Je veux me faire ma voisine. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2020 dans la catégorie Plus on est
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Je veux me faire ma voisine. 3
Je veux me faire ma voisine. 3
-Je te baise le cul ! Tu aimes ça ou tu ne préfèrerais pas une belle pine pour te ramoner le fion ?
Carole prend le manche sans même réagir comme si c’était naturel pour elle, et mouillant de plus belle. Françoise sent que le moment est venu quand Carole vocifère :
-Aaahhh ! Je jouiiisss ! Ouuuiii ! Nooonnn !
Ses cris étouffent le bruit de la sonnette. Le déchainement oral de Carole déclenchant la jouissance de Françoise qui lui promet :
-Va ! Jouis autant que tu peux ! Tu n’as pas répondu à ma question, tu te tortilles sur ce manche que je t’ai mis dans le cul, mais je vais bientôt avoir ma réponse…
Suite :Bon… Revenons enfin à la première personne du singulier, et à mon récit...
On dirait que le piège de Françoise a fonctionné… Quand j’ouvre la porte de la salle de bains, je trouve les deux gouines en plein exercice. Je suis arrivé pilepoil au bon moment.
-Dites-donc, les filles, on dirait que vous vous donnez du bon temps, et regardant Carole, bonjour chère amie, vous vous rappelez de moi ? Nicolas ?
Carole est très gênée, ne sachant quelle attitude prendre. Je ramasse ses habits et sors de la pièce.
Elle me suit et essaie de récupérer ses frusques. Je la saisis par le bras et la jette violemment dans le divan. Elle a l’air en colère. Je la nargue :
-Vous m’aviez caché vos talents, l’autre jour. Si j’avais su que vous aimiez être enculée, je vous aurais proposé mon aide.
Carole est furibonde, je ne sais pas si elle se rend compte qu’elle est toujours en tenue d’Eve, une vraie statue d’ébène magnifique aux obus arrogants. Avant qu’elle ne se rebiffe et reprenne trop ses esprits, je déboutonne lentement mon pantalon et le retire ainsi que mon slip.
Carole, malgré sa colère, ne peut empêcher son regard de se fixer sur mon dard qui pointe, dont le prépuce laisse entrevoir le gland. Ma grosse pine, tel un serpent, a l’air d’hypnotiser Carole.
On dirait qu’elle se trouve fascinée par le spectacle de cette queue de mâle braquée vers elle.
Je vois son vagin toujours animé de lentes contractions, elle continue de mouiller.
Je retire mon tee-shirt et me mets à genoux sur le divan en haranguant Carole.
-Viens me pomper, salope !
Françoise, faisant la coquine derrière mon dos, lui rappelle mes exploits et lui demande si elle est partante pour un plan à trois. Mais le comble, c'est que Carole veuille vérifier mes talents de juteur.
Pour l’instant, elle ne réagit pas mais je vois bien que son regard s’est animé quand j’ai libéré ma teub et que mon mandrin s’est braqué vers elle.
Elle commence à se détendre, je tends le bras, empoigne ses cheveux et approche de force son visage vers mon sexe dressé au milieu de mes poils pubiens. Elle est tellement surprise qu’elle entrouvre sa bouche et j’en profite pour faire pénétrer ma bite entre ses dents.
Je lui maintiens fermement les cheveux pour qu’elle ait le maximum de ma tige dans la bouche.
Vu la taille de ma verge, je sens mon dard lui titiller la glotte, entrainant de sa part des haut-le-cœur.
Je relâche la pression sur sa tête pour éviter qu’elle me vomisse dessus. Carole, plus libre de ses mouvements, continue seule, faisant aller et venir mon vit entre ses dents.
Mon manche, à ce rythme, finit de gonfler et se niche entre le palais et la langue de Carole qu’elle s’applique à entortiller autour de mon gland qui glisse parfaitement dans sa bouche.
J’ai beau être costaud, il ne lui faudra que quelques minutes pour m’amener au point de rupture.
Un filet de salive relie ses lèvres entrouvertes à ma teub à qu’elle prend en bouche et suce avec avidité et un plaisir évident. On dirait qu’elle adore la sentir dans sa bouche, faisant passer sa langue le long de ma hampe et sentant mon gland venir appuyer contre le fond de sa gorge.
-Aaahh ! T’es une sacrée suceuse… Je vais cracher ! Avale tout, salope !
En bonne fille, Carole déglutit pour absorber mes expectorations séminales. Elle ne veut pas abandonner ma lance et des dégoulinades de foutre maculent le coin de ses lèvres. Bien que j’ai fini de jouir, elle ne veut plus abandonner ma pine et continue pour l’égoutter, bien que je ne la force plus à me sucer.
Une fois qu’elle a terminé de m’éponger le gland, Carole retire ma teub de sa bouche et descend vers mes couilles pour y récupérer quelques traces de foutre qui ont fuitées.
Je m’allonge pour plus de facilité. Carole reprend sa caresse, allant des couilles à la hampe, du ventre aux cuisses. Sur ses seins, elle sent mes doigts qui pincent ses tétons, qui descendent ensuite vers ses fesses. Elle se tourne même pour faciliter la pénétration de quelques phalanges dans son anus.
Je reste immobile, attendant que ma verge finisse de reprendre une consistance plus apte à la suite en lui ramonant le cul. Quand elle comprend que mon engin est de nouveau prêt, elle m’ordonne :
-Encule-moi ! Tu es un sacré loustic, toi ! Mais putain que j’aime ta belle teub !...
Le cri du cœur, elle n’a pas froid aux yeux, la coquine, prête à sauter les étapes… Françoise la rassure :-Il est clean, tu peux y aller sans risque !
Elle s’arrache de mes doigts, se tortille sur moi sans toutefois lâcher mon mandrin qui glisse rythmiquement dans sa bouche, salivant abondamment pour lubrifier mon dard. Puis Carole se place à croupetons sur mon ventre. Elle met mon défonce-cul juste en face de son objectif et s’empale brutalement sur mon obélisque dressé.
Ma verge plie sous l’effort avant de finir par forcer la porte. Elle m’écrase les couilles.
-Aïe !... Putain de salope ! Tu me casses la pine.
-Wouaouh ! Quel morceau ! Crie-t-elle encore plus fort que moi. Ça c’est de la bite !!!
Elle est mal placée et doit s’appuyer sur ses mains pour se soulever, permettant à mon pieu de mieux se replacer et elle se poignarde aussitôt l’oignon. Une fois bien assise, bien à fond sur mon braquemard, elle tente à nouveau de se soulever. Je l’aide un peu, place ses mains sur mon torse de telle façon qu’elle puisse monter et descendre mon gourdin dans ses entrailles.
Pendant ce temps, Françoise jouant à la mouche du coche, tire sur le corps de Carole, comme pour tenter de soulager la pression des fesses tendres de son amie sur ma pine, comme si elle voulait protéger son jouet d’un accident malencontreux.
Mais les contorsions de Carole accroissent mon envie de tenir tout contre moi son corps souple et frais qui, tel une liane, roule sous mes mains. Soudain, Françoise change de comportement et me supplie:
-Laisse-là maintenant ! Tu l’as eu, cela devrait te suffire, je suis là, moi !...
Ma parole… Est-elle devenue soudain jalouse ? Mais qu’est-ce qu’il lui arrive ?
Plus elle essaie de nous séparer, plus je resserre Carole à la peau d’ébène chaude et luisante de sueur, envahie par une sorte d’ivresse qui atteint son bas-ventre et ses seins avant de s’étendre jusqu’aux extrémités de ses quatre membres. Suivant les mouvements, sa chatte s’ouvre et se referme au rythme des contractions de son bas-ventre pendant que son anus s’assouplit et s’élargit pour faciliter la pénétration de mon pieu joufflu et gluant. Je vois ses obus aux tétons énormes suivre la danse en se déformant sous les coups de boutoir que son corps absorbe. Elle soupire d’aise de se sentir envahie par la chaleur de ma poutre.
Mais Françoise revient à la charge et veut nous séparer, envahie par une jalousie mal placée. Elle voudrait libérer son amie, mais Carole ne songe nullement à se séparer de moi, oubliant totalement les gesticulations folles de Françoise pour ne plus penser qu’au plaisir qui la fait frissonner.
Je prends des coups et doit repousser Françoise, allongée tout près de nos corps imbriqués.
-Mais laisse-nous tranquille, Françoise ! Qu’est-ce qui t’arrives ? C’est bien ce que tu voulais en me piégeant de cette façon, non ?! Hurle Carole.
Je me redresse, emportant Carole embrochée sur mon rostre et me dirige vers la chambre sous les coups redoublés de Françoise sur mon dos. Je rugis :
-Tu vas nous foutre la paix, oui !
-Fais de moi ce que tu voudras, me coupe Françoise, mais laisse-là tranquille !
-Tu es ridicule, Françoise !
L’interrompt Carole, qui remue du popotin contre mon sexe depuis que je l’ai jeté sur le lit, appréciant de sentir mon manche lui entrer entre les fesses, au niveau de la fourchette de la vulve s’échappe un filet de mouille qui goûte sur le lit de Françoise. Je laisse ma queue se faire décalotter et recalotter au rythme des coups de reins lents et appuyés de Carole.
Je sens que mon foutre monte à nouveau de mes couilles vers le sommet de ma lance comme l’eau dans un puits artésien.
Je décule et ma verge se redresse entre nos deux corps, je la prends d’une main pour guider ma baïonnette vers l’orifice des entrailles offert. Carole m’aide à représenter mon pieu entre ses fesses et le contact de sa main délicate contre la peau hypersensible de ma pine la fait bander plus encore si c’est possible.
A genoux derrière elle, après avoir humecté avec ma salive déposée sur mes doigts son sphincter, j’avance doucement entre ses fesses jusqu’à sentir mon gland forcer sur la collerette qui garnit l’anus. Carole entrouvre la raie de ses fesses avec ses mains séparant les deux belles meules, mimant déjà les mouvements de son corps comme une invite.
Je m’attarde quand même autour de l’orifice pour épargner mon dard qui s’écorche encore aux petits muscles serrés, ne me préoccupant plus des jérémiades de Françoise que je vois soudain aller farfouiller dans un tiroir.
Carole guide ma verge vers ses entrailles, remontrant le chemin à mon gros paf qui lui chatouille l’anus quand soudain Françoise se jette sur moi. Elle me cingle le dos avec un fouet et, sous la douleur, je me cabre nerveusement.
Heureusement que ma teub était sur la bonne voie car mon dard entre d’un seul coup dans les boyaux de Carole qui pousse un hurlement de joie, de douleur et de plaisir confondus.
-Aaaaaah ! Aaaaaah ! Quelle défonce ! Putain ce que tu me bourres bien ! Merci Françoise !
A suivre…
-Je te baise le cul ! Tu aimes ça ou tu ne préfèrerais pas une belle pine pour te ramoner le fion ?
Carole prend le manche sans même réagir comme si c’était naturel pour elle, et mouillant de plus belle. Françoise sent que le moment est venu quand Carole vocifère :
-Aaahhh ! Je jouiiisss ! Ouuuiii ! Nooonnn !
Ses cris étouffent le bruit de la sonnette. Le déchainement oral de Carole déclenchant la jouissance de Françoise qui lui promet :
-Va ! Jouis autant que tu peux ! Tu n’as pas répondu à ma question, tu te tortilles sur ce manche que je t’ai mis dans le cul, mais je vais bientôt avoir ma réponse…
Suite :Bon… Revenons enfin à la première personne du singulier, et à mon récit...
On dirait que le piège de Françoise a fonctionné… Quand j’ouvre la porte de la salle de bains, je trouve les deux gouines en plein exercice. Je suis arrivé pilepoil au bon moment.
-Dites-donc, les filles, on dirait que vous vous donnez du bon temps, et regardant Carole, bonjour chère amie, vous vous rappelez de moi ? Nicolas ?
Carole est très gênée, ne sachant quelle attitude prendre. Je ramasse ses habits et sors de la pièce.
Elle me suit et essaie de récupérer ses frusques. Je la saisis par le bras et la jette violemment dans le divan. Elle a l’air en colère. Je la nargue :
-Vous m’aviez caché vos talents, l’autre jour. Si j’avais su que vous aimiez être enculée, je vous aurais proposé mon aide.
Carole est furibonde, je ne sais pas si elle se rend compte qu’elle est toujours en tenue d’Eve, une vraie statue d’ébène magnifique aux obus arrogants. Avant qu’elle ne se rebiffe et reprenne trop ses esprits, je déboutonne lentement mon pantalon et le retire ainsi que mon slip.
Carole, malgré sa colère, ne peut empêcher son regard de se fixer sur mon dard qui pointe, dont le prépuce laisse entrevoir le gland. Ma grosse pine, tel un serpent, a l’air d’hypnotiser Carole.
On dirait qu’elle se trouve fascinée par le spectacle de cette queue de mâle braquée vers elle.
Je vois son vagin toujours animé de lentes contractions, elle continue de mouiller.
Je retire mon tee-shirt et me mets à genoux sur le divan en haranguant Carole.
-Viens me pomper, salope !
Françoise, faisant la coquine derrière mon dos, lui rappelle mes exploits et lui demande si elle est partante pour un plan à trois. Mais le comble, c'est que Carole veuille vérifier mes talents de juteur.
Pour l’instant, elle ne réagit pas mais je vois bien que son regard s’est animé quand j’ai libéré ma teub et que mon mandrin s’est braqué vers elle.
Elle commence à se détendre, je tends le bras, empoigne ses cheveux et approche de force son visage vers mon sexe dressé au milieu de mes poils pubiens. Elle est tellement surprise qu’elle entrouvre sa bouche et j’en profite pour faire pénétrer ma bite entre ses dents.
Je lui maintiens fermement les cheveux pour qu’elle ait le maximum de ma tige dans la bouche.
Vu la taille de ma verge, je sens mon dard lui titiller la glotte, entrainant de sa part des haut-le-cœur.
Je relâche la pression sur sa tête pour éviter qu’elle me vomisse dessus. Carole, plus libre de ses mouvements, continue seule, faisant aller et venir mon vit entre ses dents.
Mon manche, à ce rythme, finit de gonfler et se niche entre le palais et la langue de Carole qu’elle s’applique à entortiller autour de mon gland qui glisse parfaitement dans sa bouche.
J’ai beau être costaud, il ne lui faudra que quelques minutes pour m’amener au point de rupture.
Un filet de salive relie ses lèvres entrouvertes à ma teub à qu’elle prend en bouche et suce avec avidité et un plaisir évident. On dirait qu’elle adore la sentir dans sa bouche, faisant passer sa langue le long de ma hampe et sentant mon gland venir appuyer contre le fond de sa gorge.
-Aaahh ! T’es une sacrée suceuse… Je vais cracher ! Avale tout, salope !
En bonne fille, Carole déglutit pour absorber mes expectorations séminales. Elle ne veut pas abandonner ma lance et des dégoulinades de foutre maculent le coin de ses lèvres. Bien que j’ai fini de jouir, elle ne veut plus abandonner ma pine et continue pour l’égoutter, bien que je ne la force plus à me sucer.
Une fois qu’elle a terminé de m’éponger le gland, Carole retire ma teub de sa bouche et descend vers mes couilles pour y récupérer quelques traces de foutre qui ont fuitées.
Je m’allonge pour plus de facilité. Carole reprend sa caresse, allant des couilles à la hampe, du ventre aux cuisses. Sur ses seins, elle sent mes doigts qui pincent ses tétons, qui descendent ensuite vers ses fesses. Elle se tourne même pour faciliter la pénétration de quelques phalanges dans son anus.
Je reste immobile, attendant que ma verge finisse de reprendre une consistance plus apte à la suite en lui ramonant le cul. Quand elle comprend que mon engin est de nouveau prêt, elle m’ordonne :
-Encule-moi ! Tu es un sacré loustic, toi ! Mais putain que j’aime ta belle teub !...
Le cri du cœur, elle n’a pas froid aux yeux, la coquine, prête à sauter les étapes… Françoise la rassure :-Il est clean, tu peux y aller sans risque !
Elle s’arrache de mes doigts, se tortille sur moi sans toutefois lâcher mon mandrin qui glisse rythmiquement dans sa bouche, salivant abondamment pour lubrifier mon dard. Puis Carole se place à croupetons sur mon ventre. Elle met mon défonce-cul juste en face de son objectif et s’empale brutalement sur mon obélisque dressé.
Ma verge plie sous l’effort avant de finir par forcer la porte. Elle m’écrase les couilles.
-Aïe !... Putain de salope ! Tu me casses la pine.
-Wouaouh ! Quel morceau ! Crie-t-elle encore plus fort que moi. Ça c’est de la bite !!!
Elle est mal placée et doit s’appuyer sur ses mains pour se soulever, permettant à mon pieu de mieux se replacer et elle se poignarde aussitôt l’oignon. Une fois bien assise, bien à fond sur mon braquemard, elle tente à nouveau de se soulever. Je l’aide un peu, place ses mains sur mon torse de telle façon qu’elle puisse monter et descendre mon gourdin dans ses entrailles.
Pendant ce temps, Françoise jouant à la mouche du coche, tire sur le corps de Carole, comme pour tenter de soulager la pression des fesses tendres de son amie sur ma pine, comme si elle voulait protéger son jouet d’un accident malencontreux.
Mais les contorsions de Carole accroissent mon envie de tenir tout contre moi son corps souple et frais qui, tel une liane, roule sous mes mains. Soudain, Françoise change de comportement et me supplie:
-Laisse-là maintenant ! Tu l’as eu, cela devrait te suffire, je suis là, moi !...
Ma parole… Est-elle devenue soudain jalouse ? Mais qu’est-ce qu’il lui arrive ?
Plus elle essaie de nous séparer, plus je resserre Carole à la peau d’ébène chaude et luisante de sueur, envahie par une sorte d’ivresse qui atteint son bas-ventre et ses seins avant de s’étendre jusqu’aux extrémités de ses quatre membres. Suivant les mouvements, sa chatte s’ouvre et se referme au rythme des contractions de son bas-ventre pendant que son anus s’assouplit et s’élargit pour faciliter la pénétration de mon pieu joufflu et gluant. Je vois ses obus aux tétons énormes suivre la danse en se déformant sous les coups de boutoir que son corps absorbe. Elle soupire d’aise de se sentir envahie par la chaleur de ma poutre.
Mais Françoise revient à la charge et veut nous séparer, envahie par une jalousie mal placée. Elle voudrait libérer son amie, mais Carole ne songe nullement à se séparer de moi, oubliant totalement les gesticulations folles de Françoise pour ne plus penser qu’au plaisir qui la fait frissonner.
Je prends des coups et doit repousser Françoise, allongée tout près de nos corps imbriqués.
-Mais laisse-nous tranquille, Françoise ! Qu’est-ce qui t’arrives ? C’est bien ce que tu voulais en me piégeant de cette façon, non ?! Hurle Carole.
Je me redresse, emportant Carole embrochée sur mon rostre et me dirige vers la chambre sous les coups redoublés de Françoise sur mon dos. Je rugis :
-Tu vas nous foutre la paix, oui !
-Fais de moi ce que tu voudras, me coupe Françoise, mais laisse-là tranquille !
-Tu es ridicule, Françoise !
L’interrompt Carole, qui remue du popotin contre mon sexe depuis que je l’ai jeté sur le lit, appréciant de sentir mon manche lui entrer entre les fesses, au niveau de la fourchette de la vulve s’échappe un filet de mouille qui goûte sur le lit de Françoise. Je laisse ma queue se faire décalotter et recalotter au rythme des coups de reins lents et appuyés de Carole.
Je sens que mon foutre monte à nouveau de mes couilles vers le sommet de ma lance comme l’eau dans un puits artésien.
Je décule et ma verge se redresse entre nos deux corps, je la prends d’une main pour guider ma baïonnette vers l’orifice des entrailles offert. Carole m’aide à représenter mon pieu entre ses fesses et le contact de sa main délicate contre la peau hypersensible de ma pine la fait bander plus encore si c’est possible.
A genoux derrière elle, après avoir humecté avec ma salive déposée sur mes doigts son sphincter, j’avance doucement entre ses fesses jusqu’à sentir mon gland forcer sur la collerette qui garnit l’anus. Carole entrouvre la raie de ses fesses avec ses mains séparant les deux belles meules, mimant déjà les mouvements de son corps comme une invite.
Je m’attarde quand même autour de l’orifice pour épargner mon dard qui s’écorche encore aux petits muscles serrés, ne me préoccupant plus des jérémiades de Françoise que je vois soudain aller farfouiller dans un tiroir.
Carole guide ma verge vers ses entrailles, remontrant le chemin à mon gros paf qui lui chatouille l’anus quand soudain Françoise se jette sur moi. Elle me cingle le dos avec un fouet et, sous la douleur, je me cabre nerveusement.
Heureusement que ma teub était sur la bonne voie car mon dard entre d’un seul coup dans les boyaux de Carole qui pousse un hurlement de joie, de douleur et de plaisir confondus.
-Aaaaaah ! Aaaaaah ! Quelle défonce ! Putain ce que tu me bourres bien ! Merci Françoise !
A suivre…
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