Je suis accueilli par une inconnue, à mon arrivée à Toulouse
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je suis accueilli par une inconnue, à mon arrivée à Toulouse
Une fois mon bac en poche, je n’ai pas eu d’autres choix que de rentrer dans la vie active avant de pour voir continuer mes études. J’ai fait différents petits boulots qui m’ont permis de subvenir à besoin financier mais aussi faire de bonnes et chaudes rencontres. Par contre le jour où je vais enfin m’inscrire à la fac de Toulouse je ne pensais pas faire une belle rencontre, et pourtant…
Effectivement, lorsque je vais à l’université pour choisir mes matières, je ne me sens pas tellement dans mon éléments. J’ai l’impression que tous les autres étudiants sont encore des gamins. Non seulement j’ai quelques années de plus que tous les autres étudiants mais j’ai surtout l’impression d’être à un autre stade de la vie qu’eux.
Quand j’emprunte la toute nouvelle ligne de métro qui me permet d’aller directement de chez moi à la fac, je me dis que l’année va être compliquée d’un point de vue social. Même si je suis un tout nouveau toulousain, je suis venu assez souvent pour, heureusement, y avoir déjà des amis. Alors que je suis perdu dans mes pensées, je sens un regard se poser régulièrement sur moi. Je tourne discrètement pour voir d’où mais surtout de qui ça vient.
Je ne sais pas si c’est elle mais je remarque une demoiselle d’environ mon âge (j’ai 24 ans). Elle est brune avec des yeux marrons en amende ce qui lui donne un visage félin. Elle a une superbe poitrine bien mis en valeur dans un débardeur blanc. Nos regards se croisent à plusieurs reprises. J’ose lui sourire et pour mon plus grand bonheur, elle y répond.
Nous continuons à nous examiner malgré le monde dans la rame et la chaleur intérieur comme extérieur. Je vois mon inconnue attraper le tissu de son débardeur et le remuer pour se faire de l’aire. Je l’observe faire en espérant découvrir un peu plus son corps. Elle ouvre la main et prend une plus grande poigne pour embarquer aussi la bretelle de son soutien gorge. Ses seins bougent dans tous les sens, je m’imagine déjà en train de les malaxer et en profiter.
Je me fraie un passage jusqu’à elle, en me demandant comment l’aborder. Je décide de jouer sur le fait d’être nouveau dans la ville. Même si je sais très bien à quelle station je dois m’arrêter, je lui demande où descendre pour rejoindre le faubourg Bonnefoy. Avec une voix très douce, elle me dit de la suivre. Une fois à la bonne station, elle attrape ma main pour rejoindre le quai.
C’est seulement quand nous sommes dehors que ses doigts quittent les miens. Pendant que nous marchons vers chez moi nous discutons de nos vies. Je lui explique que je viens de m’installer dans la ville pour démarrer mes études, elle à toujours vécu dans la région. Depuis 3 ans, elle a pris un appartement pour être plus proche de son école d’infirmière.
Nous nous arrêtons devant un immeuble qui doit être le sien mais arrêtons pas de parler. Au bout d’un moment, elle me propose de monter chez elle pour continuer notre discussion. J’accepte sa proposition sans lui avouer que ma copine m’attend chez nous. Alors que nous sommes collés dans le petit ascenseur, je continue de parler sur mes impressions à propos de la ville rose pour ne pas trop penser à son corps contre le mien. Heureusement que nos jambes sont éloignées comme ça elle ne sent pas mon érection grandissante.
Une fois dans son appartement, elle me tend une bouteille de bière et m’invite à m’installer dans le canapé, à côté d’elle. Nous continuons à papoter comme si nous étions de vieux amis, alors que nous connaissons même pas le prénom de l’autre. Je sais bien que nous sommes dans le sud ouest mais je viens du sud est. Dans ma région nous sommes très tactile alors je me lance.
Lors de mes monologues, je commence mon approche par une petit caresse sur l’avant bras puis le dos. Elle est très réceptive et me fait, même, des petits sourires à chaque fois que mes doigts touchent sa peau. Au bout de quelques minutes, j’ose me pencher vers elle et poser, furtivement, mes lèvres sur les siennes. Comme elle est très réceptives notre baiser devient plus passionné.
Au bout de quelques instants, j’introduis ma langue dans sa bouche. Dès que je trouve la sienne, elles commencent à valser ensemble. Notre baiser devient de plus en plus chaud, mes doigts se perdent dans sa chevelure. Elle attrape mon bras pour poser ma droite sur un de ses seins. Je le prends à pleine main et le tâte un peu comme un fruit.
Alors que je masse sa poitrine en changeant de côté à chaque fois, nos respirations s’accélèrent. Pour plus profiter de sa peau, j’ose soulever son débardeur et le retirer même. Une fois qu’elle se retrouve en soutien gorge blanc à dentelles, elle enlève mon t-shirt. Pour que nous soyons à égalité total, je défais l’agrafe dans son dos. Elle empoigne sa brassière entre ses deux seins et la fait valser sur le sol.
Sa poitrine enfin libérée, j’admire ses deux gros seins opulents rebondir. Ses tétons pointent déjà et donne envie de les lécher. Moi qui suis plus attiré par les fesses que la poitrine, je suis hypnotisé devant la sienne. Je place mes deux mains sous ses seins et je me penche sur son téton droit pour commencer à le lécher. Je passe ensuite au gauche.
Puis je les aspire entre mes lèvres alors que ma langue les titilles. Quand je commence à la mordiller je sens ses ongles monter et descendre le long de mon dos. En plus de m’électriser, ça me donne encore plus d’énergie pour m’occuper d’elle. Mon visage se perd dans sa lourde poitrine, avant de me concentrer une nouvelle fois sur ses tétines.
Ses mains se posent sur mon entrejambe et dessinent le contour de mon érection à travers mon jean. Puis la paume de sa main gauche malaxe mes couilles alors que son index droite passe sur ma tige. Au bout de quelques minutes, elle ouvre enfin ma braguette et glisse sa main dedans pour aller chercher ma queue prisonniers de mon boxer.
Elle met un moment à sortir ma bite alors que je m’occupe toujours de ses seins. Quand mon sexe est enfin libéré, elle joue un moment avec mon gland circoncis et surtout mon méat. Elle y rentre même son ongle, ça ne m’excite pas beaucoup par contre ça a l’air de bien lui plaire. Quand elle finit avec le petit trou de ma queue, elle me masturbe à deux mains.
Motivé par ses vas et viens sur ma tige, je l’allonge sur le canapé alors qu’un de ses tétons est toujours entre mes lèvres. Ma bouche descend sur son ventre pendant que j’ouvre les boutons de son pantalon pour la mettre plus à l’aise. Quand je retire son jean, j’en profite pour fair la même chose avec le mien. En remontant sur elle, je remarque une tache de mouille sur le triangle blanc du tissu.
Je passe ma langue sur tout son ventre en me rapprochant tout doucement de son entrejambe. Plus je descends plus elle se cabre dû à l’excitation. Je pose mes lèvres sur sur sa culotte et je la lèche à travers le tissu. Son clito est tellement gorgée de sang que je le trouve rapidement. Je l’aspire entre mes lèvres en profitant du goût sucré de son nectar.
Elle se met déjà à bien gémir, pour que nous profitions encore plus ensemble, je pousse l’élastique de sa culotte. Je passe ma langue sur toute sa vulve déjà bien accueillante. Avec sa mouille sur le bout de la langue, je remonte vers son petit bouton. Pendant que mes doigts jouent avec ses grandes lèvres, ma langue tournoie sur son gros clito.
Ma main de libre remonte sur son corps, entre mon pouce et on index je tire sur ses tétons. Elle couine de plus en plus, ce qui me motive à descendre ma bouche pour la pénétrer avec la langue. J’avale le plus possible de son élixir avant de remonter sur son petit bouton et plonger mon index dans sa grotte. Je le replis en crochet et commence à l’agiter en elle.
Je caresse ses parois vaginales tout en aspirant son clito. Il est tellement sensible qu’à chaque fois que ma langue passe dessus, elle pousse des petits hurlements qui m’excitent encore plus. J’envahi encore plus sa chatte avec un deuxième doigt qui suit les mouvements de son copain. Son corps s’agite de plus en plus, je sens qu’elle commence à avoir la chaire de poule.
Quand un troisième doigt rentre en elle, je sens immédiatement ses muscles se comprimer. Mes mouvements en elle sont de plus en plus restreints, alors je redouble d’énergie avec ma bouche. Son corps est comme pris de spasmes alors qu’elle sort des petits sons très aiguës qui rendent son orgasme encore plus beau.
A bout de souffle elle retombe sur le canapé pantelante et haletante. Elle prend un peu de mouille avec ses doigts et se les suce en me regardant d'un air si cochon que j'avance mon sexe vers sa bouche. Je me tiens debout, ma bite tendue au niveau de sa bouche prêt à ce qu'elle la prenne en bouche.
Elle passe sa main droite sur son con pour l'humidifier. Elle s'en sert pour lubrifier ma queue et commence à me masturber tout en me regardant droit dans les yeux, d’un regard excitant et en se branlant, au même rythme, de la main gauche. Elle me demande:« Tu aimes? »
Je contracte mes muscles du périnée pour faire monter et descendre ma tige entre ses doigts. En voyant ma queue répondre à ma place, elle rigole de bon coeur puis m’avale complètement. Sa bouche est chaude et humide en plus c’est une sacrée experte de la pipe. Je vis un moment divin entre ses lèvres.
Elle m’avale entièrement, jusqu’à la garde, en malaxant mes couilles avec une main alors que l’autre s’occupe toujours de son mont de Vénus. D’un coup elle me recrache, des filets de bave relient ma tige à sa bouche. Elle reprend rapidement sa respiration et gobe mon gland alors que sa langue tourne autour à une vitesse folle.
Elle me retire de sa bouche et plaque ma queue contre mon ventre pour s’attaquer à mes couilles. Elle les lèche, suce, aspire et le mordille aussi. Sa langue remonte le long de ma tige et s’attarde sur mon frein. Elle passe sa langue dans les deux sens dessus. Elle resserre les plis de ma peau entre ses lèvres avant de faire rentrer ses dents dans la danse.
Pour l’encourager, je caresse ses cheveux du coup elle m’avale entièrement. Mon gland dépasse sa glotte pour pénétrer sa gorge. J’ai l’impression de sentir ses cordes vocales masser mon champignon, je peux pas m’empêcher de flatter ses tétons en même temps. J’ai très envie de la sauter mais je reste quand même dans sa bouche bien que j’approche du point de nous retour.
Quand elles sent mes veines gonfler elle me recrache directement. Moi qui espérait gicler dans sa bouche, je suis un peu dessus. Mais ça ne dure pas longtemps, car elle m’installe sur elle et place ma queue recouverte de sa salive, au milieu de sa poitrine. Elle compresse ses seins autour de ma tige alors que je commence à bouger mon bassin pour faire aller et venir mon sexe entre ses globes.
Voir ma queue, chauffée au rouge, glisser dans ce vagin artificiel formé par sa grosse poitrine, me rend fou de bonheur. Vu qu’elle ne peut plus se branler, je me penche en arrière en lançant une main entre ses cuisses. J’écarte l’élastique de sa culotte et caresse sa vulve trempée pendant que ses mamelles malaxent mon costume 3 pièces.
Alors que je rentre mon index et mon majeur dans son con, mon pouce malaxe son clito. Nous gémissons en coeur mais même si je suis très agile de mes doigts, je sais très bien que je n’arriverai pas à la faire jouir en même temps que moi. Je m’applique au maximum pour lui donner le plus de plaisir possible, qu’elle semble bien apprécier.
Quand je sens sa langue cajoler mon gland qui ressort, je n’en peux plus, mes couilles se redissent. Je me redresse pour l’admirer faire. Je regarde mes longs jets de sperme s’écraser sur son visage, ses lèvres et même dans sa bouche; sa tête est souillée. Je me rappelle pas avoir déjà autant juter dans ma vie.
Je repars en arrière pour doigter encore son entrejambe alors que je continue à faire coulisser ma queue entre ses seins grâce à mon jus. Même si je suis complètement flasque, je continue mais c’est elle qui m’arrête pour m’attirer sur elle et que nous nous embrassions à pleine bouche. J’en profite pour gouter à mon sperme qui est sur ses lèvres.
Nous nous embrassons passionnément pendant un long moment entouré de l’odeur de nos sécrétions et de de notre transpiration. Puis nous nous relevons, elle m’entraine sous la douche où nous en profitons pour continuer à nous caresser. Après avoir bu les dernières gorgées de ma bière, je me rhabille et je quitte mon inconnue sans connaitre rien d’autre que son adresse.
En repartant je mémorise bien son immeuble au cas ou j’aurai envie de venir lui faire un petit coucou un jour…
Effectivement, lorsque je vais à l’université pour choisir mes matières, je ne me sens pas tellement dans mon éléments. J’ai l’impression que tous les autres étudiants sont encore des gamins. Non seulement j’ai quelques années de plus que tous les autres étudiants mais j’ai surtout l’impression d’être à un autre stade de la vie qu’eux.
Quand j’emprunte la toute nouvelle ligne de métro qui me permet d’aller directement de chez moi à la fac, je me dis que l’année va être compliquée d’un point de vue social. Même si je suis un tout nouveau toulousain, je suis venu assez souvent pour, heureusement, y avoir déjà des amis. Alors que je suis perdu dans mes pensées, je sens un regard se poser régulièrement sur moi. Je tourne discrètement pour voir d’où mais surtout de qui ça vient.
Je ne sais pas si c’est elle mais je remarque une demoiselle d’environ mon âge (j’ai 24 ans). Elle est brune avec des yeux marrons en amende ce qui lui donne un visage félin. Elle a une superbe poitrine bien mis en valeur dans un débardeur blanc. Nos regards se croisent à plusieurs reprises. J’ose lui sourire et pour mon plus grand bonheur, elle y répond.
Nous continuons à nous examiner malgré le monde dans la rame et la chaleur intérieur comme extérieur. Je vois mon inconnue attraper le tissu de son débardeur et le remuer pour se faire de l’aire. Je l’observe faire en espérant découvrir un peu plus son corps. Elle ouvre la main et prend une plus grande poigne pour embarquer aussi la bretelle de son soutien gorge. Ses seins bougent dans tous les sens, je m’imagine déjà en train de les malaxer et en profiter.
Je me fraie un passage jusqu’à elle, en me demandant comment l’aborder. Je décide de jouer sur le fait d’être nouveau dans la ville. Même si je sais très bien à quelle station je dois m’arrêter, je lui demande où descendre pour rejoindre le faubourg Bonnefoy. Avec une voix très douce, elle me dit de la suivre. Une fois à la bonne station, elle attrape ma main pour rejoindre le quai.
C’est seulement quand nous sommes dehors que ses doigts quittent les miens. Pendant que nous marchons vers chez moi nous discutons de nos vies. Je lui explique que je viens de m’installer dans la ville pour démarrer mes études, elle à toujours vécu dans la région. Depuis 3 ans, elle a pris un appartement pour être plus proche de son école d’infirmière.
Nous nous arrêtons devant un immeuble qui doit être le sien mais arrêtons pas de parler. Au bout d’un moment, elle me propose de monter chez elle pour continuer notre discussion. J’accepte sa proposition sans lui avouer que ma copine m’attend chez nous. Alors que nous sommes collés dans le petit ascenseur, je continue de parler sur mes impressions à propos de la ville rose pour ne pas trop penser à son corps contre le mien. Heureusement que nos jambes sont éloignées comme ça elle ne sent pas mon érection grandissante.
Une fois dans son appartement, elle me tend une bouteille de bière et m’invite à m’installer dans le canapé, à côté d’elle. Nous continuons à papoter comme si nous étions de vieux amis, alors que nous connaissons même pas le prénom de l’autre. Je sais bien que nous sommes dans le sud ouest mais je viens du sud est. Dans ma région nous sommes très tactile alors je me lance.
Lors de mes monologues, je commence mon approche par une petit caresse sur l’avant bras puis le dos. Elle est très réceptive et me fait, même, des petits sourires à chaque fois que mes doigts touchent sa peau. Au bout de quelques minutes, j’ose me pencher vers elle et poser, furtivement, mes lèvres sur les siennes. Comme elle est très réceptives notre baiser devient plus passionné.
Au bout de quelques instants, j’introduis ma langue dans sa bouche. Dès que je trouve la sienne, elles commencent à valser ensemble. Notre baiser devient de plus en plus chaud, mes doigts se perdent dans sa chevelure. Elle attrape mon bras pour poser ma droite sur un de ses seins. Je le prends à pleine main et le tâte un peu comme un fruit.
Alors que je masse sa poitrine en changeant de côté à chaque fois, nos respirations s’accélèrent. Pour plus profiter de sa peau, j’ose soulever son débardeur et le retirer même. Une fois qu’elle se retrouve en soutien gorge blanc à dentelles, elle enlève mon t-shirt. Pour que nous soyons à égalité total, je défais l’agrafe dans son dos. Elle empoigne sa brassière entre ses deux seins et la fait valser sur le sol.
Sa poitrine enfin libérée, j’admire ses deux gros seins opulents rebondir. Ses tétons pointent déjà et donne envie de les lécher. Moi qui suis plus attiré par les fesses que la poitrine, je suis hypnotisé devant la sienne. Je place mes deux mains sous ses seins et je me penche sur son téton droit pour commencer à le lécher. Je passe ensuite au gauche.
Puis je les aspire entre mes lèvres alors que ma langue les titilles. Quand je commence à la mordiller je sens ses ongles monter et descendre le long de mon dos. En plus de m’électriser, ça me donne encore plus d’énergie pour m’occuper d’elle. Mon visage se perd dans sa lourde poitrine, avant de me concentrer une nouvelle fois sur ses tétines.
Ses mains se posent sur mon entrejambe et dessinent le contour de mon érection à travers mon jean. Puis la paume de sa main gauche malaxe mes couilles alors que son index droite passe sur ma tige. Au bout de quelques minutes, elle ouvre enfin ma braguette et glisse sa main dedans pour aller chercher ma queue prisonniers de mon boxer.
Elle met un moment à sortir ma bite alors que je m’occupe toujours de ses seins. Quand mon sexe est enfin libéré, elle joue un moment avec mon gland circoncis et surtout mon méat. Elle y rentre même son ongle, ça ne m’excite pas beaucoup par contre ça a l’air de bien lui plaire. Quand elle finit avec le petit trou de ma queue, elle me masturbe à deux mains.
Motivé par ses vas et viens sur ma tige, je l’allonge sur le canapé alors qu’un de ses tétons est toujours entre mes lèvres. Ma bouche descend sur son ventre pendant que j’ouvre les boutons de son pantalon pour la mettre plus à l’aise. Quand je retire son jean, j’en profite pour fair la même chose avec le mien. En remontant sur elle, je remarque une tache de mouille sur le triangle blanc du tissu.
Je passe ma langue sur tout son ventre en me rapprochant tout doucement de son entrejambe. Plus je descends plus elle se cabre dû à l’excitation. Je pose mes lèvres sur sur sa culotte et je la lèche à travers le tissu. Son clito est tellement gorgée de sang que je le trouve rapidement. Je l’aspire entre mes lèvres en profitant du goût sucré de son nectar.
Elle se met déjà à bien gémir, pour que nous profitions encore plus ensemble, je pousse l’élastique de sa culotte. Je passe ma langue sur toute sa vulve déjà bien accueillante. Avec sa mouille sur le bout de la langue, je remonte vers son petit bouton. Pendant que mes doigts jouent avec ses grandes lèvres, ma langue tournoie sur son gros clito.
Ma main de libre remonte sur son corps, entre mon pouce et on index je tire sur ses tétons. Elle couine de plus en plus, ce qui me motive à descendre ma bouche pour la pénétrer avec la langue. J’avale le plus possible de son élixir avant de remonter sur son petit bouton et plonger mon index dans sa grotte. Je le replis en crochet et commence à l’agiter en elle.
Je caresse ses parois vaginales tout en aspirant son clito. Il est tellement sensible qu’à chaque fois que ma langue passe dessus, elle pousse des petits hurlements qui m’excitent encore plus. J’envahi encore plus sa chatte avec un deuxième doigt qui suit les mouvements de son copain. Son corps s’agite de plus en plus, je sens qu’elle commence à avoir la chaire de poule.
Quand un troisième doigt rentre en elle, je sens immédiatement ses muscles se comprimer. Mes mouvements en elle sont de plus en plus restreints, alors je redouble d’énergie avec ma bouche. Son corps est comme pris de spasmes alors qu’elle sort des petits sons très aiguës qui rendent son orgasme encore plus beau.
A bout de souffle elle retombe sur le canapé pantelante et haletante. Elle prend un peu de mouille avec ses doigts et se les suce en me regardant d'un air si cochon que j'avance mon sexe vers sa bouche. Je me tiens debout, ma bite tendue au niveau de sa bouche prêt à ce qu'elle la prenne en bouche.
Elle passe sa main droite sur son con pour l'humidifier. Elle s'en sert pour lubrifier ma queue et commence à me masturber tout en me regardant droit dans les yeux, d’un regard excitant et en se branlant, au même rythme, de la main gauche. Elle me demande:« Tu aimes? »
Je contracte mes muscles du périnée pour faire monter et descendre ma tige entre ses doigts. En voyant ma queue répondre à ma place, elle rigole de bon coeur puis m’avale complètement. Sa bouche est chaude et humide en plus c’est une sacrée experte de la pipe. Je vis un moment divin entre ses lèvres.
Elle m’avale entièrement, jusqu’à la garde, en malaxant mes couilles avec une main alors que l’autre s’occupe toujours de son mont de Vénus. D’un coup elle me recrache, des filets de bave relient ma tige à sa bouche. Elle reprend rapidement sa respiration et gobe mon gland alors que sa langue tourne autour à une vitesse folle.
Elle me retire de sa bouche et plaque ma queue contre mon ventre pour s’attaquer à mes couilles. Elle les lèche, suce, aspire et le mordille aussi. Sa langue remonte le long de ma tige et s’attarde sur mon frein. Elle passe sa langue dans les deux sens dessus. Elle resserre les plis de ma peau entre ses lèvres avant de faire rentrer ses dents dans la danse.
Pour l’encourager, je caresse ses cheveux du coup elle m’avale entièrement. Mon gland dépasse sa glotte pour pénétrer sa gorge. J’ai l’impression de sentir ses cordes vocales masser mon champignon, je peux pas m’empêcher de flatter ses tétons en même temps. J’ai très envie de la sauter mais je reste quand même dans sa bouche bien que j’approche du point de nous retour.
Quand elles sent mes veines gonfler elle me recrache directement. Moi qui espérait gicler dans sa bouche, je suis un peu dessus. Mais ça ne dure pas longtemps, car elle m’installe sur elle et place ma queue recouverte de sa salive, au milieu de sa poitrine. Elle compresse ses seins autour de ma tige alors que je commence à bouger mon bassin pour faire aller et venir mon sexe entre ses globes.
Voir ma queue, chauffée au rouge, glisser dans ce vagin artificiel formé par sa grosse poitrine, me rend fou de bonheur. Vu qu’elle ne peut plus se branler, je me penche en arrière en lançant une main entre ses cuisses. J’écarte l’élastique de sa culotte et caresse sa vulve trempée pendant que ses mamelles malaxent mon costume 3 pièces.
Alors que je rentre mon index et mon majeur dans son con, mon pouce malaxe son clito. Nous gémissons en coeur mais même si je suis très agile de mes doigts, je sais très bien que je n’arriverai pas à la faire jouir en même temps que moi. Je m’applique au maximum pour lui donner le plus de plaisir possible, qu’elle semble bien apprécier.
Quand je sens sa langue cajoler mon gland qui ressort, je n’en peux plus, mes couilles se redissent. Je me redresse pour l’admirer faire. Je regarde mes longs jets de sperme s’écraser sur son visage, ses lèvres et même dans sa bouche; sa tête est souillée. Je me rappelle pas avoir déjà autant juter dans ma vie.
Je repars en arrière pour doigter encore son entrejambe alors que je continue à faire coulisser ma queue entre ses seins grâce à mon jus. Même si je suis complètement flasque, je continue mais c’est elle qui m’arrête pour m’attirer sur elle et que nous nous embrassions à pleine bouche. J’en profite pour gouter à mon sperme qui est sur ses lèvres.
Nous nous embrassons passionnément pendant un long moment entouré de l’odeur de nos sécrétions et de de notre transpiration. Puis nous nous relevons, elle m’entraine sous la douche où nous en profitons pour continuer à nous caresser. Après avoir bu les dernières gorgées de ma bière, je me rhabille et je quitte mon inconnue sans connaitre rien d’autre que son adresse.
En repartant je mémorise bien son immeuble au cas ou j’aurai envie de venir lui faire un petit coucou un jour…
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