Je ne peux rien refuser à ma directrice...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Je ne peux rien refuser à ma directrice... Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je ne peux rien refuser à ma directrice...
Une fois n’est pas coutume, Sandrine, ma directrice, assiste que je vienne dans son bureau après le boulot. Elle porte ce matin-là un tailleur bleu à jupe courte, un chemisier beige, des escarpins et ses jambes sont gainées de nylon clair.
Sans un mot, je m’installe sur le fauteuil visiteur et attends la suite. Là, sourire aux lèvres, elle pose ses pieds sur ses accoudoirs. Aussi, elle écarte les cuisses et sous sa courte jupe, j’observe la chair blanche. Elle retire la veste de son tailleur. À travers le corsage, je devine sa poitrine nue.
Elle passe les mains sur sa poitrine par-dessus son vêtement. Je baisse ma braguette, libère par la même action ma queue.
-Pervers ! Me lâche-t-elle.
-C’est bien pour ça que tu m’as invité ?
Sandrine, toujours sourire aux lèvres, ouvre son corsage, expose ses seins. Puis elle trousse sa jupe, dévoilant ses jambes, ainsi que le triangle rose de sa culotte.
Elle passe les mains sous sa jupe et se tortille sur son fauteuil pour retirer son sous-vêtement. Je me tripote sans gêne la queue en contemplant son bas-ventre nu.
Des deux mains, elle lisse les poils pubiens sur les côtés. Puis elle tire sur ses lèvres, pour m’exhiber sa vulve. Sa tirelire s’ouvre largement. J’ai devant les yeux son clitoris nacré. Les seins à l’air, la jupe entortillée autour de la taille, Sandrine commence à se caresser.
-Tu veux peut-être que je prenne le relais ? Lui fais-je.
Pour toute réponse, elle enfonce ses doigts dans la fente. Je sens mon désir augmenter. Incapable de résister plus longtemps, je déserte ma place, pour m’approcher d’elle. Je me frotte à elle. Masse ses seins et lui glisse la main entre les cuisses.
-Tu ne préfères pas mieux ma main ? Lui fais-je, en pinçant les tétons.
La chair brune s’étire en même temps que les aréoles se couvrent de chair de poule. La directrice s’abandonne. Je me soulage de mon pantalon. Sandrine fixe de son regard gourmand sur ma queue. J’agite plus vite ma main le long de mon membre.
Elle se lève et grimpe l’instant d’après sur le bureau. A quatre pattes. Me présentant ainsi ses fesses plantureuses. Un profond sillon sombre les sépare.
Tournant la tête vers moi, elle desserre les cuisses, dévoilant toute l’intimité de son cul et de son sexe. Puis elle creuse les reins et me tend son cul. Je lui écarte les fesses, pour apercevoir la pastille sombre de l’anus. Puis-je séparer les replis charnus de la fente, découvrant un étal de viande mauve et brillante qui dégage une odeur forte. Je me sens pris d’une excitation violente.
Avec plaisir, j’enfonce mon index dans l’orifice brûlant du vagin. Le fais tourner pour élargir la fente d’où s’échappent de grosses gouttelettes de mouille. Sandrine remue son derrière. J’introduis un second doigt dans l’entonnoir poisseux de la chatte.
Après quelques coups de langue, j’écarte les fesses et je promène ma queue le long de la fente qui bâille. Puis place mon gland devant l’entrée de son vagin.
Sandrine s’agite nerveusement. Elle cambre les reins. Jette son cul au-devant de ma queue. Mon gland écarte ses lèvres, et disparaît à l’intérieur, comme aspiré par l’orifice écarquillé. Je saisis ma directrice aux hanches et m’enfonce en elle, arrachant des soupirs à Sandrine. Je me fiche jusqu’aux couilles, et me mets à coulisser d’avant en arrière. Une forte odeur saline s’élève de la fente. Sandrine s’agite, appuyée contre le bureau.
Les mâchoires serrées, je jouis en enfonçant mes doigts dans la chair ferme de son cul rebondi.
Sandrine profite que je récupère dans le fauteuil visiteur pour passer un coup de téléphone.
-Personne… ! Je rappellerai demain, me fait-elle en se levant.
Elle se tient debout devant moi. Elle m’expose sa poitrine, gonflée, bien ferme.
-Comment tu la trouves ? Me lâche-t-elle.
-Pas mal !
-Mon mari ne la trouve pas assez gonflée !
Je tends les mains pour prendre ses seins. Je m’amuse à malaxer et à faire balloter ses nichons. Ses mamelons allongés se tendent. Elle me saisit la poignée et m’oblige à me mettre debout.
Elle s’adosse au mur. Elle attrape la queue toujours bandée, pour l’orienter au creux de son sexe en s’élevant sur la pointe des pieds.
Puis elle hisse une de ses jambes très hautes. Mon gland s’engouffre aisément en ses lèvres intimes. Elle gémit, son visage se déforme, ses yeux deviennent flous.
-Oui, oh c’est bon ! Baise-moi encore et encore…
A ce moment la porte s’ouvre et Sabine apparait. Elle est vêtue d’une paire de bas à porte-jarretelles. Entre les élastiques couleur pêche tendus sur ses cuisses, sa touffe fournie et frisotante, voile ses chairs intimes. Elle nous fixe de ses yeux comblés, tout en s’approchant. Sandrine se colle à moi en creusant les reins pour que je la pénètre plus profondément.
Sabine pose ses lèvres sur ma joue. Et les fait glisser jusqu’à ce qu’elles se collent au mien pour un baiser fougueux. Je profite de l’instant pour envoyer mon index se frayer un passage entre les fesses de Sabine. Son cul s’ouvre entre mes mains. Mon doigt pénètre aisément dans son anus.
Elle pousse un gémissement en faisant danser un ballet fou à sa langue dans ma bouche. Sabine abandonne ma bouche pour se pencher pour regarder de près nos sexes emmanchés. L’anus de Sabine est très souple. Suivant mon excitation je joins le majeur et l’index. Sabine émet un cri de gorge. Je surprends sa main aller et venir entre ses cuisses. Dans son épaisse fourrure en forme de triangle. Sandrine s’agite de plus en plus vite sur ma queue. Je sens autour de mes doigts les spasmes de l’anus de Sabine. Mon éjaculation très violente inonde son vagin.
Le jeu n’est pas fini. Sabine braque ses yeux sur nous sans rien dire. Ma verge commence à débander. Toute étincelante des sécrétions de Sandrine. Avec dédain, Sabine m’attrape par la queue et me traîne jusqu’au fauteuil où elle prend place. Elle écarte ses jambes. Pas besoin d’invitation, pour approcher mon visage de son entrejambe.
Sous la forêt de poils, ses lèvres épaisses comme le doigt, aux bords humides de mouille, s’étirent tout le long de sa fente qui escalade haut sur son bas-ventre. Sa vulve entrouverte a une apparence affamée, grossière qui fait penser à une bouche. Je cible ma langue dans la fente. Je la déguste, j’ingère bruyamment les sécrétions qui suent.
On entend plus que les clapotis du con, les halètements de Sabine. Sandrine reste en retrait, les yeux fixés sur nous. Entre deux râles, Sabine laisse tomber :
-Tu avais raison, il est fantastique !
Je tiens à deux doigts le bouton. Il est bien enflé. Je le roule entre mes deux doigts. Sabine, les yeux vitreux, laisse échapper de sa bouche un cri. Ébrouant frénétiquement son bassin d’arrière en avant. Elle m’agrippe par les cheveux pour me plaquer la bouche contre son sexe.
-Oui, bouffe-la-moi !
Encourager, j’y vais à grands coups de langue. De temps en temps je la branle avec mon nez. Les paumières closes, le corps parcouru de spasmes nerveux, poussant des cris aigus, Sabine s’abandonne à sa jouissance. Pas le temps de cuver son orgasme que déjà elle me demande de la prendre.
-Oui, je t’en supplie, viens tout au fond de moi !
La queue à demi-bandée en main, je l’engloutis sans mal. Son conduit est humide, brûlant, étroit. Mes doigts s’accrochent aux hanches élastiques gainées de nylon. J’entame de puissants va-et-vient. Ma queue se remet à bander dur. Je la pistonne avec une force tranquille. Elle s’offre à mes coups de boutoir. Coule, feule et gémit. J’attrape un sein. Le taquiné, le palpe, le triture, en attrape le téton qui pointe, le froisse sans ménagement. Elle aime, se cabre, et en demande encore.
Les cris de Sabine augmentent d’intensité. Le clapotis se fait plus prononcé. Elle se contracte, s’arc-boute. Elle beugle son enchantement. Ses phalanges se contactent sur les accoudoirs du fauteuil. Une marée violente s’échappe de son sexe et fuse le long de ma verge. Ne pouvant pas me contenir, je me déverse en elle, en longues giclées.
Puis les deux corps s’affaissent, étroitement soudés entre eux. Leurs sucs, leurs sueurs, leurs odeurs s’entremêlent. Toujours encastrés l’un dans l’autre, je récupère mon souffle. Sabine laisse s’échapper ma queue, pour aller délivrer de douces caresses de reconnaissance à Sandrine qui a enfin su combler sa sensualité bouillonnante. Cela faisait si longtemps qu’elle avait pris son temps pour calculer.
Ses yeux s’arrondissent, une lueur étrange.
-Et si demain j’invitais Patricia pour une petite baise ? Me lâche-t-elle.
-Parce qu'elle… aussi…
-Elle ne peut rien me refuser, cette conne… si elle veut garder sa place dans le service !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une bonne directrice comme j'aime !

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De la baise en trio

trop bien, je viens de jouir



Texte coquin : Je ne peux rien refuser à ma directrice...
Histoire sexe : Une rose rouge
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