je t'aime, moi non plus (lui et elle)
Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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je t'aime, moi non plus (lui et elle)
Vous savez quand vous avez eu une relation de quelques années avec un mec violent, en parole et dans les actes, quand vous vous sortez de ça, vous êtes un peu plus distante par rapport à d'autres relations à venir.
Quand je l'ai connue, je venais de rompre avec un mec que j'aime toujours presque 15 ans plus tard (lui), et il était gentil, il m'apportait ce que je venait de perdre même si je n'en tombait pas amoureuse, mais après plus de deux ans ou trois ans, je ne me souviens plus exactement, son comportement à commencé à changer, des mots rabaissant, ce qui était des petites claques sur la fesse pendant nos relations finirent par de vrais coups... Bref, j'étais seule depuis très longtemps maintenant et je gardais une certaine peur, une certaine haine et je m'étais rabattue sur les films X et quelques jouets à la maison.
Ce jeudi, j'allais faire mes courses, jour habituel pour moi, endroit habituel et je vous passe les détails de légumes, viandes et tout ce que j'ai pu mettre dans mon caddies pour vous dire que je tombe sur lui, celui avec qui cela s'est terminé il y a maintenant 15 ans, du jour au lendemain, il m'avait quitter, m'expliquant ne pas développer de sentiment.
- hey ! Dit-il grand sourire
- Salut ! Dis-je plus timidement.
Détails banal, je vous les passes jusqu'à :
- Prend mon numéro, si ça te dis on pourrait prendre un verre ? Ce soir ? Dit-il.
Je repris son numéro et très vite nous repartions à nos courses, de ce moment-là à chez moi, je me demandais quoi lui dire... J'envoyais juste :
- Hello, du coup, tu prévois quoi ?
- Je viens te chercher à 20h ? Il me faudra ton adresse ! A tout à l'heure.
Je lui envoyais mon adresse, me fis un truc rapide à manger, parti me laver et m'apprêtais, je voulais pas trop me mettre en avant, j'enfilais donc simplement un jeans et un tee shirt blanc par dessus mon combo habituel soutien-gorge, string.
Il arrivait à l'heure, nous partions dans un bar que je connaissais très bien, on rigolait, bu quelques verres même si lui très vite passait au soft et vers 00h30, il me ramenais chez moi, on discutait encore dans la voiture et me dit à un moment soudain.
- Je tenais encore à m'excuser pour le mal que j'ai pu te faire, mais comme je t'ai dis, c'était mieux à ce moment-là que attendre plus tard.
- Oui, je sais... Dis-je ne sachant pas quoi répondre.
- Tu n'as pas l'air convaincue ou de me pardonner.
Dit-il alors en rigolant, mais sentant surement ma retenue.
- C'est pas ça, c'est que quand j'y pense, je ressens encore la douleur de ce moment-là.
- Dis-moi ce que je pourrais faire pour que tu vois que je sois sincère et peut-être essayer de faire disparaitre cette douleur ?
- Montre moi ton zizi !
Il n'eut pas de réaction direct, moi par contre, je me rendis compte que l'alcool m'était monté à la tête, mais pourquoi pas, je n'en avais plus vu depuis longtemps et le sien depuis encore plus longtemps, mais il se mit à rire.
- Zizi ? On dirait que tu parles comme une petite fille ! Si je te le montre, tu me pardonneras ?
- Oui... Dis-je maintenant pressée de le voir
- C'est pas comme si tu l'avais jamais vu où sentie en toi. Dit-il me regardant droit dans les yeux, m'envoyant une chaleur dans le bas de mon ventre.
Il la sortit et, oui, j'étais prête à m'embrocher dessus.
- Contente ? C'est bon ?
- En fait, je me dis que ça c'est facile pour toi, si tu veux vraiment te faire pardonner, il faut un truc plus compliqué !
- Je t'écoute, tu verras à la fin on va finir par se comprendre. Dit-il encore en rigolant.
Je restait là pensive, difficilement car il n'avait pas rangé son sexe.
- Tu me laisse te doigter le cul !
C'était encore l'alcool qui parlait, car j'avais jamais mis un doigt ou quoi que ce soit dans un anus, sur le coup, il n'avait pas la même réaction, il en avait pas vraiment, alors sentant que je pouvais "gagner", j'ajoutais en le fixant dans les yeux.
- Ainsi, toi aussi tu m'auras senti en toi.
Un silence se fit, mais je vis qu'il s'était mit à bander, je ne dis rien pour ne pas le mettre mal à l'aise.
- Après ça, on sera quitte ? Dit-il moins sur de lui.
- Oui, car ça, c'est pas un truc que je pense que tu aurais fait.
- Et tu veux faire ça où ?
- Ici, maintenant, tu as déjà le pantalon baisser !
Il restait bouche bée, je sortit de la voiture et partit chez moi prendre un gant et du lubrifiant, lorsque je revins je lui dis.
- Toujours prêt ?
- Vas-y qu'on en finisse.
- Regarde-moi. Lui dis-je.
J'enfilais le gant sous ses yeux et lubrifiait mes doigts, je me penchais vers lui et fit passer ma main entre ses jambes, il sursauta lorsque j'arrivais à hauteur de son anus, mais je vis qu'il prit sur lui et laisse faire même si il était très très très contractée, finalement, j'arrivais assez vite à lui mettre deux doigts, il s'était redressé d'un coup, je pense que j'avais manquée de douceur et que l'alcool dans mon sang me ferait me demander ce que j'avais fait.
- Regarde-moi dans mes yeux, tu me sens là ?
- Oui.
- Tu ne parles plus beaucoup, détend toi, là, ils sont juste dans ton cul...
- Merci, je le sens.
- Les, tu en as deux dedans, regarde moi et demande moi de te doigter le cul, 5 minutes et c'est fini, mets un minuteur.
L'alcool me rendait pleine d'assurance ! Il mit un minuteur sur sa montre, puis tout en tenant sa montre de sa main me regardait dans les yeux et me dit :
- tu peux y aller.
- Non, demande moi de te doigter le cul stp.
- Veux-tu bien me doigter le cul stp.
- Tout de suite oui !
Il activait le minuteur et je commençais doucement, mais très vite j'y allais faire comme si je voulais le pilonner, il se tenait, il soufflait, il bandait très dur et puis sa montre sonnait, je retirais mes doigts, retirait mon gant que je mis dans un petit sachet, que je fermais et j'enlaçais mes bras autour de son coup, lui n'avais pas encore relever son pantalon.
- Merci, t'étais vraiment sincère ! Je vais rentrer maintenant.
Je lui fis un bisou sur la joue et en me retirant, je frôlais son sexe non intentionnellement, je pris mes affaires et sortit de la voiture, juste avant de rentrer, je me mis à vomir dans ma pelouse, il sortit et m'aidait à rentrer, m'amenait dans ma chambre, m'aidait à me déshabiller, en sous-vêtement et mis une bouteille d'eau et un seau à côté de moi.
- Si il y a quoi que ce soit, tu m'appelles, j'habite pas loin !
Et il partit, depuis, nous parlons tous les jour, nous avons couché de nombreuses fois ensemble, j'élargis mes expériences sexuelles avec lui, je fais des trucs que je n'osais pas avant...
Quand je l'ai connue, je venais de rompre avec un mec que j'aime toujours presque 15 ans plus tard (lui), et il était gentil, il m'apportait ce que je venait de perdre même si je n'en tombait pas amoureuse, mais après plus de deux ans ou trois ans, je ne me souviens plus exactement, son comportement à commencé à changer, des mots rabaissant, ce qui était des petites claques sur la fesse pendant nos relations finirent par de vrais coups... Bref, j'étais seule depuis très longtemps maintenant et je gardais une certaine peur, une certaine haine et je m'étais rabattue sur les films X et quelques jouets à la maison.
Ce jeudi, j'allais faire mes courses, jour habituel pour moi, endroit habituel et je vous passe les détails de légumes, viandes et tout ce que j'ai pu mettre dans mon caddies pour vous dire que je tombe sur lui, celui avec qui cela s'est terminé il y a maintenant 15 ans, du jour au lendemain, il m'avait quitter, m'expliquant ne pas développer de sentiment.
- hey ! Dit-il grand sourire
- Salut ! Dis-je plus timidement.
Détails banal, je vous les passes jusqu'à :
- Prend mon numéro, si ça te dis on pourrait prendre un verre ? Ce soir ? Dit-il.
Je repris son numéro et très vite nous repartions à nos courses, de ce moment-là à chez moi, je me demandais quoi lui dire... J'envoyais juste :
- Hello, du coup, tu prévois quoi ?
- Je viens te chercher à 20h ? Il me faudra ton adresse ! A tout à l'heure.
Je lui envoyais mon adresse, me fis un truc rapide à manger, parti me laver et m'apprêtais, je voulais pas trop me mettre en avant, j'enfilais donc simplement un jeans et un tee shirt blanc par dessus mon combo habituel soutien-gorge, string.
Il arrivait à l'heure, nous partions dans un bar que je connaissais très bien, on rigolait, bu quelques verres même si lui très vite passait au soft et vers 00h30, il me ramenais chez moi, on discutait encore dans la voiture et me dit à un moment soudain.
- Je tenais encore à m'excuser pour le mal que j'ai pu te faire, mais comme je t'ai dis, c'était mieux à ce moment-là que attendre plus tard.
- Oui, je sais... Dis-je ne sachant pas quoi répondre.
- Tu n'as pas l'air convaincue ou de me pardonner.
Dit-il alors en rigolant, mais sentant surement ma retenue.
- C'est pas ça, c'est que quand j'y pense, je ressens encore la douleur de ce moment-là.
- Dis-moi ce que je pourrais faire pour que tu vois que je sois sincère et peut-être essayer de faire disparaitre cette douleur ?
- Montre moi ton zizi !
Il n'eut pas de réaction direct, moi par contre, je me rendis compte que l'alcool m'était monté à la tête, mais pourquoi pas, je n'en avais plus vu depuis longtemps et le sien depuis encore plus longtemps, mais il se mit à rire.
- Zizi ? On dirait que tu parles comme une petite fille ! Si je te le montre, tu me pardonneras ?
- Oui... Dis-je maintenant pressée de le voir
- C'est pas comme si tu l'avais jamais vu où sentie en toi. Dit-il me regardant droit dans les yeux, m'envoyant une chaleur dans le bas de mon ventre.
Il la sortit et, oui, j'étais prête à m'embrocher dessus.
- Contente ? C'est bon ?
- En fait, je me dis que ça c'est facile pour toi, si tu veux vraiment te faire pardonner, il faut un truc plus compliqué !
- Je t'écoute, tu verras à la fin on va finir par se comprendre. Dit-il encore en rigolant.
Je restait là pensive, difficilement car il n'avait pas rangé son sexe.
- Tu me laisse te doigter le cul !
C'était encore l'alcool qui parlait, car j'avais jamais mis un doigt ou quoi que ce soit dans un anus, sur le coup, il n'avait pas la même réaction, il en avait pas vraiment, alors sentant que je pouvais "gagner", j'ajoutais en le fixant dans les yeux.
- Ainsi, toi aussi tu m'auras senti en toi.
Un silence se fit, mais je vis qu'il s'était mit à bander, je ne dis rien pour ne pas le mettre mal à l'aise.
- Après ça, on sera quitte ? Dit-il moins sur de lui.
- Oui, car ça, c'est pas un truc que je pense que tu aurais fait.
- Et tu veux faire ça où ?
- Ici, maintenant, tu as déjà le pantalon baisser !
Il restait bouche bée, je sortit de la voiture et partit chez moi prendre un gant et du lubrifiant, lorsque je revins je lui dis.
- Toujours prêt ?
- Vas-y qu'on en finisse.
- Regarde-moi. Lui dis-je.
J'enfilais le gant sous ses yeux et lubrifiait mes doigts, je me penchais vers lui et fit passer ma main entre ses jambes, il sursauta lorsque j'arrivais à hauteur de son anus, mais je vis qu'il prit sur lui et laisse faire même si il était très très très contractée, finalement, j'arrivais assez vite à lui mettre deux doigts, il s'était redressé d'un coup, je pense que j'avais manquée de douceur et que l'alcool dans mon sang me ferait me demander ce que j'avais fait.
- Regarde-moi dans mes yeux, tu me sens là ?
- Oui.
- Tu ne parles plus beaucoup, détend toi, là, ils sont juste dans ton cul...
- Merci, je le sens.
- Les, tu en as deux dedans, regarde moi et demande moi de te doigter le cul, 5 minutes et c'est fini, mets un minuteur.
L'alcool me rendait pleine d'assurance ! Il mit un minuteur sur sa montre, puis tout en tenant sa montre de sa main me regardait dans les yeux et me dit :
- tu peux y aller.
- Non, demande moi de te doigter le cul stp.
- Veux-tu bien me doigter le cul stp.
- Tout de suite oui !
Il activait le minuteur et je commençais doucement, mais très vite j'y allais faire comme si je voulais le pilonner, il se tenait, il soufflait, il bandait très dur et puis sa montre sonnait, je retirais mes doigts, retirait mon gant que je mis dans un petit sachet, que je fermais et j'enlaçais mes bras autour de son coup, lui n'avais pas encore relever son pantalon.
- Merci, t'étais vraiment sincère ! Je vais rentrer maintenant.
Je lui fis un bisou sur la joue et en me retirant, je frôlais son sexe non intentionnellement, je pris mes affaires et sortit de la voiture, juste avant de rentrer, je me mis à vomir dans ma pelouse, il sortit et m'aidait à rentrer, m'amenait dans ma chambre, m'aidait à me déshabiller, en sous-vêtement et mis une bouteille d'eau et un seau à côté de moi.
- Si il y a quoi que ce soit, tu m'appelles, j'habite pas loin !
Et il partit, depuis, nous parlons tous les jour, nous avons couché de nombreuses fois ensemble, j'élargis mes expériences sexuelles avec lui, je fais des trucs que je n'osais pas avant...
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