Je t'aime, moi non plus (moment seule 7- soirée des anciens) - histoire érotique

Une soirée des anciens de mon école.

Je décidai d'y aller, j'étais libre ce soir-là, nous étions dans un restaurant à volonté, comme j'avais perdu du poids avec tout ce sport et cette énergie dépensée (lol), j'avais enfilé une jolie robe très sobre, des talons... Je me sentais bien avec mon corps.

La soirée se passait bien, je retrouvais mon groupe d'amis, nous parlions de ce que nous faisions maintenant, nous rigolions et puis soirée dansante. Sur la piste, un homme se rapprochait de moi, je ne le reconnaissais pas, un bel homme, il me souriait et nous avons fini par danser ensemble, très tactile mais aucun geste déplacé, ceci dit... Je l'aurais laissé me faire tout ce qu'il voulait !

On finit par aller s'asseoir, discuter, rigoler ensemble, il me faisait avoir de vrais fous rires, je me permettais d'être légèrement tactile, de lui envoyer des signes, je sentais une tension sexuelle entre nous, ou peut-être n'était-ce que moi ?

La question que je me posais ? Est-ce qu'on allait savoir si je me faisais sauter ? Car il était clairement question de ça ?

- Ca ne te dirais pas d'aller prendre l'air et marcher après tout ce que nous avons mangé ?
- Dehors ? Nous pouvons, il fait agréable.

Nous sortions donc, sur le parking et marchions, il me parlait de tout de rien, de lui, me posait des questions...

- Dis, excuse-moi de te couper... Mais tu veux juste discuter ?
- Explique-moi ? Dit-il.
- Depuis tout à l'heure, je sens un truc entre-nous ! Et là, tu ne bouges pas ?
- Une tension sexuelle tu veux dire ?
- Oui !
- C'est toi qui dégage ça, j'ai l'impression que ta culotte cherche à s'échapper tellement tu sembles chaude !

Il n'avait peut-être pas tort, je fus déconcertée mais je voulais rebondir.

- C'est ce que t'aimerais ?
- Mets-la au moins dans ton sac pour ne pas la salir ! Dit-il souriant.

Nous étions à ce moment précis entre deux voitures, je regardais aux alentours, il y avait juste quelques fumeurs à l'entrée, d'où ils étaient, ils ne pouvaient que voir deux personnes discuter, au pire flirter.

Je fis glisser mon string, car non ce n'était pas une culotte, le long de mes jambes et le mis dans mon sac.

- Et maintenant ? On fait quoi ? On va dans ta voiture ?
- Tu es vraiment en chaleur toi, tu n'as pas envie de m'embrasser ?

Je me dirigeais vers lui et l'embrassais, nos lèvres se touchaient à peine que l'une de ses mains vint caresser mon entrejambe, et très vite le pénétrer avec ses doigts.

- Mais tu es déjà mouillée et bouillante ! Dit-il rigolant.
- Tu comptes continuer ? Me prendre ou discuter ? Dis-je un peu exaspérée.

Il se rapprochait de mon oreille et me dit :

- Et si ton soutien-gorge rejoignais ton string ? Dit-il en chuchottant.

Encore une fois, je regardais aux alentours, et une fois que ce fut "sur", je le dégraffais et le retirais de la manière que nous savons si bien faire, mes sous-vêtements étaient à nouveau réunis, mais dans mon sac.

- Maintenant, on va dans ta voiture ou tu veux que je me mette à poil ici ?
- Surtout pas, je ne voudrais pas qu'on te vois !

Il prit ma main et la posa sur son sexe, je fus impressionnée en le sentant, je ne m'étais pas rendue compte que sa main jouait toujours dans ma chatte, mais il s'arrêtait, fit un pas en arrière et me dit :

- Si tu veux qu'on aille plus loin, ou pour te donner des images, te faire prendre les jambes en l'air sur mes épaules ou à 4 pattes, allons reprendre la soirée où elle en était.
- Attends, je remets mes sous-vêtements et on y va.
- Donc, la soirée s'arrête ici ?
- Tu veux que j'y aille ainsi ? Mais t'es fou ?
- Quel est le problème ? Ils sont tous bourrés, tu es belle, tu as honte de toi ?
- Non !
- Allons-y alors ! Dit-il en me prenant la main et m'affichant un beau sourire.

On y retournait, j'avais la chatte en feu, je la sentais coulée, ce qui me valut d'aller plusieurs fois vérifier aux WC que tout était ok, j'en voyais regarder ma poitrine, mais je me laissais aller, il était là, et rassurant.

On sentait que la soirée se terminait, je pense que presque trois heures était passée depuis notre petite escapade dehors.

Quand, en un claquement de doigt, la soirée qui était bonne et entre lui et moi excitante pour lui et moi, devint une horreur, alors qu'on dansait, je sentis des mains se poser sur mes épaules attrapant les bretelles de ma robe et l'abaissant, dévoilant ma poitrine en plein milieu de la piste.

J'entendis des rires, je vis les gens profiter du spectacle, je ressentis une froideur dans mon corps, il ne me répondit pas de suite, je finis par cacher ma poitrine et remettre ma robe en partant et pleurant, une fois dehors, je fondis en larmes.

Il me rattrapais et je pleurais dans ses bras, j'entendais les gens parler ;

- "Quelqu'un lui a baissé sa robe"
- "C'est de sa faute, elle n'avait pas de soutien-gorge
- "J'aurais bien voulu voir ça"
- "Elle veut juste se faire baiser"
- "La sainte nitouche de l'école a bien changé

Etc...

Il m'emmenait dans la voiture et je me m'énervais sur lui, je le tenais pour responsable, sans lui, j'aurais eu mon soutien-gorge et je serais déjà partie, il me laissait crier sur lui, et me proposait de me ramener chez moi.

Sur le chemin, alors que mon visage était toujours humide de larmes, je pris la parole.

- Désolée, on jouait ensemble, la suite c'est pas ta faute.
- Ce n'est rien, c'est pas cool ce qui s'est passé, te faire humiliée comme ça devant tout le monde...
- M'en parle pas.
- Mais, tu as une jolie poitrine, je l'aurais quand même vue ! Dit-il d'un sourire tendre et poussait son index sur ma joue.

Je le regardais conduire, concentrée sur la route, et je fis aller mes mains sur son pantalon que je détachais. Il fut surpris, mais me laissait faire. Je sortais son sexe de son pantalon et son sexe était plus gros que ce que je pensais. J'eus une hésitation pour la suite, mais je plongeais ma tête dessus.

Je le suçais comme une forcée, comme pour oublier, pour assouvir mes envies, je le branlais frénétiquement en même temps et il finit par venir dans ma bouche, moi qui refusais toujours par le passé, j'avalais, je lui nettoyais son sexe et finis par lui ranger dans son boxer.

- Tu auras quand même eu un petit quelque chose, dis je.
- Pourquoi as-tu fais ça ? Me demanda-t-il ?
- Pour te remercier, ta bienveillance

On arrivait devant chez moi et juste avant de sortir, je le remerciais, avec des mots cette fois.

- Tu veux venir ?
- C'est-à-dire ?
- Me prendre, même si je risque de ne plus savoir marcher après !?

On se mit à rire tous les deux.

- Tu es sûr ? Dit-il.
- Certaine, je crois que si je reste seule, je vais me remettre à pleurée, je suis toute à toi.

Il arrêtait sa voiture, et sortit.

- Allons-y.

À peine rentrée, il m'attrapait et me soulevait, me tenant par les fesses. J'étais toute petite à côté de lui et il me soulevait comme si j'étais une plume ! Il me déposait sur mon bureau et se mit à lécher ma chatte, mes jambes étaient par-dessus ses épaules.

Et alors que je coulais et qu'il s'amusait à y jouer avec ses doigts, il vint à hauteur de mon anus, je vis qu'il me jetait un regard et je lui dis à nouveau ; "toute à toi putain, prends-moi!"

Ses doigts vinrent jouer peu à peu avec mon anus pendant qu'il me léchait, je poussais des râles, serrais mes jambes autour de sa tête.

J'essayais de m'agripper à tout ce que je pouvais, je ne sais pas combien de doigts j'avais dans le cul, j'étais trop concentrée sur sa langue, il finit par s'arrêter et se redresser, il retirait ses vêtements, il bandait dur, j'allais me faire pilonner comme je l'attendais depuis quelques heures.

Quand je le sentis rentrer en moi, sans mauvais jeu de mots, mes mains se serrèrent sur ses bras, j'en perdis mon souffle, il me regardait, petit sourire en coin et commençait ses vas-et-vient, il finit par y aller plus fortement, mes jambes sur ses épaules, il me tenait par les fesses, je transpirais et poussais plus de râles que de cris.

Je ne sais pas combien de temps, il me prit ainsi, mais je le sentis se vider en moi, serrer mes fesses et puis se relâcher, sortir de moi, m'aider à descendre du bahut, ma vision était trouble, comme si je redécouvrais la lumière, sans force, j'étais à genou devant sa bite qui commençait à pendre, instinctivement je la lui nettoyais avec la langue, il avait ce mélange de nous deux dessus.

Il me prit par la main et m'emmenait près de mon divan, il mit ses jambes sur la table basse et, me faisant me remettre à genoux, me fit lui lécher les couilles.

- Refais-moi bander, j'ai encore envie de te prendre.

Je lui léchais ses couilles, les mettais en bouche, je le voyais me regarder avec satisfaction, je sentis sa main sur ma tête et il appuyait, je résistais un peu, ne comprenant pas.

- Lèche-moi le trou de cul salope
- ...

Je le regardais et avant même que je dise quoi que ce soit, il enchaîna.

- Allais petite pute, tu aimes ça, tu attends que ça d'être traitée comme une chienne, je suis sur que ta chatte rechauffe déjà.

Il appuyait à nouveau et je la laissais placer ma tête, je me mis à le lécher, je sentais qu'il appréciait, qu'il aimait la sensation. Après un moment, je sentis sa main tapoter mon épaule et il se relevait, il bandait encore, comment était-ce possible ?

Il m'aidait à me relever, et mettait ses doigts dans ma chatte, sans douceur, entre le sperme et le fait qu'on me relançait juste en me soufflant dessus, j'étais humide et bien humide, ses doigts glissaient vers mon cul et il rentrait ses doigts, je restais là, debout à côté de lui, en train de me laisser explorer le cul pour voir si j'étais prête à me faire prendre, c'était vraiment ça !

- Mets-toi à 4 pattes, c'est le moment où tu vas te faire prendre comme une chienne et crier !

Et vous savez quoi ? Sans discuter, et même pressée, je me mis à 4 pattes sur mon carrelage froid, je savais que j'allais dégustée, mais je n'arrivais pas à me stopper.

Au moment où je sentis le bout de son gland contre mon anus, j'eus brièvement la pensée de lui demander d'arrêter, mais rattrapée par mes envies je le laissais poursuivre son chemin, il entamait son chemin entre mes fesses que les larmes me vinrent aux yeux, il allait jusqu'au plus loin, son bas ventre contre mes fesses et ressortais lentement, comme pour me faire comprendre que c'est lui qui menait la danse, pour me faire sentir qu'il se baladait dans mon cul.

Il finit par accélérer, suivi de claquements de fesses, il n'avait pas tort, je criais, je n'avais jamais crié comme ça, ma tête se retrouvait même contre le carrelage, je pleurais de ce gourdin qui me défonçait, de ses grosses mains qui se mirent à claquer mes fesses.

- C'est ça que tu voulais ? te faire prendre comme une grosse chienne.

Je ne répondis pas, tentant de me concentrer, une claque magistrale arrivait.

- Oui ! Dis-je.

Ça durait une éternité, il lui fallut du temps avant de venir, mais il finit par me remplir. Lorsqu'il sortit, il s'essuyait sur mes fesses, mon dos, vint à hauteur de mon visage, mes joues...

Il se relevait et je me couchais complètement sur le sol, à bout de force, je sentais que ça dégoulinais de mes fesses, mais je n'avais plus de force.

Il mit son pied sur mon visage et me dit :

- Gaetan, je m'appelle Gaetan, celui dont tu t'es moquée quand je t'ai demandé, quand nous étions plus jeunes, si tu voulais m'accompagner à la soirée de la Saint-Valentin, tu te rappelles ce que tu m'as dit ?
- Oui, je ne peux pas m'afficher avec Gaetan le boutonneux...
- Et je ne veux pas attraper ta maladie ! tu as dis devant tout le monde, et on m'a appelé ainsi pendant des années.
- Je suis désolée, j'étais jeune, bête...
- Tu semblais si gentille, si douce, mais tu as voulu paraitre devant tout le monde.
- Pardon...
- Tes seins à l'air tout à l'heure, c'était prévu, tout était prévu, dés que je t'ai vue, j'ai ressenti cette envie de vengeance.
- ...
- Et maintenant, tu t'es fait prendre par "Gaetan le boutonneux", ma bite a été dans tous tes trous, tu dégoulines de partout, ton cul va te faire mal autant à l'intérieur qu'à l'extérieur, ce qui est bien, c'est que t'es déjà ta tête par terre, dans tes larmes, tu ne peux pas être plus bas.

Il retirait son pied de mon visage, s'accroupis et me crachait on visage.

- Quand j'aurais besoin de me vider, peut-être que je repasserais te voir.

Il partit dans la cuisine prendre un essuie-tout, s'essuyait, le jetait, je voulais même pas me relever, le regarder, il remit ses vêtements, il se remit à croupi à côté de moi, je pensais qu'il allait me cracher dessus.

- Je peux avoir ton snap ?
- "..."

Je le lui donnais, il mit une claque sur mes fesses et partit. Je restais un moment ainsi, puis m'assis, restant par terre. Je pris mon téléphone et vis une demande d'ajout. J'acceptais, je lui écris un message d'excuse par rapport à ce que j'avais fait par le passé, je ne m'étais pas rendue compte et pire, je l'avais oublié.

Toujours assise, je relevais mes jambes, cachait mes seins derrière, tenait mes jambes de ma main gauche baissait la tête et me prit en selfie et lui envoyait, on ne voyait rien, mais je voulais qu'il voit qu'il avait réussi à me salir et se venger.

Je reçu une réponse :

- Là, tu es vraiment belle.