Je t'appartiens - histoire érotique

Nos surnom respectifs Elle et Lui. A quelques mois d'écart nous avons tout les deux 33 ans. Ça fait maintenant 7 ans que nous sommes ensemble. Une relation Maître/soumise s'est installée, pour le plaisir de chacun. A sa demande je poste ici ma punition pour lui avoir désobéis et ainsi dire à tout les lecteurs que je lui appartiens.

Nous avons eu une grosse dispute. Je lui ai tenu tête et je me suis rebellée. Il m'a demandé si je lui appartenais toujours, même si au fond de moi je pensais "bien sûr que je suis à toi", j'ai ignoré en laissant planer un silence. Ce qui lui a beaucoup déplu. Après plusieurs heures et de regrets, j'ai fini par lui envoyer ce message.

"Je suis à toi et rien qu'à toi, je veux appartenir qu'à toi. Mon cœur, mon corps, mon âme, mes pensées, tout mes orifices, mon cul, ma chatte, ma bouche, mon ventre et mon utérus t'appartiennent.
Je suis désolée pour ma réaction et la prochaine fois qu'on se voit, j'aimerai que tu me montres à quel point je t'ai énervé et apprends moi a ne plus me rebeller"
Le jour suivant je suis rentrée tard dans la soirée. Il m'a ouvert la porte avec un large sourire, il ne s'attendait pas à me voir, car de cette dispute je suis allée chez ma mère. Je traversais la maison et j'arrivais au salon. Il s'installa assis nu sur le canapé et me demanda de me déshabiller tout en me regardant. J'ai déboutonné les boutons de mon chemisier que j'ai laissé tomber au sol, j'ai enlèvé mon short. J'ai degraffé mon soutien gorge et laissé apparaître ma grosse poitrine, doucement j'ai baissé ma culotte. Je me suis retrouvée nue devant lui. Il m'a regardé et m'a demandé de venir. Je suis allée m'asseoir sur lui, nos sexes se touchaient sans pour autant être l'un dans l'autre. Je l'ai regardé dans les yeux, je lui ai dis que je l'aime et après avoir mis les choses aux claires je me suis approchée de son oreille et je lui ai murmuré "je suis à toi, fais ce que tu veux de moi et apprends moi à ne plus recommencer".
Il n'a rien fallu de plus pour qu'il se lève, pour se mettre à genou sur le sol. Il m'a demandé de m'approcher et de lui faire dos. Ma poitrine écrasée contre le canapé il m'a demandé de prendre son pénis et de le mettre contre mon cul et de lui faire des excuses. Je me suis placée, j'ai mis sa queue à l'entrée de mon cul, je lui ai dit " je t'appartiens, je suis à toi et rien qu'à toi, excuse moi de ne pas avoir été sage, défoule toi dans mon cul pour me passer l'envie de recommencer".
A ces mots, il a pénétré sa bite dans mon cul bien à sec, au fur à mesure qu'il avançait, il me déchirait l'anus, il aggripa mes hanches pour s'enfoncer au plus profond de moi et il me dit "voilà comme ça tu es bien ouverte" J'avais mal, mais je me sentais bien de le sentir en moi, je me sentais à lui, lui appartenir et cette douleur je l'avais bien mérité, chaque va et viens dans mon cul me faisait autant de mal que de bien. Il agrippait mes hanches pour surtout pas que je lui échappe et faisait des allés retours, rapides et profonds, un gémissement de douleur sortait de ma bouche à chacun de ses coups.
Puis il m'a demandé de changer de côté du canapé pour faire face à la lumière. La tête contre un coussin il me dit "ne te cache pas tu es tellement belle, montre moi ton visage". Avec ses coups brutals, mes cheveux allaient sur mon visage, il les dégageait en me répétant "tu es tellement belle comme ça, qu'est ce que tu es belle, c'est quand je vois que tu as mal comme ça pour moi que tu es la plus belle". Je me sentais bien, je me sentais être a lui, ça chose, je suis sienne, quelle exquise sensation.
Ses coups de reins se faisaient de plus en plus forts et plus profonds, j'ai senti qu'il allait bientôt se vider en moi, je dégoulinais moi même à l'idée d'être pleine de son sperme. Il m'a aggripé les épaules, coincé contre le canapé, et me gicla tout à l'intérieur. Il est resté la, quelques secondes à me regarder, à passer ses mains sur mon dos, il s'est penché vers moi, m'a fait des bisous dans la nuque et m'a murmuré à l'oreille " qu'est que je t'aime toi" je me sentais bien.
Il s'est retiré, mon cul étant plein de son sperme, j'étais satisfaite de l'avoir satisfait. Nous nous sommes allongés sur le canapé, pour dormir. Moi dos à mon maître, bien dans ses bras. Après quelques minutes, il s'aligne pour que sa bite soit au niveau de mon cul, en bougeant un peu sans le faire exprès il se frôla contre mon orifice. Ce qui me fit gémir, comme la plaie était ouverte, puis quelques secondes après il fit un léger coup de reins exprès cette fois et la même réaction de ma part. Excité par mes gémissements, je sentais comme sa bite recommençait à se durcir. Il se frotta d'abord à l'extérieur entre mes fesses, j'avais mal, chacun de ses mouvements me faisait sursauter, en même temps j'avais envie de faire qu'un avec mon maître, qu'il revienne en moi et qu'il pousse le sperme qu'il m'avait giclé dedans juste avant bien au fond, quitte à avoir mal. C'est comme si il avait lu dans mes pensées car c'est là que je l'ai senti me l'enfoncer, d'un seul coup, sans aucune délicatesse de nouveau. La douleur était plus intense qu'avant, mais je suis à lui et je sens comme il me posséde, sa puissance, j'aime. Il est mon Maître, je lui appartiens. Je suis coincée entre lui et ses coups de reins. Des allés retours de plus en plus forts et profonds, jusqu'au dernier cou, le cou qui a fait couler en moi son sperme, m'a également m'a fait couler des larmes. Je mérite cette douleur, j'ai énervé mon maître et j'en suis désolée.
Je m'estime chanceuse d'avoir le cul plein de lui, j'aime son sperme. Nous nous sommes endormie en faisant qu'un, moi dans ses bras, le meilleur endroit au monde.