Je suis une grosse salope - 21
Récit érotique écrit par Streettriple77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 21 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Streettriple77 ont reçu un total de 115 551 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 224 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Je suis une grosse salope - 21
Nouvelle enculade chez mon mec de Meaux.
J'arrive chez lui tout excité car nous ne nous sommes pas vus depuis près de deux
semaines et je suis en manque
de queue, même si mes godes compensent en partie : rien ne vaut une belle queue,
souple et chaude.
J'arrive donc et me déshabille immédiatement devant lui.
A son air et comme il reste habillé, je devine qu'il a préparé quelque chose de
spécial.
En effet, comme je m'approche de lui pour l'embrasser, il me colle à lui et me
crochète le petit trou avec ses
doigts. J'aime beaucoup et me serre contre lui, levant une jambe pour enserrer la
sienne et lui faisant pleins de
bisous dans le cou.
Il me travaille le trou du cul à sec, c'est douloureux et en même temps très bon, je
le serre plus fort dans mes
bras et grogne des encouragements.
Puis il me fait mettre à genoux devant lui et dégage sa queue, déjà bien droite.
Je la lèche amoureusement, lui titillant le gland et l'orifice de l'urètre, caresse
toujours appréciée des mecs, moi
y compris.
Ma langue descend vers ses couilles que je gobe complètement l'une après l'autre, puis
je remonte et enfourne
sa queue jusqu'au fond de ma gorge, limite suffocation.
Il me prend la tête dans ses mains et me maintient ainsi, la queue engloutie. J'adore.
Je commence à le sucer, alternant mouvements rapides et mouvements lents, je déguste
sa queue comme une
friandise, j'insiste sur son urètre, je lèche bien le gland, puis je fais un mouvement
de rotation sur sa queue dans
ma bouche.
Je suis aux anges, lui aussi, je me recule pour contempler le beau fruit, et aussi car
j'ai un peu peur qu'il jute
dans ma bouche. Il est clean mais je préfère éviter tout risque, même avec lui.
Il me rassure d'un regard et j'enfourne à nouveau sa bite, à présent dure comme la
pierre et dressée à
l'horizontale.
D'une poussée, il me fait mettre à quatre pattes et s'accroupit au dessus de moi. Ses
doigts me pénètrent
brutalement, toujours à sec, je gémis :
"Mouille-moi s'il te plaît !"
Il retire ses doigts et les mouille puis me pénètre à nouveau, toujours brutalement,
me faisant bien sentir ma
condition de salope à sa disposition. En passant, il me claque vigoureusement les
fesses. Vu son gabarit, je vous
prie de croire que sa fessée n'a rien de d'anodine. Mais j'aime aussi.
Il m'écarte bien la rosette et de temps en temps me claque les fesses, toujours
accroupi au dessus de mon dos.
D'un coup, il retire ses doigts et se déshabille.
Il enfile une capote et se place derrière moi. D'une poussée, il m’encule, toujours à
sec.
"S'il te plaît, laisse-moi la sucer pour mouiller mon cul, tu me fais mal"
Rien n'y fait, il continue son quasi viol mais comme je mouille peu à peu du cul, la
pénétration se fait moins
douloureuse, et même me fait hurler de plaisir.
Il me prend comme jamais il ne m'avait pris, brutalement, me crochant les hanches avec
ses mains, tapant
violemment contre mes fesses lorsqu'il est bien à fond en moi.
J'accompagne à présent ses mouvements, me cambrant et plaquant mon cul contre son
ventre.
Tout d'un coup, je sentais son plaisir monter, il donne un grand coup de reins et
m'enfourne bien à fond en
criant. Je comprends qu'il et en train de jouir dans mon ventre, je crie mon bonheur.
Il reste à présent immobile en moi, sa queue encore bien gonflée, et je lui caresse
les cuisses pour le remercier.
Enfin il se retire et je reste quelques minutes à genoux, récupérant, offrant le
spectacle d'une salope bien
satisfaite par son mâle. Dommage qu'un autre mec ne rentre pas à ce moment là dans la
pièce et n'investisse
mon cul à son tour.
Je suis vraiment devenu un trou qu'on remplit à sa guise, une femelle perpétuellement
en chaleur.
Et j'aime ça !
J'arrive chez lui tout excité car nous ne nous sommes pas vus depuis près de deux
semaines et je suis en manque
de queue, même si mes godes compensent en partie : rien ne vaut une belle queue,
souple et chaude.
J'arrive donc et me déshabille immédiatement devant lui.
A son air et comme il reste habillé, je devine qu'il a préparé quelque chose de
spécial.
En effet, comme je m'approche de lui pour l'embrasser, il me colle à lui et me
crochète le petit trou avec ses
doigts. J'aime beaucoup et me serre contre lui, levant une jambe pour enserrer la
sienne et lui faisant pleins de
bisous dans le cou.
Il me travaille le trou du cul à sec, c'est douloureux et en même temps très bon, je
le serre plus fort dans mes
bras et grogne des encouragements.
Puis il me fait mettre à genoux devant lui et dégage sa queue, déjà bien droite.
Je la lèche amoureusement, lui titillant le gland et l'orifice de l'urètre, caresse
toujours appréciée des mecs, moi
y compris.
Ma langue descend vers ses couilles que je gobe complètement l'une après l'autre, puis
je remonte et enfourne
sa queue jusqu'au fond de ma gorge, limite suffocation.
Il me prend la tête dans ses mains et me maintient ainsi, la queue engloutie. J'adore.
Je commence à le sucer, alternant mouvements rapides et mouvements lents, je déguste
sa queue comme une
friandise, j'insiste sur son urètre, je lèche bien le gland, puis je fais un mouvement
de rotation sur sa queue dans
ma bouche.
Je suis aux anges, lui aussi, je me recule pour contempler le beau fruit, et aussi car
j'ai un peu peur qu'il jute
dans ma bouche. Il est clean mais je préfère éviter tout risque, même avec lui.
Il me rassure d'un regard et j'enfourne à nouveau sa bite, à présent dure comme la
pierre et dressée à
l'horizontale.
D'une poussée, il me fait mettre à quatre pattes et s'accroupit au dessus de moi. Ses
doigts me pénètrent
brutalement, toujours à sec, je gémis :
"Mouille-moi s'il te plaît !"
Il retire ses doigts et les mouille puis me pénètre à nouveau, toujours brutalement,
me faisant bien sentir ma
condition de salope à sa disposition. En passant, il me claque vigoureusement les
fesses. Vu son gabarit, je vous
prie de croire que sa fessée n'a rien de d'anodine. Mais j'aime aussi.
Il m'écarte bien la rosette et de temps en temps me claque les fesses, toujours
accroupi au dessus de mon dos.
D'un coup, il retire ses doigts et se déshabille.
Il enfile une capote et se place derrière moi. D'une poussée, il m’encule, toujours à
sec.
"S'il te plaît, laisse-moi la sucer pour mouiller mon cul, tu me fais mal"
Rien n'y fait, il continue son quasi viol mais comme je mouille peu à peu du cul, la
pénétration se fait moins
douloureuse, et même me fait hurler de plaisir.
Il me prend comme jamais il ne m'avait pris, brutalement, me crochant les hanches avec
ses mains, tapant
violemment contre mes fesses lorsqu'il est bien à fond en moi.
J'accompagne à présent ses mouvements, me cambrant et plaquant mon cul contre son
ventre.
Tout d'un coup, je sentais son plaisir monter, il donne un grand coup de reins et
m'enfourne bien à fond en
criant. Je comprends qu'il et en train de jouir dans mon ventre, je crie mon bonheur.
Il reste à présent immobile en moi, sa queue encore bien gonflée, et je lui caresse
les cuisses pour le remercier.
Enfin il se retire et je reste quelques minutes à genoux, récupérant, offrant le
spectacle d'une salope bien
satisfaite par son mâle. Dommage qu'un autre mec ne rentre pas à ce moment là dans la
pièce et n'investisse
mon cul à son tour.
Je suis vraiment devenu un trou qu'on remplit à sa guise, une femelle perpétuellement
en chaleur.
Et j'aime ça !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Streettriple77
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...