Je t'aime, moi non plus 9 (Gode nous, pas dans les bois) - histoire érotique

A cet instant précis, j'étais l'objet de trois personnes !

Avec un, je faisais beaucoup de sport pour perdre du poids et le conquérir, la seconde, mon amie, ma langue servait à lui passer sur tout son corps et mon cul de défouloir et Monsieur X, chez qui j'étais la soubrette qui nettoyait et prenait sa correction.

Dans tout cela, j'avais dépassée mes limites, j'avais moins de honte, je connaissais mieux mon corps, c'était pas mal pour une fille timide à la base !

On partit avec mon ami courir dans le bois, pour lui, après tous les tapis de courses, je devais être capable de le suivre à une vitesse "normale", on avait été m'acheter des tenues dans un magasin de sport, évidemment, je ne devrais JAMAIS porter de soutien-gorge pour bien me montrer.

Alors qu'on courait, j'eus besoin d'uriner, je lui fis savoir et devant lui j'abaissais pantalon et string et urinais, il souriait, on reprit notre course, évidemment, comme j'étais une sale fille, je ne m'étais pas essuyée. Ce soir-là, on avait croisé personnes, mais il arrivait que l'on croise des hommes, des femmes, des couples. Nous avions pris notre pause une fois sur un des banc qui se trouve un peu partout sur le chemin avec un couple, ils étaient bien sympathique, moi j'étais simplement gênée que mes tétons se voit autant à travers mon dessus.

On s'arrêtait sur l'un de ces bancs.

- Ca va Peggy, tu tiens le coup ?
- Oui, je suis en transe, mais oui !
- Si tu continues à transpirer comme ça, tu te foutras à poil, tu seras plus à l'aise pour courir.

Je le regardais, interrogatrice, était-il sérieux ?

- Quelque chose à me dire ? Me dit-il.
- Je me demandais si tu étais sérieux.
- Je le serais même ou non, tu as quelque chose à dire sur le fait qu'on te vois à poil ?
- Non...
- Tu as bien perdu, tu as gardée tes grosses mamelles, ça serait bien de les montrer !
- Désolée, je n'aurais pas dû.
- Allais, relève ton haut et fais-moi 3x10 pompes.

Je relevais mon haut, lui dévoilant ma poitrine qu'il avait tant vue, et me mis à faire les pompes. Une fois fini, il me dit "pareil, abdos" et je fis le même nombre de séries.

Je me relevais et restais les seins à l'air, tant qu'il ne me disait pas de couvrir, je ne le faisais pas.

- Tu vois, ce n'est pas compliqué !
- ...
- Allais, on se remet à courir.
- Oui.
- Et abaisse ton haut, allumeuse !

On reprit la course, mais pas très loin, il s'arrêtait.

- Finalement, fous-toi à poil.
- Stp !

Il ne dit pas d'autres mots, il me regardait juste et je me débarrassais de mes vêtements que je lui donnais, gardant juste mes chaussures.

- Tu vois, là, te voir comme ça, nue, un peu perdue, ça me donne férocement envie de te baiser.

Je me dis qu'il me baise alors, j'étais prête, comme il voulait, où il voulait, tout ce qu'il voulait.

- Mais je suis contrarié que tu sembles encore discuter quand je te dis quelque chose, donc, tu vas reprendre ta course par là, à poil, et quand t'entends mon top, tu comptes jusqu'à 200 et tu pourras faire demi-tour.
- Ok...
- Prête Peggy ?
- J'ai mal au ventre...
- Va faire caca quelque part, je n'ai pas de papier à disposition, go !

Et je partis, j'entendis au loin son "top" et je me retournais, je ne le voyais pas, il faisait trop sombre, la peur, mélangée à l'excitation, je n'ai jamais couru aussi vite ! Évidemment, j'avais ce mal de ventre, je partis donc me cacher derrière un arbre et faire mes besoins. Je voulus prendre les feuilles du buisson, mais je me fis des films que ça pourrait être dangereux, je repartis donc ainsi.

Je remontais tout le bois qu'on avait descendu, mes seins sautant à chacun de mes pas de courses, j'espérais réellement ne croiser personne, comment expliquer que j'étais à poil avec de la m... au cul ? Évidemment, la peur, le stress me faisaient entendre des bruits. Je partais chaque fois me cacher. Quand, je fis bien de me cacher, un couple s'arrêtait près d'un des bancs. J'étais assez loin, mais je ne pouvais plus bouger de peur de me faire remarquer. Ils se posèrent, burent leur eau, ou en tout cas, je pense que c'était de l'eau.

Ils finirent par rigoler ensemble, s'embrasser, se peloter. Je me caressais la chatte pendant ce moment-là, je le voyais passer sous le haut de sa femme, mais ils se remirent à courir. Une fois assez éloignés, je fis de même dans l'autre sens.

Je finis par arriver petit à petit, il était là, assis sur un banc à m'attendre.

- Enfin ! Tu n'as pas croisé un couple ?
- Si, mais je me suis cachée...
- Tiens, rhabille-toi. Dit-il en me tendant les vêtements.

Je pris les vêtements, enfilai mon haut mais il vit que quelque chose n'allait pas.

- Tu préfères rester la chatte à l'air ?
- Non... Ce n'est pas ça...
- Oh ! Madame a été vidée ?
- Oui...
- Eh bien, remets tes vêtements, tu vas bien patauger dedans.

J'enfilais le reste de mes vêtements et on retournait à la voiture, il me dit de ne pas la salir et je me mis à l'arrière, il entre ouvrit les vitres au cas où...

On rentrait et j'allais me laver, je redescendais entièrement nue, il se levait et vint vers moi, se rapprochait au point d'être collé à moi, me tenant par le bas du dos, mon souffle s'accélérait, il me fit tomber sur la table basse, se mit par dessus-moi...

- Allais vient, je vais me laver, tu pourras te goder !

Je le suivis et prit un gode, je le regardais se déshabiller pendant que je me godais, je le vis aller vers les toilettes.

- Tu veux que je vienne t'essuyer ?
- Non, regarde ma bite c'est déjà bien !

Une fois fini, il s'essuyait en se tournant vers moi et jetait le papier dans la toilette. Il rentrait dans sa douche et prit bien son temps. Lorsqu'il sortit, je m'arrêtais et l'essuyais. Pour essuyer ses pieds, je me mis à genoux, son sexe étant sous mes yeux, j'avais très envie de le prendre en bouche.

On allait dans sa chambre, tout les deux à poils et il me prit dans ses bras, me tenant contre lui, je ne sais pas comment il faisait pour ne pas me sauter !

- J'ai envie de te mettre à rude épreuve ?
- Comment ça ?
- Tu vas m'attacher les bras au lit et les jambes, tu dois tenir sans rien faire.
- C'est impossible ! J'ai déjà envie de te lécher partout, de mettre ton sexe dans le mien !
- Si tu y arrives pas, tu seras punie comme jamais.
- Je vais pas réussir...

Il ne m'écoutait pas et prit des menottes qu'il me jetait sur le lit, il se couchait sur le dos, le sexe à l'air, je l'attachais, il était à ma merci ! Je me couchais à côté essayant de ne pas y penser... Mais c'était sans compter qu'il allait me provoquer !

- Tu imagines ? là, je suis à ta merci, tu pourrais faire ce que tu veux ! tu pourrais me branler, me sucer, te faire lécher peut-être ? monter sur moi !
- Tais-toi !
- Tu pourrais faire ce que tu veux !
- Mais tais-toi stp !!!
- Tout ce qu'on à mis dans ta chatte et ton cul, tu pourrais me le faire, tu pourrais tout décider.
- Tais-toi, tais-toi !

Mais ça durait encore, je me mis par-dessus lui et mis ma main sur sa bouche, j'eus comme un choc électrique, je me sentis forte.

- Tu vas faire tout ce que je dis ? Dis-je ma main toujours sur sa bouche.

Il fit signe que oui de la tête, je retirais ma main et lui tendis mon pied.

- Tiens baise-le !

Et il le fit.

- Dis-moi que je suis la plus belle et que tu m'appartiens.

Et il me le dit.

Je me mis à embrasser tout son corps, le sucer, j'allais même lui lécher son anus, je sentis qu'il perdit ses moyens, je m'arrêtais et le regardais.

- Tu es à moi maintenant !

Je montais sur lui et frottais nos sexes, j'étais humide, lui bandais, je me mis sur le côté et l'embrassais dans le cou, caressais sa verge et descendis vers son anus.

- Non arrête ! Dit-il !
- Non, je sais que tu aimes ça.

Je tendis mon pied à nouveau à hauteur de sa bouche et lui dit :

- Demande-moi de jouer dans ton cul.
- Est-ce que tu veux bien jouer dans mon cul, stp?
- Non pas comme ça, tu m'appelles maîtresse et ton petit cul de salope.
- Maitresse, est-ce que vous voulez bien jouer dans mon petit cul de salope svp.
- Bien sûr ! Dis-je toute heureuse.

Je me dirigeais vers où il y avait tous ces ustensiles et mis un gant, pris le lubrifiant et un gode, de bonne taille.

De ma main gauche, je lui mettais le gode en bouche en lui ordonnant de sucer, pendant que de la droite, je lui insérais mes doigts. Je finis par très vite lui insérer le gode dans son cul en lui demandant de me remercier.

Il eu des râles, des gémissements et puis je fini par monter sur lui, laissant le gode sur le lit et me faire du bien, il vint en moi et je le détachais, restant couchée sur lui.

- Je suis prête à être punie... Dis-je essoufflée mais satisfaite tout en me bougeant de lui.

Il détachait ses chevilles, me regardait.

- A quatre pattes sur le lit, regarde-toi dans le miroir et prends ce gode qui a été dans mon cul dans ta bouche, suce-le Peggy.

Il prit un petit fouet et commençait à flageller mes fesses, j'eus quelques larmes et il me fit me relever.

- Ce que tu as eu là, ce n'est rien comparer à tout ce qui suivra.

Il retournait là où tous ses objets se trouvaient et sortit une petite boîte, qu'il ouvrait et semblait déballer, il revint vers moi, c'étaient des pinces à tétons, je fis non de la taille un peu effrayée, toujours avec le gode dans ma bouche, mais très vite une se referma et puis l'autre, les deux me faisant mordiller dans le gode.

Le tour était relié à d'autres pinces qu'il vint placer sur ma chatte, j'en avais les larmes aux yeux, il m'attachait les mains derrière le dos et repartit vers ses ustensiles, lorsqu'il revint, il avait un petit poids qu'il accrochait sur la chaînette qui reliait mes tétons et l'autre sur celle-ci ma chatte.

- Joli bijou Peggy ! Parle moi de toi maintenant.
- Je suis Peggy, ta truie, tu ordonnes, j'obéis, je suis ta petite pute que tu peux souillé autant que tu veux.
- Bien Peggy ! Me dit-il me mettant un collier, suivi d'une chaine.
- Suis moi ! Ajouta-il.

Je le suivais, mes tétons et ma chatte me faisant mal, tirés par ces poids, il m'emmena dans sa cave et accrochait la chaîne par terre, à une sorte de vis arrondie qu'il avait forée, malheureusement, ce n'était pas une cave aussi belle que celle de mon amie.

- Tu vas rester là, comme ça, ta chatte pourra couler tranquillement, je vais t'amener une gamelle pour que tu puisses boire, dans quelques heures, tu auras ta punition.

il se retournait et s'apprêtait à sortir, et s'arrêtait.

- Tu me verras peut-être avant si j'ai besoin de pisser, t'es ma toilette là.

Il éteignit la lumière et me laissa ainsi, j'étais presque pressée qu'il revienne, dû à l'excitation, j'avais peur de la punition, mais en même temps j'étais curieuse !

Il finit par descendre au matin, me détachais et me tendit des vêtements, une jupe flottante assez courte, un string blanc et un haut décolleté.

- Va te laver, tes crades, les chaussures sont dans le hall.

Je me dépêchais, j'enfilais tout les vêtements, les chaussures à talons et on démarrait, je n'osais rien dire.

- Tu ne te demandes pas quel sera ta punition ?
- Si...
- Tu vas te faire baiser par 11 gars en même temps, à tour de rôle.
- ...

On était dans une petite ville que je connaissais pas, très jolie, très agréable et là, je vis notre amie arriver.

- Hello les amis !
- Mais ?
- Tu croyais vraiment que j'allais te faire baiser par 11 gars ?
- Un peu oui...
- Ils sont 15 en réalité !
- ...
- Arrête un peu, on va pas lui faire ça ! Dis mon amie.

Ils rigolèrent ensemble, moi j'attendais la suite.