Je t'aime, moi non plus 3 (Peggy)

- Par l'auteur HDS Pael -
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Récit libertin : Je t'aime, moi non plus 3 (Peggy) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je t'aime, moi non plus 3 (Peggy)
Je lui ai donc envoyé 33 messages avec des noms différents avant qu’il daigne accepté !

Je lui ai proposé de «petite salope» à «bac à sperme», heureusement qu’il répondait tout de même à mes messages, même si c’était par la négative, ça s’est terminé de cette manière :

- Grosse ou petite cochonne peut-être ?
- Comme Peggy la cochonne !
- Peggy, ça sera comme ça !

L’air de rien, j’étais chez moi, à nouveau seule, chaleur d’été obligée j’étais en petit short et tee shirt qui me servaient de pyjama et j’avais une envie intense de me toucher, repensant à ce journée, mais il m’avait interdit.

Alors que j’étais sur ma terrasse à profiter de la fraîcheur de la soirée, je reçu un message :

- Bonne nuit peggy, je t’attends demain 9h à la maison, tes séances sportives commence !

Il m’avait complètement relancée, mais je n’étais pas prête pour le sport !
Je rentrais chez moi et prit une douche froide pour essayer de me calmer et partit me coucher, évidemment, je fus agitée et mes pensées partaient très loin.

Le lendemain, je m’apprêtais, je mis un soutien gorge de sport, un tee shirt par dessus, un string n’osant pas mettre un shorty et un legging, j’enfilais mes chaussures de sport et partit en direction de chez lui, sa maison était plutôt grande, avec une allée, j’étais assez impressionnée.

J’appuyais sur la sonnette et il vint m’ouvrir, il me regardait et sourit, on se dit bonjour et j’entrais.

- Je peux te servir quelque chose à boire ?
- Non merci, commençons de suite ! Dis-je plein d’entrain et voulant prendre les devants.
- Etant donnés que tu t’es proposée à faire tout ce que je veux, tu vas t’asseoir et boire quelque chose avant de commencer.
- D’accord, je n’ai rien à redire la dessus.

Je m’assis donc et il revint avec un verre d’eau, on parlait de tout et de rien, il me demandait comment s’était passé ma soirée, je lui répondis que c’était calme, il ajoutait vouloir savoir la vérité, je répondis que c’était horrible !

Lorsque je finis mon verre, on se levait tous les deux et je le suivi alors, on mettait au 1er étage où il semblait avoir pas mal de pièce et puis au second, où il semblait en avoir tout autant, on rentrait dans l’une d’entre elle et il avait sa salle de sport, vélo, tapis de course, poids et altères, machine de muscu, corde à sauté et j’en passe.

- Je ferais du sport avec toi, pas aujourd’hui, je vais un peu juger ta condition et tenter de te pousser au plus loin de tes limites.
- Pas de soucis, je te suis.
- On va commencer par le tapis de course, je pense que c’est quelque chose de bien pour commencer, on ne sors pas de cette pièce tant que ton entraînement n’est pas terminé, ça va pour toi ?
- Oui, entendu, allons-y ! Dis-je en me dirigeant vers le tapis de course.
- Que fais-tu ? Me demanda-t-il ?
- Ben, je vais sur le tapis !
- Déjà, tu y vas que lorsque je te le dis, ensuite, sois moins insolente, et pour terminer, je ne t’ai pas dis que tu allais faire du sport habillée, retire moi ces vêtements pour commencer !

Le fait qu’il me recadre comme ça me fit ressentir quelque chose, je retirais mes vêtements un à un en ayant sa voix dans ma tête et en le regardant me regarder me déshabiller.

- Il y a une balance là-bas sur le côté du meuble, tu vas te peser prendre une photo et garder ça pour toi, c’est important que tu saches d’où tu démarres, j’imagine qu’en descendant de la balance tu vas me dire que t’es une grosse vache, hein Peggy?

Je devenais rouge de honte, j’étais nue devant lui entrain de me faire insulter sur mon corps, j’avais compris ce qu’il souhaitait, je montais sur la balance et effectivement, je n’étais pas très fier, je fis une photo et lorsque je descendais de la balance dit honteusement :

- Je suis vraiment une grosse vache...
- Et bien maintenant, tu peux aller faire bouger tes mamelles sur le tapis de course.

Je montais sur le tapis de course, il me montrait où l’activer et où accélérer et ralentir, comment mettre une pente etc... Et je me mis à trottiner et ensuite à courir, arrivé à 11 minutes, alors que pensais avoir prit mon rythme, je reçu un coup de je ne sais quoi sur la fesse me faisant pousser un cri.

- Augmente un peu la vitesse, tes fesses ne se balancent pas assez.

Et j’augmentais la vitesse, il vint à ma hauteur, j’étais déjà en sueur et il me passait une petite bouteille d’eau, arrivé à 27 minutes je n’en pouvais plus.

- J’en peux plus, je suis à bout. Dis-je
- Si tu t’arrêtes, j’imagine que tu vas me demander de fessées 20 fois ton cul ?
- Non, je continue !
- C’est bien Peggy, je suis fier de toi.

Mais 2 minutes après, je sentais que je n’arriverais pas plus loin et m’arrêtais complètement, j’étais essoufflée et je transpirais de partout, il me regardait à la fois avec un sourire en coin mais un regard assez froid, assez mécontent.

- Je dois demander les fessées ?
- Désolé Peggy, tu t’es arrêtée, demande les et va te placer quelque part pour les recevoir.

Je n’aimais vraiment pas ça, même si j’augmentais en excitation rien que d’y penser, je savais qu’il fallait que je marque des points et dit donc :

- Est-ce que je pourrais avoir 20 fessées sur mon gros cul?
- Va te placer où tu seras le mieux pour les recevoir, tu les comptes et tu dis merci quand c’est terminée.

Je regardais aux alentours, il y avait un petit meuble, j’appuyais mes coudes dessus, positionnait bien mes pieds au sol et lui proposait mon derrière.

Je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit que je reçu une première claque et je me mis à compter, lorsque ce fut fini, je restais ainsi n’osant pas bouger et il déposait la bouteille d’eau à côté de moi.

- Bois, il faut beaucoup boire, tu peux te redresser, c’est bien.

Je me redressais et bu un peu d’eau dans la bouteille, il m’invitait à marcher à travers la pièce, mes jambes qui étaient un peu tremblotante m’en remerciait, je reprenait peu à peu mon souffle, j’adorais qu’il me regarde nue me balader devant lui.

- Viens ici, on va faire quelques étirements, ça te fera du bien.

Il me fit d’abord aller toucher mes pieds, mes seins pendait lorsque je me penchait en avant, il passait derrière moi, il avait tout mon fessier sûrement rouge en gros plan, ensuite, il me fit m’asseoir au sol et essayer d’aller chercher mes orteils, d’un côté puis de l’autre, là, c’était ma chatte que j’exposais, je peux vous dire qu’à l’intérieur elle était chaude et humide ! On fit également quelques étirements des bras.

- On va faire un autre exercice, mais cette fois, tu vas frapper dans ces pattes d’ours, je te montre les mouvements, on va faire calmement il n’y en aura que 3 différents pour commencer, tu risques d’encore transpirer et essouffler donc vas-y calme, je te dirais sûrement d’aller un peu plus vite.
- Je dois vite aller faire pipi !
- Tu connais la règle, tu peux pas sortir de la pièce tant qu’on à pas terminés.
- Mais je vais me pisser dessus...
- Tu veux une protection pour te faire dessus Peggy?

Je restais sans voix, j’allais faire comment ? Le temps que je me pose la question il enchaînait :

- Trouve un contenant dans la pièce, dépêche-toi...

Je regardais aux alentours de la pièce et dû aller dans les armoires, je trouvais un seau et le déposait au sol et me rendit compte que j’allais uriner dans un seau devant lui, je me sentis devenir rouge de honte mais je m’attendais à ce que les semaines qui suivent, cela soit pire, je commençait donc à uriner, il restait là stoïque alors que moi je voulais partir me cacher, lorsque j’eu fini, il me tendit un mouchoir pour m’essuyer, mes jambes étaient tremblotante de m’être mise accroupis.

On commençait alors son exercice, il me laissait le temps de me rappeler et de bien faire les 3 mouvements, puis il me dit d’accélérer, j’accélérais et après les 3 séries de 10 frappes, lorsque l’on s’arrêtait, je sentis que j’allais vomir, je tentais de me retenir et au final je parti vers mon seau plein de pisse et vômis.

- Hey ben, je ne suis pas prêt de bander.
- ...

J’étais honteuse !
Il s’accroupit à côté de moi et me tendait un mouchoir, j’essuyais ma bouche, mon nez et me redressait.

- C’est bien Peggy, tu peux être fier de toi, tu as été trop loin dans tes limites, ton corps n’est pas habitué, mais tu peux être fier !

On sortit de la pièce, et il prit le seau, il m’amenait dans sa salle de bain et m’invitait à me laver le visage, il vidait le seau dans sa toilette, le rinçait et le re vidait, tirait la chasse.

On redecendait au rez- de-chaussé et je n’avais pas vu qu’il tenait également mes vêtements dans sa main.

- J’hésite à te rendre tes vêtements où à d’abord te mettre un doigt dans le cul, t’en penses quoi ?

Il savait très bien que cet endroit-là, j’avais jamais accepté qu’on y aie, je voulais montrer à 100% que je ferais ce qu’il voulait, mon objectif était dans 6 mois, je devais réussir, je le regardais, on était dans le salon et je me mis à 4 pattes sur sa table de salon comme il m’avait fait mettre et lui dit :

- Enfonce même un concombre, c’est toi qui décide j’obéis !

Mise comme j’étais mise, je ne voyais pas sa tête, mais j’espèrais l’avoir étonné, il vint sur mon côté gauche et passait son doigt le long de ma colonne vertébrale, lentement, je le sentais arrivé entre mes fesses, mais il mit une petite claque et me dit :

- Allais, remet tes vêtements, tu peux être fier de toi, on continuera cette entraînement cette semaine, tu ne peux toujours pas te toucher, tu te laveras que quand je te le dirais et chez toi, tu restes avec ces vêtements ou à poil, demain tu peux venir après le travail.

Rentrer chez moi, j’étais épuisée et en feu, je me posais sur mon divan et me réveillais presque deux heures plus tard, j’avais un message de lui :

- Peggy, ça te dirais qu’on ai mangé une pizza ? Met une petite robe sans soutien gorge et on se fait ça, 18h ça va ? Ah oui, tu peux te laver, tu ne sens pas très bon lol

J’étais contente mais même temps... Me faire faire du sport et manger de la pizza, qu’elle vicieux !

- Oui, ça me ferais plaisir !

Je suis faible, que voulez-vous ?

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