Je trompe mon mari
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je trompe mon mari
Je vais finalement le lui dire. Après tout il me demande depuis longtemps de faire l'amour avec un autre. De sa part c'est me donner une preuve de son amour en me laissant prendre du plaisir avec une autre personne que lui.
J'ai trouvé dans les transports en commun un mi-dieu, un homme mignon, beau, sympa et à mon sens sexy. Je voyais sa bite pendant qu'il me regardait : elle grossissait. C'est à cet instant que j'ai eu envie de lui. J'ai fait ce qu'il fallait pour ça. Je le regardais dans les yeux, je mouillais ma bouche, je me touchais la poitrine. Il bandait encore plus.Juste avant d'arriver à ma destination, je me suis approchée de lui, j'ai posé ma main sur sa queue que j'ai massé. Ce n'était pas du vent, il bandait bien.
Je suis sortie, pas vite, j'attendais que lui aussi sorte. Il est venu, me suivait comme un toutou. Je me suis dit que j'allais le faire marcher comme je voulais.
Je suis une quadragénaire bien conservée, chaude, expérimentée, toujours prête à me faire baiser par un homme ou une femme. Oui je suis bisexuelle pour le grand plaisir de mon mari.
Je me laisse suivre, pas longtemps juste pour constater que j'exerce une attirance sur ce mâle. Je connais un hôtel de passe pas loin, où j'ai mes habitudes. Il m'y suit. C'est même lui qui loue la chambre.
Il m'embrasse plutôt bien pour ce premier baiser sur la bouche. Sa langue se débrouille fort bien dans ma bouche. J’espère que la suite sera du même poids. Je le laisse me déshabiller, c'est normal pour une première fois. Je ne fais que le nécessaire. Je défais son premier bouton de braguette, le reste il peut le faire.
Je le regarde se mettre nu en commençant par la chemise, son pantalon suit. Il reste en mini string : avec son sexe en érection à peine caché par le tissu. J'ai envie de lui voir sa queue en l'air ; Enfin il est nu.
Quel spectacle, mesdames, que cette bite droite, montant à peine vers le haut, grosse à souhait, pleine de veines apparentes. Je sens que ma bouche va se régaler de la prendre sur la langue.
Je reste debout presque contre lui. Il me prend dans ses bras, me serre. Enfin je sens sa queue contre mon ventre. Ses mains caressent les fesses. Il va déjà vouloir me rendre par derrière ?
Je me baisse pour lui embrasser la queue : d'abord elle sent l'homme et le sperme (il a du se masturber il y a peu de temps), ensuite elle est douce. Ses couilles me plaisent , elle me semble bien pleines. Je prend un instant le gland dans le bouche. Il s'imaginait que j'allais les sucer, comme ça ? Pas question encore, je verrais plus tard pour le faire rebander.
Je me laisse aller sur le lit, pas défait, je l'entraîne vers moi. J'entoure ses jambes par les miennes. Il est mon otage. Je l'exécuterai quand il me la mettra.
Il a la politesse me caresser la chatte, plutôt bien en me caressant le clitoris. Je me laisse faire, prenant du plaisir. Il prolonge quand je suis sur le point d'un orgasme imminent. Je pars dans un plaisir rare. C'est pile au moment où je jouis qu'il entre doucement en moi. Je m'entends gémir, râler, presque pleurer.
Il pense que c'est parce que je regrette mon mari. S'il savait que je baise quand je veux avec qui je veux.
Je le garde en moi, je me remet à faire des aller et venus. Il me demande s'il peut aller ailleurs. Deux choix, deux solutions. Je lui donne mon cul. J'aime bien les lavements de sperme.
Sa politesse lui donne raison. S'il ne me l’avait pas demandé j'aurais dit sans doute non. Mais voilà j'aime trop la sodomie.
Et puis ce soir quand je dirais à mon amour de mari que je ne suis faite enculer et que j'en ai jouit, il m'en donnera autant. A moins qu'il me demande de me le faire avec le gode, ce que je ne déteste pas, au contraire.
En attendant je me trouve avec une bite dans l'anus. Elle est un peu grosse, mais j'accepte cette douleur passagère pour l'avoir en entier dans mes intestins. L'anus sens passer toute sa longueur : c'est bon. Nous entamons pour le mener à bien l'aller et venu. Je sens ses couilles contre mes fesses, ajoutant à mon plaisir.
Je suis en levrette, il est à genoux derrière moi, seul sa bite, ses couilles et ses mains sur moi. Je voudrais avoir une autre queue dans la bouche pour déguster du sperme.
Je le sens jouir dans mes fesses. Je le veux encore, cette fois dans ma bouche, tant pis s'il sent mon cul.
Il débande quand je commence à sucer cette queue inerte. Il la redresse doucement. Son gland en entier est dans ma bouche. Je passe deux doigts sur son petit trou. J'adore faire cette chose à mes amants.
Il bande à nouveau. Mes doigts sont dans son cul. Je le caresse spécialement pour le remercier d m'avoir enculé.
Mes lèvres passe sur le gland, y repassent sans cesse. J'aime la douceur de ce moreau de bite entre mes lèvres et sur ma langue. A force de le lécher j'arrive le faire encore juter. C'est le meilleur de sa semence. Je m'éloigne un peu de lui, j'ouvre la bouche je sors la langue pour lui montrer sa semence et doucement je l'avale. C'est délicieux comme un bon condiment. Je me garde de l'embrasser à nouveau je perdrais son goût.
J'ai avoué à mon mari qui m'a embrassé profondément en me disant merci. Il m'a baisé mieux que les autre fois, en finissant par un 69 amoureux. Il aime mon jus et moi le sien.
J'ai trouvé dans les transports en commun un mi-dieu, un homme mignon, beau, sympa et à mon sens sexy. Je voyais sa bite pendant qu'il me regardait : elle grossissait. C'est à cet instant que j'ai eu envie de lui. J'ai fait ce qu'il fallait pour ça. Je le regardais dans les yeux, je mouillais ma bouche, je me touchais la poitrine. Il bandait encore plus.Juste avant d'arriver à ma destination, je me suis approchée de lui, j'ai posé ma main sur sa queue que j'ai massé. Ce n'était pas du vent, il bandait bien.
Je suis sortie, pas vite, j'attendais que lui aussi sorte. Il est venu, me suivait comme un toutou. Je me suis dit que j'allais le faire marcher comme je voulais.
Je suis une quadragénaire bien conservée, chaude, expérimentée, toujours prête à me faire baiser par un homme ou une femme. Oui je suis bisexuelle pour le grand plaisir de mon mari.
Je me laisse suivre, pas longtemps juste pour constater que j'exerce une attirance sur ce mâle. Je connais un hôtel de passe pas loin, où j'ai mes habitudes. Il m'y suit. C'est même lui qui loue la chambre.
Il m'embrasse plutôt bien pour ce premier baiser sur la bouche. Sa langue se débrouille fort bien dans ma bouche. J’espère que la suite sera du même poids. Je le laisse me déshabiller, c'est normal pour une première fois. Je ne fais que le nécessaire. Je défais son premier bouton de braguette, le reste il peut le faire.
Je le regarde se mettre nu en commençant par la chemise, son pantalon suit. Il reste en mini string : avec son sexe en érection à peine caché par le tissu. J'ai envie de lui voir sa queue en l'air ; Enfin il est nu.
Quel spectacle, mesdames, que cette bite droite, montant à peine vers le haut, grosse à souhait, pleine de veines apparentes. Je sens que ma bouche va se régaler de la prendre sur la langue.
Je reste debout presque contre lui. Il me prend dans ses bras, me serre. Enfin je sens sa queue contre mon ventre. Ses mains caressent les fesses. Il va déjà vouloir me rendre par derrière ?
Je me baisse pour lui embrasser la queue : d'abord elle sent l'homme et le sperme (il a du se masturber il y a peu de temps), ensuite elle est douce. Ses couilles me plaisent , elle me semble bien pleines. Je prend un instant le gland dans le bouche. Il s'imaginait que j'allais les sucer, comme ça ? Pas question encore, je verrais plus tard pour le faire rebander.
Je me laisse aller sur le lit, pas défait, je l'entraîne vers moi. J'entoure ses jambes par les miennes. Il est mon otage. Je l'exécuterai quand il me la mettra.
Il a la politesse me caresser la chatte, plutôt bien en me caressant le clitoris. Je me laisse faire, prenant du plaisir. Il prolonge quand je suis sur le point d'un orgasme imminent. Je pars dans un plaisir rare. C'est pile au moment où je jouis qu'il entre doucement en moi. Je m'entends gémir, râler, presque pleurer.
Il pense que c'est parce que je regrette mon mari. S'il savait que je baise quand je veux avec qui je veux.
Je le garde en moi, je me remet à faire des aller et venus. Il me demande s'il peut aller ailleurs. Deux choix, deux solutions. Je lui donne mon cul. J'aime bien les lavements de sperme.
Sa politesse lui donne raison. S'il ne me l’avait pas demandé j'aurais dit sans doute non. Mais voilà j'aime trop la sodomie.
Et puis ce soir quand je dirais à mon amour de mari que je ne suis faite enculer et que j'en ai jouit, il m'en donnera autant. A moins qu'il me demande de me le faire avec le gode, ce que je ne déteste pas, au contraire.
En attendant je me trouve avec une bite dans l'anus. Elle est un peu grosse, mais j'accepte cette douleur passagère pour l'avoir en entier dans mes intestins. L'anus sens passer toute sa longueur : c'est bon. Nous entamons pour le mener à bien l'aller et venu. Je sens ses couilles contre mes fesses, ajoutant à mon plaisir.
Je suis en levrette, il est à genoux derrière moi, seul sa bite, ses couilles et ses mains sur moi. Je voudrais avoir une autre queue dans la bouche pour déguster du sperme.
Je le sens jouir dans mes fesses. Je le veux encore, cette fois dans ma bouche, tant pis s'il sent mon cul.
Il débande quand je commence à sucer cette queue inerte. Il la redresse doucement. Son gland en entier est dans ma bouche. Je passe deux doigts sur son petit trou. J'adore faire cette chose à mes amants.
Il bande à nouveau. Mes doigts sont dans son cul. Je le caresse spécialement pour le remercier d m'avoir enculé.
Mes lèvres passe sur le gland, y repassent sans cesse. J'aime la douceur de ce moreau de bite entre mes lèvres et sur ma langue. A force de le lécher j'arrive le faire encore juter. C'est le meilleur de sa semence. Je m'éloigne un peu de lui, j'ouvre la bouche je sors la langue pour lui montrer sa semence et doucement je l'avale. C'est délicieux comme un bon condiment. Je me garde de l'embrasser à nouveau je perdrais son goût.
J'ai avoué à mon mari qui m'a embrassé profondément en me disant merci. Il m'a baisé mieux que les autre fois, en finissant par un 69 amoureux. Il aime mon jus et moi le sien.
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