Je t'aime, moi non plus (moment seule 4) - histoire érotique

Je dormais donc chez mon amie cette nuit-là.

- Comme tu n'as pas prévu de pyjama, j'imagine que tu préfères rester nue !?
- Oui, bien sûr. Dis-je ne voulant pas la contrarier.
- Je ne suis toujours pas contente que tu n'as pas montrée ta poitrine, donc je vais faire quelque chose.

Dit-elle, se dirigeant vers son bahut, où elle ouvrit un tiroir et dont elle sortit un tissu, vint ensuite derrière moi et me bandait les yeux, elle me fit me mettre à genoux.

- Tu vas rester ainsi, te caresser le corps, jouer fortement avec ta chatte, quand je reviens, tes doigts doivent être un lubrifiant naturel !
- A tes ordres.
- J'espère que le carrelage n'est pas trop froid ?
- Il est à bonne température.

Il était en réalité glacial, elle le savait, mais encore une fois, je ne voulais pas la contrarier, j'entendis ses pas s'éloigner, puis se stopper et elle me dit du couloir :

- Ne t'arrêtes surtout pas, la caméra est braquée sur toi et de mon téléphone je le verrai.
- Compris ! Dis-je.

Si je résume la situation, je suis à poil, à genoux par terre, au milieu d'un salon face à une caméra que je ne vois pas car j'ai les yeux bandés, en train de me caresser et de me mettre des doigts assez frénétiquement, les fesses en feu à cause des fessées... Tout à fait normal !

Je pris conscience à un moment donné que je ne savais pas si ses volets étaient baissés, je ne savais pas non plus si la lumière était restée allumée, il y avait juste du silence et le bruit de mes doigts qui s'accélérait en moi, je me sentais couler, j'avais mal aux genoux mais je ne pouvais arrêter, plus je pensais à tout cela, plus j'avais honte, et plus je ressentais cette honte, plus j'étais excitée.

Après un moment, tout de même assez long, j'entendis ses pas revenir vers moi, elle ne dit aucun mot, je ne m'arrêtais pas, elle passait derrière moi et je sentis qu'elle me mettait un collier autour du cou, je dis un collier, mais je n'avais pas réellement la confirmation sur le moment, elle me priq par les avant-bras et les fis passer derrière et me les menotta, elle posait également une chaine autour de mon collier et me dit alors :

- ça va être dur de te faire marcher à quatre pattes comme la chienne que tu sembles être, donc suis-moi simplement.

Et elle tirait légèrement sur la laisse, je la suivais de mon corps bouillant, je sentais son carrelage glacial sous chacun de mes pas, je pus dire qu'on était dans son couloir et puis qu'elle nous faisait descendre dans sa cave, je perdis tout repère car je n'avais jamais vu cette partie de sa maison, cela faisait battre mon coeur à 1000 à l'heure, mais aidait à garder cet état d'excitation.

Nous arrivâmes dans une pièce et je sentis qu'elle me postait, elle prit la chaîne et semblait l'accrocher au-dessus de moi, laissant mes pieds bien au sol.

- Très jolie place ici, tu es contente ?
- Oui... J'imagine... Dis-je peu sûre.
- J'ai oubliée de te demander, avec tout ce que tu as bu, toute cette excitation, tu ne devais pas aller te vidanger ?
- Si...
- C'est embêtant, tu comprends, je viens de faire l'effort de t'amener jusqu'ici, de t'attacher, je ne peux pas tout défaire ainsi... Mais tu as de la chance !
- ... ?
- Juste en dessous de toi, tu as un sterfput, donc tu peux te lâcher !

Je ne dis aucun mot, je ne savais d'ailleurs pas quoi dire, elle voulait que je pisse devant elle ? Debout, ainsi ? Je ne savais même pas où je me trouvais, j'allais me pisser dessus !

- Et bien quoi ? Y aurait-il un problème ? La prochaine fois, tu feras "topless". Dit-elle insistant sur le mot.

Elle ajoutait :

- Après tout ce que tu as fait, je pense que te pisser dessus ne devrait pas te gêner.

D'un ton plus sec.

Je laissais alors s'écouler mon liquide, je le sentais partir un peu n'importe comment, lorsque je tentais de le contrôler, celui-ci s'écoulait le long de mes jambes, mes pieds, lorsque j'eus finis elle dit.

- Tu t'es pissée dessus.

Sans émotions, sans se moquer, sans... Emotions.

- Bon, je vais te laver, car tu es vraiment puante !

La phrase finie, j'entendis qu'elle "jouait" dans l'eau et vint assez vite vers moi, me faisant sursauter, elle passait un gant de toilette savonné, avec de l'eau glaciale.

- Je vais essayer d'un peu te refroidir !

Et lavait tout mon corps ainsi, me donnant des frissons à chaque endroit où elle passait, elle finit par m'éponger et retirer la chaîne du plafond, ou de l'endroit qu'elle avait accrochée, elle me fit avancer un peu et je me retrouvais à genoux.

- J'aime beaucoup te voir ainsi devant moi !

Je sentis son pied droit appuyer sur mon épaule et pousser à m'abaisser, amenant mon visage au sol et déposant ce même pied sur mon visage, me "bloquant" au sol, mains attachées dans le dos, fesses en l'air.

- Je suis certaine que tu aimes ça, que si je passe mes mains sur ta chatte, tu es à nouveau mouillée, pas vrai ?

- Oui... Répondis je.

Je ne sais pas comment, l'avait-elle fait exprès ou l'avais-je ressenti, son autre pied était devant mon visage posé au sol, j'y fis des bisous en signe de soumission, elle me laissait faire.

Elle finit par retirer son pied de mon visage et me fit me relever, tirait sur la chaîne et nous remontions alors.

Arrivées dans le couloir, elle me retirait le bandeau, j'avais les yeux un peu illuminés par la lumière, me demandait si ça allait et me fit la suivre dans le salon, je vis l'endroit où j'étais à genou quelques temps avant, j'avais effectivement lâchée un peu de liquide...

- Tu vas m'essuyer ça ! Me dit-elle me faisant me mettre à genou devant ma mouille.

Je compris qu'elle voulait que je lèche avec ma langue, mais elle revint avec mon string qu'elle me mit en bouche.

- Tu vas te débrouiller pour essuyer ça, ton string sali par ta chatte fera l'affaire, je me réjouis de voir ton gros cul se déhancher.

Et je m'appliquais, effectivement, elle prit un malin plaisir à me regarder, ma tête au sol, string en bouche, essuyer... Elle me retirait le string et m'aidait à me redresser.

- De quoi as-tu envie-là ? Me dit-elle.
- Boire, j'ai la gorge sèche...
- Pas de soucis, mais encore ?
- J'ai envie de me faire prendre, j'ai envie que tu continue de m'humilier.

C'était fait, j'étais en parfaite roue libre !
Elle me tirait avec elle et mit de l'eau dans une assiette creuse qu'elle posait sur la table de la salle à manger, je me penchais pour boire dedans. J'en avais partout !

Elle reprit la chaîne, éteignait toutes les lumières et nous fit monter à l'étage.

Elle me détachait les mains et les fit repasser à l'avant, qu'elle rattachait, elle prit un vibromasseur qu'elle me plaçait en prenant soin de l'activer, et y plaçait un scotch pour ne pas qu'il sorte.

- Ne t'en fais pas, c'est fait exprès ! Dit-elle voyant ma tête à la vue du scotch sur mon entre jambe.

Elle finit par me menotter les chevilles l'une à l'autre, puis me fit la suivre dans la salle de bain, elle avait une douche et une baignoire.

Elle fit couler l'eau de son bain, fit mousser et se plaça devant, son corps nu m'excitait, ce vibromasseur me rendait folle.

Elle me fit la laver, me racontait l'histoire que je lui avais demandée, puis elle se levait, je pris le drap et commençais à l'éponger, elle sortit et je terminais de l'essuyer. Elle enfilait une nuisette noire, légèrement transparente mais qui ne montrait presque rien, elle me retirait d'un coup le scotch, me faisant pousser un petit cri, ainsi que le vibromasseur, qu'elle déposait sur le bord de sa baignoire.

Elle prit une nouvelle brosse à dents, et nous nous brossions les dents toutes les deux.
Elle partit vers sa chambre et me dit de la suivre.

elle ouvrit un coffre ou se trouvait pas mal de jouet et me dit :

- Tiens, choisis en trois ; un pour ta bouche, un pour ta chatte et un pour ton cul.
- Merci...

Pourquoi je remercie ?

Il n'y avait pas réellement de petite taille, elle sortit un gode, d'une belle taille, qui faisait ventouse.

- On va le mettre là, comme ça tu pourras le sucer pendant que tu t'écartes tes deux autres trous.

Je choisis deux autres, mais je n'étais pas certaine qu'ils étaient plus petits ou moins larges qu'un autre.

Elle se couchait dans le lit, le gode était ventousé juste à l'arrière du lit, sur sa gauche, elle allumait la télévision et se mit une série, elle était allongée, la voir ainsi me donnait envie, beaucoup d'envie.

Je montais à mon tour sur le lit, elle détachait mes menottes et me dit :

- Vas-y, baise-toi, fais-toi plaisir comme tu aimerais qu'on te le fasse, je veux pouvoir rentrer ce que je veux dans tes orifices.

Je me mis à sucer le gode, rentrer le premier dans ma chatte et plus difficilement le second dans mon anus, et je commençais les va-et-vient.

- Plus vite, défonce-toi !

Et j'accélérais la cadence, je me mis très vite à transpirer, à par moment arrêter de sucer pour pouvoir lâcher des râles, mon cul et ma chatte étaient en feu, je n'en pouvais plus, je prenais ma respiration, je me remettais à sucer, parfois, je la voyais me regarder avec un petit sourire.

Son épisode terminé, elle me dit :

- Arrête toi deux minutes.

Je m'arrêtais, mais ne ressortais pas les jouets de mes trous, excepté de ma bouche, pour reprendre ma respiration. Elle retournait dans son coffre et sortit un gode, vraiment large.

Si tu t'enfonces ça dans ton gros cul, je te laisserais me supplier à genoux plusieurs choses !

- Lesquelles ? Dis-je essayant de reprendre mes esprits.
- Tu pourras me supplier de dormir dans le lit, tu pourras me supplier de m'essuyer la chatte quand je vais aller pisser avant de dormir, également, tu pourras me supplier de te cracher à la gueule ou dans la bouche pour t'honorer, mais tu pourras surtout me supplier d'être ma carpette pour m'essuyer les pieds. Est-ce que tu as compris ?

J'avais envie de redémarrer les mouvements en moi tellement me sentir utilisée ainsi m'excitait.

- Oui, j'ai compris.

Elle plaçait le gode devant et me dit :

- Enfile toi ça dans ton cul alors.

J'avais beau l'avoir élargis, ce ne fut pas sans mal, j'eus même les larmes aux yeux, elle s'assit sur le bord du lit et je vins me placer à genoux devant elle.

- Est-ce que je peux dormir avec toi ? Demandais-je en premier, ce qui était le plus facile.
- D'accord.
- Est-ce que je pourrais te nettoyer l'entrejambe quand tu iras uriner ?
- Allons-y de suite.


Elle se levait et je la suivais, maintenant ce que j'avais entre les fesses.
Je me remis à genoux devant elle qui était assise et urinait, lorsqu'elle eut fini, je mis ma tête entre ses jambes et lui nettoyais avec sa langue, cela m'aurait dégoutée en temps normal, mais ici, cela semblait naturel, elle me ramenait dans la chambre, à genoux à la même place.

- Continue, je t'en prie.
- Est-ce que tu acceptes que je te serve de crachoir ?
- Ouvre la bouche pour voir ?

J'ouvris la bouche et elle crachait à trois reprises vers mon visage, dont une fois arrivait en partie dans ma bouche.

- Et pour finir, puis-je être ta carpette ?

Suite à ma phrase, je m'allongeais de tout mon corps sur le sol froid, mon cul et ce qui en sortait en évidence, et elle mit ses pieds dessus, s'essuyant.

- Bien sûr.

Elle retirait ses pieds, me relevait, me fit retirer le gode de mon cul et le garder en main, et elle m'installait un plug à la place.

- Il rentre comme dans du beurre.

Elle me fit aller nettoyer les jouets, les ranger et nous partîmes nous coucher, je m'endormis presque instantanément.

Le lendemain matin, mes affaires étaient préparées sur le coin du lit, elle n'était déjà plus dedans.