JE SUIS UN THON (6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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JE SUIS UN THON (6)
Je me remets bien de mon accident de bateau sur le lac de Neuchâtel.
J’ai rencontré Colline qui m’a confié, les nouveaux médicaments, issues d’une molécule que mon groupe pharmaceutique a découvert et dont les produits qui déclinent commencent à arriver sur le marché.
Le produit principal, c’est un produit qui permet à ces messieurs de tendre le bras lorsque l’âge ou des défections liées à des médicaments pour d’autres pathologies leur redonnent leur jeunesse.
Colline était en joie lorsqu’elle m’a donné ces renseignements voulant même que je prenne un cachet pour tester.
C’était une boutade pourtant lorsque j’entre chez un médecin de Bâle, j’ai quelques appréhensions à aller parler de ce produit avec lui.
• Bonjour madame docteur Lionel.
Il me serre la main et le contact avec ses doigts nous envoie une décharge d’électricité.
• Je vois que nous sommes en phase, j’espère que votre produit est à la hauteur de la notice que vous m’avez fait parvenir en même temps que vous me demandiez une entrevue.
• J’aurais du mal à vous en dire plus que ce qui ait noté, ma responsable voulait que je le teste, mais à part mon clito rien en moi n’est censé bander.
• Véronique, je vois sur votre carte que c’est votre prénom, j’aime votre humour ainsi que votre beauté.
Certes, vous non, ce produit ne sert à rien, je bande sans problème, mais dans le futur votre « Lavadsa » me sera certainement peut-être utile.
J’ai vu qu’il y a des dosages à 5,10 et 20 Mg, avez-vous une boîte à 5 Mg afin de regarder comment ce produit se présente ?
• Ma responsable m’a confié que du 20 Mg.
Je sors une des boîtes et le docteur Lionel sort deux cachets et avant que j’aie le temps de l’arrêter, il les avale.
• Vu, l’heure à laquelle je vous ai reçu, je pense que je suis le dernier rendez-vous de votre journée, dans moins d’une heure, je constaterais si je peux donner ce produit à mes patients.
• Vous êtes fou, comment allez-vous faire, vous allez bander comme un taureau.
• Vous êtes là, vous m’assisterez dans ma solitude sexuelle.
Pourquoi pas, beau gosse, la quarantaine sportive, pas un gramme de graisse, pourquoi le canapé qui se trouve le long du mur nous refuserait de nous allonger dessus ?
Une demi-heure à trois quarts d’heure, je suis en train de boire un Martini dry qu’il m’a servi après avoir quitté son bureau pour se diriger vers ses appartements à l’étage supérieur.
Vu la stature de cet homme, il aurait pu me prendre sans pour autant prendre ces fichus cachets. J’espère qu’il va rester bien en forme toute la nuit.
Lorsque je dis en forme, sa verge va être obligatoirement en forme, mais c’est le cœur, va-t-il tenir avec ces deux cachets haute dose.
Je me vois mal dire à la police ou au service d’urgence qu’il a voulu tester le nouveau produit aidant à l’érection,qu’il a surdosé la quantité ingurgitée pour me subjuguer et que son cœur a lâché alors qu’il venait de s’enfoncer en moi. Qu’il me baisait comme une bête qu’il était devenu et que pour l’énième fois, il m’avait pénétré à m’en faire fumer la chatte m’obligeant à prendre quelques glaçons prévus pour le Martini dry, me les enfoncer dans le vagin et les sentir fondre en moins de trente secondes me donnant l’impression d’être devenu une femme fontaine.
• Lionel, quel est le numéro des appels d’urgence en Suisse ?
• C’est le 112 comme en France, c’est un numéro international.
J’ai chaud.
Subjuguée, je le suis, lorsque moins d’une demi-heure après que son visage est devenu tout rouge comme s’il avait attrapé un mauvais coup de soleil.
Sa bite à travers son pantalon commence à ce tendre alors que la notice que je relie dit que c’est le frottement de la verge qui déclenche le mécanisme de monter du sang dans les canaux.
Je m’approche, il est temps que j’intervienne, je défais sa ceinture et je sors un magnifique cep légèrement noueux avec une grosse veine gonflée au maximum certainement aggravé par les cachets ingurgités.
• Allez, ma belle suce-moi, je sens que tu aimes.
Plutôt deux fois qu’une, il va voir, comment j’ai progressé avec mes diverses aventures depuis que j’ai quitté ma France natale.
C’est la première fois que je la vois et il m’est difficile de dire si mon produit lui a donné du volume.
C’est la première fois que je vois une verge aussi noueuse, les veines proéminentes qui filent sous la peau en forme de zig-zag, sont-elles naturelles ou la conséquence des deux cachets, un peu timide, je n’ose lui poser la question.
• Tu regardes mes veines.
Ma verge a toujours été parcourue par ces veines ressemblant à des varices, certes, ton produit semble leurs données un peu plus de relief, s’il te plait assez parlé, soulage-moi, suce.
J’exécute son ordre et sa verge bien tentante entre sans problème au fond de ma gorge, c’est un homme certainement très prévenant en temps normal, mais sa tension est telle qu’il me prend la tête me bouchant les oreilles au point qu’un moment j’ai l’impression d’être sourde tellement, il me la serre.
Plusieurs allés retour et je reçois en bouche les giclées qu’il me propulse. Elles sont très importantes, mais pas plus que celles d’hommes sans les cachets m’ont déversé depuis que je me suis émancipée.
La seule chose positive c’est son goût que j’apprécie tous particulièrement.
Beaucoup de dames trouvent le coup fade, certes, moi aussi, mais pourquoi les choses devraient systématiquement avoir du goût ou pire bon goût.
Je tiens à la rendre très propre alors je la suce sur toute sa longueur, la relevant pour dégager ses couilles que j’aspire une après l’autre mais empirant le mal, car ses petites lèches ravivent sa tension.
Il rebande sans avoir réellement débandé, de nouveau il est prêt à l’emploi, je veux l’attirer sur moi, mais préalablement il faut nous mettre nue, car devant ces verres, nous avions gardé nos vêtements.
Enlevée est un mot faible, arrachée, je dois dire. Plusieurs boutons de sa chemise sautent et mon string est littéralement massacré, je vais devoir rentrer chez ma maîtresse la chatte à l’air, mais voir mon degré de perversité, ce sera avec grand plaisir.
Éviter d’extrapoler et profiter du moment présent pour m’enfoncer son pieux au fond de moi au point d’avoir un magnifique orgasme dès qu’il est au fond de ma grotte.
Je vois la fierté de Lionnel, car bien des hommes lorsqu’ils baisent une femme la première fois échouent lamentablement.
Ce coup de fusil ressenti dans mes lombaires s’il nous soude grâce à la verge se fait ressentir au niveau de mon cœur et le baiser que je lui imprime m’imprime aussi mes neurones et comme une midinette, je tombe amoureuse.
La façon qu’il a de s’enfoncer lentement en moi pour vite ressortir et de recommencer me rend littéralement comme une folle, moi qui espérais des coups fort et profond, je me retrouve dans un monde de douceur que j’apprécie au bout de quelques minutes.
Je crois bien que s’il accélérait, je lui dirais.
• Non, au non.
• Je t’ai fait mal.
• Pourquoi ?
• Tu as crié non deux fois.
J’éclate d’un rire nerveux.
• Non, mon esprit s’est échappé tellement ta manière de me prendre lentement alors que j’aspirais à de grands coups de bite m'a subjugué et que ma bouche a transcrit ce que je ressentais.
• Tu veux que je te ravage, avec la trique que ton produit m’apporte, je peux te labourer pendant des heures avec de grands coups.
• Surtout pas, c’est la surprise qui m’a fait parler, j’aime ce que tu me fais, continue.
Pour continuer, il a continué, presque une heure à faire varier les vitesses et les manières de me positionner.
C’est sur la moquette étant pressée et trouvant la chambre un peu loin que nous avons atterri et c’est dans la position de la cuillère puis de la levrette sans compter un bon missionnaire de passage à Berne que nous empruntons au kama sutra.
Ma chatte en feu est contente une nouvelle fois que son sperme vienne cautériser les brûlures qu’il m’inflige.
Il faut éviter de me croire, ma chatte est, certes, en feu, mais pas au point de me conduire dans un hôpital pour grand brûlé comme il en existe un à Lyon.
Certes, cela peut me permettre de retrouver Colline et lui dire tout le bien que je pense de ce produit qui est en train du moins pour moi de trouver un nouvel amour celui-ci possédant une verge, amour aussi fort que celui que je porte à Wan avec son clitoris.
J’ai toujours le chic de me compliquer la vie, car après la nouvelle charge qu’il mène en moi sa gentillesse, son physique parfait pour un homme dans la quarantaine et surtout sa verge, il me paraît inconcevable que les choses s’arrêtent dès que j’aurai réussi à assouvir les envies que les cachets pris en surdose entraînent sur son corps.
La jouissance éclate de nouveau pour moi sans éjaculation pour lui.
Après ce moment idyllique pour ma chatte, Lionnel m’entraîne manger un morceau.
Je suis contente dans notre nudité de constater que la verge de mon homme a tendance à débander.
Je la regarde de loin sans la toucher ayant remarqué la réaction qu’elle a lorsqu’elle est simplement effleurée.
Repas frugal car Lionnel est proche de la nature et se nourrit exclusivement de produits venues d’une ferme bio située à quelques kilomètres de la ville de Berne où nous nous trouvons.
L’avenir si elle me permet de vivre des moments auprès de cet homme doit me permettre de gagner les trois tailles de mes vêtements que je souhaite encore gagner.
Pour me prouver que les sentiments qui me traversent qui semblent très fort aussi pour lui, alors que je fais la petite vaisselle dont nous sommes servis, il prend le risque de venir se positionner derrière moi et alors qu’il m’embrasse dans le cou, il me saisit par les seins qu’il malaxe assez fort pour leur faire du bien.
Il leur fait du bien, mais dans le même temps sa verge vient toucher mes fesses entraînant immanquablement un retour de sa grandeur.
• Je peux.
Aucune réponse de ma part autre que ma tête qui se tourne et qui me permet de lui offrir ma bouche et une jambe posée sur une petite table dégageant ainsi ma vulve pour qu’il me pénètre après qu’il eut pris son pieu en main pour mieux me pointer.
• Non pas là.
Ces mots dits dans un souffle lui ouvrent les portes de ma rosette.
Il reprend sa verge en main qui sort de ce trou béant que ma chatte forme depuis le début de soirée où il est devenu mon amant pour se positionner et dans une grande poussée s’introduire jusqu’à ses couilles en moi.
En me laissant sodomiser, je prends le risque qu’il pense de moi que je suis une salope, ce qui est vrai mais doublé d’une pute et que cette pensée face de moi la femme bonne à baiser au détour d’un rendez-vous pour tirer un coup rapide alors que plus la soirée avance et plus c’est son cœur que je souhaite attraper…
J’ai rencontré Colline qui m’a confié, les nouveaux médicaments, issues d’une molécule que mon groupe pharmaceutique a découvert et dont les produits qui déclinent commencent à arriver sur le marché.
Le produit principal, c’est un produit qui permet à ces messieurs de tendre le bras lorsque l’âge ou des défections liées à des médicaments pour d’autres pathologies leur redonnent leur jeunesse.
Colline était en joie lorsqu’elle m’a donné ces renseignements voulant même que je prenne un cachet pour tester.
C’était une boutade pourtant lorsque j’entre chez un médecin de Bâle, j’ai quelques appréhensions à aller parler de ce produit avec lui.
• Bonjour madame docteur Lionel.
Il me serre la main et le contact avec ses doigts nous envoie une décharge d’électricité.
• Je vois que nous sommes en phase, j’espère que votre produit est à la hauteur de la notice que vous m’avez fait parvenir en même temps que vous me demandiez une entrevue.
• J’aurais du mal à vous en dire plus que ce qui ait noté, ma responsable voulait que je le teste, mais à part mon clito rien en moi n’est censé bander.
• Véronique, je vois sur votre carte que c’est votre prénom, j’aime votre humour ainsi que votre beauté.
Certes, vous non, ce produit ne sert à rien, je bande sans problème, mais dans le futur votre « Lavadsa » me sera certainement peut-être utile.
J’ai vu qu’il y a des dosages à 5,10 et 20 Mg, avez-vous une boîte à 5 Mg afin de regarder comment ce produit se présente ?
• Ma responsable m’a confié que du 20 Mg.
Je sors une des boîtes et le docteur Lionel sort deux cachets et avant que j’aie le temps de l’arrêter, il les avale.
• Vu, l’heure à laquelle je vous ai reçu, je pense que je suis le dernier rendez-vous de votre journée, dans moins d’une heure, je constaterais si je peux donner ce produit à mes patients.
• Vous êtes fou, comment allez-vous faire, vous allez bander comme un taureau.
• Vous êtes là, vous m’assisterez dans ma solitude sexuelle.
Pourquoi pas, beau gosse, la quarantaine sportive, pas un gramme de graisse, pourquoi le canapé qui se trouve le long du mur nous refuserait de nous allonger dessus ?
Une demi-heure à trois quarts d’heure, je suis en train de boire un Martini dry qu’il m’a servi après avoir quitté son bureau pour se diriger vers ses appartements à l’étage supérieur.
Vu la stature de cet homme, il aurait pu me prendre sans pour autant prendre ces fichus cachets. J’espère qu’il va rester bien en forme toute la nuit.
Lorsque je dis en forme, sa verge va être obligatoirement en forme, mais c’est le cœur, va-t-il tenir avec ces deux cachets haute dose.
Je me vois mal dire à la police ou au service d’urgence qu’il a voulu tester le nouveau produit aidant à l’érection,qu’il a surdosé la quantité ingurgitée pour me subjuguer et que son cœur a lâché alors qu’il venait de s’enfoncer en moi. Qu’il me baisait comme une bête qu’il était devenu et que pour l’énième fois, il m’avait pénétré à m’en faire fumer la chatte m’obligeant à prendre quelques glaçons prévus pour le Martini dry, me les enfoncer dans le vagin et les sentir fondre en moins de trente secondes me donnant l’impression d’être devenu une femme fontaine.
• Lionel, quel est le numéro des appels d’urgence en Suisse ?
• C’est le 112 comme en France, c’est un numéro international.
J’ai chaud.
Subjuguée, je le suis, lorsque moins d’une demi-heure après que son visage est devenu tout rouge comme s’il avait attrapé un mauvais coup de soleil.
Sa bite à travers son pantalon commence à ce tendre alors que la notice que je relie dit que c’est le frottement de la verge qui déclenche le mécanisme de monter du sang dans les canaux.
Je m’approche, il est temps que j’intervienne, je défais sa ceinture et je sors un magnifique cep légèrement noueux avec une grosse veine gonflée au maximum certainement aggravé par les cachets ingurgités.
• Allez, ma belle suce-moi, je sens que tu aimes.
Plutôt deux fois qu’une, il va voir, comment j’ai progressé avec mes diverses aventures depuis que j’ai quitté ma France natale.
C’est la première fois que je la vois et il m’est difficile de dire si mon produit lui a donné du volume.
C’est la première fois que je vois une verge aussi noueuse, les veines proéminentes qui filent sous la peau en forme de zig-zag, sont-elles naturelles ou la conséquence des deux cachets, un peu timide, je n’ose lui poser la question.
• Tu regardes mes veines.
Ma verge a toujours été parcourue par ces veines ressemblant à des varices, certes, ton produit semble leurs données un peu plus de relief, s’il te plait assez parlé, soulage-moi, suce.
J’exécute son ordre et sa verge bien tentante entre sans problème au fond de ma gorge, c’est un homme certainement très prévenant en temps normal, mais sa tension est telle qu’il me prend la tête me bouchant les oreilles au point qu’un moment j’ai l’impression d’être sourde tellement, il me la serre.
Plusieurs allés retour et je reçois en bouche les giclées qu’il me propulse. Elles sont très importantes, mais pas plus que celles d’hommes sans les cachets m’ont déversé depuis que je me suis émancipée.
La seule chose positive c’est son goût que j’apprécie tous particulièrement.
Beaucoup de dames trouvent le coup fade, certes, moi aussi, mais pourquoi les choses devraient systématiquement avoir du goût ou pire bon goût.
Je tiens à la rendre très propre alors je la suce sur toute sa longueur, la relevant pour dégager ses couilles que j’aspire une après l’autre mais empirant le mal, car ses petites lèches ravivent sa tension.
Il rebande sans avoir réellement débandé, de nouveau il est prêt à l’emploi, je veux l’attirer sur moi, mais préalablement il faut nous mettre nue, car devant ces verres, nous avions gardé nos vêtements.
Enlevée est un mot faible, arrachée, je dois dire. Plusieurs boutons de sa chemise sautent et mon string est littéralement massacré, je vais devoir rentrer chez ma maîtresse la chatte à l’air, mais voir mon degré de perversité, ce sera avec grand plaisir.
Éviter d’extrapoler et profiter du moment présent pour m’enfoncer son pieux au fond de moi au point d’avoir un magnifique orgasme dès qu’il est au fond de ma grotte.
Je vois la fierté de Lionnel, car bien des hommes lorsqu’ils baisent une femme la première fois échouent lamentablement.
Ce coup de fusil ressenti dans mes lombaires s’il nous soude grâce à la verge se fait ressentir au niveau de mon cœur et le baiser que je lui imprime m’imprime aussi mes neurones et comme une midinette, je tombe amoureuse.
La façon qu’il a de s’enfoncer lentement en moi pour vite ressortir et de recommencer me rend littéralement comme une folle, moi qui espérais des coups fort et profond, je me retrouve dans un monde de douceur que j’apprécie au bout de quelques minutes.
Je crois bien que s’il accélérait, je lui dirais.
• Non, au non.
• Je t’ai fait mal.
• Pourquoi ?
• Tu as crié non deux fois.
J’éclate d’un rire nerveux.
• Non, mon esprit s’est échappé tellement ta manière de me prendre lentement alors que j’aspirais à de grands coups de bite m'a subjugué et que ma bouche a transcrit ce que je ressentais.
• Tu veux que je te ravage, avec la trique que ton produit m’apporte, je peux te labourer pendant des heures avec de grands coups.
• Surtout pas, c’est la surprise qui m’a fait parler, j’aime ce que tu me fais, continue.
Pour continuer, il a continué, presque une heure à faire varier les vitesses et les manières de me positionner.
C’est sur la moquette étant pressée et trouvant la chambre un peu loin que nous avons atterri et c’est dans la position de la cuillère puis de la levrette sans compter un bon missionnaire de passage à Berne que nous empruntons au kama sutra.
Ma chatte en feu est contente une nouvelle fois que son sperme vienne cautériser les brûlures qu’il m’inflige.
Il faut éviter de me croire, ma chatte est, certes, en feu, mais pas au point de me conduire dans un hôpital pour grand brûlé comme il en existe un à Lyon.
Certes, cela peut me permettre de retrouver Colline et lui dire tout le bien que je pense de ce produit qui est en train du moins pour moi de trouver un nouvel amour celui-ci possédant une verge, amour aussi fort que celui que je porte à Wan avec son clitoris.
J’ai toujours le chic de me compliquer la vie, car après la nouvelle charge qu’il mène en moi sa gentillesse, son physique parfait pour un homme dans la quarantaine et surtout sa verge, il me paraît inconcevable que les choses s’arrêtent dès que j’aurai réussi à assouvir les envies que les cachets pris en surdose entraînent sur son corps.
La jouissance éclate de nouveau pour moi sans éjaculation pour lui.
Après ce moment idyllique pour ma chatte, Lionnel m’entraîne manger un morceau.
Je suis contente dans notre nudité de constater que la verge de mon homme a tendance à débander.
Je la regarde de loin sans la toucher ayant remarqué la réaction qu’elle a lorsqu’elle est simplement effleurée.
Repas frugal car Lionnel est proche de la nature et se nourrit exclusivement de produits venues d’une ferme bio située à quelques kilomètres de la ville de Berne où nous nous trouvons.
L’avenir si elle me permet de vivre des moments auprès de cet homme doit me permettre de gagner les trois tailles de mes vêtements que je souhaite encore gagner.
Pour me prouver que les sentiments qui me traversent qui semblent très fort aussi pour lui, alors que je fais la petite vaisselle dont nous sommes servis, il prend le risque de venir se positionner derrière moi et alors qu’il m’embrasse dans le cou, il me saisit par les seins qu’il malaxe assez fort pour leur faire du bien.
Il leur fait du bien, mais dans le même temps sa verge vient toucher mes fesses entraînant immanquablement un retour de sa grandeur.
• Je peux.
Aucune réponse de ma part autre que ma tête qui se tourne et qui me permet de lui offrir ma bouche et une jambe posée sur une petite table dégageant ainsi ma vulve pour qu’il me pénètre après qu’il eut pris son pieu en main pour mieux me pointer.
• Non pas là.
Ces mots dits dans un souffle lui ouvrent les portes de ma rosette.
Il reprend sa verge en main qui sort de ce trou béant que ma chatte forme depuis le début de soirée où il est devenu mon amant pour se positionner et dans une grande poussée s’introduire jusqu’à ses couilles en moi.
En me laissant sodomiser, je prends le risque qu’il pense de moi que je suis une salope, ce qui est vrai mais doublé d’une pute et que cette pensée face de moi la femme bonne à baiser au détour d’un rendez-vous pour tirer un coup rapide alors que plus la soirée avance et plus c’est son cœur que je souhaite attraper…
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