je piège Evelyne à ma manière.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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je piège Evelyne à ma manière.
Après plusieurs jours à espionner Evelyne en train de rénover ses meubles dans la cave, je me presse à lui tendre un piège. Cela consiste de l’enfermer dans son local et bien sûr, si elle veut en sortir, de s’exécuter à mes envies. Et ce jour-là, ma convoitise est de faire connaissance avec son intimité. J’espère bien que la chance va être de mon côté.
Je prends la décision de me planquer dans le local adjacent au sien. Je profite d’être seul pour réaliser une niche sur le carton qui protège les deux logements des yeux trop curieux. Je ne mets pas longtemps pour avoir une vue imprenable sur ce qui ce passe à côté. Je n’ai plus qu’à attendre. Je tremble d’impatience. Attendant la venue de ma cible.
Quand enfin elle fait son apparition, j’ai la gorge tellement sèche que j’ai du mal à faire sortir un mot de ma bouche. Avec mille précautions, je sors de ma planque, et barricade la porte pour tenir prisonnière Evelyne dans son local. L'opération réussit, je retourne à mon poste. Il est temps pour moi à passer à l’action. Je m’entends lui dire :
-Bonjour Madame !
-Qui est là ? Est la réponse.
-Quelqu’un qui vous veut du bien.
-Qu’est-ce que vous voulez ?
-Dites-moi, qu’est-ce que vous avez mis comme sous-vêtements aujourd’hui ?
-Je vous demande pardon ?
- J’ai dit, qu’est-ce que vous avez mis comme sous-vêtements aujourd’hui ?
-Non, mais vous vous prenez pour qui ? Vous êtes un connard !
Poussée par la colère, la voilà qui essaye de quitter les lieux mais malheureusement pour elle j’ai verrouillé la porte avec un cadenas à moi.
-Peine perdu ma pauvre dame, je vous ai enfermé.
-AU SECOURS ! Crit-elle.
- Personne ne vous entendra. Allez soyez sympa, dîtes-moi quelle couleur est votre culotte.
- Espèce de pervers… elle est blanche.
-Quoi ?
-Ma culotte… Elle est blanche.
Ouh la !… Je ne m’attendais pas que ce soit si facile !
-C’est intéressant. Euh… j’aimerais bien la voir !
-… non, non, je ne peux pas faire ça.
-Allez Evelyne !
-Comment connaissez-vous mon prénom ?
-Oh, mais Evelyne je connais plein de chose de vous, même vos odeurs intimes.
-Je dois prendre ça comment ?
Là, je lui exhibe sa propre culotte par le trou.
-Vous la reconnaissez !
-Mais oui… comment…comment… ! Bafouille-t-elle, en faisant les quelques pas qui la sépare du trou, tendant son bras, prête à ce saisir de mon trophée.
-Pas question ! Fais-je en la ramenant à moi. Elle m’appartient !
-Comment avez-vous fait pour la posséder ?
-Secret ! Par contre qu’elle sentait bon la moule, le cul !
J’attendais qu’elle se révolte mais rien.
-Vous avez entendu Evelyne ?
-J’ai entendu…
-Cela ne vous fait rien ?
-Je commence à mouiller…
-Pardon Evelyne, j’entends bien…
-Parfaitement !
-Et qu’est-ce qui me vaut ce changement chez vous.
-Vous bandez ? Me fait-elle.
-J’ai un début d’érection, oui !
-Je peux savoir à quoi vous a servi ma culotte ?
-Bien sûr ! Je l’ai collé à mon nez et je me suis masturbé en pensant à vous.
-C’est vrai, vous ne me racontez pas d’histoire.
-Pourquoi le ferais-je.
-Comment l’avez-vous eu ?
-Plus tard, si vous le voulez bien. Vous mouillez ?
- Secret !
-Bon si c’est comme ça je parts.
-Déjà ? On commencer à bien s’amuser !
-Vous ne voulez pas répondre à ma question.
-Ma culotte est très humide… trempé, en fait !
Ça devient vraiment chaud… Alors j’en profite !
-Montrez-moi vos nichons.
-Je vous en prie, m’implore-t-elle en prenant sa petite voix de jeune fille timide, je vous en prie…
-Allez Evelyne ! Cela me ferait un très… très plaisir !
-Ici ? Vous n’y pensez pas !
-Pourquoi pas ?
-Enfin ! Si quelqu’un arrive !
-On l’entendra venir, vous aurez le temps de vous rajuster !
Je glousse quand que je la vois délogé, un après l’autre les boutons de son chemiser. Je l’entends respirer d’une façon précipitée.
Et la voilà, dépoitraillée, elle garde tout de même le silence. Alors je me dois de relancer la conversation.
-Qu’est-ce que cela vous fait de me les montrer. Est-ce que ça vous chatouille entre les cuisses, à l’idée que je peux vous demandez de m’amuser avec ?
-Mais taisez-vous ! Faites ce que vous voulez, puisque je suis assez conne pour me laisser faire… Mais fermez-la ! Vous n’êtes comme même un sacré pervers !
-Bien sûr que je suis un pervers. Et c’est bien ce que vous aimez vous les femmes ! Nous savons bien tous les deux que ça vous excite ! Ne racontez pas de connerie !
-C’est parce que vous m’obligez !
-Mais reconnaissez que je n’ai pas eu à beaucoup insister, pour que vous m’exhibiez vos nichons. Et puis je suis sûr que vous mouillez encore plus ? Approchez vos seins du trou !
-Et pourquoi je ferais cela ?
-Parce que je vous l’ordonne !
-Bon ! Fait-elle, mais après c’est fini !
Sitôt à porté de main, je m’en empare. Mes mains les palpent. Des gros seins qui ne demandent qu’à être malaxés, pétris, sucé ! Je les fais ballotter sur son buste qu’elle m’offre. Oui parce qu’elle me les offres, et cela sans aucun doute à ça !
-Je vois qu’ils réagissent bien ! Vous sentez comme les pointes se dressent ! La dernière fois quand vous les a sucé remonte à combien de temps ?
-Ça ne vous regarde pas ! Mais il faut que vous sachiez que ce n’est pas correct ce que vous faite !
Je lui saisis les bouts de sein entre le pouce et l’index et me mets à tordre sans douceur les délicates pointes de chair rose. Evelyne pousse un cri étouffé. Elle se mort même la lèvre, soupire, balbutie des mots décousus. Cela m’encourage à passer à autre chose !
-Débarrassez-vous de votre froc.
Non, fait-elle avec sa tête. Mais sa bouche ne dit rien, ce qui m’encourage à assister. Là, je la surprends en train de mordre ses lèvres, elle est en pleine réflexion ! Puis je la vois se cambrer, comme pour mieux m’offrir ses seins dont les pointes ont grossi d’une façon scandaleuse.
-Je veux voir votre culotte !
Et là, pour mon plus grand plaisir, comme une automate, la voilà qu’elle qui s’occupe de faire tomber son jean à ses chevilles. Elle porte en dessous, comme prévu, un slip blanc.
-Je veux voir votre chatte !
-Pervers ! Fait-elle en faisant glisser la culotte le long de ses jambes.
Les poils de son sexe sont sombres, tombant de chaque côté de la fente. La vulve est très bombée.
- Une vraie moule de salope !
-Je ne vous permet pas !
-C’est ça ! Je sais comme vous, que vous aimez ça. Toutes les salopes aiment ça !
Evelyne ouvre la bouche et aspire de l’air, comme si elle étouffait. Lentement, ses mains remontent le long de ses cuisses, à l’intérieur, pour les faire se rapprocher de la touffe de poils. Putain ! Comme j’aurais aimé y coller mon nez ! Ses doigts atteignent le double renflement de sa vulve.
-Que c’est excitant ! Je lui lâche, comme pour l’encourager.
Je déboutonne mon pantalon et extrais mon pénis en érection à l’air. Je me caresse la queue.
-Si cela peut vous interressez, j’ai sorti ma queue. Et elle bande grâce à vous.
Respirant très vite, elle appuie du bout des doigts sur la tendre et fragile chair velue.
-Vous voyez que ce n’était pas si déplaisant que ça !
-Oh ! Je peux plus tenir… Halète-t-elle.
-Mais que vous arrive-t-il, Evelyne ?
-Je ne sais pas…
J’engouffre ma main dans le trou, pour mieux la poser sur sa jambe. Elle ne semble pas réagir au contact de ma main sur sa cuisse. Je décide de m’enhardir et fais progresser lentement ma main plus haut. Je m’autorise même à masser délicatement la peau douce.
-Que faites-vous ? Demande-t-elle doucement.
-Vous n’aimez pas ? Un mot de vous et j’arrête…
Elle ne répond pas, mais je la sens au contraire se détendre. Elle ouvre ses jambes, lentement afin que ma main puisse gagner l’intérieur de la cuisse, là où la peau est si douce. Evelyne glisse un peu plus son ventre vers l’ouverture, écartant encore les jambes. Je plaque alors ma main droite contre sa grosse pelote poilue et me mets à frotter sa chatte. Je peine à voir le visage d’Evelyne, masqué derrière la cloison, mais j’entends sa respiration s’accélérer. Je parcoure le sillon de sa vulve. Je masse la fente, de haut en bas, lentement, insinuant mon doigt délicatement dans le vagin. Bientôt, alors que les petites lèvres s’ouvrent en corolle, j’enfonce le doigt profondément dans l’antre humide et brûlant, arrachant un cri subit puis un soupir de plaisir chez Evelyne.
-Oh, gémit-elle, c’est si… doux, si… bon.
Je la doigte lentement, profondément. Et au bout d’un certain temps, je joins l’index au majeur. Sa chatte est brûlante, soyeuse, humide. Elle se met à onduler du bassin et, empoignant mon avant-bras de sa main droite, se mit à guider mes doigts en elle, accélérant le rythme de la pénétration. J’écoute Evelyne, gémir sans discontinuer. J’ai faillis décharger comme un collégien. Sa main agrippée à la mienne à me faire mal, la faisant aller et venir dans sa chatte détrempée, comme elle l’aurait fait avec un gode.
Brusquement elle se cintre et pousse un cri de jouissance, mes doigts enfoncés au plus profond dans sa chatte échaudée. Elle reste ainsi, le souffle coupé, pendant plusieurs secondes, puis elle libère ma main et je la vois s’effondrer sur le siège. Excité, je porte mes doigts à mes lèvres, et lape les sécrétions qui la couvrent, savourant cette mouille divine.
-Mon dieu ! Je l’entends lâcher. J’ai honte !
-Honte ! Mais pourquoi !
-Je ne sais pas… d’avoir pris mon pied sans aucun doute…
-Cela vous direz de recommencer cela demain ?
-Je ne sais pas si je dois !
Je prends la décision de me planquer dans le local adjacent au sien. Je profite d’être seul pour réaliser une niche sur le carton qui protège les deux logements des yeux trop curieux. Je ne mets pas longtemps pour avoir une vue imprenable sur ce qui ce passe à côté. Je n’ai plus qu’à attendre. Je tremble d’impatience. Attendant la venue de ma cible.
Quand enfin elle fait son apparition, j’ai la gorge tellement sèche que j’ai du mal à faire sortir un mot de ma bouche. Avec mille précautions, je sors de ma planque, et barricade la porte pour tenir prisonnière Evelyne dans son local. L'opération réussit, je retourne à mon poste. Il est temps pour moi à passer à l’action. Je m’entends lui dire :
-Bonjour Madame !
-Qui est là ? Est la réponse.
-Quelqu’un qui vous veut du bien.
-Qu’est-ce que vous voulez ?
-Dites-moi, qu’est-ce que vous avez mis comme sous-vêtements aujourd’hui ?
-Je vous demande pardon ?
- J’ai dit, qu’est-ce que vous avez mis comme sous-vêtements aujourd’hui ?
-Non, mais vous vous prenez pour qui ? Vous êtes un connard !
Poussée par la colère, la voilà qui essaye de quitter les lieux mais malheureusement pour elle j’ai verrouillé la porte avec un cadenas à moi.
-Peine perdu ma pauvre dame, je vous ai enfermé.
-AU SECOURS ! Crit-elle.
- Personne ne vous entendra. Allez soyez sympa, dîtes-moi quelle couleur est votre culotte.
- Espèce de pervers… elle est blanche.
-Quoi ?
-Ma culotte… Elle est blanche.
Ouh la !… Je ne m’attendais pas que ce soit si facile !
-C’est intéressant. Euh… j’aimerais bien la voir !
-… non, non, je ne peux pas faire ça.
-Allez Evelyne !
-Comment connaissez-vous mon prénom ?
-Oh, mais Evelyne je connais plein de chose de vous, même vos odeurs intimes.
-Je dois prendre ça comment ?
Là, je lui exhibe sa propre culotte par le trou.
-Vous la reconnaissez !
-Mais oui… comment…comment… ! Bafouille-t-elle, en faisant les quelques pas qui la sépare du trou, tendant son bras, prête à ce saisir de mon trophée.
-Pas question ! Fais-je en la ramenant à moi. Elle m’appartient !
-Comment avez-vous fait pour la posséder ?
-Secret ! Par contre qu’elle sentait bon la moule, le cul !
J’attendais qu’elle se révolte mais rien.
-Vous avez entendu Evelyne ?
-J’ai entendu…
-Cela ne vous fait rien ?
-Je commence à mouiller…
-Pardon Evelyne, j’entends bien…
-Parfaitement !
-Et qu’est-ce qui me vaut ce changement chez vous.
-Vous bandez ? Me fait-elle.
-J’ai un début d’érection, oui !
-Je peux savoir à quoi vous a servi ma culotte ?
-Bien sûr ! Je l’ai collé à mon nez et je me suis masturbé en pensant à vous.
-C’est vrai, vous ne me racontez pas d’histoire.
-Pourquoi le ferais-je.
-Comment l’avez-vous eu ?
-Plus tard, si vous le voulez bien. Vous mouillez ?
- Secret !
-Bon si c’est comme ça je parts.
-Déjà ? On commencer à bien s’amuser !
-Vous ne voulez pas répondre à ma question.
-Ma culotte est très humide… trempé, en fait !
Ça devient vraiment chaud… Alors j’en profite !
-Montrez-moi vos nichons.
-Je vous en prie, m’implore-t-elle en prenant sa petite voix de jeune fille timide, je vous en prie…
-Allez Evelyne ! Cela me ferait un très… très plaisir !
-Ici ? Vous n’y pensez pas !
-Pourquoi pas ?
-Enfin ! Si quelqu’un arrive !
-On l’entendra venir, vous aurez le temps de vous rajuster !
Je glousse quand que je la vois délogé, un après l’autre les boutons de son chemiser. Je l’entends respirer d’une façon précipitée.
Et la voilà, dépoitraillée, elle garde tout de même le silence. Alors je me dois de relancer la conversation.
-Qu’est-ce que cela vous fait de me les montrer. Est-ce que ça vous chatouille entre les cuisses, à l’idée que je peux vous demandez de m’amuser avec ?
-Mais taisez-vous ! Faites ce que vous voulez, puisque je suis assez conne pour me laisser faire… Mais fermez-la ! Vous n’êtes comme même un sacré pervers !
-Bien sûr que je suis un pervers. Et c’est bien ce que vous aimez vous les femmes ! Nous savons bien tous les deux que ça vous excite ! Ne racontez pas de connerie !
-C’est parce que vous m’obligez !
-Mais reconnaissez que je n’ai pas eu à beaucoup insister, pour que vous m’exhibiez vos nichons. Et puis je suis sûr que vous mouillez encore plus ? Approchez vos seins du trou !
-Et pourquoi je ferais cela ?
-Parce que je vous l’ordonne !
-Bon ! Fait-elle, mais après c’est fini !
Sitôt à porté de main, je m’en empare. Mes mains les palpent. Des gros seins qui ne demandent qu’à être malaxés, pétris, sucé ! Je les fais ballotter sur son buste qu’elle m’offre. Oui parce qu’elle me les offres, et cela sans aucun doute à ça !
-Je vois qu’ils réagissent bien ! Vous sentez comme les pointes se dressent ! La dernière fois quand vous les a sucé remonte à combien de temps ?
-Ça ne vous regarde pas ! Mais il faut que vous sachiez que ce n’est pas correct ce que vous faite !
Je lui saisis les bouts de sein entre le pouce et l’index et me mets à tordre sans douceur les délicates pointes de chair rose. Evelyne pousse un cri étouffé. Elle se mort même la lèvre, soupire, balbutie des mots décousus. Cela m’encourage à passer à autre chose !
-Débarrassez-vous de votre froc.
Non, fait-elle avec sa tête. Mais sa bouche ne dit rien, ce qui m’encourage à assister. Là, je la surprends en train de mordre ses lèvres, elle est en pleine réflexion ! Puis je la vois se cambrer, comme pour mieux m’offrir ses seins dont les pointes ont grossi d’une façon scandaleuse.
-Je veux voir votre culotte !
Et là, pour mon plus grand plaisir, comme une automate, la voilà qu’elle qui s’occupe de faire tomber son jean à ses chevilles. Elle porte en dessous, comme prévu, un slip blanc.
-Je veux voir votre chatte !
-Pervers ! Fait-elle en faisant glisser la culotte le long de ses jambes.
Les poils de son sexe sont sombres, tombant de chaque côté de la fente. La vulve est très bombée.
- Une vraie moule de salope !
-Je ne vous permet pas !
-C’est ça ! Je sais comme vous, que vous aimez ça. Toutes les salopes aiment ça !
Evelyne ouvre la bouche et aspire de l’air, comme si elle étouffait. Lentement, ses mains remontent le long de ses cuisses, à l’intérieur, pour les faire se rapprocher de la touffe de poils. Putain ! Comme j’aurais aimé y coller mon nez ! Ses doigts atteignent le double renflement de sa vulve.
-Que c’est excitant ! Je lui lâche, comme pour l’encourager.
Je déboutonne mon pantalon et extrais mon pénis en érection à l’air. Je me caresse la queue.
-Si cela peut vous interressez, j’ai sorti ma queue. Et elle bande grâce à vous.
Respirant très vite, elle appuie du bout des doigts sur la tendre et fragile chair velue.
-Vous voyez que ce n’était pas si déplaisant que ça !
-Oh ! Je peux plus tenir… Halète-t-elle.
-Mais que vous arrive-t-il, Evelyne ?
-Je ne sais pas…
J’engouffre ma main dans le trou, pour mieux la poser sur sa jambe. Elle ne semble pas réagir au contact de ma main sur sa cuisse. Je décide de m’enhardir et fais progresser lentement ma main plus haut. Je m’autorise même à masser délicatement la peau douce.
-Que faites-vous ? Demande-t-elle doucement.
-Vous n’aimez pas ? Un mot de vous et j’arrête…
Elle ne répond pas, mais je la sens au contraire se détendre. Elle ouvre ses jambes, lentement afin que ma main puisse gagner l’intérieur de la cuisse, là où la peau est si douce. Evelyne glisse un peu plus son ventre vers l’ouverture, écartant encore les jambes. Je plaque alors ma main droite contre sa grosse pelote poilue et me mets à frotter sa chatte. Je peine à voir le visage d’Evelyne, masqué derrière la cloison, mais j’entends sa respiration s’accélérer. Je parcoure le sillon de sa vulve. Je masse la fente, de haut en bas, lentement, insinuant mon doigt délicatement dans le vagin. Bientôt, alors que les petites lèvres s’ouvrent en corolle, j’enfonce le doigt profondément dans l’antre humide et brûlant, arrachant un cri subit puis un soupir de plaisir chez Evelyne.
-Oh, gémit-elle, c’est si… doux, si… bon.
Je la doigte lentement, profondément. Et au bout d’un certain temps, je joins l’index au majeur. Sa chatte est brûlante, soyeuse, humide. Elle se met à onduler du bassin et, empoignant mon avant-bras de sa main droite, se mit à guider mes doigts en elle, accélérant le rythme de la pénétration. J’écoute Evelyne, gémir sans discontinuer. J’ai faillis décharger comme un collégien. Sa main agrippée à la mienne à me faire mal, la faisant aller et venir dans sa chatte détrempée, comme elle l’aurait fait avec un gode.
Brusquement elle se cintre et pousse un cri de jouissance, mes doigts enfoncés au plus profond dans sa chatte échaudée. Elle reste ainsi, le souffle coupé, pendant plusieurs secondes, puis elle libère ma main et je la vois s’effondrer sur le siège. Excité, je porte mes doigts à mes lèvres, et lape les sécrétions qui la couvrent, savourant cette mouille divine.
-Mon dieu ! Je l’entends lâcher. J’ai honte !
-Honte ! Mais pourquoi !
-Je ne sais pas… d’avoir pris mon pied sans aucun doute…
-Cela vous direz de recommencer cela demain ?
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Les avis des lecteurs
J'ai bien aimé le capotis qui indique l'état d'exitation,
super!!