Je raconte notre vie et quelques plaisirs interdits de notre quotidien.

- Par l'auteur HDS Sabine Edwarda -
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Récit libertin : Je raconte notre vie et quelques plaisirs interdits de notre quotidien. Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Je raconte notre vie et quelques plaisirs interdits de notre quotidien.
J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner. Le matin, dans la pénombre, j'entends le lit de Vesna qui commence à couiner lentement, puis de plus en plus régulièrement. J'arrive aussi, malgré le peu de luminosité, à distinguer la forme de son corps à travers le rideau plastifié (nos chambres sont séparées par un rideau plastifié translucide en guise de cloison). Elle est allongée sur le ventre, les cuisses écartées, son bassin se cambre légèrement et retombe de façon régulière. Petit à petit, ce couinement se transforme en grincements du matelas de plus en plus forts et saccadés. Puis, les lattes en bois de son lit se mettent à craquer violemment. Les craquements se font de plus en plus rapidement jusqu'à ce que tout s'arrête brutalement. A ce moment-là, je me dis « depuis 10 bonnes minutes que ça commence, voilà enfin l'orgasme ».

Le matin ou en journée, nous occupons souvent le balcon de notre appartement. Notre balcon c'est une véranda à toit et cloisons entièrement en verre nous permettant de profiter de l'extérieur toute l'année. Elle nous protège efficacement contre les intempéries, tout en laissant pénétrer la lumière, une structure très résistante, au design raffiné, permettant à nos voisins d'avoir une vue complète sur nous. Je suis vêtue d'une chemisette blanche sans rien d'autre, retenue devant par un seul bouton au niveau de mon entre-seins, le tissu très fin et léger flotte sur mon corps comme le rideau d'une fenêtre entr'ouverte sous l'effet d'une légère brise plaît beaucoup à des garçons de l'immeuble d'en face ; ils passent du temps à me mater. A chaque mouvement de mon corps, de mes bras, le mouvement, aussi léger soit-il, de ma chemisette dévoile mes fesses, mon entrefesses ou encore mon pubis, mon entrecuisses qui est glabre, lisse comme un savon. Souvent, en me levant, je croise Vesna, sortant de la salle de bains, elle n'a pas encore eu le temps de s'habiller. Toute nue, tout en mettant précipitamment ses talons hauts noirs vernis, elle se saisit du seul vêtement disponible au porte-manteau, un tablier blanc « serveuse de bar » pour venir en cuisine pour prendre le café. Elle a tout juste le temps de nouer rapidement son tablier dans le dos. Elle est donc en tenue minimaliste : petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle porte uniquement avec ses talons, donc sans slip, sans culotte, sans rien et « topless ». En arrivant dans la cuisine elle a une habitude qui tient de la manie, du tic : elle se gratte le sexe à travers son tablier comme pour se calmer d'une démangeaison. Ce geste involontaire attise Patrice qui vient vers elle, il lui fait la bise puis passe son bras autour de son cou. Il s'avance vers elle pour un baiser « pleine bouche » avec mélange des langues. Comme il la serre dans son bras, ses lèvres se trouvent plaquées contre les siennes. Le mouvement, la torsion de leur bouche provoquées par l'interpénétration des lèvres est remarquable. Vesna est obligée d'entrouvrir la bouche pour prendre un peu d'air, Patrice en profite pour faire entrer sa langue à l'intérieur de la bouche de Vesna. Quand elle va ouvrir la porte, elle ne laisse personne indifférent : pour qui sonne et qui n'a pas l'habitude, sa tenue surprend ! Et pour ceux qui ont l'habitude ou qu'ils l'ont déjà vue ainsi, l'effet est toujours garanti avec une très forte émotion palpable. Disons même que l'effet qu'elle produit est dévastateur. Ce tablier, porté topless, sans slip, sans culotte, est un « objet de tentation », c'est vraiment ravageur. C'est un « objet de tentation », l'effet est vraiment désastreux. On a envie de passer la main dessus pour sentir la texture particulièrement sensuelle et tout ce qu'il suggère : à la fois attirance et repoussoir, invitation et refus, douceur et fermeté, femme au foyer et femme de ménage, protection et tenue d'intérieur, salissure et netteté, nettoyage et propreté, etc. Il ne laisse pas indifférent, loin de là. C'est un tablier dangereux par sa couleur, sa matière, sa longueur. Très court, ça laisse perplexe car habituellement un tablier de protection couvre beaucoup en principe.

Pendant ce temps, Patrice vient placer son autre main sur le tablier de Vesna. L'image qu'il doit avoir dans la tête de la serveuse de bar docile, aimable, serviable est certainement présente. Patrice vient placer sa main et ses doigts sur son tablier dans le creux du haut de ses cuisses. Il commence à caresser Vesna à cet endroit disons-le dans son sexe. Son tablier se plisse. Vesna commence à être un peu gênée de cette intrusion mais elle ne s'en offusque pas. Elle est d'une nature réservée, attentive, réceptive à l'excès. Le geste de Patrice se transforme rapidement en geste masturbatoire. On entend des « mmmmmuuhhhh.... mmmmuuuhhhh.... mmmmmmuuuhhhh.... » de la fille qui veut maintenant se libérer d'une emprise gênante. Au bout de cinq minutes environ Vesna se débat, les « mmmmmuuhhhh.... » de Vesna deviennent des « aaaahhh... aaaahhh... » hurlants, et les « cccchhhhllluuurrrrpp.... » des lèvres de Patrice deviennent des baisers pleine bouche qui dégoulinent de sa salive. Les lèvres de Vesna sont toujours mélangées à celles de Patrice. Mais tout à coup, Vesna se cabre violemment.

Je viens vers Patrice en adossant mes fesses contre l'évier, Patrice soulève ma nuisette pour s'introduire en moi. Très souvent Patrice a envie de me sauter après qu'il ait terminé son café-croissant. On peut faire cela dans la cuisine, il me prend, nous sommes tous les deux debout, moi contre l'évier, je me laisse pénétrer. Pendant ce temps Vesna s'occupe de ranger les affaires sans être gênée. Je considère que ce serait malpoli d'aller se cacher. S'il veut un endroit plus confortable, plus exactement si on a un peu plus de temps, on va dans ma chambre, la porte-rideau plastifiée reste ouverte, Vesna va et vient, on la voit passer, elle nous voit, mais il arrive même qu'elle ait un objet ou un vêtement à prendre, dans ce cas elle vient dans la chambre alors que Patrice me saute. C'est peut être osé de se faire prendre devant sa fille mais pas pour nous car on est tellement habituées toutes les deux à se confier sur tout que ce n'est en rien choquant. Du fait de notre relation fusionnelle, c'est venu très naturellement. La première fois, Vesna est entrée dans la cuisine alors que j'avais ma main dans le caleçon de Patrice et que je le masturbais. En fait l'arrivée de Vesna a provoqué instantanément l'éjaculation, j'ai sorti ma main de son short complètement engluée de son foutre. Pendant le petit-déjeuner, Patrice a des gestes sur moi : sa main se promène sur mes cuisses, mes seins ; on s'embrasse facilement avec léchage réciproque de nos langues. Pendant ce temps Vesna est avec nous. C'est très fréquent qu'il finisse par me demander une fellation. Vesna ne va pas se cacher bien sûr. Ce serait malpoli. Si Patrice a un besoin pressant de me « sauter », alors je me mets debout fesses contre l'évier. Vesna va et vient sans changer ses habitudes de vie évidemment.

En cuisine, Vesna s'installe à table pendant que je prépare le café. Elle commence à me parler « sexe », à partir d'un article qu'elle a lue dans la revue de sexologie UNION, je remarque qu'en même temps elle a sa main sous la table. Visiblement sa main s'égare entre ses cuisses, je devine aussi qu'elle doit être sur ses cuisses, ou dans ses cuisses, à travers son tablier. Puis, un moment après, je remarque que son avant-bras fait des allées et venues régulières, notre discussion en même temps devient très érotique (pas cochonne ni salace). Tout à coup son visage se fige et se relâche sans effort, on dirait qu'il s'est passé quelque chose. Quand elle se lève, je remarque une chose à laquelle elle n'a pas fait attention, son tablier reste coincé dans ses cuisses, tout en haut, donc dans son sexe. Le doute n'est plus permis, elle s'est masturbée dans, à travers son tablier. Elle fait quelques déplacements dans la cuisine avec son tablier coincé. L'effet produit est d'un érotisme torride, je ne sais pas encore comment ou que lui dire pour dénouer la situation.

Tous les matins, c'est le moment de nos soins, en particulier l'épilation réciproque de nos sexes. Nos sexes sont totalement lisses, pour obtenir un tel résultat, nous nous traquons la moindre pousse tous les matins. Étant donné que nous le faisons tous les matins, il n'y a quasiment rien à retirer. En fait cette histoire de pousse « poilue » est prétexte à autre chose. La recherche et la chasse du moindre poil nous donne l'occasion de bien étirer la peau pour la rendre encore plus lisse. J'arrive toujours au moment précieux où mon doigt s'introduit tout doucement dans le sexe de Vesna. Alors je le fais aller et venir très doucement jusqu'à faire monter en elle le plaisir. Lorsque mon doigt devient très humide alors je le maintiens ainsi pour obtenir l'orgasme. Elle en fait autant de son côté. C'est un moment de vrai bonheur. Pour apprécier la rugosité ou la lisse du sexe de l'autre on utilise la langue, ce qui est beaucoup plus approprié. On pourrait penser à une relation incestueuse, ce qui veut dire qu'on couche, qu'on fait l'amour avec sa fille exactement comme on le fait avec un homme. Pour nous c'est une relation toute autre, une relation mère/fille fusionnelle. Cela veut dire qu'on est toujours ensemble, très proches sur tous les sujets, donc en particulier sur des sujets « sexe ». On est toujours habillées identiques, on se prête certains sous-vêtements, des revues, des objets, des magazines, etc. On est toujours caressantes l'une envers l'autre. Cela veut dire par exemple : passer la main dans les cheveux, dans le cou, sur une cuisse pour demander quelque chose. Poser ma main sur Vesna se prolonge toujours en une caresse. On se dépose un baiser très facilement, chaque occasion est le prétexte pour cela. Le baiser le plus tendre est celui sur la joue qui « dérape », je veux dire par là que mes lèvres se déposent « comme par hasard » sur la commissure des lèvres de Vesna. La première fois que cela s'est produit elle a eu un mouvement de recul mais maintenant elle en raffole.

Après le petit-déjeuner, nous nous préparons pour aller au salon qui se trouve tout près, de sorte que le trajet n'est pas long. Nous avons toujours une tenue très sexy, assez classique sans oublier le « sexy détail », en particulier adeptes de la jupe en cuir mi-cuisses, forme « trapèze » donc qui se balance de droite à gauche à chaque pas. L'ensemble donne un style « délicieusement inconvenant ». A cause de la longueur, lorsqu'on monte un escalier ou qu'on se tient dans un escalator on a une vue imprenable sur notre entrecuisses. Nous passons un bon moment avec les habitués du café. J'aime bien montrer mes cuisses. Par exemple, au comptoir de ce café, elle remonte assez haut pour découvrir quasiment la totalité de mes cuisses, j'ai alors un geste caractéristique consistant à tirer sur ma jupe avec une moue à la Justine Putet qui s'agace de cette mode des jupes courtes (Justine Putet dans Clochemerle est la vieille demoiselle stricte qui exerce une surveillance étroite). Mon chemisier est blanc, un rien transparent, les deux boutons du haut sont défaits. Je porte toujours des bas couture ou résilles avec des porte-jarretelles. Assise ma jupe remonte toujours assez haut pour découvrir la fixation de mes porte-jarretelles. Le lieu que je préfère c'est le tabouret haut au comptoir de ce café. Les clients ne peuvent pas s'empêcher de fixer leur regard sur mes cuisses un rien « jamboneuses ». Notre salon se trouve dans un quartier d'affaires très huppé, distingué, tous ceux qui sont au comptoir sont des cadres de haut niveau, en costume/cravate plutôt distingués. Au comptoir ils ont une certaine classe même pour des gestes coquins. Plusieurs d'entre eux nous disent bonjour par un baiser « pleine bouche », assise je suis dans la bonne position, avec ma jupe qui remonte très haut, pour qu'ils passent discrètement la main entre mes cuisses par l'intérieur le plus haut possible, là où c'est bien chaud. Quelques uns ont flashé sur Vesna et donc s'attardent plus avec elle. Un baiser sur la bouche, c'est la moindre des choses, puis au moment où les cafés arrivent sur le comptoir, Vesna descend de son tabouret haut en se laissant glisser, un homme se tient à côté d'elle pour l'« accompagner » dans un geste prévenant. Comme « par hasard » sa main ne quitte pas complètement Vesna, elle reste au contact de ses fesses. Voir cette main sur ses fesses à travers sa « micro-jupe » en vinyl brillant et sensuel qui se met à la peloter est vraiment délicieux.

Le soir, avec Vesna, nous avons souvent des masturbations ensemble. La première fois que cela est arrivé c'est un soir chez nous. J'étais installée dans le canapé dans une tenue minimaliste. J'avais prévu de regarder ensemble le célèbre film EMMANUELLE. Vesna est arrivée dans le séjour, vêtue d'un short en cuir noir qui lui moulait bien les fesses, sans rien d'autre sur elle. En entrant dans la pièce, elle passait les mains sur son short au niveau des cuisses puis des fesses, elle a tiré son short par le bas, comme pour bien l'ajuster et le tendre. Ce geste était très érotique. Elle s'est assise à côté de moi, dans un geste de bien être, de détente, elle a dégrafé les boutons pressions de sa braguette et écarté son short. Elle a passé la main et ses doigts dans le short vers son entrecuisses. On aurait dit qu'elle se calmait d'un démangeaison de son entrecuisses.

Les avis des lecteurs

Ce ne sont pas toujours les autres qui ont droit à des voisines pareilles, loin de là. Des voisines comme moi, il y en a tant qu'on veut, mais elles sont très discrètes.
Il faut connaître leurs petits gestes, leurs discrètes manières qui sont comme des « invites » à faire connaissance.

Histoire Erotique
Pourquoi ce sont toujours les autres qui ont droit à des voisines pareilles ?😭



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Histoire sexe : Une rose rouge
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