Je ne peux plus
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Je ne peux plus
Espèce de garce, putain..
Quelle drôle d’idée d’enguirlander la belle fille couchée à ses cotés sur la plage. En plus il s’en va, la laisse seule abandonnée. Si je pouvais encore….. !
Les souvenirs reviennent. Je la vois couchée près de moi après l’amour, pleine de tendresse, ses lèvres encore offertes. J’ai envie de recommencer, de la faire jouir. Un profond baiser, elle se donne, elle a encore envie. Avant que ma main soit encore sur elle, voilà ma chérie qui prend ma queue avec tendresse. Je bande encore de la fois d’avant. Elle sait que je ne peux pas rebander immédiatement. Alors elle se penche sur mon ventre, prend la pine dans sa bouche, me lèche deux ou trois fois. C’est agréable, elle se tourne me donne sa chatte. Je veux la masturber un peu. Elle m’enjambe pour me donner son abricot sur la bouche. Mes lèvres commencent à la brouter. Elle sent bon la cyprine d’une fille en chaleur. Je lèche toute se fente. Je la sens se donner entièrement à la caresse indécente.
Et l’autre, pas loin qui laisse tomber une fille splendide. Qui sait s’ils baisaient….. ?
Moi, je ne la baisais pas, c’est elle qui la première m’a demandé de la lui mettre profond. Je caressais ses jambes, montais vers son abricot. Je ne voulais que la masturber, je ne voulais que son plaisir. Elle m’a donné son plaisir et le mien. Il lui tardait tellement que nous sommes sortis de la salle de cinéma. Dans le taxi déjà elle n’en pouvait plus, il fallait que je l’embrasse sans cesse : elle cherchait mon bazar, elle voulait caresser ma queue avant. Elle était belle toute nue avec ses seins qui pointaient vers l’infini. Je bandais plus que jamais. Nous étions encore debout, elle était contre moi, se dandinait contre ma bite. Elle a attrapé mes fesses, s’est levée sur la pointe des pieds. Je n’ai eu la peine que d’entrer dans son secret. Je me souviens avoir glissé en elle facilement. Quand elle a jouit, je la sentais autour de moi. Là, je lui ai donné mon sperme.
Et si elle ne baisait pas seulement avec lui ?
La première fois qu’elle a voulu baiser en trio, j’étais surpris de sa demande. J’aurais dis oui de suite si je connaissais un type capable de la lui mettre devant moi. Elle connaissait justement quelqu’un. Je ne cherchais pas à en savoir plus. Lui était un de ses ex, un de ceux qui ne servent que dans les urgences. Nous étions chez elle, couchés déjà, elle entre deux hommes qui bandaient. Elle me touchait la queue, cherchait l’autre pour le masturber. J’ai senti son corps sur le mien puis son poids s’est alourdi ; elle se faisait enculer. Les deux queues allaient et venaient dans son corps et elle gémissait de plaisir. Nous avons recommencé en changeant d’orifices. Cette fois je larguais ma semence dans son cul plus serré.
Et si elle aimait aussi les filles ?
Pourquoi pas après tout j’ai connu une fille bi qui pour réellement jouir prenait une amie dans son lit. Je les ai vues une fois. C’était beau à voir ces deux corps de filles, elles étaient presque trop serrées. Quelle souplesse dans leurs mouvements. Elles ne me voyaient plus, elles ne s’occupaient que d’elles, que du corps de l’autre. Ces baisers fous qui allaient de la bouche à la moule, sans cesse. Voir leurs plaisirs partagés, mieux qu’avec moi me donnait la trique. Je ne pouvais m’empêcher de me toucher la queue et finir par me branler. Elles partageaient même ma semence dans leurs bouches gourmandes de mon sperme.
Et si elle n’aimait ni les bites, ni les cons ?
Je la voyais bien nue sur la plage, la nuit tombée. Les vaguelettes venir entre ses jambes sur sa groupe. Excitée par la mer, elle caresse doucement son corps. Ses mains des seins descendent doucement vers sa fente. Un seul doigt suffit pour la satisfaire, au moins au début. Elle monte les jambes, les talons contre les fesses. Ainsi disposée, elle caresse lentement le pubis puis la main entre dans sa cage. Les petites vagues viennent contre son abricot. Elle écarte les lèvres à deux mains, se laisse envahit par le plaisir. Tant pis si on l’entend gémir, son plaisir seul compte. Les spasmes se perdent autour de son ventre. Elle jouit tant qu’elle doit baisser les jambes sur le sable encore chaud.
Seulement je ne peux plus, je suis trop âgé, je ne peux même plus me masturber ;
Quelle drôle d’idée d’enguirlander la belle fille couchée à ses cotés sur la plage. En plus il s’en va, la laisse seule abandonnée. Si je pouvais encore….. !
Les souvenirs reviennent. Je la vois couchée près de moi après l’amour, pleine de tendresse, ses lèvres encore offertes. J’ai envie de recommencer, de la faire jouir. Un profond baiser, elle se donne, elle a encore envie. Avant que ma main soit encore sur elle, voilà ma chérie qui prend ma queue avec tendresse. Je bande encore de la fois d’avant. Elle sait que je ne peux pas rebander immédiatement. Alors elle se penche sur mon ventre, prend la pine dans sa bouche, me lèche deux ou trois fois. C’est agréable, elle se tourne me donne sa chatte. Je veux la masturber un peu. Elle m’enjambe pour me donner son abricot sur la bouche. Mes lèvres commencent à la brouter. Elle sent bon la cyprine d’une fille en chaleur. Je lèche toute se fente. Je la sens se donner entièrement à la caresse indécente.
Et l’autre, pas loin qui laisse tomber une fille splendide. Qui sait s’ils baisaient….. ?
Moi, je ne la baisais pas, c’est elle qui la première m’a demandé de la lui mettre profond. Je caressais ses jambes, montais vers son abricot. Je ne voulais que la masturber, je ne voulais que son plaisir. Elle m’a donné son plaisir et le mien. Il lui tardait tellement que nous sommes sortis de la salle de cinéma. Dans le taxi déjà elle n’en pouvait plus, il fallait que je l’embrasse sans cesse : elle cherchait mon bazar, elle voulait caresser ma queue avant. Elle était belle toute nue avec ses seins qui pointaient vers l’infini. Je bandais plus que jamais. Nous étions encore debout, elle était contre moi, se dandinait contre ma bite. Elle a attrapé mes fesses, s’est levée sur la pointe des pieds. Je n’ai eu la peine que d’entrer dans son secret. Je me souviens avoir glissé en elle facilement. Quand elle a jouit, je la sentais autour de moi. Là, je lui ai donné mon sperme.
Et si elle ne baisait pas seulement avec lui ?
La première fois qu’elle a voulu baiser en trio, j’étais surpris de sa demande. J’aurais dis oui de suite si je connaissais un type capable de la lui mettre devant moi. Elle connaissait justement quelqu’un. Je ne cherchais pas à en savoir plus. Lui était un de ses ex, un de ceux qui ne servent que dans les urgences. Nous étions chez elle, couchés déjà, elle entre deux hommes qui bandaient. Elle me touchait la queue, cherchait l’autre pour le masturber. J’ai senti son corps sur le mien puis son poids s’est alourdi ; elle se faisait enculer. Les deux queues allaient et venaient dans son corps et elle gémissait de plaisir. Nous avons recommencé en changeant d’orifices. Cette fois je larguais ma semence dans son cul plus serré.
Et si elle aimait aussi les filles ?
Pourquoi pas après tout j’ai connu une fille bi qui pour réellement jouir prenait une amie dans son lit. Je les ai vues une fois. C’était beau à voir ces deux corps de filles, elles étaient presque trop serrées. Quelle souplesse dans leurs mouvements. Elles ne me voyaient plus, elles ne s’occupaient que d’elles, que du corps de l’autre. Ces baisers fous qui allaient de la bouche à la moule, sans cesse. Voir leurs plaisirs partagés, mieux qu’avec moi me donnait la trique. Je ne pouvais m’empêcher de me toucher la queue et finir par me branler. Elles partageaient même ma semence dans leurs bouches gourmandes de mon sperme.
Et si elle n’aimait ni les bites, ni les cons ?
Je la voyais bien nue sur la plage, la nuit tombée. Les vaguelettes venir entre ses jambes sur sa groupe. Excitée par la mer, elle caresse doucement son corps. Ses mains des seins descendent doucement vers sa fente. Un seul doigt suffit pour la satisfaire, au moins au début. Elle monte les jambes, les talons contre les fesses. Ainsi disposée, elle caresse lentement le pubis puis la main entre dans sa cage. Les petites vagues viennent contre son abricot. Elle écarte les lèvres à deux mains, se laisse envahit par le plaisir. Tant pis si on l’entend gémir, son plaisir seul compte. Les spasmes se perdent autour de son ventre. Elle jouit tant qu’elle doit baisser les jambes sur le sable encore chaud.
Seulement je ne peux plus, je suis trop âgé, je ne peux même plus me masturber ;
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