Je t'aime, moi non plus (moment seule 5)
Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Je t'aime, moi non plus (moment seule 5)
J'enfilais ma robe et mon soutien-gorge, elle avait laissée une sorte de culotte, qu'on aurait appelée "culotte de grand-mère" avec un petit écureuil dessus.
Je n'osais pas retirer le plug, et je descendis, elle était dans la cuisine en train de se faire couler un café.
- Bonjour marmotte ! Dit-elle.
- Coucou... Dis-je terriblement honteuse et baissant les yeux.
- Hey, regarde-moi ! Ouvre la bouche.
J'ouvrais la bouche et elle crachait dedans.
- C'est bien, tu obéis toujours ! Dit-elle versant de l'eau dans une assiette creuse qu'elle plaçait au sol.
Je compris que c'était pour moi et je me mis à quatre pattes pour boire, elle était debout, devant moi à me regarder, tenant sa tasse de café, je l'entendis rire.
- Ca te va bien la culotte de petite gamine.
Lorsque j'eus fini, nous allâmes dehors sur la terrasse, elle me servit quand même une tasse de café et on s'asseyait à table, on discutait de la veille, me demandait si j'étais toujours excitée, etc..
Son vieux voisin sortit, arroser ses plantes, mais je suspecte qu'il nous avait vues.
- Monsieur X, comment allez-vous ? Venez prendre le café avec nous !
- Oh non ma petite, j'ai déjà bu ma tasse ce matin.
- Venez simplement vous assoir auprès de nous, mon amie n'a pas été très polie hier !
- Oh, ce n'est rien voyons.
- Ne me faites pas vous supplier, ça ne serait pas très gentleman !
- Tu as raison, je vais enfiler mes chaussures et j'arrive de suite.
Je la dévisageais, mais pas trop, et lorsqu'elle le vit, son regard se noircit.
- Viens avec moi carpette.
On rentrait dans la maison et elle me montrait le sol du doigt, je m'allongeais et elle plaçait son pied sur mon visage.
- A quel moment as-tu le droit de me regarder ainsi carpette ?
- Aucun.
- C'est toi qui aimes bien qu'on t'humilie, alors maintenant tu joues ton rôle de carpette.
- Oui, pardon !
- A genoux et ouvre la bouche.
Je me mis à genoux, j'ouvrais la bouche et plaçais mes mains instinctivement dans mon dos, elle se plaçait au-dessus de moi et crachait dedans, lentement, laissant couler son filet de bave dans ma bouche.
- Est-ce que c'est la position d'une personne qui peut dire quelque chose ?
- Non.
- Nous sommes bien d'accord.
La sonnette retentit, elle restait figée devant moi et me dit :
- Tu vas faire la petite fille prude, mais un peu allumeuse, si tu le fais bien, tu pourras te baiser tout à l'heure au milieu de mon salon, si tu le fais très bien, je te prendrais en godemicher, si tu le fais mal... Tu ne veux pas savoir.
- Entendu.
Elle allait lui ouvrir, et il arrivait, je m'étais relevée, essuyée le bord de la bouche et il vint me faire la bise, je vis son regard passer par-dessus l'épaule de monsieur X, je passais mon bras autour de sa taille en lui faisant la bise et me collais à lui pour qu'il sente ma poitrine.
- Bonjour, je suis navrée pour hier, je suis peut-être allée trop loin.
- Oh, ne t'inquiète pas ma petite, je fus juste déçu ! Dit-il en rigolant.
- J'en suis navrée, puis-je vous servir quelque chose à boire ?
- Tu aurais de la bière ?
Je regardais vers mon amie, qui me fit signe de la tête que oui et me montrait le frigo, je lui servis une bière et on s'asseyait sur le divan.
- Excusez-moi, j'ai quelques petites courses à faire, est-ce que ça vous dérange si je m'absente ?
- Oh, non, je t'en prie ! Dit-il.
En partant, elle me montrait la caméra du regard, j'avais compris que je devais vraiment m'exécuter.
Je remarquais que lui lorgnait sur mes jambes et ma poitrine.
- Alors ma petite, de quoi va-t-on pouvoir bien discuter ?
- De quoi souhaitez-vous discuter ? Je suis toute à vous !
- Ne me dis pas ce genre de chose ! Dit-il me regardant de la tête au pied.
Il enchainait ensuite.
- Tu veux souvent montrer tes nenes aux inconnus ?
- Mais je ne voulais pas les montrer...
- Ce n'est pas ce qu'ils disaient hier à essayer de sortir de ton maillot.
Je sentis la chaleur de honte monter, je devais être rouge pivoine ! Je ne su pas comment réagir, il plaçait sa main sur ma jambe et me dit :
- Ce n'est rien, sais-tu, c'était déjà un plaisir de te voir ainsi pour un homme de mon âge.
- Merci... Que dire à cela ?
Je repensais à ce qu'elle m'avait dit, je ne voulais pas être punie, son regard à ce moment-là, me faisait savoir que je ne voulais vraiment pas être punie.
- Mais... Mais... Je m'excuse sincèrement !
- De quoi donc ? Dit-il ?
- J'ai profité de ma jeunesse, de mon corps pour vous taquiner, ce n'était pas cool et je m'en excuse.
- Oh, ce n'est rien, tu sais, à mon âge, on est vite content, j'ai été jeune aussi.
Je marquais un silence et dit :
- Ne me jugez pas, mais si je retirais ma robe et que vous me voyez en sous-vêtements, est-ce que ça pourrait m'excuser ? Mais seulement si vous me promettez de ne rien dire à mon amie.
Il semblait étonné mais à la fois gardait un certain sang-froid.
- Tu serais complètement nue, ça serait mieux. Dit-il du tac-o-tac.
Je me retrouvais piégée, je n'allais pas me dévoiler entièrement devant un inconnu ? Mon coeur battait la chamade, je perdais mes moyens.
Il se mit à rire et dit :
- Ne fais pas cette tête-là, je te taquine aussi ! J'accepte et je te promets de ne rien lui dire, mais si elle rentre et te vois sur mes genoux, je n'y suis pour rien.
- Vos genoux ?
- Oui, ça serait juste magnifique qu'une belle fille comme toi, soit assise sur mes genoux en sous-vêtements.
Un silence se fit, moi qui ne savais pas quoi dire, ni quoi faire, lui qui attendait que j'agisse.
- Je peux aussi juste continuer à discuter avec toi, tu es déjà très charmante ainsi !
Je me levais et fis glisser la première bride de ma robe le long de mon épaule, je fis pareil avec la seconde et laissais glisser la robe le long de mon corps, il ne ratait pas une miette et me regardait, puis dit:
- Mais j'ai connu ce genre de culotte dans mon jeune temps.
La honte m'envahit mais je ne dis rien, il tapotait sur son genou et je viens m'asseoir dessus, sa main droite était derrière mon dos, comme pour me soutenir et la gauche sur ma cuisse gauche.
J'étais toute crispée, et le mot est faible, il le vit et caressait ma jambe en disant :
- Il ne faut pas.
Je regardais son entrejambe pour voir s'il bandait, oui, je me posais cette question là et il le vit.
- Elle ne réagit plus aussi bien que dans mon jeune temps, ou alors c'est parce que tu es un peu grassouillette, je n'ai jamais aimé ça.
Avais-je bien entendu ? J'étais assise en sous-vêtements sur ce vieux bonhomme et il critiquait mon physique ? J'aurais tant voulu me cacher ! A ce moment-là, il me fit me relever, sa main glissant sur mes fesses et m'entrainait vers la place où j'étais assise.
- Ne le prends pas mal, hier soir, je me suis masturbé pour la première fois depuis très longtemps après t'avoir vu !
- Contente d'avoir pu vous faire plaisir... Dis-je dégoûtée.
- Je voudrais que tu saches que je suis très content d'être ici en train de discuter avec toi, même si tu es grassouillette, ce n'est rien, ça me fait plaisir d'avoir de la compagnie et en plus d'avoir une jolie vue.
- En attendant, la grassouillette, vous avez sous-entendu que vous vouliez la voir nue ! Dis-je piquée dans mon estime.
- C'est vrai, mais je sais que tu n'aS pas assez de cran pour ça, donc je suis content des sous-vêtements. Dit-il très calmement.
Je restais bouche bée, je m'étais fais recadré par un vieux monsieur qui peinait à marcher, et il le savait, il me regardait, sans trop d'émotion suite à sa phrase.
- J'ai raison, n'est-ce pas ?
- ...
- Je ne voulais pas te blesser, je ne te demande pas d'être nue, loin de là...
- Ben oui, je suis grasse ! Dis-je le coupant.
- Non, je venais ici suite à votre invitation, comme je l'ai dit, c'est déjà fantastique pour un homme de mon âge de voir une jeune femme en sous-vêtements réellement devant lui.
J'étais tout de même blessée, mais les paroles de mon amie me revint en tête et je dis alors :
- Je peux vous poser une question ?
- Oui, je t'en prie.
- Qu'aurais je à y gagner si j'étais nue devant vous ?
- Tu aurais droit à une bonne correction qui te passerait l'envie de te déshabiller devant un vieil homme.
Encore une fois, je restais là, vide de réponse, je ne m'attendais pas à ce qu'il me réponde cela, il aurait pu me dire que ça lui aurait fait plaisir ? Voir même qu'il me donnerait un bonbon !
Il s'asseyait mieux sur le divan et, en tapotant son genou gauche, me dit :
- Tu viens la prendre ou on continue de discuter ?
Je savais qu'elle voyait tout à la caméra, j'étais un œil vers celle-ci et je l'imaginais sourire, de plus, si je me plaçais sur ses genoux, elle serait vraiment bien mise pour me voir, mais du coup, elle savait, je ne pouvais pas refuser, je me levais et il me regardait, je m'apprêtais à dégrafer mon soutien-gorge et il me dit :
- N'abaisse pas de suite ta vieille culotte !
- Compris...
Une fois dégrafé, je le déposais sur la table basse, son visage devint plein d'expression, ensoleillé, il sourit, il tapotait à nouveau sur ses genoux et je vins me placer.
- C'est une belle journée aujourd'hui, peux-tu faire glisser ta petite culotte pour me dévoiler tes grosses fesses.
Je fis glisser ma culotte jusqu'en dessous de mes fesses, me rappelant à cet instant-là, le plug dans mon cul.
- Oh, qu'est-ce donc ?
J'étais honteuse, excitée de la situation et je lui répondit cash.
- J'aime me mettre toute sorte de chose dans mon cul.
- Vu la taille, tu dois en mettre un tas de choses ! Dit-il d'un ton plat.
Je ne préférais rien dire, encaisser, je devais continuer à faire ce que mon amie m'avait dit, un silence s'installait, je ne voyais pas ce qu'il faisait, il ne disait rien, cela me mettait mal à l'aise, j'imagine qu'il regardait mes fesses, allait-on encore rester longtemps ainsi ? Je pris la parole.
- Est-ce que vous allez me corriger ?
- Oui.
- Quand ? Parce que j'attends...
- Tu attends pour être corrigée ?
- Ben oui...
- Je ne m'y attendais pas à celle-ci, tu es vraiment une petite coquine, tu ne laisserais pas un vieux monsieur profiter un peu avant ?
- Oui, pardon..
Le silence se fit à nouveau, je sentais sa main caresser mes fesses, il profitait vraiment à fond, ce que quelque part je pouvais comprendre.
- Voilà.
- Voilà quoi ?
- Et bien, tu peux me demander de te corriger ma petite.
- Monsieur X, est-ce que je pourrais avoir ma correction svp ?
Il ne répondit pas, ses gifles s'abattirent sur mon derrière, je n'avais pas fait attention, mais il devait avoir de grandes mains, très vite je criais de douleur et j'eus des larmes, il me demandait si je voulais qu'il arrête, pensant toujours à mon amie, je lui dis que non, lorsqu'il considérait la correction terminée.
Et il fit durée la correction !
Lorsqu'il eut fini, je pense qu'il contemplait mon cul qui devait être rouge vif, il me brûlait, il me fit me relever et mit sa main sous mon menton pour relever ma tête et me regarder.
- Tu es belle ainsi, ma petite, je pense que tu as compris que tu ne peux pas manquer de respect à un vieux monsieur, non?
- Oui, monsieur X.
- Fort bien, reste devant moi et saute comme ça (il me montrait les mouvements de jambes et de bras qui s'éloignent et reviennent près du corps) je veux voir tes mamelons bouger.
Et je le fis, il semblait apprécier le spectacle, moi, mon cul me faisait attrocement mal, j'avais encore quelques larmes et je transpirais.
- Tu peux t'arrêter ma petite, va me chercher une bière.
Je partis lui chercher une bière et lui ramenais, restant debout, devant lui, je ne savais plus quoi faire...
- Ma petite, tu ne vas pas rester là à me regarder boire ma bière ?
- Non, pardon. Dis-je en m'asseyant.
- Non, ma petite, mets-toi à quatre pattes par terre et fais la vache, ça t'irait trop bien !
- Non, svp, Monsieur X !
- Tu as raison, j'en oublie mes manières, tu peux me le demander.
- Svp...
- Non ma petite, demande le poliment, quand on est pas poli, on obtient rien !
Me sachant regardée, je devais jouer le jeu, je pris donc une petite voix et dit :
- Monsieur X, m'autorisez-vous à être une vache pendant que vous buvez votre bière ?
- Bien sûr ma petite, sois ce que tu penses être !
Je me mis donc à quatre pattes, par terre, à avancer dans toute la pièce en meuglant, je n'osais pas le regarder, j'entendis qu'il déposait sa bière sur la table, on s'entait qu'elle était vide, et il me dit.
- Viens te mettre sur la table, je vais te traire.
Et une fois placée dessus, aussi honteuse que j'étais, ce vieux monsieur s'amusait à jouer avec mes mamelon comme pour me traire, je continuais de meugler de mon côté, lorsqu'il considérait avoir finit, il me mit une autre fessée sur les fesses en me disant : "bonne grosse vache".
Puis, il m'aidait à me relever.
- Ma petite, merci beaucoup ! J'ai apprécié ce moment ensemble, pourrais je te demander autre chose ?
- Ce que vous voulez, Monsieur X.
- Oh oh, hey bien, tu peux très vite être bien éduquée ma canaille ! J'aimerais que tu viennes faire le ménage chez moi, évidemment, je te paierais, tout ce que je te demanderais c'est de porter une tenue de femme de ménage, et d'être corrigée quand bon me semble, rien d'autre, peut-être te voir nue de temps à autres.
- Ca serait tout ? Pas de sexe ? Vous êtes sûr ?
- Ma petite, est-ce que je t'ai enfilée quelque part ? Même mes doigts ne sont pas rentrés.
- D'accord alors...
- Très bien ! Tu peux remettre tes vêtements, on va attendre ton amie.
Je remis chacun de mes vêtements, mais quelque chose me perturbait.
- Excusez-moi ?
- Oui, dis-moi canaille.
- Vous n'avez pas bandé ?
- Mon gourdin ne s'est pas levé, non.
- Ce n'est pas possible ! Dis-je stupéfaite, vexée.
- Je suis désolé ma petite, tu n'as pas fait l'effet que tu pensais faire, me montrant son pantalon en ayant eu du mal à se lever.
- Ce n'est pas possible...
- Tu veux toucher pour voir ? Mais si tu touches...
- Si je touche quoi Monsieur X ?
- Tu t'excuseras devant ton amie de n'avoir pas encore été correct avec moi et tu seras corrigée devant elle.
Quel c... Elle avait tout vu, j'étais obligée de dire oui, j'allais plus savoir m'asseoir et j'allais encore pleurer !
- Alors ?
Je me dirigeais vers lui et touchais son sexe à travers son pantalon, deux choses, il était énorme et ne bandait effectivement pas, il me regardait satisfait, moi j'étais défaite.
On finit par parler de tout et de rien, de mon plug, de mes amours, de sa jeunesse et mon amie rentrait, j'étais tendue..
- Ca a été ? Désolée pour l'attente ! Entre le trafic et le monde dans les magasins, je ne vous dis pas !
- Je, j'ai.. Je m'excuse à Monsieur X, je n'ai encore pas été très gentille... Dis-je.
- Comment ça ? Je l'ai invité pour t'excuser de ton comportement d'hier ! Je suis désolée Monsieur X !!!
Elle jouait bien la comédie pour une qui avait tout vu !
- Ne vous en faites pas cher voisine, votre amie à tentée de profiter d'un vieil homme...
- Comment ça ? Demande mon amie.
- Elle a fait jouer de ses charmes pour essayer d'obtenir des choses de moi, elle m'a même à nouveau proposé de montrer sa poitrine ! Alors je lui ai dit que j'allais tout vous dire, cher voisine.
- Excusez-moi pour elle, elle n'aurait pas du !
- Ce n'est rien, mais à mon âge, on ne pense plus à tout cela, alors une belle jeune femme comme elle qui vous fait des avances.. Vous savez, je ne peux rien espérer, mais ça me blesse qu'en fonction de mon âge, on essaie d'être malhonnête... A mon époque, une bonne correction elle aurait reçue.
Ils me regardèrent tous les deux et je pris la parole.
- Vous avez raison, Monsieur X, je suis sincèrement désolée, ça ne se reproduira plus, si je peux faire quelque chose pour me faire pardonner, dites-le moi.
- Je ne suis plus tout jeune, vous accepteriez de venir faire le ménage chez moi une ou deux fois par semaine ?
- Oui, avec plaisir. Répondis-je.
Mon ami le prit par le bras et dit :
- Je suis sincèrement désolée qu'elle vous ait offensé, puis-je vous servir quelque chose à boire ? De quelle correction parliez-vous ?
- Ne vous en faites pas cher voisine, vous êtes adorable ! Il en manque des femmes telles que vous, je veux bien un verre d'eau svp et pour la correction, à mon époque, sur les genoux et une bonne fessée qui faisait passer l'envie de recommencer !
- Merci beaucoup ! Je vais vous servir cela et je pense que vu ce qu'elle a fait, elle va se placer sur vos genoux, attendez que je revienne.
Elle me regardait d'un air satisfait, me fit signe de la tête d'aller me mettre, je me plaçais et ne bougeait pas, alors qu'elle me servait le verre, il dit tout bas.
- Ma petite vache, tu ne sauras plus t'asseoir après.
Mon amie revient et déposait le verre sur la table du salon, elle s'assit et dit.
- Je suis prête.
- Ma petite, voulez-vous bien demander votre correction.
- Oui, Monsieur X, je n'ai pas été très gentille en votre compagnie, pourrais-je avoir la correction que je mérite svp ?
- Oui, relève ta robe et abaisse ta culotte ma toute belle.
Ma toute belle ? Il me traitait de vache peu de temps avant ? Je crois qu'il ne savait rien de ce que mon amie avait préparé, je m'exerçais, leur affichant mes fesses rouges, mon amie ricanait discrètement et lui ne dit un mot.
- Tu as de la chance que Monsieur X soit gentil, pour moi tu devrais être à poil comme tu as voulu le chauffer ! Je suis déçue de toi. Dis, mon amie.
- ...
- Puis-je commencer ? Demanda-t-il à mon amie.
- Je vous en prie, elle semble n'attendre que ça.
Et les fessées se firent les unes après les autres, j'eus plus vite mal que la première fois évidemment, je pleurais à chaudes larmes, il s'arrêtait et dit.
- je pense qu'elle à eu assez.
- Elle semble le sentir passer, mais je ne suis pas certaine que c'est arrivé jusqu'à son cerveau, regarder, elle s'enfile des objets dans son derrière (référence à mon plug), je pense qu'il va lui falloir bien plus que ça.
Et il reprit, mes fesses étaient en feu, je pleurais de tout mon être et puis il s'arrêtait.
- Là, elle ne recommencera plus.
Je le sentis se pencher pour prendre son verre et il me laissait ainsi, les deux se parlèrent de banalité, ne me prêtant pas attention.
- Dis, tu vas rester tes fesses à l'air comme ça sur mon voisin ? Tu aimes vraiment bien t'afficher !
Il m'aidait à me relever, je n'osais pas les regarder, je restais debout, penaude et elle me dit :
- Tu es toute transpirante, tu as même de la morve sur ton bras...
- Désolée...
- Ca à vouloir te montrer à poil pour de l'argent ! Tu le feras encore ?
- Non.
- Et tu as raison, déshabille toi pour lui montrer gratuitement.
J'enlevais à nouveau mes vêtements, qui collait par endroit, ils me regardèrent tous les deux et elle dit :
- Je suis fâchée, vraiment fâchée de ce que lui a fait, Monsieur X. Vous la trouvez jolie, mais là, je trouve qu'elle ressemble à une truie, toute en sueur, toute rouge...
- Et un peu grasse. Ajouta-t-il discrètement.
- Ce n'est pas moi qui ai touché son gros cul, vous l'avez vu bien avant moi.
- Mais cher voisine, je vous remercie quand même, je n'aurais pas pensé pouvoir fessée une jeune femme, et encore moins la voir nue.
- Tout le plaisir est pour elle, voyons ! Dit-elle tapotant sur son téléphone.
Lorsqu'elle eu finit, elle me regardait et me dit :
- Tu peux dire au revoir à Monsieur X et monter te laver, il faudra qu'on discute après.
- Au revoir, Monsieur X, encore désolée et je viendrai faire le ménage chez vous comme promis.
- Merci ma petite, ce n'est pas grave, c'est oublié ! Allais, file.
Je partis pour monter dans la chambre, les laissant me regarder, regarder mes fesses rouges et une fois en haut, je regardais mon téléphone, je savais qu'elle m'avait fait un message.
Prends le gode que t'as sucé hier, deux autres, redescends discrètement dans la cave au-dessus du sterput et baise-toi comme la truie que tu es, je suis certaine que tu as envie, si tu dois pisser, tu pisses là, je suis très fière de toi, ce soir je vais te prendre, mais j'ai très envie de continuer à te punir."
Je fis tout ce qu'elle dit, je descendis dans la cave et me baisais avec tout ce que j'avais pris, j'étais épuisée, humiliée, transpirante, je pouvais même dire que je ne sentais pas très bon, mais continuais, et puis elle arrivait, je ne m'arrêtais pas, elle se plaçait devant moi et fit glisser son string, celui-ci était souillé.
- Je vais exploser, tu m'as excitée, tu peux t'arrêter ma truie, fais ton petit pipi, je m'exécutais pendant qu'elle tendait son pied que je léchais directement.
Ce soir, on sort, quand on rentre je vais t'enculer comme une grosse truie et demain tu iras faire le ménage de Monsieur X.
- Merci !
Je n'osais pas retirer le plug, et je descendis, elle était dans la cuisine en train de se faire couler un café.
- Bonjour marmotte ! Dit-elle.
- Coucou... Dis-je terriblement honteuse et baissant les yeux.
- Hey, regarde-moi ! Ouvre la bouche.
J'ouvrais la bouche et elle crachait dedans.
- C'est bien, tu obéis toujours ! Dit-elle versant de l'eau dans une assiette creuse qu'elle plaçait au sol.
Je compris que c'était pour moi et je me mis à quatre pattes pour boire, elle était debout, devant moi à me regarder, tenant sa tasse de café, je l'entendis rire.
- Ca te va bien la culotte de petite gamine.
Lorsque j'eus fini, nous allâmes dehors sur la terrasse, elle me servit quand même une tasse de café et on s'asseyait à table, on discutait de la veille, me demandait si j'étais toujours excitée, etc..
Son vieux voisin sortit, arroser ses plantes, mais je suspecte qu'il nous avait vues.
- Monsieur X, comment allez-vous ? Venez prendre le café avec nous !
- Oh non ma petite, j'ai déjà bu ma tasse ce matin.
- Venez simplement vous assoir auprès de nous, mon amie n'a pas été très polie hier !
- Oh, ce n'est rien voyons.
- Ne me faites pas vous supplier, ça ne serait pas très gentleman !
- Tu as raison, je vais enfiler mes chaussures et j'arrive de suite.
Je la dévisageais, mais pas trop, et lorsqu'elle le vit, son regard se noircit.
- Viens avec moi carpette.
On rentrait dans la maison et elle me montrait le sol du doigt, je m'allongeais et elle plaçait son pied sur mon visage.
- A quel moment as-tu le droit de me regarder ainsi carpette ?
- Aucun.
- C'est toi qui aimes bien qu'on t'humilie, alors maintenant tu joues ton rôle de carpette.
- Oui, pardon !
- A genoux et ouvre la bouche.
Je me mis à genoux, j'ouvrais la bouche et plaçais mes mains instinctivement dans mon dos, elle se plaçait au-dessus de moi et crachait dedans, lentement, laissant couler son filet de bave dans ma bouche.
- Est-ce que c'est la position d'une personne qui peut dire quelque chose ?
- Non.
- Nous sommes bien d'accord.
La sonnette retentit, elle restait figée devant moi et me dit :
- Tu vas faire la petite fille prude, mais un peu allumeuse, si tu le fais bien, tu pourras te baiser tout à l'heure au milieu de mon salon, si tu le fais très bien, je te prendrais en godemicher, si tu le fais mal... Tu ne veux pas savoir.
- Entendu.
Elle allait lui ouvrir, et il arrivait, je m'étais relevée, essuyée le bord de la bouche et il vint me faire la bise, je vis son regard passer par-dessus l'épaule de monsieur X, je passais mon bras autour de sa taille en lui faisant la bise et me collais à lui pour qu'il sente ma poitrine.
- Bonjour, je suis navrée pour hier, je suis peut-être allée trop loin.
- Oh, ne t'inquiète pas ma petite, je fus juste déçu ! Dit-il en rigolant.
- J'en suis navrée, puis-je vous servir quelque chose à boire ?
- Tu aurais de la bière ?
Je regardais vers mon amie, qui me fit signe de la tête que oui et me montrait le frigo, je lui servis une bière et on s'asseyait sur le divan.
- Excusez-moi, j'ai quelques petites courses à faire, est-ce que ça vous dérange si je m'absente ?
- Oh, non, je t'en prie ! Dit-il.
En partant, elle me montrait la caméra du regard, j'avais compris que je devais vraiment m'exécuter.
Je remarquais que lui lorgnait sur mes jambes et ma poitrine.
- Alors ma petite, de quoi va-t-on pouvoir bien discuter ?
- De quoi souhaitez-vous discuter ? Je suis toute à vous !
- Ne me dis pas ce genre de chose ! Dit-il me regardant de la tête au pied.
Il enchainait ensuite.
- Tu veux souvent montrer tes nenes aux inconnus ?
- Mais je ne voulais pas les montrer...
- Ce n'est pas ce qu'ils disaient hier à essayer de sortir de ton maillot.
Je sentis la chaleur de honte monter, je devais être rouge pivoine ! Je ne su pas comment réagir, il plaçait sa main sur ma jambe et me dit :
- Ce n'est rien, sais-tu, c'était déjà un plaisir de te voir ainsi pour un homme de mon âge.
- Merci... Que dire à cela ?
Je repensais à ce qu'elle m'avait dit, je ne voulais pas être punie, son regard à ce moment-là, me faisait savoir que je ne voulais vraiment pas être punie.
- Mais... Mais... Je m'excuse sincèrement !
- De quoi donc ? Dit-il ?
- J'ai profité de ma jeunesse, de mon corps pour vous taquiner, ce n'était pas cool et je m'en excuse.
- Oh, ce n'est rien, tu sais, à mon âge, on est vite content, j'ai été jeune aussi.
Je marquais un silence et dit :
- Ne me jugez pas, mais si je retirais ma robe et que vous me voyez en sous-vêtements, est-ce que ça pourrait m'excuser ? Mais seulement si vous me promettez de ne rien dire à mon amie.
Il semblait étonné mais à la fois gardait un certain sang-froid.
- Tu serais complètement nue, ça serait mieux. Dit-il du tac-o-tac.
Je me retrouvais piégée, je n'allais pas me dévoiler entièrement devant un inconnu ? Mon coeur battait la chamade, je perdais mes moyens.
Il se mit à rire et dit :
- Ne fais pas cette tête-là, je te taquine aussi ! J'accepte et je te promets de ne rien lui dire, mais si elle rentre et te vois sur mes genoux, je n'y suis pour rien.
- Vos genoux ?
- Oui, ça serait juste magnifique qu'une belle fille comme toi, soit assise sur mes genoux en sous-vêtements.
Un silence se fit, moi qui ne savais pas quoi dire, ni quoi faire, lui qui attendait que j'agisse.
- Je peux aussi juste continuer à discuter avec toi, tu es déjà très charmante ainsi !
Je me levais et fis glisser la première bride de ma robe le long de mon épaule, je fis pareil avec la seconde et laissais glisser la robe le long de mon corps, il ne ratait pas une miette et me regardait, puis dit:
- Mais j'ai connu ce genre de culotte dans mon jeune temps.
La honte m'envahit mais je ne dis rien, il tapotait sur son genou et je viens m'asseoir dessus, sa main droite était derrière mon dos, comme pour me soutenir et la gauche sur ma cuisse gauche.
J'étais toute crispée, et le mot est faible, il le vit et caressait ma jambe en disant :
- Il ne faut pas.
Je regardais son entrejambe pour voir s'il bandait, oui, je me posais cette question là et il le vit.
- Elle ne réagit plus aussi bien que dans mon jeune temps, ou alors c'est parce que tu es un peu grassouillette, je n'ai jamais aimé ça.
Avais-je bien entendu ? J'étais assise en sous-vêtements sur ce vieux bonhomme et il critiquait mon physique ? J'aurais tant voulu me cacher ! A ce moment-là, il me fit me relever, sa main glissant sur mes fesses et m'entrainait vers la place où j'étais assise.
- Ne le prends pas mal, hier soir, je me suis masturbé pour la première fois depuis très longtemps après t'avoir vu !
- Contente d'avoir pu vous faire plaisir... Dis-je dégoûtée.
- Je voudrais que tu saches que je suis très content d'être ici en train de discuter avec toi, même si tu es grassouillette, ce n'est rien, ça me fait plaisir d'avoir de la compagnie et en plus d'avoir une jolie vue.
- En attendant, la grassouillette, vous avez sous-entendu que vous vouliez la voir nue ! Dis-je piquée dans mon estime.
- C'est vrai, mais je sais que tu n'aS pas assez de cran pour ça, donc je suis content des sous-vêtements. Dit-il très calmement.
Je restais bouche bée, je m'étais fais recadré par un vieux monsieur qui peinait à marcher, et il le savait, il me regardait, sans trop d'émotion suite à sa phrase.
- J'ai raison, n'est-ce pas ?
- ...
- Je ne voulais pas te blesser, je ne te demande pas d'être nue, loin de là...
- Ben oui, je suis grasse ! Dis-je le coupant.
- Non, je venais ici suite à votre invitation, comme je l'ai dit, c'est déjà fantastique pour un homme de mon âge de voir une jeune femme en sous-vêtements réellement devant lui.
J'étais tout de même blessée, mais les paroles de mon amie me revint en tête et je dis alors :
- Je peux vous poser une question ?
- Oui, je t'en prie.
- Qu'aurais je à y gagner si j'étais nue devant vous ?
- Tu aurais droit à une bonne correction qui te passerait l'envie de te déshabiller devant un vieil homme.
Encore une fois, je restais là, vide de réponse, je ne m'attendais pas à ce qu'il me réponde cela, il aurait pu me dire que ça lui aurait fait plaisir ? Voir même qu'il me donnerait un bonbon !
Il s'asseyait mieux sur le divan et, en tapotant son genou gauche, me dit :
- Tu viens la prendre ou on continue de discuter ?
Je savais qu'elle voyait tout à la caméra, j'étais un œil vers celle-ci et je l'imaginais sourire, de plus, si je me plaçais sur ses genoux, elle serait vraiment bien mise pour me voir, mais du coup, elle savait, je ne pouvais pas refuser, je me levais et il me regardait, je m'apprêtais à dégrafer mon soutien-gorge et il me dit :
- N'abaisse pas de suite ta vieille culotte !
- Compris...
Une fois dégrafé, je le déposais sur la table basse, son visage devint plein d'expression, ensoleillé, il sourit, il tapotait à nouveau sur ses genoux et je vins me placer.
- C'est une belle journée aujourd'hui, peux-tu faire glisser ta petite culotte pour me dévoiler tes grosses fesses.
Je fis glisser ma culotte jusqu'en dessous de mes fesses, me rappelant à cet instant-là, le plug dans mon cul.
- Oh, qu'est-ce donc ?
J'étais honteuse, excitée de la situation et je lui répondit cash.
- J'aime me mettre toute sorte de chose dans mon cul.
- Vu la taille, tu dois en mettre un tas de choses ! Dit-il d'un ton plat.
Je ne préférais rien dire, encaisser, je devais continuer à faire ce que mon amie m'avait dit, un silence s'installait, je ne voyais pas ce qu'il faisait, il ne disait rien, cela me mettait mal à l'aise, j'imagine qu'il regardait mes fesses, allait-on encore rester longtemps ainsi ? Je pris la parole.
- Est-ce que vous allez me corriger ?
- Oui.
- Quand ? Parce que j'attends...
- Tu attends pour être corrigée ?
- Ben oui...
- Je ne m'y attendais pas à celle-ci, tu es vraiment une petite coquine, tu ne laisserais pas un vieux monsieur profiter un peu avant ?
- Oui, pardon..
Le silence se fit à nouveau, je sentais sa main caresser mes fesses, il profitait vraiment à fond, ce que quelque part je pouvais comprendre.
- Voilà.
- Voilà quoi ?
- Et bien, tu peux me demander de te corriger ma petite.
- Monsieur X, est-ce que je pourrais avoir ma correction svp ?
Il ne répondit pas, ses gifles s'abattirent sur mon derrière, je n'avais pas fait attention, mais il devait avoir de grandes mains, très vite je criais de douleur et j'eus des larmes, il me demandait si je voulais qu'il arrête, pensant toujours à mon amie, je lui dis que non, lorsqu'il considérait la correction terminée.
Et il fit durée la correction !
Lorsqu'il eut fini, je pense qu'il contemplait mon cul qui devait être rouge vif, il me brûlait, il me fit me relever et mit sa main sous mon menton pour relever ma tête et me regarder.
- Tu es belle ainsi, ma petite, je pense que tu as compris que tu ne peux pas manquer de respect à un vieux monsieur, non?
- Oui, monsieur X.
- Fort bien, reste devant moi et saute comme ça (il me montrait les mouvements de jambes et de bras qui s'éloignent et reviennent près du corps) je veux voir tes mamelons bouger.
Et je le fis, il semblait apprécier le spectacle, moi, mon cul me faisait attrocement mal, j'avais encore quelques larmes et je transpirais.
- Tu peux t'arrêter ma petite, va me chercher une bière.
Je partis lui chercher une bière et lui ramenais, restant debout, devant lui, je ne savais plus quoi faire...
- Ma petite, tu ne vas pas rester là à me regarder boire ma bière ?
- Non, pardon. Dis-je en m'asseyant.
- Non, ma petite, mets-toi à quatre pattes par terre et fais la vache, ça t'irait trop bien !
- Non, svp, Monsieur X !
- Tu as raison, j'en oublie mes manières, tu peux me le demander.
- Svp...
- Non ma petite, demande le poliment, quand on est pas poli, on obtient rien !
Me sachant regardée, je devais jouer le jeu, je pris donc une petite voix et dit :
- Monsieur X, m'autorisez-vous à être une vache pendant que vous buvez votre bière ?
- Bien sûr ma petite, sois ce que tu penses être !
Je me mis donc à quatre pattes, par terre, à avancer dans toute la pièce en meuglant, je n'osais pas le regarder, j'entendis qu'il déposait sa bière sur la table, on s'entait qu'elle était vide, et il me dit.
- Viens te mettre sur la table, je vais te traire.
Et une fois placée dessus, aussi honteuse que j'étais, ce vieux monsieur s'amusait à jouer avec mes mamelon comme pour me traire, je continuais de meugler de mon côté, lorsqu'il considérait avoir finit, il me mit une autre fessée sur les fesses en me disant : "bonne grosse vache".
Puis, il m'aidait à me relever.
- Ma petite, merci beaucoup ! J'ai apprécié ce moment ensemble, pourrais je te demander autre chose ?
- Ce que vous voulez, Monsieur X.
- Oh oh, hey bien, tu peux très vite être bien éduquée ma canaille ! J'aimerais que tu viennes faire le ménage chez moi, évidemment, je te paierais, tout ce que je te demanderais c'est de porter une tenue de femme de ménage, et d'être corrigée quand bon me semble, rien d'autre, peut-être te voir nue de temps à autres.
- Ca serait tout ? Pas de sexe ? Vous êtes sûr ?
- Ma petite, est-ce que je t'ai enfilée quelque part ? Même mes doigts ne sont pas rentrés.
- D'accord alors...
- Très bien ! Tu peux remettre tes vêtements, on va attendre ton amie.
Je remis chacun de mes vêtements, mais quelque chose me perturbait.
- Excusez-moi ?
- Oui, dis-moi canaille.
- Vous n'avez pas bandé ?
- Mon gourdin ne s'est pas levé, non.
- Ce n'est pas possible ! Dis-je stupéfaite, vexée.
- Je suis désolé ma petite, tu n'as pas fait l'effet que tu pensais faire, me montrant son pantalon en ayant eu du mal à se lever.
- Ce n'est pas possible...
- Tu veux toucher pour voir ? Mais si tu touches...
- Si je touche quoi Monsieur X ?
- Tu t'excuseras devant ton amie de n'avoir pas encore été correct avec moi et tu seras corrigée devant elle.
Quel c... Elle avait tout vu, j'étais obligée de dire oui, j'allais plus savoir m'asseoir et j'allais encore pleurer !
- Alors ?
Je me dirigeais vers lui et touchais son sexe à travers son pantalon, deux choses, il était énorme et ne bandait effectivement pas, il me regardait satisfait, moi j'étais défaite.
On finit par parler de tout et de rien, de mon plug, de mes amours, de sa jeunesse et mon amie rentrait, j'étais tendue..
- Ca a été ? Désolée pour l'attente ! Entre le trafic et le monde dans les magasins, je ne vous dis pas !
- Je, j'ai.. Je m'excuse à Monsieur X, je n'ai encore pas été très gentille... Dis-je.
- Comment ça ? Je l'ai invité pour t'excuser de ton comportement d'hier ! Je suis désolée Monsieur X !!!
Elle jouait bien la comédie pour une qui avait tout vu !
- Ne vous en faites pas cher voisine, votre amie à tentée de profiter d'un vieil homme...
- Comment ça ? Demande mon amie.
- Elle a fait jouer de ses charmes pour essayer d'obtenir des choses de moi, elle m'a même à nouveau proposé de montrer sa poitrine ! Alors je lui ai dit que j'allais tout vous dire, cher voisine.
- Excusez-moi pour elle, elle n'aurait pas du !
- Ce n'est rien, mais à mon âge, on ne pense plus à tout cela, alors une belle jeune femme comme elle qui vous fait des avances.. Vous savez, je ne peux rien espérer, mais ça me blesse qu'en fonction de mon âge, on essaie d'être malhonnête... A mon époque, une bonne correction elle aurait reçue.
Ils me regardèrent tous les deux et je pris la parole.
- Vous avez raison, Monsieur X, je suis sincèrement désolée, ça ne se reproduira plus, si je peux faire quelque chose pour me faire pardonner, dites-le moi.
- Je ne suis plus tout jeune, vous accepteriez de venir faire le ménage chez moi une ou deux fois par semaine ?
- Oui, avec plaisir. Répondis-je.
Mon ami le prit par le bras et dit :
- Je suis sincèrement désolée qu'elle vous ait offensé, puis-je vous servir quelque chose à boire ? De quelle correction parliez-vous ?
- Ne vous en faites pas cher voisine, vous êtes adorable ! Il en manque des femmes telles que vous, je veux bien un verre d'eau svp et pour la correction, à mon époque, sur les genoux et une bonne fessée qui faisait passer l'envie de recommencer !
- Merci beaucoup ! Je vais vous servir cela et je pense que vu ce qu'elle a fait, elle va se placer sur vos genoux, attendez que je revienne.
Elle me regardait d'un air satisfait, me fit signe de la tête d'aller me mettre, je me plaçais et ne bougeait pas, alors qu'elle me servait le verre, il dit tout bas.
- Ma petite vache, tu ne sauras plus t'asseoir après.
Mon amie revient et déposait le verre sur la table du salon, elle s'assit et dit.
- Je suis prête.
- Ma petite, voulez-vous bien demander votre correction.
- Oui, Monsieur X, je n'ai pas été très gentille en votre compagnie, pourrais-je avoir la correction que je mérite svp ?
- Oui, relève ta robe et abaisse ta culotte ma toute belle.
Ma toute belle ? Il me traitait de vache peu de temps avant ? Je crois qu'il ne savait rien de ce que mon amie avait préparé, je m'exerçais, leur affichant mes fesses rouges, mon amie ricanait discrètement et lui ne dit un mot.
- Tu as de la chance que Monsieur X soit gentil, pour moi tu devrais être à poil comme tu as voulu le chauffer ! Je suis déçue de toi. Dis, mon amie.
- ...
- Puis-je commencer ? Demanda-t-il à mon amie.
- Je vous en prie, elle semble n'attendre que ça.
Et les fessées se firent les unes après les autres, j'eus plus vite mal que la première fois évidemment, je pleurais à chaudes larmes, il s'arrêtait et dit.
- je pense qu'elle à eu assez.
- Elle semble le sentir passer, mais je ne suis pas certaine que c'est arrivé jusqu'à son cerveau, regarder, elle s'enfile des objets dans son derrière (référence à mon plug), je pense qu'il va lui falloir bien plus que ça.
Et il reprit, mes fesses étaient en feu, je pleurais de tout mon être et puis il s'arrêtait.
- Là, elle ne recommencera plus.
Je le sentis se pencher pour prendre son verre et il me laissait ainsi, les deux se parlèrent de banalité, ne me prêtant pas attention.
- Dis, tu vas rester tes fesses à l'air comme ça sur mon voisin ? Tu aimes vraiment bien t'afficher !
Il m'aidait à me relever, je n'osais pas les regarder, je restais debout, penaude et elle me dit :
- Tu es toute transpirante, tu as même de la morve sur ton bras...
- Désolée...
- Ca à vouloir te montrer à poil pour de l'argent ! Tu le feras encore ?
- Non.
- Et tu as raison, déshabille toi pour lui montrer gratuitement.
J'enlevais à nouveau mes vêtements, qui collait par endroit, ils me regardèrent tous les deux et elle dit :
- Je suis fâchée, vraiment fâchée de ce que lui a fait, Monsieur X. Vous la trouvez jolie, mais là, je trouve qu'elle ressemble à une truie, toute en sueur, toute rouge...
- Et un peu grasse. Ajouta-t-il discrètement.
- Ce n'est pas moi qui ai touché son gros cul, vous l'avez vu bien avant moi.
- Mais cher voisine, je vous remercie quand même, je n'aurais pas pensé pouvoir fessée une jeune femme, et encore moins la voir nue.
- Tout le plaisir est pour elle, voyons ! Dit-elle tapotant sur son téléphone.
Lorsqu'elle eu finit, elle me regardait et me dit :
- Tu peux dire au revoir à Monsieur X et monter te laver, il faudra qu'on discute après.
- Au revoir, Monsieur X, encore désolée et je viendrai faire le ménage chez vous comme promis.
- Merci ma petite, ce n'est pas grave, c'est oublié ! Allais, file.
Je partis pour monter dans la chambre, les laissant me regarder, regarder mes fesses rouges et une fois en haut, je regardais mon téléphone, je savais qu'elle m'avait fait un message.
Prends le gode que t'as sucé hier, deux autres, redescends discrètement dans la cave au-dessus du sterput et baise-toi comme la truie que tu es, je suis certaine que tu as envie, si tu dois pisser, tu pisses là, je suis très fière de toi, ce soir je vais te prendre, mais j'ai très envie de continuer à te punir."
Je fis tout ce qu'elle dit, je descendis dans la cave et me baisais avec tout ce que j'avais pris, j'étais épuisée, humiliée, transpirante, je pouvais même dire que je ne sentais pas très bon, mais continuais, et puis elle arrivait, je ne m'arrêtais pas, elle se plaçait devant moi et fit glisser son string, celui-ci était souillé.
- Je vais exploser, tu m'as excitée, tu peux t'arrêter ma truie, fais ton petit pipi, je m'exécutais pendant qu'elle tendait son pied que je léchais directement.
Ce soir, on sort, quand on rentre je vais t'enculer comme une grosse truie et demain tu iras faire le ménage de Monsieur X.
- Merci !
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