Je t'aime, moi non plus (moment seule 6 - Mr X - photo)

- Par l'auteur HDS Pael -
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Récit libertin : Je t'aime, moi non plus (moment seule 6 - Mr X - photo) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Je t'aime, moi non plus (moment seule 6 - Mr X - photo)
Je retournais le lendemain chez Monsieur X.

J'avais mis une robe à fleur décolletée sans soutien-gorge, un string rose et des petites basquettes blanches.

- Oh, mais que fais-tu là? Il n'y à pas de nettoyage aujourd'hui !?
- Je passais par là, et je venais voir ce que vous souhaitiez réellement dans votre dernier message ?
- Oh et bien des photos de toi nue ma petite.
- J'y ai pensée, voulez-vous les faire vous avec mon téléphone ?
- Mais je n'ai pas de téléphone haute technologie comme toi.
- Je sais... Mais pour que je puisse vous les imprimer.
- Ah, oui, nous pouvons ! Veux-tu rentrer prendre un café ?
- Oui, bien sur.

Je rentrais et m'arrêtais sur son paillasson, retirant mes chaussures, il me regardait un peu déconcerté.

- C'est là règle, non?
- Oui, mais je ne pensais pas que tu l'appliquerais aussi vite.

On partit s'asseoir à la table de la salle à manger, celle sur laquelle je m'étais fait fessée à coup de ceinture, qui la veille avait mes larmes et ma morve étalée dessus. Il préparait deux cafés et m'en servit un.

On échangeait sur le style de photo qu'il voulait, les vêtements, les accessoires, les positions, etc... lorsqu'on eu finit, il me dit :

- Qu'as-tu fais hier en rentrant ?

Je lui expliquais que j'étais exténuée, que je m'étais détendue et endormie, lui m'expliquait qu'il avait lavé ma tenue... Pourquoi pas ?!

- Quand souhaitez-vous faire les photos ?
- Tu peux revenir faire le ménage dans deux jours ?
- Oui, bien sûr !
- Tu sais comment le faire maintenant, tu n'as pas besoin que je t'explique.
- Je le ferai comme vous m'avez appris.

Il reprit les tasses et voulait les ramener dans la cuisine, je me levais, mis mes mains sur les siennes et lui dit :

- Je vais le faire.

En partant vers la cuisine, je faisais bouger mes fesses. Une fois les tasses mises dans le lave-vaisselle, j'écartais un rien mon décolleté et retournais vers lui.

- Puis-je utiliser vos toilettes ?
- Oui, tu sais où elle se trouve !
- Pas vraiment, la dernière fois, je me suis faite dessus ici. Dis-je en montrant l'endroit.

Ce qui le fit doucement rire.

- Vous voulez venir regarder ?
- Proposer si gentiment.

Nous montions donc dans sa salle de bain et j'abaissais mon string, j'urinais et lui me regardait, regardait ma poitrine, je pris le papier et le lui tendis, il fut surpris mais vint m'essuyer la chatte, celle-ci était toujours en feu !

Je relevais mon string et nous redescendions, je regardais la liste des choses que l'on avait inscrit et m'apprêtait à partir.

- Je suis content de ta visite, et tu sembles être prête pour après demain !
- Je suis à votre service, dis-je.

Je me penchais sur la table et relevais ma jupe.

- Grosse vache ne peux pas partir sans sa fessée.
- Tu es très provocatrice aujourd'hui. Dit-il amusé.

Mais cela ne l'empêchait pas de me fesser de ses grandes mains, le claquement de chacune de ses fessées résonnait dans la maison, je me pinçais les lèvres pour ne pas crier, avec sa main libre, il vint la passer dessus pour que j'arrête, il aimait sûrement m'entendre crier.

Il ne s'arrêtait pas, comme la veille, je m'accrochais, je pleurais, mais j'avais tendance à plus bouger les jambes, lorsqu'il eu finit, je le remerciait, les larmes aux yeux.

Mon string n'était plus qu'a une seule cheville.

- Laisse le par terre, promène toi le sexe à l'air me dit-il.

Il repartit dans sa cuisine et revint avec la courgette.

- Tiens, c'est cadeau, tu pourras te faire plaisir ce soir !
- Merci... Dis-je gênée de revoir cela.

Il m'emmenait sur le pas de la porte et nous nous disions au revoir.

Je rentrais chez moi, j'étais excitée, me faire malmenée par cet homme âgé m'excitait, être sa petite salope me rendait folle. Je passais la porte de chez moi, je retirais ma robe dans mon hall, me mis à genoux et me baisais au sol avec sa courgette, comme si j'étais chez lui.

Je me sentais coulée, je pris mon téléphone et pris une photo de la courgette dans ma chatte, j'activais la vidéo, me penchais sur le sol, mes seins s'écrasant au sol, mes fesses en l'air et baisais frénétiquement, ma cyprine coulant un peu sur le sol... J'arrêtais la vidéo et me rendis compte de mon sol humide, je refis une autre vidéo où je nettoyais la courgette avec ma bouche puis le sol avec ma langue, regardant le téléphone.

Je repris toutes les affaires et partis vers la salle de bain, je me vis nue, la courgette et la robe en main dans le miroir de mon couloir, je m'arrêtais un instant, j'étais prise de honte, je tournais sur moi-même, regardais mes fesses rouges...

- Je suis vraiment devenue une salope...

Un sentiment de honte m'envahit, j'avais les larmes aux yeux, ma chatte elle, me disait le contraire, j'en voulais encore plus...

Je finis par allée dans ma salle de bain, et me goder l'anus les fesses en l'air, repartir vers le hall, me regarder dans le miroir...

Le surlendemain, j'allais chez lui, j'avais pris un petit sac avec ce qu'il souhaitait, il m'ouvrit, je retirais mes chaussures et montais en haut enfiler ma tenue, mon collier, mes talons, je revins à quatre pattes et lui tendis mon téléphone, je lui montrait photo et vidéo et lui expliquais comment faire de même aujourd'hui.

Je me mis à nettoyer, comme la dernière fois, à quatre pattes, même sensation, seins qui sortent, string qui s'enfonce dans mes fesses, sueur. Lorsque j'eus fini, il me fit me déshabiller, il prit plusieurs clichés. Je fis la vache dans son salon, meuglant, il me fessait avec sa ceinture, puis il m'emmenait dans sa cave, me fit me mettre à genoux dans une grande bassine et m'attachait les mains en l'air, il prit plusieurs clichés.

Il allait dans mon sac et sortit un gode, qu'il s'amusait à me faire sucer.

- Tu aimerais te l'enfoncer pas vrai ?
- Oui, petite vache aimerait se faire baiser.

Je finis par me pisser dessus, il se mit vite à filmer, ma culotte devenant humide, mes jambes trempant dedans, il se remit à me faire sucer.

- T'es vraiment une sale fille. Me dit-il.
- Oui, je suis une puante.
- Une petite vache puante ! Surenchérit-il.
- Une truie qui baigne dans sa pisse ! Dis-je.

Les clichés allait à tout vas, il finit par me détacher et me rincer au gant de toilette, à l'eau froide, très froide.

- Tu es entreprenante, dis-moi quelque chose que tu veux.

Je réfléchis un instant.

- Mettez tout ce que vous voulez dans mes trous, baiser moi avec, fessez moi, je veux finir par terre en pleure, humiliée, salie.

Il ne dit aucun mot à cela, il partit, revint assez vite.

- Tiens, place le gant sur ma main et mets toi à quatre pattes, ta position fétiche, je vais t'écarter ton gros cul.

Je m'exécutais, il m'avait placé une gamelle d'eau que je buvais et il se mit à placer un doigt, deux, trois dans mon cul, il me fit passer le gode pour que je me gode en même temps, alors qu'il écartait de plus en plus mon cul, que je me baisais vraiment comme une chienne à quatre pattes devant lui, il me fit passer une autre courgette pour que je la suce en même temps, mon visage était à même le sol, sol d'une vieille cave un peu flippante... J'étais à présent à poil, à quatre pattes, en train de me goder et de sucer une courgette visage collé au sol, à me faire écarter l'anus par un vieil homme.

Il finit par prendre la courgette et l'enfoncer peu à peu dans mon anus, me faisant avoir des râles, je bu de l'eau pour me rafraichir, ma gorge était plus que sèche, il faisait des petits vas et viens dedans puis s'arrêtait, prit ma seconde main et me dit.

- Fais le comme tu aimerais qu'on te le fasse, tu veux être sale, défonce-toi.

Et je me donnais à fond, je l'entendis marcher et tirer la bassine, il l'amenait à ma hauteur.

- Si tu veux mettre ta tête dans ta pisse, lève-là.

Je la levais, il fit glisser et je mis ma tête dedans, mes cheveux baignaient dedans, mais je m'en moquais, je me défonçais, je m'humiliais, c'était le principal, il plaçait ensuite un grand essui en dessous de mes jambes, je ne comprenais pas.

- Dis, truie puante, tu es contente comme ça ?
- Oui, monsieur.
- Ça ne te dérange pas que j'urine dans la bassine ? Ça m'évitera de monter et de rater le spectacle ?
- Ça ne me dérange pas... Mes mots avaient plus de mal à sortir, ma respiration et l'essoufflement n'aidaient pas.
- J'imagine que tu veux me demander de te pisser au visage ?

Je fus choquée par sa phrase, mais pas tant que ça, c'est moi qui lui avais dit l'état dans lequel je voulais être.

- Est-ce que vous voulez bien vous servir de ma tête comme de toilette ?

Et ça ne tardait pas, il faisait d'abord dans le reste de la bassine mais continuer sur mon visage, pendant que je continuais à me prendre, lorsqu'il eu finit, il vint essuyer son sexe sur mes fesses, j'arrêtais d'ailleurs, retirant la courgette comme pour l'inviter, il s'en rapprochait, mais redirigeait la courgette contre mon anus et je me repris.

- Tu commences à être à bout de force. Me dit-il.
- Non, je peux continuer...
- Laisse tout en place et mets tes mains dans ton dos, c'est l'heure de flageller tes fesses, tu préfères quoi ? Les mains ou la ceinture ?
- Une puante comme moi mérite la ceinture monsieur. Dis-je laissant la courgette enfoncée et le gode bloqué entre le sol et ma chatte pour le sentir encore en moi.
- Termine ton eau, et quand c'est fait, demande moi poliment de te punir.

Je retirais ma tête de la bassine, bu le reste d'eau et dit :

- Monsieur, est-ce que vous pourriez punir la petite truie, martyrisé mes grosses fesses de salope qui aime ça ?

Je remis ma tête dans la bassine et il plaçait les premiers coups, je pleurais, toute ma tête était pleine de pisse, par moment je perdais ma position mais me remettais, la courgette était tombée mais le gode toujours placé et je faisais parfois des vas-et-vient dessus.

Je ne sentais plus mon corps, où je le sentais de trop, je commençais à avoir des gaz, est-ce qu'il m'abandonnait ?

- Oh, le laxatif fait effet.
- Svp ?
- Garde ton gros cul en l'air et fait toi dessus.

Ce que je fis sans discuter, j'imaginais à ce moment-là qu'il me filmait, lorsque j'eus fini, je restais ainsi, entièrement honteuse, il se remit à uriner sur moi, et me dit :

- Ne bouge pas, je prends une photo et ensuite tu pourras me remercier.

Lorsqu'il entendit qu'il avait fait plusieurs photos, je relevais ma tête, l'urine tombant par goût et le remerciais.

Il revint avec du papier toilette, un seau, un gant de toilette, du savon et me nettoyait, il me laissait aller laver mes cheveux dans la baignoire et me tendit un peignoir blanc, vraiment doux, vraiment confortable. Je descendais, il me fit m'asseoir sur ses genoux, je vis qu'il avait une boîte de pince à linge. J'avais compris.

J'ouvris le peignoir, dévoilant à nouveau mon corps, il plaçait d'abord deux pinces à linge sur mes mamelons, puis quatre sur ma chatte et ensuite un peu partout sur mon corps, il me fit me lever, fermer le peignoir et prit une photo : peignoir fermé, peignoir ouvert.

Il me refit revenir sur ses genoux, pendant une heure, nous discuterons, ou plutôt, il me rappellera chacune des choses que j'ai faites et il me retira peu à peu les pinces, prenant le plaisir à me voir souffrir à chaque fois et relançant mon corps peu à peu.

- Alors, comment te sens-tu ?
- Humiliée, honteuse, exténuée, mais bien...
- Veux-tu rester ici pour souper ? Je te préparais une gamelle et j'ai besoin d'une toilette personnelle.
- Avec plaisir...
- Super, je vais faire un rôti ! Il se levait et allait dans le tiroir de son bahut et sortit un vêtement.

Il me le donnait et je l'enfilais, c'était une tenue sexy, qui ne cachait rien de mon corps mais me serait comme un roti.

- Mets les talons.

Je parti mettre les talons et je rajoutais même le collier avec la clochette.

- Bonne fille.

Il mit la laisse et me promenait dans la maison, il avait descendu la cage dans la salle à manger et m'y mit, il plaçait par dessus une nappe de table et me dit.

- Ne bouge pas, je vais avoir la visite de mon assureur pour vérifier que tout est en ordre.

Je l'entendis ouvrir les fenêtres, frotter, nettoyer.

La sonnette retentit, j'entendis une voix féminine, ils semblèrent s'installer à la table de la salle à manger, non loin de moi et discutaient effectivement d'assurance.

Je ne sais combien de temps cela à durer, mais ma position et la cage me faisait mal, lorsqu'elle partit, j'espérais qu'il m'ouvrirait vite, il vint m'ouvrir et nous montions, salle de bain, il détachait son pantalon et je plaçais ma tête dans la cuvette.

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