Je suis devenue voyeuse - histoire érotique

J’ai trente-cinq ans, je suis décidée à me laisser aller à une sexualité plus libre. Je suis restée jusqu’alors dans des pratiques communes. Mais mon mari m’a trompée avec une voisine je ne décolère pas et petit à petit l’idée de me venger m’occupe régulièrement l’esprit. Je ne me vois pas vraiment aller me donner à un voisin ou une connaissance. Mais je sais très bien ce qui m’excite même si je n’en ai jamais parlé à personne. Mon mari ne sait rien de mes fantasmes ou plutôt de mon fantasme presque exclusif.
J’adore regarder le sexe des hommes. Il m’arrive de me connecter à des sites pornos. Je tape « Solo male ». Je zappe dès que j’ai suffisamment vu telle ou telle bite sans aller au bout des scènes. Encore que, depuis quelque temps je passe parfois du début à la fin pour voir l’éjaculation. Une des dernières vidéos que j’ai regardée plusieurs fois me revient souvent à l’esprit. Cela me fait jouir à chaque fois. Un type d’une cinquantaine d’année, assez gros et très poilu, est allongé sur un lit. Son membre est un peu recourbé. Il le tient fermement et se branle lentement faisant apparaître un gland très rouge avec la peau très tendue au point qu’elle brille. Il n’arrête pas de parler en anglais. Par moment, Il est presque en apnée et après, il souffle fort.
Presque tous les soirs je regarde mon ordinateur sur des sites spécialisés. Quand je vais me coucher à côté de mon mari, il est loin de se douter que je viens de m’envoyer en l’air en regardant une belle bite. Il y a deux jours, à peine dans le lit, Bertrand vient se coller à moi par derrière ; je fais la gueule. Je sens son membre dur contre ma cuisse. Je me refuse à lui depuis qu’il m’trompé. Je ne sais pas pourquoi mais je baisse mon pantalon de pyjama. Aussitôt, il m’enfile. Et je me fais bourrer la chatte. Il me fait jouir ce salaud mais je n’ai en tête que le mec poilu en train de se branler sur son lit. Je prends tout dans la chatte ; Mon mari avait fait des réserves de sperme parce qu’il m’envoie une sacrée dose. Ça me coule entre les jambes. L’orgasme devant mon écran et le coup de bite m’endorment rapidement. Le lendemain matin, je remarque une belle carte de France sur les draps.
Une autre anecdote, pendant l’été 2021. Nous allons en vacances en famille dans le sud de la France et surtout dans les Pyrénées. Sur la route du retour nous passons deux jours près du lac de Salagou dans l’Hérault. Mon mari et mes garçons partent randonner et je reste au gîte. En fin de matinée, je pars à la plage. Près de moi un groupe de jeunes se prélasse. Je remarque tout de suite celui qui est le plus près. Il a le maillot de bain, genre moule bite bien gonflée ; il bande. À partir de ce moment, je ne pense qu’à ça. Et je ne peux plus me concentrer sur ma revue. Toutes les deux minutes je tourne la tête vers lui. Alors, forcément, il s’en rend compte. Alors lorsque jeunes filles et garçons du groupe partent à l’eau, il reste sur sa serviette. Il sait que je le regarde. Je ne suis plus devant mon écran d’ordi mais dans la vraie vie. Il est bien jeune sans doute pas beaucoup plus de 18 ans. mais il est déjà être un gros cochon pour pouvoir bander sur une plage avec des amis. je me demande si une des filles du groupe s'en est aperçu. Il se tourne vers moi et écarte l'élastique de la jambe de son maillot de bain. Par reflexe, je tourne la tête lorsque j’aperçois son gland qui sort. Je me dis que je suis bête alors je me retourne et je fixe son engin. Le jeune est tout sourire. De mon côté je me sens rougir mais je ne détourne pas mon regard. Je suis comme fascinée par le gland qui semble me regarder. Il part avant moi. Lorsque j’arrive à l'entrée du camping, je vois ce jeune homme rentrer dans le bloc sanitaire. « Il va se branler ; c’est certain ! » Prise d’un coup de sang, j’y rentre aussi.
-J’ai quelque chose à vous montrer. Suivez-moi, madame.
J’hésite toute déconcertée par mon audace et je m’entends dire : -Pourquoi pas ?
j’ai immédiatement conscience que quelque chose de nouveau commence pour moi. « Qu’allait-il se passer ?
-Je m’appelle Andréa. Je vous en prie, dit-il en ouvrant la cabine handicapée. Je suis très intimidée et excitée à la fois.
-Isabelle.
Il est jeune par rapport à moi. À peine vingt ans, et moi trente-cinq.
Il est direct. Après trois ou quatre paroles banales, il baisse son bermuda.
- Je crois que vous aimez regarder. Allez-y ! Régalez-vous.
Il exhibe un sexe raide. Il est entièrement épilé. Les yeux me sortent de la tête. Je mate son service trois pièces. Une expression me vint à l’esprit : manche de pioche. C’est ça : du solide, bien large.
-Allez-y, Isa, n’hésitez pas, touchez-vous sans retenue en matant ma bite.
Je ne me retiens pas et je mets la main dans mon bermuda. Il m’observe. Je regarde son sexe et sa tête. Il me fixe. Au moins deux personnes sont entrées dans le local sanitaire ; elles bavardent. Il y a un homme et une femme. On ne fait pas de bruit. D’un geste des deux mais il me fait signer de baisser mes affaires. Je défais le bouton de mon bermuda ; je le baisse. Je suis en culotte. Il refait le même signe. Ça m’excite. Je baisse ma culotte jusqu’à mi-cuisses. Les gens sont partis.
-Ho, La belle touffe ! Vous arrivez à trouver votre bouton du plaisir là-dedans ? Vous pouvez me tâter le bâton et les boules mais attention, faut pas branler. Sinon excité comme je suis quand une femme me regarde, je n’arrive pas à contrôler ma queue et elle crache la purée en trente secondes.
Il a les yeux qui lui sortent de la tête mais je crois que c’est aussi vrai pour moi.
Je profite de ce spectacle. Je suis très tentée de mettre la main pour sentir la rigidité de son manche. Il s'arrête puis d’un doigt, Il abaisse son membre et le relâche. Le bruit de sa queue contre son ventre me fait mouiller un peu plus, D'autant qu'il recommence cette opération plusieurs fois sentant que je suis sensible et que j'apprécie beaucoup. Il s'approche un peu plus et d’un doigt désigne ses boules. Je suis d’accord pour les prendre dans la main. Trop excitée, je ne me rends pas compte que je les serre fort.
-Hé, doucement, faut pas les écraser, madame !
Je ne résiste pas à saisir la colonne de chair. c'est sûr que c'est du costaud. je commence doucement ça va faire quelques mouvements de va et vient et manifestement cela ne lui déplait pas. il me gratifie de quelques « Oui, c’est bon ! » je sens tout de suite qu'il est près de l'explosion. Je vais tout doucement. à un moment donné il m'ordonne de m'arrêter et de profiter du spectacle. Je lâche son bâton mais continue à me branler le clito. Ça lui plaît. Il a les mains derrière le dos et remue des hanches. Et pour la première fois de ma vie j’assiste en voyeuse au spectacle d’une belle queue en train d’envoyer sa purée. Trois giclées sont sorties. La première atterrit sur ma cuisse. Les autres sur le carrelage. Sa queue continue de couler. Magnifique ! C’est à mon tour d'être prête. L’orgasme monte. Il s’accroupit devant moi et me regarde la chatte. Des spasmes de jouissance m’emportent. Je me plie plusieurs fois. Andrea me regarde en se frottant le sexe.
Autant vous dire que je ne dis rien cette expérience à mon mari. Le lendemain matin, Bertrand mon mari me propose d'aller faire une randonnée je réponds que j'ai un peu mal au genou. il part en emmenant les enfants.