Je t'aime, moi non plus (moment seule 5 - Mr X)
Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je t'aime, moi non plus (moment seule 5 - Mr X)
J'arrivais devant chez Monsieur X, j'étais stressée ! Qu'allait-il me demander ? Je restais devant la porte quelques instants, inspira profondément et me décidai à appuyer sur la sonnette, je l'entendis retentir.
Il lui fallut un certain temps avant d'arriver, laissant mon stress mariné, lorsque je vis la porte s'ouvrir peu à peu, je voulais faire demi-tour, partir en courant, mes jambes tremblaient... J'avais peur d'un homme âgé ? Non, de ce qu'il pouvait me faire !
- Voilà enfin ma petite vache !
- Bon.. Bonjour... Dis-je un peu déconcertée.
- Une vache meugle. Dit-il d'un regard plus sévère.
- Meuuuuh.
- Je t'en prie, entre.
Il s'écarta, me laissant entrer, il fermait la porte derrière moi et me laissait ainsi, sans rien me dire, à me regarder de haut en bas.
- Peux-tu retirer tes chaussures stp.
- Oui, de suite.
Je retirais mes chaussures et me tenais pieds nus, restant là, immobile, alors que je le voyais s'éloigner.
- Qu'attends-tu ? Suis-moi !
Je le suivais sans rien dire, je découvris par la même occasion sa maison, qui était vraiment bien rangée, on aurait dit que tout avait une place et n'en bougeait pas. On montait les escaliers et il m'ouvrit la porte de sa salle de bain.
- Je t'ai préparé les vêtements que tu porteras à chaque fois que tu viendras faire le ménage, tu peux déposer tes vêtements sur le meuble juste à côté, je t'attends dans le salon.
Et il sortit de la salle de bain, et je l'entendis descendre les escaliers. Je me tournais alors vers les vêtements que je m'apprêtais à enfiler, une vraie tenue de soubrette, qui semblait très courte et très décolletée, un string blanc, des chaussures à talons noires, un collier avec une clochette et un anneau... La honte m'envahit, mais une certaine excitation s'en suivit.
Je retirais mon tee-shirt que je pliais et déposais sur le meuble, fit de même avec mon pantalon, mon string et mon soutien-gorge, j'enfilais le string qui me rentrait bien dans les fesses et serait mon entrejambe, je me glissais dans la robe de soubrette, qui arrivait à fleur du bas de mes fesses et laissait presque ressortir ma poitrine, et je mis le collier, qui se mit à sonner à chacun de mes mouvements, j'enfilais les talons et puis me regardait dans la glace, mon visage était rouge, de honte ou d'excitation, je ne savais pas trop à ce moment précis.
Je pris une grande respiration et descendis vers le salon, évidemment avec mes talons et la clochette, il m'entendait arriver. Une fois devant lui, je n'osais pas le regarder, je baissais les yeux.
- ça c'est une jolie petite vache, si t'es sage, t'iras peut-être brouter le jardin cette après-midi.
Je ne dis rien, n'osant pas le regarder de honte, il se levait, je ne bougeais pas et il revint avec un seau, et une éponge.
- Je t'ai rempli un seau avec de l'eau et du produit pour que tu me nettoies tout le sol.
Je ne comprenais pas, relevais les yeux et alors que je voulais parler, il reprit la parole, me coupant en ajoutant :
- Oui, tu as bien compris, tu vas me nettoyer tout ça à 4 pattes, ton gros cul bien exposé et tes mamelons qui voudront sortir à chaque mouvement.
Je restais bouche bée, clairement.
- Un vieux monsieur a bien besoin d'aide pour nettoyer sa maison, et un peu se rincer l'œil, peut-être souhaites-tu que je rougisse tes fesses avant que tu commences ?
- Non, monsieur X.
- Allais, ma petite, tu peux commencer.
Je ne réagis pas de suite, ne sachant pas par où commencer, mais lorsque j'ai vu qu'il commençait à tapoter sur sa cuisse, je me mis de suite à 4 pattes et commençait.
- Ah oui, je t'ai mis une gamelle d'eau au cas où tu aurais soif.
Je ne réagis pas à ses paroles et me mis à frotter, je le sentais me regarder, la position était inconfortable, mon string me rentrait plus fort dans les fesses à chaque mouvement et mes seins semblaient tenter de s'échapper également.
Cette position, cette clochette, je me sentais vraiment honteuse, et bien que je transpirais déjà, j'accélérais le mouvement, je voulais en finir au plus vite ! Je partis au total trois fois boire dans la gamelle, il me fit ensuite tout frotter... Évidemment, ma robe collait à ma peau, mes genoux étaient rouges, j'étais en sueur.
- C'est bien ma petite, je vais inspecter, tu peux te lever.
Je me relevais, restais sur place, mes jambes tremblaient, je sentais ma sueur coulée, et même que j'étais un peu essoufflée, lorsqu'il fit le tour et il vint devant moi, me regardant de haut en bas.
- Comment te sens-tu ?
- Bien.
- Comment te sens-tu réellement ?
- Un peu honteuse monsieur...
- Plus honteuse que lorsque tu t'es promenée comme une vache devant moi ?
- Je ne sais pas...
- Que veux-tu là maintenant ?
La question me prit de cour, je ne su quoi répondre à part dire :
- Je dois faire pipi.
Ce qui semblait être une réponse inattendue pour lui.
- Si tu veux faire pipi, tu le fais ici dans le salon à quatre pattes, mais tu devras nettoyer ensuite, mais je t'oblige pas, seulement, si tu as vraiment besoin ça sera le seul endroit que je t'accorde.
- Non, je... Ne saurais pas.
- Alors va terminer ta gamelle d'eau, une vache doit s'abbreuver.
Et à nouveau à quatre pattes je bu toutes l'eau de la gamelle, il ne ratait pas une miette et savait que ça allait augmenter mon besoin d'uriner.
- Toujours rien petite vache ?
- ...
- Allais, je vais te regarder pisser.
Je me mis à l'endroit qu'il indiquait, il me montrait que je devais retirer ma robe, ce que je fis, il vit un corps tout rouge, tout transpirant, j'abaissais mon string...
- Non, garde le, que tu sentes bien que tu te pisses dessus.
Je relevais mon string, à quatre pattes, par terre, en string, talons et collier avec clochette, je m'apprêtais à me pisser dessus devant ce vieil homme, pourquoi je faisais ça encore moi ?
- relève la tête et regarde moi, sois fier de te pisser dessus devant moi, une vache ne se cache pas pour pisser je pense !?
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Je me mis à uriner, sentant mon string se remplir, sentant les gouttes couler le long de mes jambes, les entendant aussi tomber au sol, lorsque j'eus fini, je pris de suite l'éponge, le seau et tout ce que j'avais à portée pour essuyer, il ne dit rien, il me regardait faire, lorsque j'eus fini, il partit et revint avec un gant de toilette savonné pour m'essuyer vite fait, les parties touchées, mais laissait mon string en place, évidemment, il n'avait pas mit de l'eau chaude !
Il m'aidait à me relever et s'assit, me regardant face à lui, debout, il attardait son regard sur mes seins, sur mon string sales.
- Comment te sens-tu ?
- Complètement vulnérable...
- C'est-à-dire ?
- J'ai l'impression que vous pouvez faire tout ce que vous voulez de moi et que je ne peux rien y faire.
- Et ça te dérange ?
- ça me désoriente.
- Retire ton string.
Je retirais mon string que j'avais en main, ma pisse me dégoutait.
- Sens bien ton string.
Je le reniflais, mais il ajoutait.
- Mets bien ton nez dedans ! D'un ton un rien plus haut, tout en restant toujours calme malgré tout.
Je le fis, j'avais envie de pleurer, j'avais envie de me cacher, je dépassais le stade de la honte là !
- C'est bien, maintenant, fou le sur ta tête et tu redeviens toi-même, une vache qui meugle.
Je sentis les larmes me monter aux yeux, mais je le fis, entre parenthèses, ça valait bien la peine de laver mes cheveux la veille ! À quatre pattes, je me glissais dans son salon, sa salle à manger, la petite clochette me rappelant que j'étais à sa merci.
Alors que j'étais dos à lui, je l'entendis se lever, prendre quelque chose, je n'osais pas me retourner, et l'entendis arriver près de moi, il m'attachait une laisse à l'anneau de mon collier et me tirait vers lui, il m'emmenait à l'arrière dans sa cuisine et j'étais face à la double porte vitrée son jardin, évidemment, personne ne pouvait me voir, à part si mon amie aurait été dans le fond de son jardin, il ouvrit la porte et j'étais résignée à me faire promener à poil, à quatre pattes dans son jardin.
- J'aère un petit peu, il fait beau dehors et ça évite les odeurs.
Puis, il tirait sur la laisse tout en repartant vers le salon, viens petite vache ! Dit-il, moi meuglant derrière... Nous remontions en haut, qu'avait-il décidé ? Il allait me baiser ? J'étais d'accord ? J'étais contre ? Je n'arrivais pas à le dire, mais il m'emmena dans la salle de bain et me fit rentrer dans la baignoire, toujours à 4 pattes.
J'étais enfin libérée de ces talons et de ce collier, et surtout, de ce string. Il fit couler de l'eau, d'abord froide, puis l'amena à bonne température. Je restais là, sans bouger, et il se mit à me laver, à laver mes cheveux. Je sentais sa main sous le gant de toilette passer sous tout mon corps, en réalité, me sentir propre, la chaleur de l'eau, ça me faisait du bien, il m'aidait à sortir et m'essuyait, d'un drap vraiment doux, c'était vraiment agréable.
Il me fit remettre les talons et me mit un autre collier autour du cou, cette fois, c'était une chaîne en métal, le froid me fit frissonner !
Il me remit une laisse, également en métal, je me mis automatiquement à quatre pattes et nous sommes redescendu, arrivé en bas, il me fit tenir la laisse dans la bouche.
- Va me faire un café stp.
Je partis dans la cuisine et le lui préparait, je revint, le lui donnait et restait debout à côté de lui, toujours la laisse en bouche, me faisant un peu bavé, je donnais l'impression d'attendre qu'il me promène.
Lorsqu'il eu terminer, il déposait sa tasse sur la table basse du salon et se relevait, son regard était redevenu sévère, il me prit par le bras et m'emmena dans sa salle à manger, me penchait sur la table.
- Pas de sucre dans le café, mais je suis content, je vais pouvoir te punir, tu peux tenir la table de chaque côté si tu le souhaites.
Il n'eut pas à me le dire deux fois, mes mains agrippèrent chaque côté de la table, on aurait dit que je m'étais affalée dessus, et je l'entendis détaché sa ceinture et la retirer, une peur me prit, je n'osais rien dire.
Le premier claquement se fit sur ma fesse droite, il se servait bien de sa ceinture et m'arrachait un cri.
- Tu as de la chance, ce n'est pas la partie métallique ! Demande-moi de te frapper avec ma ceinture, à te faire pleurer comme la pisseuse que tu es ! Et applique-toi !
Je vous avoue ne pas avoir prit le temps de réfléchir, peur que de le faire attendre soit pire !
- Svp, monsieur X, punissez moi, frapper mon gros cul de vache comme je le mérite, je serais gentille.
- C'est pas mal.
S'en suivit un nombre incalculable de coups de ceinture sur mes fesses, je pense avoir laissé mon esprit s'échapper, ainsi que des cris et de nombreuses larmes. Je me forçais à ne pas bouger, à ne pas me laisser tomber, lorsque après un long moment, ou plutôt un moment trop long, alors que mes fesses me piquait, me brûlait, que j'avais de la morve sous le nez à force pleurer, que j'avais un peu baver également, bref que j'étais dans un état pitoyable, il s'arrêtait.
- Ne bouge pas, je vais t'essuyer, tu t'es fait quelques gouttes dessus, on dirait que tu aimes bien te pisser dessus toi !
Je ne l'avais même pas senti, il revint et me nettoyait au gant de toilette, il essuyait par terre, je ne bougeais toujours pas, il mit une crème sur mes fesses puis m'aidait à me relever, il me regardait et me tendit un mouchoir.
- Tiens, tes cheveux qui ont crollé, ça te va bien même s'ils sont en pagaille !
Il retournait s'asseoir et puis tapotait sur sa jambe, je parti vers lui et m'assis sur ses genoux.
- C'est toujours agréable pour un vieil homme d'avoir une jeune femme nue assise sur ses genoux, dis-moi, comment te sens-tu ?
- Je suis à bout de force monsieur...
- Es-tu excitée ?
Je me rendis compte que oui.
- Oui... Dis-je honteuse, baissant les yeux.
- Me permets tu de vérifier ? Dit-il me montrant sa main.
J'écartais les jambes, ma chatte était plus qu'humide et il vint le sentir.
- Effectivement ! As-tu envie de rentrer quelque chose dedans.
- Tout ce que vous voulez ! Dis-je instinctivement, et voulant me mettre une gifle, à parler trop vite et sous l'excitation.
Viens avec moi, nous allions dans la cuisine, il me fit signe de rester là et partit dans son jardin, je m'y attendais, enfin, pas qu'il aille dans son jardin, mais qu'il pense à un fruit ou un légume, il revint avec une courgette et la nettoyait devant moi, prenant le temps de bien la frotter sous mes yeux, elle était énorme, à mon avis, il avait choisi la plus grosse de son potager.
- Allais, tiens, prends-la et viens te rasseoir sur mes genoux, j'ai très envie qu'une jeune femme se baise assise sur mes genoux.
Et ce qui devait arriver arriva, je m'enfonçais dans l'aubergine, assise sur ses genoux. Très vite, je me laissais aller et je me prenais frénétiquement, parfois grimaçant, ressentant la douleur de mon derrière. Je finis par me laisser aller, je le sentais me retenir car je faillis tomber et je me retrouvais, fesses face à lui, mon visage sur sa table de salon en train de me rentrer la courgette.
Il finit par me faire arrêtée, il me fit me mettre sur la table à quatre pattes et présentait la courgette à mes lèvres, je le regardais, il me fit un sourire, j'ouvris la bouche et il me fit la sucer, je pense qu'il aimait l'idée que je me goûte, il déposait le légume sous mes yeux et me laissait ainsi.
Il partit dans la cuisine, revint avec de la nourriture et se mit à sa table de salon, qu'il prit soin de nettoyer, et mangeait ses tartines tranquillement, il remballait tout, montait les escaliers, je pense qu'il allait faire sa petite commission et redescendait.
- Je pense que tu en as eu pour ton compte, non ?
- Seul vous savez...
- Tu as prévu quelque chose aujourd'hui ?
- Non... Je ne savais pas le temps que ça me prendrais ici.
- Très bien, dis-moi, tu aimes être humiliée ?
- Oui...
- Tu as aimée te faire mal traitée ?
- Oui...
- Ne bouge pas, je reviens.
Il remontait encore une fois, puis revint, jamais je ne le regardais partir ou revenir, je gardais toujours la tête baissée vers... La courgette.
Lorsqu'il revint, je sentis qu'il mettait quelque chose dans ma chatte, un tissu, comme s'il l'épongeait de l'intérieur. Il vint devant moi, me fit le regarder, c'était le string avec lequel j'étais arrivé, il me le mit en bouche, il me fit me mettre sur le dos et plaçait un essuie blanc en dessous de moi, il me fit relever les jambes, lui relevant mes deux trous.
Il les regardaient attentivement.
- Puis-je toucher ton anus ?
Je fis oui de la tête, il vint avec son index, le titiller, pousser un peu dedans, prendre un peu de mouille dans ma chatte pour le lubrifier et puis prit la courgette, je le regardais avec une certaine peur, il mit la courgette contre mon anus et poussait un peu, puis s'arrêtait, n'essayant pas de la faire rentrer.
Il rigolait et me dit :
- T'étais prête à te laisser écarter l'anus avec une courgette !
Je ne me sentis pas rougir, rien, oui, je l'aurais laissé faire, mon excitation était telle que, je pense que tout aurait été acceptable. J'étais toujours dans la même position, jambe en l'air tenue par mes mains, il prit du talque et en mit sur mes fesses, puis referma le drap comme une protection, il m'aidait à faire redescendre mes jambes et m'aidait à m'asseoir...
Avec douceur, il me retirait mes talons, l'un, puis l'autre et puis prit ma main pour me relever.
- Dans la cave, il y a une cage, va la chercher et monte la au premier.
Et il montait, je descendis dans la cave, vis la cage, qui était grande et la prit, elle n'était pas légère, mais je su l'amener jusqu'en haut.
- Amène là dans la chambre.
Je l'amenais et la déposais du côté gauche du lit, comme il me l'avait indiqué, il passait mes mains dans mon dos et les attachait à l'aide d'une corde, il semblait bien faire les nœuds car je ne trouvais pas les moyens de sortir mes mains, au contraire, cela se renforçait.
- Il manque quelque chose... hum, ah oui !
Il prit deux pinces à linge et les mis sur mes tétons, je me mordis les lèvres pour ne pas pousser de cris, mais mes yeux s'humidifièrent.
Il me fit rentrer dans la cage, où, je n'avais pas beaucoup d'espace et la refermait avec un cadena.
- C'était la cage de mon chien, il y a une vingtaine d'années, ou plus. Je vais faire une petite sieste, si tu dois faire des besoins, ne me réveille pas, tu as ta protection.
Et il fit sa sieste, qui dura longtemps, il se réveillait et bandait, il avait vraiment une énorme ! Il me sortit de la cage et détachait mes mains, on allait dans la salle de bain et il me donnait du papier, il se mit à uriner, j'ai cru que ça ne s'arrêterait pas.
- Peux-tu m'essuyer stp ?
J'allais près de lui avec le papier et essuyer son sexe d'une main, et le tenait de l'autre.
- Ca va ? me dit-il ?
- Oui, oui.
- Je te vois regarder mon pénis d'une drôle de manière.
- Il est énorme en fait.
- Je sais, ça n'a pas toujours été génial.
Je me redressais une fois fini, et continuais de le regarder, il s'approchait de moi et me fit me mettre à genoux, son sexe pendait sous mes yeux, j'ouvris la bouche et lui le rapprochait, puis il me dit :
- ça serait avec plaisir, mais peux-tu remonter mon pantalon stp.
Je remontais son pantalon, l'attachais, il me retirait les deux pinces, qui donnaient des lancements à mes mamelons, me retirait ma protection et me dit :
- tu peux te rhabiller, nous en avons fini, à moins que petite vache veuille sa fessée de départ ?
Je me penchais sur la baignoire et dit :
- Petite vache est prête.
Petite vache est partie le cul en feu, je suis rentrée chez moi, je me suis mise dans le bain pendant plus d'une heure, j'ai à peine grignotée et je me suis endormie dans mon canapée.
Au réveil, j'avais un message où il me demandait si je pouvait lui donner des photos de moi nue.
Il lui fallut un certain temps avant d'arriver, laissant mon stress mariné, lorsque je vis la porte s'ouvrir peu à peu, je voulais faire demi-tour, partir en courant, mes jambes tremblaient... J'avais peur d'un homme âgé ? Non, de ce qu'il pouvait me faire !
- Voilà enfin ma petite vache !
- Bon.. Bonjour... Dis-je un peu déconcertée.
- Une vache meugle. Dit-il d'un regard plus sévère.
- Meuuuuh.
- Je t'en prie, entre.
Il s'écarta, me laissant entrer, il fermait la porte derrière moi et me laissait ainsi, sans rien me dire, à me regarder de haut en bas.
- Peux-tu retirer tes chaussures stp.
- Oui, de suite.
Je retirais mes chaussures et me tenais pieds nus, restant là, immobile, alors que je le voyais s'éloigner.
- Qu'attends-tu ? Suis-moi !
Je le suivais sans rien dire, je découvris par la même occasion sa maison, qui était vraiment bien rangée, on aurait dit que tout avait une place et n'en bougeait pas. On montait les escaliers et il m'ouvrit la porte de sa salle de bain.
- Je t'ai préparé les vêtements que tu porteras à chaque fois que tu viendras faire le ménage, tu peux déposer tes vêtements sur le meuble juste à côté, je t'attends dans le salon.
Et il sortit de la salle de bain, et je l'entendis descendre les escaliers. Je me tournais alors vers les vêtements que je m'apprêtais à enfiler, une vraie tenue de soubrette, qui semblait très courte et très décolletée, un string blanc, des chaussures à talons noires, un collier avec une clochette et un anneau... La honte m'envahit, mais une certaine excitation s'en suivit.
Je retirais mon tee-shirt que je pliais et déposais sur le meuble, fit de même avec mon pantalon, mon string et mon soutien-gorge, j'enfilais le string qui me rentrait bien dans les fesses et serait mon entrejambe, je me glissais dans la robe de soubrette, qui arrivait à fleur du bas de mes fesses et laissait presque ressortir ma poitrine, et je mis le collier, qui se mit à sonner à chacun de mes mouvements, j'enfilais les talons et puis me regardait dans la glace, mon visage était rouge, de honte ou d'excitation, je ne savais pas trop à ce moment précis.
Je pris une grande respiration et descendis vers le salon, évidemment avec mes talons et la clochette, il m'entendait arriver. Une fois devant lui, je n'osais pas le regarder, je baissais les yeux.
- ça c'est une jolie petite vache, si t'es sage, t'iras peut-être brouter le jardin cette après-midi.
Je ne dis rien, n'osant pas le regarder de honte, il se levait, je ne bougeais pas et il revint avec un seau, et une éponge.
- Je t'ai rempli un seau avec de l'eau et du produit pour que tu me nettoies tout le sol.
Je ne comprenais pas, relevais les yeux et alors que je voulais parler, il reprit la parole, me coupant en ajoutant :
- Oui, tu as bien compris, tu vas me nettoyer tout ça à 4 pattes, ton gros cul bien exposé et tes mamelons qui voudront sortir à chaque mouvement.
Je restais bouche bée, clairement.
- Un vieux monsieur a bien besoin d'aide pour nettoyer sa maison, et un peu se rincer l'œil, peut-être souhaites-tu que je rougisse tes fesses avant que tu commences ?
- Non, monsieur X.
- Allais, ma petite, tu peux commencer.
Je ne réagis pas de suite, ne sachant pas par où commencer, mais lorsque j'ai vu qu'il commençait à tapoter sur sa cuisse, je me mis de suite à 4 pattes et commençait.
- Ah oui, je t'ai mis une gamelle d'eau au cas où tu aurais soif.
Je ne réagis pas à ses paroles et me mis à frotter, je le sentais me regarder, la position était inconfortable, mon string me rentrait plus fort dans les fesses à chaque mouvement et mes seins semblaient tenter de s'échapper également.
Cette position, cette clochette, je me sentais vraiment honteuse, et bien que je transpirais déjà, j'accélérais le mouvement, je voulais en finir au plus vite ! Je partis au total trois fois boire dans la gamelle, il me fit ensuite tout frotter... Évidemment, ma robe collait à ma peau, mes genoux étaient rouges, j'étais en sueur.
- C'est bien ma petite, je vais inspecter, tu peux te lever.
Je me relevais, restais sur place, mes jambes tremblaient, je sentais ma sueur coulée, et même que j'étais un peu essoufflée, lorsqu'il fit le tour et il vint devant moi, me regardant de haut en bas.
- Comment te sens-tu ?
- Bien.
- Comment te sens-tu réellement ?
- Un peu honteuse monsieur...
- Plus honteuse que lorsque tu t'es promenée comme une vache devant moi ?
- Je ne sais pas...
- Que veux-tu là maintenant ?
La question me prit de cour, je ne su quoi répondre à part dire :
- Je dois faire pipi.
Ce qui semblait être une réponse inattendue pour lui.
- Si tu veux faire pipi, tu le fais ici dans le salon à quatre pattes, mais tu devras nettoyer ensuite, mais je t'oblige pas, seulement, si tu as vraiment besoin ça sera le seul endroit que je t'accorde.
- Non, je... Ne saurais pas.
- Alors va terminer ta gamelle d'eau, une vache doit s'abbreuver.
Et à nouveau à quatre pattes je bu toutes l'eau de la gamelle, il ne ratait pas une miette et savait que ça allait augmenter mon besoin d'uriner.
- Toujours rien petite vache ?
- ...
- Allais, je vais te regarder pisser.
Je me mis à l'endroit qu'il indiquait, il me montrait que je devais retirer ma robe, ce que je fis, il vit un corps tout rouge, tout transpirant, j'abaissais mon string...
- Non, garde le, que tu sentes bien que tu te pisses dessus.
Je relevais mon string, à quatre pattes, par terre, en string, talons et collier avec clochette, je m'apprêtais à me pisser dessus devant ce vieil homme, pourquoi je faisais ça encore moi ?
- relève la tête et regarde moi, sois fier de te pisser dessus devant moi, une vache ne se cache pas pour pisser je pense !?
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Je me mis à uriner, sentant mon string se remplir, sentant les gouttes couler le long de mes jambes, les entendant aussi tomber au sol, lorsque j'eus fini, je pris de suite l'éponge, le seau et tout ce que j'avais à portée pour essuyer, il ne dit rien, il me regardait faire, lorsque j'eus fini, il partit et revint avec un gant de toilette savonné pour m'essuyer vite fait, les parties touchées, mais laissait mon string en place, évidemment, il n'avait pas mit de l'eau chaude !
Il m'aidait à me relever et s'assit, me regardant face à lui, debout, il attardait son regard sur mes seins, sur mon string sales.
- Comment te sens-tu ?
- Complètement vulnérable...
- C'est-à-dire ?
- J'ai l'impression que vous pouvez faire tout ce que vous voulez de moi et que je ne peux rien y faire.
- Et ça te dérange ?
- ça me désoriente.
- Retire ton string.
Je retirais mon string que j'avais en main, ma pisse me dégoutait.
- Sens bien ton string.
Je le reniflais, mais il ajoutait.
- Mets bien ton nez dedans ! D'un ton un rien plus haut, tout en restant toujours calme malgré tout.
Je le fis, j'avais envie de pleurer, j'avais envie de me cacher, je dépassais le stade de la honte là !
- C'est bien, maintenant, fou le sur ta tête et tu redeviens toi-même, une vache qui meugle.
Je sentis les larmes me monter aux yeux, mais je le fis, entre parenthèses, ça valait bien la peine de laver mes cheveux la veille ! À quatre pattes, je me glissais dans son salon, sa salle à manger, la petite clochette me rappelant que j'étais à sa merci.
Alors que j'étais dos à lui, je l'entendis se lever, prendre quelque chose, je n'osais pas me retourner, et l'entendis arriver près de moi, il m'attachait une laisse à l'anneau de mon collier et me tirait vers lui, il m'emmenait à l'arrière dans sa cuisine et j'étais face à la double porte vitrée son jardin, évidemment, personne ne pouvait me voir, à part si mon amie aurait été dans le fond de son jardin, il ouvrit la porte et j'étais résignée à me faire promener à poil, à quatre pattes dans son jardin.
- J'aère un petit peu, il fait beau dehors et ça évite les odeurs.
Puis, il tirait sur la laisse tout en repartant vers le salon, viens petite vache ! Dit-il, moi meuglant derrière... Nous remontions en haut, qu'avait-il décidé ? Il allait me baiser ? J'étais d'accord ? J'étais contre ? Je n'arrivais pas à le dire, mais il m'emmena dans la salle de bain et me fit rentrer dans la baignoire, toujours à 4 pattes.
J'étais enfin libérée de ces talons et de ce collier, et surtout, de ce string. Il fit couler de l'eau, d'abord froide, puis l'amena à bonne température. Je restais là, sans bouger, et il se mit à me laver, à laver mes cheveux. Je sentais sa main sous le gant de toilette passer sous tout mon corps, en réalité, me sentir propre, la chaleur de l'eau, ça me faisait du bien, il m'aidait à sortir et m'essuyait, d'un drap vraiment doux, c'était vraiment agréable.
Il me fit remettre les talons et me mit un autre collier autour du cou, cette fois, c'était une chaîne en métal, le froid me fit frissonner !
Il me remit une laisse, également en métal, je me mis automatiquement à quatre pattes et nous sommes redescendu, arrivé en bas, il me fit tenir la laisse dans la bouche.
- Va me faire un café stp.
Je partis dans la cuisine et le lui préparait, je revint, le lui donnait et restait debout à côté de lui, toujours la laisse en bouche, me faisant un peu bavé, je donnais l'impression d'attendre qu'il me promène.
Lorsqu'il eu terminer, il déposait sa tasse sur la table basse du salon et se relevait, son regard était redevenu sévère, il me prit par le bras et m'emmena dans sa salle à manger, me penchait sur la table.
- Pas de sucre dans le café, mais je suis content, je vais pouvoir te punir, tu peux tenir la table de chaque côté si tu le souhaites.
Il n'eut pas à me le dire deux fois, mes mains agrippèrent chaque côté de la table, on aurait dit que je m'étais affalée dessus, et je l'entendis détaché sa ceinture et la retirer, une peur me prit, je n'osais rien dire.
Le premier claquement se fit sur ma fesse droite, il se servait bien de sa ceinture et m'arrachait un cri.
- Tu as de la chance, ce n'est pas la partie métallique ! Demande-moi de te frapper avec ma ceinture, à te faire pleurer comme la pisseuse que tu es ! Et applique-toi !
Je vous avoue ne pas avoir prit le temps de réfléchir, peur que de le faire attendre soit pire !
- Svp, monsieur X, punissez moi, frapper mon gros cul de vache comme je le mérite, je serais gentille.
- C'est pas mal.
S'en suivit un nombre incalculable de coups de ceinture sur mes fesses, je pense avoir laissé mon esprit s'échapper, ainsi que des cris et de nombreuses larmes. Je me forçais à ne pas bouger, à ne pas me laisser tomber, lorsque après un long moment, ou plutôt un moment trop long, alors que mes fesses me piquait, me brûlait, que j'avais de la morve sous le nez à force pleurer, que j'avais un peu baver également, bref que j'étais dans un état pitoyable, il s'arrêtait.
- Ne bouge pas, je vais t'essuyer, tu t'es fait quelques gouttes dessus, on dirait que tu aimes bien te pisser dessus toi !
Je ne l'avais même pas senti, il revint et me nettoyait au gant de toilette, il essuyait par terre, je ne bougeais toujours pas, il mit une crème sur mes fesses puis m'aidait à me relever, il me regardait et me tendit un mouchoir.
- Tiens, tes cheveux qui ont crollé, ça te va bien même s'ils sont en pagaille !
Il retournait s'asseoir et puis tapotait sur sa jambe, je parti vers lui et m'assis sur ses genoux.
- C'est toujours agréable pour un vieil homme d'avoir une jeune femme nue assise sur ses genoux, dis-moi, comment te sens-tu ?
- Je suis à bout de force monsieur...
- Es-tu excitée ?
Je me rendis compte que oui.
- Oui... Dis-je honteuse, baissant les yeux.
- Me permets tu de vérifier ? Dit-il me montrant sa main.
J'écartais les jambes, ma chatte était plus qu'humide et il vint le sentir.
- Effectivement ! As-tu envie de rentrer quelque chose dedans.
- Tout ce que vous voulez ! Dis-je instinctivement, et voulant me mettre une gifle, à parler trop vite et sous l'excitation.
Viens avec moi, nous allions dans la cuisine, il me fit signe de rester là et partit dans son jardin, je m'y attendais, enfin, pas qu'il aille dans son jardin, mais qu'il pense à un fruit ou un légume, il revint avec une courgette et la nettoyait devant moi, prenant le temps de bien la frotter sous mes yeux, elle était énorme, à mon avis, il avait choisi la plus grosse de son potager.
- Allais, tiens, prends-la et viens te rasseoir sur mes genoux, j'ai très envie qu'une jeune femme se baise assise sur mes genoux.
Et ce qui devait arriver arriva, je m'enfonçais dans l'aubergine, assise sur ses genoux. Très vite, je me laissais aller et je me prenais frénétiquement, parfois grimaçant, ressentant la douleur de mon derrière. Je finis par me laisser aller, je le sentais me retenir car je faillis tomber et je me retrouvais, fesses face à lui, mon visage sur sa table de salon en train de me rentrer la courgette.
Il finit par me faire arrêtée, il me fit me mettre sur la table à quatre pattes et présentait la courgette à mes lèvres, je le regardais, il me fit un sourire, j'ouvris la bouche et il me fit la sucer, je pense qu'il aimait l'idée que je me goûte, il déposait le légume sous mes yeux et me laissait ainsi.
Il partit dans la cuisine, revint avec de la nourriture et se mit à sa table de salon, qu'il prit soin de nettoyer, et mangeait ses tartines tranquillement, il remballait tout, montait les escaliers, je pense qu'il allait faire sa petite commission et redescendait.
- Je pense que tu en as eu pour ton compte, non ?
- Seul vous savez...
- Tu as prévu quelque chose aujourd'hui ?
- Non... Je ne savais pas le temps que ça me prendrais ici.
- Très bien, dis-moi, tu aimes être humiliée ?
- Oui...
- Tu as aimée te faire mal traitée ?
- Oui...
- Ne bouge pas, je reviens.
Il remontait encore une fois, puis revint, jamais je ne le regardais partir ou revenir, je gardais toujours la tête baissée vers... La courgette.
Lorsqu'il revint, je sentis qu'il mettait quelque chose dans ma chatte, un tissu, comme s'il l'épongeait de l'intérieur. Il vint devant moi, me fit le regarder, c'était le string avec lequel j'étais arrivé, il me le mit en bouche, il me fit me mettre sur le dos et plaçait un essuie blanc en dessous de moi, il me fit relever les jambes, lui relevant mes deux trous.
Il les regardaient attentivement.
- Puis-je toucher ton anus ?
Je fis oui de la tête, il vint avec son index, le titiller, pousser un peu dedans, prendre un peu de mouille dans ma chatte pour le lubrifier et puis prit la courgette, je le regardais avec une certaine peur, il mit la courgette contre mon anus et poussait un peu, puis s'arrêtait, n'essayant pas de la faire rentrer.
Il rigolait et me dit :
- T'étais prête à te laisser écarter l'anus avec une courgette !
Je ne me sentis pas rougir, rien, oui, je l'aurais laissé faire, mon excitation était telle que, je pense que tout aurait été acceptable. J'étais toujours dans la même position, jambe en l'air tenue par mes mains, il prit du talque et en mit sur mes fesses, puis referma le drap comme une protection, il m'aidait à faire redescendre mes jambes et m'aidait à m'asseoir...
Avec douceur, il me retirait mes talons, l'un, puis l'autre et puis prit ma main pour me relever.
- Dans la cave, il y a une cage, va la chercher et monte la au premier.
Et il montait, je descendis dans la cave, vis la cage, qui était grande et la prit, elle n'était pas légère, mais je su l'amener jusqu'en haut.
- Amène là dans la chambre.
Je l'amenais et la déposais du côté gauche du lit, comme il me l'avait indiqué, il passait mes mains dans mon dos et les attachait à l'aide d'une corde, il semblait bien faire les nœuds car je ne trouvais pas les moyens de sortir mes mains, au contraire, cela se renforçait.
- Il manque quelque chose... hum, ah oui !
Il prit deux pinces à linge et les mis sur mes tétons, je me mordis les lèvres pour ne pas pousser de cris, mais mes yeux s'humidifièrent.
Il me fit rentrer dans la cage, où, je n'avais pas beaucoup d'espace et la refermait avec un cadena.
- C'était la cage de mon chien, il y a une vingtaine d'années, ou plus. Je vais faire une petite sieste, si tu dois faire des besoins, ne me réveille pas, tu as ta protection.
Et il fit sa sieste, qui dura longtemps, il se réveillait et bandait, il avait vraiment une énorme ! Il me sortit de la cage et détachait mes mains, on allait dans la salle de bain et il me donnait du papier, il se mit à uriner, j'ai cru que ça ne s'arrêterait pas.
- Peux-tu m'essuyer stp ?
J'allais près de lui avec le papier et essuyer son sexe d'une main, et le tenait de l'autre.
- Ca va ? me dit-il ?
- Oui, oui.
- Je te vois regarder mon pénis d'une drôle de manière.
- Il est énorme en fait.
- Je sais, ça n'a pas toujours été génial.
Je me redressais une fois fini, et continuais de le regarder, il s'approchait de moi et me fit me mettre à genoux, son sexe pendait sous mes yeux, j'ouvris la bouche et lui le rapprochait, puis il me dit :
- ça serait avec plaisir, mais peux-tu remonter mon pantalon stp.
Je remontais son pantalon, l'attachais, il me retirait les deux pinces, qui donnaient des lancements à mes mamelons, me retirait ma protection et me dit :
- tu peux te rhabiller, nous en avons fini, à moins que petite vache veuille sa fessée de départ ?
Je me penchais sur la baignoire et dit :
- Petite vache est prête.
Petite vache est partie le cul en feu, je suis rentrée chez moi, je me suis mise dans le bain pendant plus d'une heure, j'ai à peine grignotée et je me suis endormie dans mon canapée.
Au réveil, j'avais un message où il me demandait si je pouvait lui donner des photos de moi nue.
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