JE SUIS UN THON (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 990 941 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 13 301 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
JE SUIS UN THON (1)
Je suis en colère, dans le plus grand nombre d’histoires les femmes dont les auteurs parlent sont tous des canons en 95 quelques choses de tour de poitrine.
Gertrude.
C’est le prénom que mes parents m’ont donné.
Il faut arriver à vivre avec un tel prénom.
En ce qui concerne mon look, je cumule, tout les handicape sur un seul corps, petite, 1m51, le poids, on en parlera plus tard, des seins comme ma silhouette et un cul comme mes seins. Ajouté à cela des lunettes à double foyer et vous avez la Gertrude qui vient d’avoir 35 ans.
Le meilleur, ce sont mes cheveux. On a l’impression qu’ils ont poussée un sur deux et des plaques de mon crâne sont apparentes. J’ai tout essayé mais rien n’a réussi à arranger le problème.
Je parle du poids, adepte des régimes amaigrissant l’un d’entre eux m’a même amenée chez un psy pour risques de dérèglements généralisés.
Plus vingt, moins trente plus dix-huit et pour finir plus trente en plus.
Bref, mes quelques copines dans mon dos m’appellent le boudin.
À dix-huit ans lorsque j’ai connu mon mari, je pesais 41 kgs et j’avais un petit cul que toutes les filles m’enviaient.
Déjà à cet âge, mes cheveux me rendaient folle de rage car il m’était impossible de trouver une coiffure allant avec ma jolie silhouette.
Il est vrai, lorsque après avoir baisé dans sa voiture avec Pierre, j’ai gagné le gros lot, un garçon et un cul.
Un gosse et un cul qui se sont encore développé après notre mariage et la naissance dix mois plus tard de ma fille car j’ai compensé l’obligation de rester couché par des séances de dégustation de boîtes de chocolats que mes copines m’apportaient en venant admirer ma fille qui me ressemblait déjà. C’était un bébé tout rond avec un visage ingrat. Lorsqu’elles disent, « elle est belle ta fille, » j’ai oublié d’être con et je vois bien qu’elle a un lourd handicape de poids.
Au bout de quinze ans de mariage, je suis une femme frustrée en voulant à la terre entière.
Dans ces années-là, j’étais entièrement à la merci de mon mari car je n’ai jamais travaillé.
Les choses ont changé lorsqu’une de mes seules copines m’a proposé de venir faire une formation pendant plusieurs mois pour devenir visiteuse médicale pour un laboratoire.
Sur un certain nombre de candidats suivant les cours les trois premiers reçus à l’examen final se voient attribuer un CDI avec un secteur de prospection.
J’ai toujours été excellente dans mes études et si mes grossesses n’étaient pas survenu, je serais à ce jour un médecin installé qui gagnerait plus que mon mari.
Mon mari, parlons-en, contrairement à moi, il n’a pas pris un gramme et est la coqueluche de ses jeunes élèves féminins qui suivent ses cours de droit à la faculté.
Je suis persuadé qu’ils les baisent et que j’ai donc des cornes plus grandes que celles du plus beau cerf de la forêt proche de chez nous.
Je n’ai pas la preuve formelle mais ses retards fréquents ajoutés à ses vêtements qui sentent bon les parfums féminins souvent différents m’insistent à penser cela.
Pour tout arranger, nous habitons à Nevers dans un trou perdu après sa nomination.
Je suis peus être dur avec Nevers qui est une petite ville de province certes peu bandante mais avec des côtés charmants pour les nombreux retraités qui y habitent.
Après avoir réussi à l’examen, à la première place, j’ai choisi un secteur qui passe de Lyon à Grenoble, la Suisse et revient jusqu’à Dijon.
Je prends mon envol ce dimanche après-midi au volant de ma voiture de fonction, j’ai rendez-vous en Suisse à Genève chez un docteur le 3 septembre après les vacances sur l’atlantique passée en famille pendant trois semaines.
Pendant cette période, j’ai senti la queue de mon mari une nuit dans le noir complet, alors que je dormais et où après m’avoir juste écarté une cuisse, il m’a pénétré se souciant peu de savoir si j’avais pris du plaisir.
Le plus drôle, c’est la manière dont j’ai pris cette petite baise, je me suis persuadé que c’est Brad Pitt qui m’a enfilé cette nuit-là.
Je viens d’arriver à Genève dans l’hôtel près de mon rendez-vous du lendemain.
Au restaurant, je suis assise auprès d’un homme grand élégant qui bien sûr ne s’intéresse pas à moi.
Après le repas, je me dirige vers le bar de nuit présent dans cet hôtel.
Je suis en train de boire un whisky lorsque Damien, il porte ce prénom, viens s’asseoir près de moi et qu’il me tend une cigarette que je refuse n’étant pas accro à cette saloperie.
Il semble c’être rapproché de moi plus pour me faire des confidences plutôt que de me draguer. il est marié et que comme moi le lendemain, il a un rendez-vous dans une boîte d’électronique.
Je finis par tout savoir sur leur couple qui ressemble étrangement au mien.
Deux verres chacun et je sens que certaines inhibitions tombent entre nous, le thon que je suis n’a pas l’air de le gêner et dès que j’entre dans sa chambre, il fait voler mes affaires et me fait l’amour avec une fougue comme jamais mon mari me l’a fait.
Je ne vous ai pas dit, mais à part le père de mes enfants, aucun homme n’a vu ma petite chatte.
Dans une soirée entre amis, nous jouions aux cartes la télévision allumée et à minuit le porno a démarré.
Une bombe sexuelle suçait avec entrain l’acteur après lui avoir pris la queue dans son pantalon.
Je n’ai jamais sucé Damien qui s’est toujours refusé à cette pratique, sa maman lui a appris qu’il était écrit que l’on ne faisait pas cela dans le couple.
Goulûment je le mets dans ma bouche frustrée depuis des années à ne pas avoir pu téter celui qui hélas partage ma vie.
Voyant que je suis partante pour des jeux de l’extrême, il me place en levrette lorsque sa bite est tendue au maximum et m’éclate la chatte.
Une fraction de seconde, j’ai espéré qu’il me sodomise mais hélas…
• Quel cul Véronique, j’ai hésité à t’aborder, mais maintenant je ne le regrette pas.
Tu as un cul expressif et au moins j’en ai sous la main.
Tu aimes que je te le claque.
Il n’attend pas ma réponse et la main bien à plat s’abat sur mon fessier. Mes joues fessières sont tellement gonflées que sa main rebondit dessus ce qui semble l’amuser car il recommence tellement de fois que je ne suis pas sûr que demain, je puisse m’asseoir devant mon toubib.
Mais au bout d’un moment très court, ces claques sont un stimulant pour lorsque je jouis.
Sa queue me laboure tellement fort que j’orgasme très rapidement et surtout très fort ce qui ne m’est pas arrivé depuis des lustres.
Je dois signaler que, lorsqu’il m’a demandé mon prénom, je n’ai pas osé dire Gertrude et j’ai dit Véronique prénom que j’aimerais porter.
D’ailleurs, à partir de maintenant appelé moi Véronique cela finira la transformation que j’ai commencée depuis que j’ai démarré ma voiture.
Content de m’avoir fait jouir sans jouir lui-même, il ne veut pas en rester là et il me retourne pour venir me manger le clito.
Je n’ai pas besoin de vous dire que c’est la première fois qu’une bouche d’homme vient l’honorer et j’aime fortement lorsqu’il me le mordille avec ses dents.
Il m’est difficile de dire ce que je ressens depuis des années que j’attends que l’on s’occupe de mon intimité.
Lorsqu’il me couvre de son grand corps, je le bloque en lui plaçant mes jambes à la hauteur de ses reins étant très souple malgré mon embonpoint et ainsi je sens son sceptre me pilonner plus fortement.
Il me remplit de longs jets de sperme et tombe sur le côté et s’endort.
Je suis repu et comme je ne souhaite pas me réveiller dans son lit, sachant la tête que je présente au réveil, je me lève enfile mon panty et je quitte la chambre le reste de mes affaires dans les bras. Trouver du monde à minuit dans les couloirs, j’ai peu de risques.
Dans ma baignoire, je me prélasse satisfaite d’avoir enfin franchi le pas et avoir complètement changé ma vie.
Ce que je viens de vivre, conforte que si je n’ai aucun tabou, les hommes n’en auront pas envers moi.
J’ai un but tout de même, j’ai consulté un spécialiste et ma chevelure pourra être améliorée avec des implants naturels. Le problème, c’est l’argent car ce n’est pas donné.
J’ai fait abstinence depuis mon premier amant et ce que j’ai vécu l’autre soir commence à me manquer.
Faire fondre la glace comme je l’ai faite et balayée tous les tabous sont difficiles aussi, il n’est pas question d’abandonner la partie après le plaisir que j’ai pris avec ce premier homme de rencontre.
Ce soir, au restaurant, j’ai bien repéré un mâle potable mais lorsque je commence à discuter avec lui, je m’aperçois qu’il est curé et bêtement je n’essaye pas de franchir le pas.
À vingt quatre-heures de rentrer at home, j’ai le bourdon, je sors de l’hôtel à la nuit tombée. Je passe devant un banc, deux jeunots sont assis.
• Tu as vu ce cul, on pourrait entrer tous les deux dedans, frérots• C’est de mon cul que vous parlez, il vous intéresse.
• C’est laid et sa cause, tu n’as qu’as payé pour que l’on te ramone ensemble.
• Chambre 62 au motel a 100 mètres, on verra qui va payer.
Je tourne les talons et je rentre précipitamment à l’hôtel pour me déshabiller si l’envie de venir leur prend.
Je n’attends pas longtemps et ils frappent.
• Vous avez bien fait de venir, on va beaucoup s’amuser. Vous verrez, j’adore baiser malgré mes formes généreuses.
• Pour être généreuses elles sont généreuses, tu as de la chance depuis quinze jours que nous n’avons rien levé et nos bites sont en manque.
• Je croyais que vous étiez des étalons qui baisaient comme des bêtes, venez-vous occuper de moi vous ne vous en plaindrez pas.
Baiser avec deux jeunes mecs, je suis contente surtout que le premier se met sur le dos et qu’il me pénètre. Être sur le sexe d’un homme, encore une première. Mais lorsque le frangin se place la bite sur ma rosette vierge de toute pénétration, j’ai un léger mouvement de recul.
• Encule là frangin, à sa réaction, elle doit être vierge du cul, met-lui ton gros bâton bien profond, il y a longtemps que je n’ai pas senti ta verge se frotter contre la mienne à travers sa petite paroi.
• C’est fait, tu m’as senti entrer, elle n’a même pas eu mal, on est des experts.
• Elle vous sent bien les deux et en est ravie, mais elle s’appelle Véronique alors allé y prenez-moi bien à fond ne me ménagez pas.
Cette première expérience de sodomie est une réussite . Comme l’on dit « Même pas mal ».
Lorsqu’ils me quittent, ils m’ont explosé et au matin lorsque je tourne ma clef de contact je suis émerveillé de la semaine que je viens de passer. Mon corps est repu et je peux affronter mon mari et mes enfants étant sûr que je suis devenu une femme nouvelle malgré mon gros cul.
Gertrude.
C’est le prénom que mes parents m’ont donné.
Il faut arriver à vivre avec un tel prénom.
En ce qui concerne mon look, je cumule, tout les handicape sur un seul corps, petite, 1m51, le poids, on en parlera plus tard, des seins comme ma silhouette et un cul comme mes seins. Ajouté à cela des lunettes à double foyer et vous avez la Gertrude qui vient d’avoir 35 ans.
Le meilleur, ce sont mes cheveux. On a l’impression qu’ils ont poussée un sur deux et des plaques de mon crâne sont apparentes. J’ai tout essayé mais rien n’a réussi à arranger le problème.
Je parle du poids, adepte des régimes amaigrissant l’un d’entre eux m’a même amenée chez un psy pour risques de dérèglements généralisés.
Plus vingt, moins trente plus dix-huit et pour finir plus trente en plus.
Bref, mes quelques copines dans mon dos m’appellent le boudin.
À dix-huit ans lorsque j’ai connu mon mari, je pesais 41 kgs et j’avais un petit cul que toutes les filles m’enviaient.
Déjà à cet âge, mes cheveux me rendaient folle de rage car il m’était impossible de trouver une coiffure allant avec ma jolie silhouette.
Il est vrai, lorsque après avoir baisé dans sa voiture avec Pierre, j’ai gagné le gros lot, un garçon et un cul.
Un gosse et un cul qui se sont encore développé après notre mariage et la naissance dix mois plus tard de ma fille car j’ai compensé l’obligation de rester couché par des séances de dégustation de boîtes de chocolats que mes copines m’apportaient en venant admirer ma fille qui me ressemblait déjà. C’était un bébé tout rond avec un visage ingrat. Lorsqu’elles disent, « elle est belle ta fille, » j’ai oublié d’être con et je vois bien qu’elle a un lourd handicape de poids.
Au bout de quinze ans de mariage, je suis une femme frustrée en voulant à la terre entière.
Dans ces années-là, j’étais entièrement à la merci de mon mari car je n’ai jamais travaillé.
Les choses ont changé lorsqu’une de mes seules copines m’a proposé de venir faire une formation pendant plusieurs mois pour devenir visiteuse médicale pour un laboratoire.
Sur un certain nombre de candidats suivant les cours les trois premiers reçus à l’examen final se voient attribuer un CDI avec un secteur de prospection.
J’ai toujours été excellente dans mes études et si mes grossesses n’étaient pas survenu, je serais à ce jour un médecin installé qui gagnerait plus que mon mari.
Mon mari, parlons-en, contrairement à moi, il n’a pas pris un gramme et est la coqueluche de ses jeunes élèves féminins qui suivent ses cours de droit à la faculté.
Je suis persuadé qu’ils les baisent et que j’ai donc des cornes plus grandes que celles du plus beau cerf de la forêt proche de chez nous.
Je n’ai pas la preuve formelle mais ses retards fréquents ajoutés à ses vêtements qui sentent bon les parfums féminins souvent différents m’insistent à penser cela.
Pour tout arranger, nous habitons à Nevers dans un trou perdu après sa nomination.
Je suis peus être dur avec Nevers qui est une petite ville de province certes peu bandante mais avec des côtés charmants pour les nombreux retraités qui y habitent.
Après avoir réussi à l’examen, à la première place, j’ai choisi un secteur qui passe de Lyon à Grenoble, la Suisse et revient jusqu’à Dijon.
Je prends mon envol ce dimanche après-midi au volant de ma voiture de fonction, j’ai rendez-vous en Suisse à Genève chez un docteur le 3 septembre après les vacances sur l’atlantique passée en famille pendant trois semaines.
Pendant cette période, j’ai senti la queue de mon mari une nuit dans le noir complet, alors que je dormais et où après m’avoir juste écarté une cuisse, il m’a pénétré se souciant peu de savoir si j’avais pris du plaisir.
Le plus drôle, c’est la manière dont j’ai pris cette petite baise, je me suis persuadé que c’est Brad Pitt qui m’a enfilé cette nuit-là.
Je viens d’arriver à Genève dans l’hôtel près de mon rendez-vous du lendemain.
Au restaurant, je suis assise auprès d’un homme grand élégant qui bien sûr ne s’intéresse pas à moi.
Après le repas, je me dirige vers le bar de nuit présent dans cet hôtel.
Je suis en train de boire un whisky lorsque Damien, il porte ce prénom, viens s’asseoir près de moi et qu’il me tend une cigarette que je refuse n’étant pas accro à cette saloperie.
Il semble c’être rapproché de moi plus pour me faire des confidences plutôt que de me draguer. il est marié et que comme moi le lendemain, il a un rendez-vous dans une boîte d’électronique.
Je finis par tout savoir sur leur couple qui ressemble étrangement au mien.
Deux verres chacun et je sens que certaines inhibitions tombent entre nous, le thon que je suis n’a pas l’air de le gêner et dès que j’entre dans sa chambre, il fait voler mes affaires et me fait l’amour avec une fougue comme jamais mon mari me l’a fait.
Je ne vous ai pas dit, mais à part le père de mes enfants, aucun homme n’a vu ma petite chatte.
Dans une soirée entre amis, nous jouions aux cartes la télévision allumée et à minuit le porno a démarré.
Une bombe sexuelle suçait avec entrain l’acteur après lui avoir pris la queue dans son pantalon.
Je n’ai jamais sucé Damien qui s’est toujours refusé à cette pratique, sa maman lui a appris qu’il était écrit que l’on ne faisait pas cela dans le couple.
Goulûment je le mets dans ma bouche frustrée depuis des années à ne pas avoir pu téter celui qui hélas partage ma vie.
Voyant que je suis partante pour des jeux de l’extrême, il me place en levrette lorsque sa bite est tendue au maximum et m’éclate la chatte.
Une fraction de seconde, j’ai espéré qu’il me sodomise mais hélas…
• Quel cul Véronique, j’ai hésité à t’aborder, mais maintenant je ne le regrette pas.
Tu as un cul expressif et au moins j’en ai sous la main.
Tu aimes que je te le claque.
Il n’attend pas ma réponse et la main bien à plat s’abat sur mon fessier. Mes joues fessières sont tellement gonflées que sa main rebondit dessus ce qui semble l’amuser car il recommence tellement de fois que je ne suis pas sûr que demain, je puisse m’asseoir devant mon toubib.
Mais au bout d’un moment très court, ces claques sont un stimulant pour lorsque je jouis.
Sa queue me laboure tellement fort que j’orgasme très rapidement et surtout très fort ce qui ne m’est pas arrivé depuis des lustres.
Je dois signaler que, lorsqu’il m’a demandé mon prénom, je n’ai pas osé dire Gertrude et j’ai dit Véronique prénom que j’aimerais porter.
D’ailleurs, à partir de maintenant appelé moi Véronique cela finira la transformation que j’ai commencée depuis que j’ai démarré ma voiture.
Content de m’avoir fait jouir sans jouir lui-même, il ne veut pas en rester là et il me retourne pour venir me manger le clito.
Je n’ai pas besoin de vous dire que c’est la première fois qu’une bouche d’homme vient l’honorer et j’aime fortement lorsqu’il me le mordille avec ses dents.
Il m’est difficile de dire ce que je ressens depuis des années que j’attends que l’on s’occupe de mon intimité.
Lorsqu’il me couvre de son grand corps, je le bloque en lui plaçant mes jambes à la hauteur de ses reins étant très souple malgré mon embonpoint et ainsi je sens son sceptre me pilonner plus fortement.
Il me remplit de longs jets de sperme et tombe sur le côté et s’endort.
Je suis repu et comme je ne souhaite pas me réveiller dans son lit, sachant la tête que je présente au réveil, je me lève enfile mon panty et je quitte la chambre le reste de mes affaires dans les bras. Trouver du monde à minuit dans les couloirs, j’ai peu de risques.
Dans ma baignoire, je me prélasse satisfaite d’avoir enfin franchi le pas et avoir complètement changé ma vie.
Ce que je viens de vivre, conforte que si je n’ai aucun tabou, les hommes n’en auront pas envers moi.
J’ai un but tout de même, j’ai consulté un spécialiste et ma chevelure pourra être améliorée avec des implants naturels. Le problème, c’est l’argent car ce n’est pas donné.
J’ai fait abstinence depuis mon premier amant et ce que j’ai vécu l’autre soir commence à me manquer.
Faire fondre la glace comme je l’ai faite et balayée tous les tabous sont difficiles aussi, il n’est pas question d’abandonner la partie après le plaisir que j’ai pris avec ce premier homme de rencontre.
Ce soir, au restaurant, j’ai bien repéré un mâle potable mais lorsque je commence à discuter avec lui, je m’aperçois qu’il est curé et bêtement je n’essaye pas de franchir le pas.
À vingt quatre-heures de rentrer at home, j’ai le bourdon, je sors de l’hôtel à la nuit tombée. Je passe devant un banc, deux jeunots sont assis.
• Tu as vu ce cul, on pourrait entrer tous les deux dedans, frérots• C’est de mon cul que vous parlez, il vous intéresse.
• C’est laid et sa cause, tu n’as qu’as payé pour que l’on te ramone ensemble.
• Chambre 62 au motel a 100 mètres, on verra qui va payer.
Je tourne les talons et je rentre précipitamment à l’hôtel pour me déshabiller si l’envie de venir leur prend.
Je n’attends pas longtemps et ils frappent.
• Vous avez bien fait de venir, on va beaucoup s’amuser. Vous verrez, j’adore baiser malgré mes formes généreuses.
• Pour être généreuses elles sont généreuses, tu as de la chance depuis quinze jours que nous n’avons rien levé et nos bites sont en manque.
• Je croyais que vous étiez des étalons qui baisaient comme des bêtes, venez-vous occuper de moi vous ne vous en plaindrez pas.
Baiser avec deux jeunes mecs, je suis contente surtout que le premier se met sur le dos et qu’il me pénètre. Être sur le sexe d’un homme, encore une première. Mais lorsque le frangin se place la bite sur ma rosette vierge de toute pénétration, j’ai un léger mouvement de recul.
• Encule là frangin, à sa réaction, elle doit être vierge du cul, met-lui ton gros bâton bien profond, il y a longtemps que je n’ai pas senti ta verge se frotter contre la mienne à travers sa petite paroi.
• C’est fait, tu m’as senti entrer, elle n’a même pas eu mal, on est des experts.
• Elle vous sent bien les deux et en est ravie, mais elle s’appelle Véronique alors allé y prenez-moi bien à fond ne me ménagez pas.
Cette première expérience de sodomie est une réussite . Comme l’on dit « Même pas mal ».
Lorsqu’ils me quittent, ils m’ont explosé et au matin lorsque je tourne ma clef de contact je suis émerveillé de la semaine que je viens de passer. Mon corps est repu et je peux affronter mon mari et mes enfants étant sûr que je suis devenu une femme nouvelle malgré mon gros cul.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...