigts ont réveillé la scène, ‘ils’ vont remettre ça demain ? j’ai joui en trente secondes sur le pommeau de douche … - Tu vas encore faire un footing Noémie ?
- Oui, hier j’ai eu un point de côté qui m’a obligée à abréger mon parcourt alors je vais compenser …- Tu es courageuse, bravo !
- Dans la vie y’a des priorités…Ma priorité ce matin est d’aller me poster dans ce parc …mais pas en tenue de footing, pourquoi ? je veux avoir libre accès à mon entrecuisse au cas où je devrais me toucher … accroupie derrière un arbre j’attends l’arrivée de l’un ou de l’autre ….c’est l’homme qui arrive en premier scrutant autour de lui si personne ne viendrait les déranger, il regarde sa montre, apparemment impatient, il secoue la tête et parle tout seul- Toutes pareilles ! que de la gueule, elle ne viendra pas la salope Elle ne viendra pas ? …. Et si ? … je ne vais tout de même pas me lever et me faire apercevoir ? c’est pourtant ce que je fais, restant accroupie dans la position d’une femme qui fait pipi je tousse deux fois …- C’est toi ? t’es là ? ne bouge pas j’arrive… mais ?
- Pardon monsieur je ne voulais pas vous faire peur - Me faire peur ? vous rigolez ? que faite-vous là ?
- Je me promène … j’aime me balader le matin à la fraicheur, surtout dans ce coin du parc, on y fait parfois de drôles de rencontres, hier encore...
- Vous étiez là hier matin ?
- Oui … - Vous avez donc tout vus ?
- Oui …- Alors ce n’est plus de la promenade c’est du voyeurisme ou encore mieux ? tu es venue t’encanailler ?
- Je vais repartir...
- Attend … ma copine ne viendra pas …relève ta jupe …- Monsieur ! pardon mais je ne suis pas une …- Tu es venue pour te faire du bien ? alors je vais t’aider, relève ta jupe- Comme ça ?
- Plus haut, coince-là à ta taille - J’ai honte … - Mais ta culotte est tachée ? laisse-moi toucher, mmmmmuuuuummmmmm … écarte davantage les pieds Le sang monte à ma tête m’empêchant d’avoir les bons réflexes, plutôt que de partir en courant je m’exécute, l’homme en profite pour me mettre sa main sur ma motte et la pétrir accentuant l’effet d’humidité, par pudeur je ferme les yeux, lorsqu’il écarte ma culotte et cherche la faille parmi ma toison drue et bouclée, deux doigts s’enfoncent profondément en moi c’est le paradis, mes jambes ne me portent plus, je vacille et me met à genoux, mon tourmenteur suit le mouvement, soudain il me prend un poignet et le dirige vers lui , sous mes doigts le phallus en pleine mutation, celui que j’ai vu sortant du vagin de la fille- Branle-moi un peu avant de me sucer - Vous sucer ?
- Tu n’as qu’à te pencher en avant ‘il’ t’attend - Mais vous allez cesser de me caresser ?
- T’inquiète ça ne va durer que quelques secondes avant que je ne tire sur ton slip et te mettre la moule a l’air - Dans ce cas … mmmmuuuuuummmmmmm que c’est grroooooooooos !
- Lèche et aspire … Ce gland est deux fois plus épais que celui de mon mari, l’aspect est moelleux pourtant la hampe est bien raide et très lourde, je m’égare sur les bourses pour en tester la similitude… deux couilles de taureau pleines de bon nectar, celui qui va bientôt fuser dans ma gorge , moi la bonne mère de famille transformée en fille de joie pour avoir aperçu un couple en pleine action d’adultère ,ma chatte désormais sans protection est bruyamment visitée, au moment où je sens la verge se contracter dans ma bouche l’orgasme me terrasse. .. les déglutitions sont ardues tandis que j’urine entre ses doigts, heureusement que la bite me bâillonne car j’aurais ameuté la forêt entière !
Rassasiée je recrache le dernier jet et en même temps la queue toujours aussi tendue, à genoux, en appuis sur les mains je réfléchis sur la suite à donner et jusqu’où je suis allée pour satisfaire mon fantasme quand derrière moi un genou m’oblige à m’ouvrir, la queue frotte déjà fortement sur mes deux trous, affolée je ne sais que faire et sort une énormité qui lui donne l’autorisation de me baiser …- Pas dans l’anus !!
- J’ai du savoir-vivre madame ! priorité à la vulve ! le petit auras sa ration ne t’en fais pas !
- Non ! non !
- Plie les avant-bras et cambre toi, tu vas voir des étoiles, tu la sent ?
- OOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIII !! pousse encore !
Telle une chienne en chaleur je me jette au-devant de sa matraque, à mon grand étonnement mon vagin accepte facilement ce mastodonte de chair qui frotte exactement là où il faut et se meut de façon régulière qui m’arrachent des feulements indécents, c’est comme si je perdais a nouveau mon pucelage, pour finir de m’affoler ses deux mains me plaquent quand il le faut à ses testicules puis repart de plus belle en vas-et vient plus ou moins puissants, je vais encore pisser de joie en pleine nature …- Si tu jouis ne hurle surtout pas, mord les feuilles mortes mais ferme ta gueule !
- Défonce-moi salaud, fait de moi une putain !
- Tu n’es et ne sera jamais une putain, seulement une femme mal dans sa peau qui veut se donner du plaisir, attention je viens … rrrhhhhhaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiiiiii !
- Pas déjà ! encore ! encore ! je jjjoooooouuuuuuuiiiiiiiiiiis !
- Ferme là bordel !
- Pardon mais c’est si bon…- Tu en veux donc encore, garde la position, ton anus me fait signe …ne bouge plus, fais-moi confiance, tu vas avoir une sacrée surprise … Soudain je ressens une présence juste devant mon visage, quelque chose qui me fait ouvrir les yeux… un gland décalotté rouge d’excitation, celui de mon amant frotte mon anus ce n’est donc pas le sien ? je n’ai pas eu le temps de réaliser que je suis propulsée en avant bouche ouverte, le nouveau venu s’engouffre très loin dans ma gorge tandis que l’autre pénètre mes reins, partagée entre l’outrage et la satisfaction de pouvoir réaliser une figure sexuelle que mon mari ne me fera jamais connaitre, je choisi la satisfaction ! embrochée devant et derrière je savoure le bonheur de la double pénétration et les avis des deux mâles qui commentent mes aptitudes - C’est votre copine ?
- Non, au départ c’est une voyeuse- Ah bon ?
- Hier elle m’a regardé baiser une nana, ça lui a donné des idées !
- J’ai bienfait de passer par ce chemin !
- Elle a une chatte soyeuse la garce, elle sait serrer son vagin sur ma bite - Vous me la repassez ?
- Déchargez-lui dans le gosier ensuite nous échangeons nos places- Ça ne va pas tarder, elle aspire mes boules la garce !
Plus ils m’humilient plus je me lâche, mon mari ne reconnaitrait jamais cette femme qui se livre aux assauts de deux pervers, c’est avec un immense plaisir que je reçois un foutre abondant dans ma gorge et entre mes fesses, sans me laisser le temps de réagir ou de me sauver, ce qui est impensable de ma part, je suis de nouveau investie par la chatte, mais apparemment l’autre ne veut pas être sucé ….
- Fait là rouler sur toi, je vais prendre son cul- Rien de plus facile, vient par-là mignonne, montre ton postérieur à mon ami - Vous êtes deux gros cochons, mais j’aime ça, profitez-en, usez de mes trous !
Avec précaution l’homme force mes sphincters, les deux bites se chevauchent alternativement m’arrachant des plaintes et des mots à peine audibles que je n’ai jamais employés, mes amants aussi se partagent leurs impressions ponctuées de rires gras, je ne suis qu’une chienne avide de queues, un vagin sur pattes d’où s’écoule des litres de sécrétions nauséabondes lorsqu’ils se retirent triomphants Seule dans ce bois, je gis un long moment recroquevillée sur le sol, avant de trouver la force de m’essuyer sommairement avec des feuilles et récupérer de quoi m’habiller, sans pouvoir retrouver ma petit culotte certainement devenue pour l’un d’eux un trophée de plus … qu’importe, ce soir tournant le dos à mon cornard de mari, je m’endormirais avec un petit sourire aux lèvres …vais-je modifier mon parcourt ???
- Oui-oui-oui-oui-oui- vas- y bourre moi le con, je vais jouir- Tu vas le sentir passer …Là, sous le sous-bois un couple a demi dévêtu, elle, adossée à un arbre, dépoitraillée, la petite culotte accrochée à une cheville, vu que la jambe était relevée par l’homme qui lui-même avait le pantalon tirebouchonné a ses mollets, lorsqu’il s’est mis à donner trois coups violent faisant décoller la femme avant de s’immobiliser totalement dans un long râle, je connais bien ce phénomène lorsqu’au au bout de trois minutes mon mari geint ainsi affalé sur moi pour se vider les testicules ,stupéfaite, dans l’impossibilité de bouger, j’ai vu un membre luisant de sécrétions se retirer du corps de la femme et battre dans le vide tandis qu’un paquet de sperme échappé du vagin s’écrase à leurs pieds- Si tu en veux encore vient demain matin, même heure même endroit, salut …- Demain ? je vais faire mon possible Déboussolée je suis repartie en silence avant de me faire repérer, ce qui me turlupine depuis ce matin est, un tel sexe, existe donc ? moi qui croyais Hervé bien pourvu … jamais ma vulve n’avait réagi ainsi, des contractions, des pincements et pour finir la sensation de faire des gouttes de pipi dans ma culotte, a tel point que j’ai écourté mon footing pour aller me changer, sous la douche mes doigts ont réveillé la scène, ‘ils’ vont remettre ça demain ? j’ai joui en trente secondes sur le pommeau de douche … - Tu vas encore faire un footing Noémie ?
- Oui, hier j’ai eu un point de côté qui m’a obligée à abréger mon parcourt alors je vais compenser …- Tu es courageuse, bravo !
- Dans la vie y’a des priorités…Ma priorité ce matin est d’aller me poster dans ce parc …mais pas en tenue de footing, pourquoi ? je veux avoir libre accès à mon entrecuisse au cas où je devrais me toucher … accroupie derrière un arbre j’attends l’arrivée de l’un ou de l’autre ….c’est l’homme qui arrive en premier scrutant autour de lui si personne ne viendrait les déranger, il regarde sa montre, apparemment impatient, il secoue la tête et parle tout seul- Toutes pareilles ! que de la gueule, elle ne viendra pas la salope Elle ne viendra pas ? …. Et si ? … je ne vais tout de même pas me lever et me faire apercevoir ? c’est pourtant ce que je fais, restant accroupie dans la position d’une femme qui fait pipi je tousse deux fois …- C’est toi ? t’es là ? ne bouge pas j’arrive… mais ?
- Pardon monsieur je ne voulais pas vous faire peur - Me faire peur ? vous rigolez ? que faite-vous là ?
- Je me promène … j’aime me balader le matin à la fraicheur, surtout dans ce coin du parc, on y fait parfois de drôles de rencontres, hier encore...
- Vous étiez là hier matin ?
- Oui … - Vous avez donc tout vus ?
- Oui …- Alors ce n’est plus de la promenade c’est du voyeurisme ou encore mieux ? tu es venue t’encanailler ?
- Je vais repartir...
- Attend … ma copine ne viendra pas …relève ta jupe …- Monsieur ! pardon mais je ne suis pas une …- Tu es venue pour te faire du bien ? alors je vais t’aider, relève ta jupe- Comme ça ?
- Plus haut, coince-là à ta taille - J’ai honte … - Mais ta culotte est tachée ? laisse-moi toucher, mmmmmuuuuummmmmm … écarte davantage les pieds Le sang monte à ma tête m’empêchant d’avoir les bons réflexes, plutôt que de partir en courant je m’exécute, l’homme en profite pour me mettre sa main sur ma motte et la pétrir accentuant l’effet d’humidité, par pudeur je ferme les yeux, lorsqu’il écarte ma culotte et cherche la faille parmi ma toison drue et bouclée, deux doigts s’enfoncent profondément en moi c’est le paradis, mes jambes ne me portent plus, je vacille et me met à genoux, mon tourmenteur suit le mouvement, soudain il me prend un poignet et le dirige vers lui , sous mes doigts le phallus en pleine mutation, celui que j’ai vu sortant du vagin de la fille- Branle-moi un peu avant de me sucer - Vous sucer ?
- Tu n’as qu’à te pencher en avant ‘il’ t’attend - Mais vous allez cesser de me caresser ?
- T’inquiète ça ne va durer que quelques secondes avant que je ne tire sur ton slip et te mettre la moule a l’air - Dans ce cas … mmmmuuuuuummmmmmm que c’est grroooooooooos !
- Lèche et aspire … Ce gland est deux fois plus épais que celui de mon mari, l’aspect est moelleux pourtant la hampe est bien raide et très lourde, je m’égare sur les bourses pour en tester la similitude… deux couilles de taureau pleines de bon nectar, celui qui va bientôt fuser dans ma gorge , moi la bonne mère de famille transformée en fille de joie pour avoir aperçu un couple en pleine action d’adultère ,ma chatte désormais sans protection est bruyamment visitée, au moment où je sens la verge se contracter dans ma bouche l’orgasme me terrasse. .. les déglutitions sont ardues tandis que j’urine entre ses doigts, heureusement que la bite me bâillonne car j’aurais ameuté la forêt entière !
Rassasiée je recrache le dernier jet et en même temps la queue toujours aussi tendue, à genoux, en appuis sur les mains je réfléchis sur la suite à donner et jusqu’où je suis allée pour satisfaire mon fantasme quand derrière moi un genou m’oblige à m’ouvrir, la queue frotte déjà fortement sur mes deux trous, affolée je ne sais que faire et sort une énormité qui lui donne l’autorisation de me baiser …- Pas dans l’anus !!
- J’ai du savoir-vivre madame ! priorité à la vulve ! le petit auras sa ration ne t’en fais pas !
- Non ! non !
- Plie les avant-bras et cambre toi, tu vas voir des étoiles, tu la sent ?
- OOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIII !! pousse encore !
Telle une chienne en chaleur je me jette au-devant de sa matraque, à mon grand étonnement mon vagin accepte facilement ce mastodonte de chair qui frotte exactement là où il faut et se meut de façon régulière qui m’arrachent des feulements indécents, c’est comme si je perdais a nouveau mon pucelage, pour finir de m’affoler ses deux mains me plaquent quand il le faut à ses testicules puis repart de plus belle en vas-et vient plus ou moins puissants, je vais encore pisser de joie en pleine nature …- Si tu jouis ne hurle surtout pas, mord les feuilles mortes mais ferme ta gueule !
- Défonce-moi salaud, fait de moi une putain !
- Tu n’es et ne sera jamais une putain, seulement une femme mal dans sa peau qui veut se donner du plaisir, attention je viens … rrrhhhhhaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiiiiii !
- Pas déjà ! encore ! encore ! je jjjoooooouuuuuuuiiiiiiiiiiis !
- Ferme là bordel !
- Pardon mais c’est si bon…- Tu en veux donc encore, garde la position, ton anus me fait signe …ne bouge plus, fais-moi confiance, tu vas avoir une sacrée surprise … Soudain je ressens une présence juste devant mon visage, quelque chose qui me fait ouvrir les yeux… un gland décalotté rouge d’excitation, celui de mon amant frotte mon anus ce n’est donc pas le sien ? je n’ai pas eu le temps de réaliser que je suis propulsée en avant bouche ouverte, le nouveau venu s’engouffre très loin dans ma gorge tandis que l’autre pénètre mes reins, partagée entre l’outrage et la satisfaction de pouvoir réaliser une figure sexuelle que mon mari ne me fera jamais connaitre, je choisi la satisfaction ! embrochée devant et derrière je savoure le bonheur de la double pénétration et les avis des deux mâles qui commentent mes aptitudes - C’est votre copine ?
- Non, au départ c’est une voyeuse- Ah bon ?
- Hier elle m’a regardé baiser une nana, ça lui a donné des idées !
- J’ai bienfait de passer par ce chemin !
- Elle a une chatte soyeuse la garce, elle sait serrer son vagin sur ma bite - Vous me la repassez ?
- Déchargez-lui dans le gosier ensuite nous échangeons nos places- Ça ne va pas tarder, elle aspire mes boules la garce !
Plus ils m’humilient plus je me lâche, mon mari ne reconnaitrait jamais cette femme qui se livre aux assauts de deux pervers, c’est avec un immense plaisir que je reçois un foutre abondant dans ma gorge et entre mes fesses, sans me laisser le temps de réagir ou de me sauver, ce qui est impensable de ma part, je suis de nouveau investie par la chatte, mais apparemment l’autre ne veut pas être sucé ….
- Fait là rouler sur toi, je vais prendre son cul- Rien de plus facile, vient par-là mignonne, montre ton postérieur à mon ami - Vous êtes deux gros cochons, mais j’aime ça, profitez-en, usez de mes trous !
Avec précaution l’homme force mes sphincters, les deux bites se chevauchent alternativement m’arrachant des plaintes et des mots à peine audibles que je n’ai jamais employés, mes amants aussi se partagent leurs impressions ponctuées de rires gras, je ne suis qu’une chienne avide de queues, un vagin sur pattes d’où s’écoule des litres de sécrétions nauséabondes lorsqu’ils se retirent triomphants Seule dans ce bois, je gis un long moment recroquevillée sur le sol, avant de trouver la force de m’essuyer sommairement avec des feuilles et récupérer de quoi m’habiller, sans pouvoir retrouver ma petit culotte certainement devenue pour l’un d’eux un trophée de plus … qu’importe, ce soir tournant le dos à mon cornard de mari, je m’endormirais avec un petit sourire aux lèvres …vais-je modifier mon parcourt ???
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