Je t'aime, moi non plus 10 (hotel)
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Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Je t'aime, moi non plus 10 (hotel)
Nous nous dirigions dans des petites rues de cette jolie ville, passions dans une ruelle et nous arrivions devant une grande porte métallique.
M. tapotait à la porte et celle-ci s'ouvrit assez vite.
Des lumières tamisées, nous avançions vers le comptoir.
Une très belle jeune femme se tenait là, elle semblait douce, elle avait un joli sourire.
- Bonjour.
- Bonjour, j'ai fait une réservation.
- Bien, à quel nom ?
- "appelez-moi puante"
- Bonjour puante ! lui dit-elle alors en rigolant.
- Oh non, c'est elle ! Dit-il me pointant du doigt.
- Bonjour, puante.
- Bonjour Madame, dis-je en baissant les yeux.
Mon amie me prit par la main et me tirait délicatement pour m'amener devant la dame de la réception.
- Prends la peine d'au moins te montrer !
Je ne dis nul mot, la dame sortait de son comptoir et ouvrait la porte qui menait à une pièce derrière, elle tirait une boîte qui semblait sur roulette.
- Voilà, vous pouvez placer puante dedans et vos affaires par-dessus, cela sera plus simple pour le transport, vous ne serez encombré de rien du tout.
- Je regardais la boite que Mr ouvrait, il y avait de quoi respirer dedans, ainsi que des liens.
- Ah oui, pour plus de faciliter, il faut que puante soit nue, les vêtements lui donneront plus chaud. Dit-elle en sortant une autre boîte sous le comptoir.
- Allais puante, à poil, met tes vêtements dans la boite et rentre dans ta boite.
Je restais un instant sans réactions, je regardais vers l'entrée et Mr me dit.
- Ne me dis pas que tu as peur que quelqu'un te voie ? Sois déjà contente si on te regarde, au mieux nous te prêterons pour que tu serves d'urinoir.
Il marquait un silence et dit.
- Allais, maintenant, à poil, remercie la dame et rentre dans ta boite.
Je me déshabillais et rangeais tous les vêtements dans la boîte, je me dirigeais vers ma boîte et me couchais dedans, la fille du comptoir refermait les liens sur mes poignets et mes chevilles, et avant de se retirer regardait l'ensemble de mon corps.
- Elle est prête, je vais vous conduire à votre chambre.
Mr refermait la boite et je sentis qu'on la tirait et que j'étais emmenée, j'essyais d'imaginer le chemin que l'on faisait, mais je finis par rester sur place et entendre.
- Vous pouvez là laisser là, normalement personne devrait l'emmener, peut-être regarder...
- Au pire, ça lui fera les pieds.
Et je restais dans ma boite, dans un silence qui m'agaçait, je transpirais même, mais j'avais de l'air...
Je finis par sentir la boîte être tirée et à nouveau arrêtée.
J'entendis la voix de mes amis, je les entendis s'embrasser, puis... Baiser ! J'entendais mon amie gémir, lui "grogner".
- Ne bouge pas. j'entendis silencieusement.
La boîte s'ouvrit, j'eus un bandeau très vite sur les yeux, j'étais détachée et aidée pour en sortir, sa main derrière ma nuque poussait vers lui, je sentis sa bite qu'il me fit nettoyer, tout en me tenant la nuque, il m'emmenait vers le lit, et dirigeait ma tête entre les jambes de mon amie pour nettoyer le sperme qu'il lui avait laissé.
J'imagine qu'après un moment, elle du se dire qu'elle était nettoyé car elle relevait son bassin pour se faire lécher le cul, ce que je fis sans discuter.
On me redressait, m'amenait dans un autre coin de la pièce et m'attachait les mains et les chevilles sur une croix, je ne dis rien, j'attendais, restant silencieuse. Quelques minutes plus tard, on me retirait mon bandeau, les lumières tamisées n'agressaient pas ma vue, je les voyais en sous-vêtement.
- Ma petite puante, tu as transpirée comme une truie. Dis mon amie
- ...
- Bon, je t'avais dis que tu payerais. Dit-il.
Il ouvrit un coffre, il y avait beaucoup d'ustensiles, il en sortit des pinces-tetons et relié avec chaînette.
- Non, stp, je ne recommencerais plus !
Mais il ne m'écoutait pas, sans crier gare, sans prendre son temps, les deux pinces était accrochée à mes tétons, la chainette était reliée et une partie descendait jusqu'à ma chatte.
- Oh, rassure toi, je ne vais pas laissée ta chatte ainsi.
Il prit une pagaie et commençait à tapoter sur ma chatte, mes seins, ces parties devenaient rouges, j'avais les larmes aux yeux et il finit par accrocher également des pinces à mes lèvres.
Il partit, semble-t-il, vers la salle de bain et je restais seule avec mon amie qui me regardait et s'approchait de moi, passant sa main sur mon corps, me faisant frémir, ensuite sa main passait par dessous ma chatte, faisant bouger la chainette, et elle se mit à jouer avec son index sur mon anus.
Je bougeais les fesses, j'essayais de l'aider à rentrer son doigt dans mon cul. et on tapait à la porte.
- Bonjour, je vous amène les boissons que vous avez demandés et la gamelle.
C'était la voix de la fille du comptoir.
- Vous êtes bien installés ? Ajouta-t-elle.
- Oui, oui, entrer voir.
Elle entrait et je la vis me regarder, je me sentis rempli de honte.
- Jolie oeuvre. Dit-elle.
Mon ami revint, il s'était rhabillé, sûrement lavé.
- Oh, voici nos boissons ! Voulez-vous rester pour la voir recevoir sa punition ?
- Je ne voudrais pas abuser de votre temps.
Mon amie sur ce temps-là, me détachait et me rattachait dans l'autre sens, exposant mes fesses, j'entendais qu'il fouillait dans le coffre aux multiples jouet, demandait l'avis à mon amie et la réceptionniste, celle-ci semblait avoir été elle aussi dans le coffre et avoir prit un objet.
- Si vous voulez la punir fort, je vous conseils ceci.
- C'est ce que je compte faire, oui.
À peine sa phrase terminée, que le premier coup s'abbatit sur mes fesses, suivi d'autres, m'arrachant des cris et mes premières larmes.
- Ne vous inquiétez pas, c'est complètement insonorisé.
Je pleurais à ne plus savoir m'en retenir, j'avais le nez qui coulait, je pense même que je bavais, j'arrivais plus à m'arrêter de pleurer, et puis les coups s'arrêtent, mes fesses me piquaient, me brûlaient, il me détachait et me fit me mettre à 4 pattes par terre, je n'osais pas relever la tête, j'avais vu sur leurs pieds.
- J'aurais peut-être besoin d'une serveuse tout à l'heure, ne vous inquiétez pas, elle n'a besoin de rien dire, accepteriez-vous qu'elle vienne deux ou trois heures pour nous aider dans le service ?
- Le problème, c'est qu'elle n'a rien à se mettre... Dis mon amie.
- Nous avons une tenue, j'espère juste que ses fesses rentrent dedans.
- Et bien ça me semble correct, nous viendrons surement boire un verre, puante, dis merci à la dame de s'occuper de toi !
Je m'approchais de ses pieds et sans relever la tête, je dis "merci madame"
Elle relevait son pied et je me mit à l'embrasser.
- Je vais aller voir la tenue, je reviens de suite, mais par pitié, qu'elle se lave, elle tient bien son nom.
Elle partit et mon amie m'emmenait dans la salle de bain, elle me lavait, à l'eau froide, elle avait vérifié ma chatte qui était humide, puis en sortant de la chambre, elle me fit me mettre à genoux dans un coin de la pièce, face au mur.
Je ne sais pas combien de temps plus tard, assez pour avoir mal aux genoux, on frappait à nouveau à la porte.
- Voici ce qu'elle devra porter, vous pouvez me l'envoyez dans 20 minutes à la réception ? Je vais la briefer.
- Elle sera là.
La porte se refermait et j'entendis.
- Puante, au pied.
Je me retournais et partis vers mes amis à quatre pattes, une fois arrivé devant eux, mon ami m'aidait à me relever, mon amie me montrait ce qu'il y avait sur le lit que je devais porter, j'enfilais d'abord le string et cherchais le soutien-gorge, ils semblaient tous deux sourire à l'idée qu'il n'y en ait pas, j'enfilais la robe qui m'arrivait à raz des fesses et mit les talons.
- Eh bien, j'espère que tes nichons ne vont pas sortir, on voit presque tout, tu ne vas pas être très à l'aise pour marcher, d'ailleurs marche un peu pour qu'on voit si ton gros cul bouge bien.
Je marchais vers le fond de la pièce et revint.
- Oh ca va être marrant, tiens tu as oublié de mettre ça.
Elle me montrait un baillon, elle se plaçait derrière moi et le me le plaçait.
Il finir par me laisser partir retrouver la réceptionniste, celle-ci me regardait et semblait satisfaite.
- Je t'explique, c'est comme un café, les gens viennent se poser, se détendre, donc, ne les contraries pas, les clients vont surement te toucher, tu ne dis rien, d'ailleurs tu ne saurais pas ! Dit-elle en rigolant.
Et elle m'emmenait dans cette salle, ce n'était pas très grand, d'autres filles étaient là, mais pas habillées aussi court que moi.
Les filles allaient prendre commande et moi j'allais servir, hommes, femmes, ils n'ont pas hésité à me caresser, me faire m'asseoir sur leur genou, se moquer de moi...
Je vis mes deux amis, qui semblaient s'amuser de la situation, et la réceptionniste leur parler. À mon dernier retour, elle me fit signe de la suivre, elle me retirait le baillon. J'avais bavé énormément, ma poitrine pour preuve, et elle me tendit un verre d'eau.
- Tu as été super ! Bois, ça va te faire du bien.
- Merci beaucoup...
- J'ai demandée à tes amis si je pouvais te garder une heure ou deux pour moi, ils ont acceptés, donc nous allons partir maintenant.
Elle se levait et je la suivis, je me fis siffler, reçu des mots "doux" et nous partions vers sa chambre, 3ème étage qui était plutôt un appartement, elle retirait ses vêtements, elle avait un corps sublime.
- Tu peux te déshabiller aussi sais-tu.
Une fois que je fus nue, elle prit ma main et m'emmena dans sa salle de bain, elle fit couler l'eau de la douche et nous y emmena toutes les deux, elle se mit à m'embrasser et nous nous caressions, il y avait de la douceur et de la chaleur, nous sommes sorties toutes les deux nous essuyons mutuellement et elle m'emmenait dans sa chambre où nous faisions l'amour.
Elle me fit la lécher, et eut un orgasme. Une fois cela arrivé, elle enfilait une nuisette et m'attachait les mains dans le dos.
Elle prit un petit fouet avec plusieurs lamette et fouettait l'ensemble des parties de mon corps, elle m'amenait à nouveau dans la salle de bain et me fis me mettre à genou devant elle pendant qu'elle urinait.
- Viens me nettoyer.
Je lui nettoyais sa chatte et pour finir, retour dans son salon, elle mit mon string que j'avais quelques heures plus tôt dans ma bouche, celui-ci avait mon goût et collait, me remit les talons et me ramenait à mes amis.
- Merci, je vous la ramène, c'était agréable ! A demain.
Mon amie me mit un collier, relié à une chaîne qu'ils attachèrent au pied sur le lit, me laissant string en bouche, mains attachées dans le dos, ils se remirent à baiser sous mes yeux.
Je fus juste détachée pour être emmenée aux toilettes faire mes besoins, boire dans ma gamelle et attachée à nouveau.
Le lendemain matin quand je me réveillais, ils n'étaient pas là, la gamelle avait été rapprochée, ils ne tardèrent pas à revenir, à m'emmener faire mes besoins à la toilette, me rafraichir.
On me remit dans la boîte et m'emmenait à la réception, la réceptionniste ne me calculait pas en me rendant mes vêtements, mais rigolait avec mes amis, nous partîmes ensuite.
Le soir, seule chez moi, je repensais à la réceptionniste, ce moment douceur, je me mis à me caresser, la chatte l'anus, je m'imaginais tout ce que j'avais envie qu'elle me fasse.. Cette belle réceptionniste.
M. tapotait à la porte et celle-ci s'ouvrit assez vite.
Des lumières tamisées, nous avançions vers le comptoir.
Une très belle jeune femme se tenait là, elle semblait douce, elle avait un joli sourire.
- Bonjour.
- Bonjour, j'ai fait une réservation.
- Bien, à quel nom ?
- "appelez-moi puante"
- Bonjour puante ! lui dit-elle alors en rigolant.
- Oh non, c'est elle ! Dit-il me pointant du doigt.
- Bonjour, puante.
- Bonjour Madame, dis-je en baissant les yeux.
Mon amie me prit par la main et me tirait délicatement pour m'amener devant la dame de la réception.
- Prends la peine d'au moins te montrer !
Je ne dis nul mot, la dame sortait de son comptoir et ouvrait la porte qui menait à une pièce derrière, elle tirait une boîte qui semblait sur roulette.
- Voilà, vous pouvez placer puante dedans et vos affaires par-dessus, cela sera plus simple pour le transport, vous ne serez encombré de rien du tout.
- Je regardais la boite que Mr ouvrait, il y avait de quoi respirer dedans, ainsi que des liens.
- Ah oui, pour plus de faciliter, il faut que puante soit nue, les vêtements lui donneront plus chaud. Dit-elle en sortant une autre boîte sous le comptoir.
- Allais puante, à poil, met tes vêtements dans la boite et rentre dans ta boite.
Je restais un instant sans réactions, je regardais vers l'entrée et Mr me dit.
- Ne me dis pas que tu as peur que quelqu'un te voie ? Sois déjà contente si on te regarde, au mieux nous te prêterons pour que tu serves d'urinoir.
Il marquait un silence et dit.
- Allais, maintenant, à poil, remercie la dame et rentre dans ta boite.
Je me déshabillais et rangeais tous les vêtements dans la boîte, je me dirigeais vers ma boîte et me couchais dedans, la fille du comptoir refermait les liens sur mes poignets et mes chevilles, et avant de se retirer regardait l'ensemble de mon corps.
- Elle est prête, je vais vous conduire à votre chambre.
Mr refermait la boite et je sentis qu'on la tirait et que j'étais emmenée, j'essyais d'imaginer le chemin que l'on faisait, mais je finis par rester sur place et entendre.
- Vous pouvez là laisser là, normalement personne devrait l'emmener, peut-être regarder...
- Au pire, ça lui fera les pieds.
Et je restais dans ma boite, dans un silence qui m'agaçait, je transpirais même, mais j'avais de l'air...
Je finis par sentir la boîte être tirée et à nouveau arrêtée.
J'entendis la voix de mes amis, je les entendis s'embrasser, puis... Baiser ! J'entendais mon amie gémir, lui "grogner".
- Ne bouge pas. j'entendis silencieusement.
La boîte s'ouvrit, j'eus un bandeau très vite sur les yeux, j'étais détachée et aidée pour en sortir, sa main derrière ma nuque poussait vers lui, je sentis sa bite qu'il me fit nettoyer, tout en me tenant la nuque, il m'emmenait vers le lit, et dirigeait ma tête entre les jambes de mon amie pour nettoyer le sperme qu'il lui avait laissé.
J'imagine qu'après un moment, elle du se dire qu'elle était nettoyé car elle relevait son bassin pour se faire lécher le cul, ce que je fis sans discuter.
On me redressait, m'amenait dans un autre coin de la pièce et m'attachait les mains et les chevilles sur une croix, je ne dis rien, j'attendais, restant silencieuse. Quelques minutes plus tard, on me retirait mon bandeau, les lumières tamisées n'agressaient pas ma vue, je les voyais en sous-vêtement.
- Ma petite puante, tu as transpirée comme une truie. Dis mon amie
- ...
- Bon, je t'avais dis que tu payerais. Dit-il.
Il ouvrit un coffre, il y avait beaucoup d'ustensiles, il en sortit des pinces-tetons et relié avec chaînette.
- Non, stp, je ne recommencerais plus !
Mais il ne m'écoutait pas, sans crier gare, sans prendre son temps, les deux pinces était accrochée à mes tétons, la chainette était reliée et une partie descendait jusqu'à ma chatte.
- Oh, rassure toi, je ne vais pas laissée ta chatte ainsi.
Il prit une pagaie et commençait à tapoter sur ma chatte, mes seins, ces parties devenaient rouges, j'avais les larmes aux yeux et il finit par accrocher également des pinces à mes lèvres.
Il partit, semble-t-il, vers la salle de bain et je restais seule avec mon amie qui me regardait et s'approchait de moi, passant sa main sur mon corps, me faisant frémir, ensuite sa main passait par dessous ma chatte, faisant bouger la chainette, et elle se mit à jouer avec son index sur mon anus.
Je bougeais les fesses, j'essayais de l'aider à rentrer son doigt dans mon cul. et on tapait à la porte.
- Bonjour, je vous amène les boissons que vous avez demandés et la gamelle.
C'était la voix de la fille du comptoir.
- Vous êtes bien installés ? Ajouta-t-elle.
- Oui, oui, entrer voir.
Elle entrait et je la vis me regarder, je me sentis rempli de honte.
- Jolie oeuvre. Dit-elle.
Mon ami revint, il s'était rhabillé, sûrement lavé.
- Oh, voici nos boissons ! Voulez-vous rester pour la voir recevoir sa punition ?
- Je ne voudrais pas abuser de votre temps.
Mon amie sur ce temps-là, me détachait et me rattachait dans l'autre sens, exposant mes fesses, j'entendais qu'il fouillait dans le coffre aux multiples jouet, demandait l'avis à mon amie et la réceptionniste, celle-ci semblait avoir été elle aussi dans le coffre et avoir prit un objet.
- Si vous voulez la punir fort, je vous conseils ceci.
- C'est ce que je compte faire, oui.
À peine sa phrase terminée, que le premier coup s'abbatit sur mes fesses, suivi d'autres, m'arrachant des cris et mes premières larmes.
- Ne vous inquiétez pas, c'est complètement insonorisé.
Je pleurais à ne plus savoir m'en retenir, j'avais le nez qui coulait, je pense même que je bavais, j'arrivais plus à m'arrêter de pleurer, et puis les coups s'arrêtent, mes fesses me piquaient, me brûlaient, il me détachait et me fit me mettre à 4 pattes par terre, je n'osais pas relever la tête, j'avais vu sur leurs pieds.
- J'aurais peut-être besoin d'une serveuse tout à l'heure, ne vous inquiétez pas, elle n'a besoin de rien dire, accepteriez-vous qu'elle vienne deux ou trois heures pour nous aider dans le service ?
- Le problème, c'est qu'elle n'a rien à se mettre... Dis mon amie.
- Nous avons une tenue, j'espère juste que ses fesses rentrent dedans.
- Et bien ça me semble correct, nous viendrons surement boire un verre, puante, dis merci à la dame de s'occuper de toi !
Je m'approchais de ses pieds et sans relever la tête, je dis "merci madame"
Elle relevait son pied et je me mit à l'embrasser.
- Je vais aller voir la tenue, je reviens de suite, mais par pitié, qu'elle se lave, elle tient bien son nom.
Elle partit et mon amie m'emmenait dans la salle de bain, elle me lavait, à l'eau froide, elle avait vérifié ma chatte qui était humide, puis en sortant de la chambre, elle me fit me mettre à genoux dans un coin de la pièce, face au mur.
Je ne sais pas combien de temps plus tard, assez pour avoir mal aux genoux, on frappait à nouveau à la porte.
- Voici ce qu'elle devra porter, vous pouvez me l'envoyez dans 20 minutes à la réception ? Je vais la briefer.
- Elle sera là.
La porte se refermait et j'entendis.
- Puante, au pied.
Je me retournais et partis vers mes amis à quatre pattes, une fois arrivé devant eux, mon ami m'aidait à me relever, mon amie me montrait ce qu'il y avait sur le lit que je devais porter, j'enfilais d'abord le string et cherchais le soutien-gorge, ils semblaient tous deux sourire à l'idée qu'il n'y en ait pas, j'enfilais la robe qui m'arrivait à raz des fesses et mit les talons.
- Eh bien, j'espère que tes nichons ne vont pas sortir, on voit presque tout, tu ne vas pas être très à l'aise pour marcher, d'ailleurs marche un peu pour qu'on voit si ton gros cul bouge bien.
Je marchais vers le fond de la pièce et revint.
- Oh ca va être marrant, tiens tu as oublié de mettre ça.
Elle me montrait un baillon, elle se plaçait derrière moi et le me le plaçait.
Il finir par me laisser partir retrouver la réceptionniste, celle-ci me regardait et semblait satisfaite.
- Je t'explique, c'est comme un café, les gens viennent se poser, se détendre, donc, ne les contraries pas, les clients vont surement te toucher, tu ne dis rien, d'ailleurs tu ne saurais pas ! Dit-elle en rigolant.
Et elle m'emmenait dans cette salle, ce n'était pas très grand, d'autres filles étaient là, mais pas habillées aussi court que moi.
Les filles allaient prendre commande et moi j'allais servir, hommes, femmes, ils n'ont pas hésité à me caresser, me faire m'asseoir sur leur genou, se moquer de moi...
Je vis mes deux amis, qui semblaient s'amuser de la situation, et la réceptionniste leur parler. À mon dernier retour, elle me fit signe de la suivre, elle me retirait le baillon. J'avais bavé énormément, ma poitrine pour preuve, et elle me tendit un verre d'eau.
- Tu as été super ! Bois, ça va te faire du bien.
- Merci beaucoup...
- J'ai demandée à tes amis si je pouvais te garder une heure ou deux pour moi, ils ont acceptés, donc nous allons partir maintenant.
Elle se levait et je la suivis, je me fis siffler, reçu des mots "doux" et nous partions vers sa chambre, 3ème étage qui était plutôt un appartement, elle retirait ses vêtements, elle avait un corps sublime.
- Tu peux te déshabiller aussi sais-tu.
Une fois que je fus nue, elle prit ma main et m'emmena dans sa salle de bain, elle fit couler l'eau de la douche et nous y emmena toutes les deux, elle se mit à m'embrasser et nous nous caressions, il y avait de la douceur et de la chaleur, nous sommes sorties toutes les deux nous essuyons mutuellement et elle m'emmenait dans sa chambre où nous faisions l'amour.
Elle me fit la lécher, et eut un orgasme. Une fois cela arrivé, elle enfilait une nuisette et m'attachait les mains dans le dos.
Elle prit un petit fouet avec plusieurs lamette et fouettait l'ensemble des parties de mon corps, elle m'amenait à nouveau dans la salle de bain et me fis me mettre à genou devant elle pendant qu'elle urinait.
- Viens me nettoyer.
Je lui nettoyais sa chatte et pour finir, retour dans son salon, elle mit mon string que j'avais quelques heures plus tôt dans ma bouche, celui-ci avait mon goût et collait, me remit les talons et me ramenait à mes amis.
- Merci, je vous la ramène, c'était agréable ! A demain.
Mon amie me mit un collier, relié à une chaîne qu'ils attachèrent au pied sur le lit, me laissant string en bouche, mains attachées dans le dos, ils se remirent à baiser sous mes yeux.
Je fus juste détachée pour être emmenée aux toilettes faire mes besoins, boire dans ma gamelle et attachée à nouveau.
Le lendemain matin quand je me réveillais, ils n'étaient pas là, la gamelle avait été rapprochée, ils ne tardèrent pas à revenir, à m'emmener faire mes besoins à la toilette, me rafraichir.
On me remit dans la boîte et m'emmenait à la réception, la réceptionniste ne me calculait pas en me rendant mes vêtements, mais rigolait avec mes amis, nous partîmes ensuite.
Le soir, seule chez moi, je repensais à la réceptionniste, ce moment douceur, je me mis à me caresser, la chatte l'anus, je m'imaginais tout ce que j'avais envie qu'elle me fasse.. Cette belle réceptionniste.
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