Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°506) - Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien ! –
Sitôt après, une salve d’applaudissements retentit. Tous les hôtes de Monsieur le Marquis d’Evans étaient là, en cercle autour de cette table… Ils avaient assistés en silence à l’incroyable enculade du soumis et à l’orgasme puissant de Monsieur CharlEd. soumis Endymion MDE ne les avait point remarqué, trop concentré par l’image se reflétant dans la glace de Monsieur le Vicomte CharlEd le besognant, sur sa propre image du soumis haletant, grimaçant parfois, à chaque assaut. Etranges sensations que de se regarder se faire marteler et pilonner. C’était peut-être une première, il s’était vu soumis, chien, jouet, salope, esclave…. Soumise Phryné MDE avait été attachée en levrette, sur un chariot à roulette. Un épais gode entravait son superbe cul relevé. Elle fut poussée sur ce chariot tout près de son frère de soumission. Monsieur CharlEd accroupit, l’attrapa par les cheveux, lui fit relever la tête, la regarda droit dans les yeux. Elle, quelque peu apeurée, se mordait les lèvres. On eut dit une petite fille fautive… Elle leva son regard dans celui du neveu du Marquis, ses paupières ne cessaient de papillonner. La main libre de Monsieur le Vicomte CharlEd lui caressait le visage, comme pour la rassurer. Deux doigts s’arrêtèrent aux commissures de ses lèvres.
- Montre-moi ta langue chienne ! lui intima-t-il.
Fébrile, elle sortit timidement cet organe de sa bouche, la tendit craintivement. Le neveu, Charles-Edouard d’Evans lui fit de beaux compliments : une belle langue bien rose et frétillante, sans doute agile et experte, une langue faite pour nettoyer le parquet des souillures échappées du cul du CharlEd MDE. Soumise Phryné MDE lapa les traces de sperme puis fut reconduite par un couple Dominant hors de portée du regard de soumis Endymion MDE. Lui, toujours vautré sur cette table, vit dans la glace, arriver derrière lui, un couple. Madame portait une jupe courte, un haut avec un décolleté qui sans être provocateur, était des plus généreux et charmants et ses bas blanc vinrent admirablement habiller ses longues jambes irrésistibles. Monsieur était plutôt débonnaire, mains dans les poches de son pantalon blanc avec une chemise débraillée de la même couleur. Une touffe de poils sortait de l’encolure de cette chemise encore largement ouverte. Madame posa sa main gauche entre les cuisses de soumis Endymion MDE, lui attrapa les couilles et la verge et malaxa le service trois pièces de l’esclave. Son autre main effleura la courbure des fesses tendues et encore zébrées du soumis. Puis, tous deux caressèrent l’esclave, offert plus que jamais. A chaque frôlement de leurs mains sur sa peau, l’esclave ressentait le plaisir l’envahir. D’ailleurs une grosse goutte perlait de son gland. Une main se glissa entre ses fesses, un doigt s’arrêta un instant sur son anus humide et encore distendu puis poursuivit son chemin sur ce sillon intime, frôla ses couilles et attrapa sa nouille raide et baveuse.
- Mais tu es tout trempé ! Susurra Monsieur à l’oreille du soumis tout en lui malaxant la queue. C’est encore pire que ma femme…
- Tiens, regarde ! reprit-il.
Il retira sa main et exhiba sous le nez de l’esclave ses doigts tout poisseux de sa propre excitation.
- Vas-y, lèche-les, nettoie-les bien.
Il les posa sur les lèvres du soumis, appuya doucement pour en forcer le passage. Ce n’était guère nécessaire, l’esclave les écarta pour accueillir dans sa bouche ses gros doigts moites et les lécher goulument avec application. Madame, elle, s’appliquait à cueillir le long des cuisses de l’esclave, du bout des doigts, les gouttes de sperme de Monsieur le Vicomte d’Evans, que le cul du soumis n’avait pas pu et su retenir… Avec application, elle réintroduisait la semence, dans cet orifice distendu en faisant remarquer à l’esclave qu’il était inadmissible qu’un chien- soumis de son espèce ne retienne pas ce don précieux, si généreusement offert !
- Ecarte-lui le cul ! Dicta-t-elle à son mari.
Il s’empara des lobes fessiers de ses deux mains, lui les écarta, dégageant ainsi la raie de l’esclave. Tandis que Madame prit dans sa main une longue et épaisse bougie vite allumée. soumis Endymion MDE laissa échapper un long gémissement, ses muscles se raidirent, La chaleur et le picotement que créaient la cire de la bougie sur sa peau le firent frissonner de douleur et de plaisir. La cire coulait dans ce sillon maintenu écarté, s’accumulait sur cet orifice entrouvert. Du bout de son index, Madame appuyait légèrement sur la cire encore tiède pour colmater la brèche…
- Voilà salope, plus rien ne s’échappera de ton trou !
Sa main glissa entre les jambes de l’esclave à la recherche de cette virilité toujours tendue, elle tira la nouille, vers l’arrière et le fit remonter entre les cuisses du soumis, la maintenant exposé dans la paume de sa main. La position était douloureuse tant soumis Endymion MDE était bandé et bondé, il devait plus encore cambrer ses reins et lorsqu’il se vit dans la glace, dans cette posture grotesque et outrancière, parfaitement impudique, son excitation redoubla d’intensité. La cire ne calmait pas ses ardeurs, au contraire même, elle aiguisait et exacerbait sa soif et sa détermination. Il se donnait telle une chienne en chaleur, se lâchait, au diable les préjugés et les soient disant valeurs morales, lui avançait d’un pas ferme, assuré, implacable, l’inéluctable était en marche et l’inéluctable sonnait comme un compte à rebours… Il s’enlisait volontairement dans la débauche et la perversité, la quintessence de la douleur et de la souffrance jouissive. Rien ne calmait les ardeurs de ce chien- soumis en rut, ni même la cire sur ses couilles, ou sur son gland décalotté, ni même la flamme de cette bougie passée furtivement à proximité de son chibre tendu, ni même les coups de cravache sur cette queue raide qui lui étaient pourtant infligés. Rien… ! Monsieur le Marquis d’Evans était là, près de Son soumis, il s’était rapproché et lui caressait les omoplates, la nuque, lui passait une main dans les cheveux. Il l’encourageait à se donner plus encore, il lui exprimait sa fierté de le voir s’abandonner, à souffrir pour Lui. Il fit détacher le soumis qui eut du mal à se redresser, tant son dos était ankylosé. D’une main ferme, il l’attrapa par son collier et l’emmena sur une estrade où étaient déjà installées les soumises Phryné MDE et Laïs MDE. Il fut placé au milieu d’elles.
- Un peu de silence s’il vous plait ! Intima le Maître.
Et le calme revint immédiatement.
- Mes trois chiennes vont nous offrir un petit spectacle avant de passer à table ! Elles vont se branler et se masturber devant nous tous réunis. Je veux les entendre gémir de plaisir et Je les autorise à jouir.
Les trois esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans s’exécutèrent sans attendre. Les deux femelles se caressaient avec douceur longuement et soigneusement, s’introduisaient un doigt puis deux dans leur vagin, puis frottaient leur clitoris gorgé de désir. Elles enfonçaient un peu plus les doigts dans leur intimité brûlante et câlinaient l’intérieur de leur vagin en poussant soupirs et gémissements. Elles remontaient leur mouille vers leur clitoris qu’elles tournaient en le pinçant délicatement. Soumise Phryné MDE tout en se masturbant plus énergiquement se caressait les seins, alors que la chienne soumise Laïs MDE de son autre main s’enfilait un doigt dans le cul. Elles étaient là toutes les deux, bouches ouvertes, langues sorties à se branler de plus belle… Le soumis lui avait saisi sa nouille déjà turgescente et si excitée de tant de perversité et de la sodomie qu’il reçut précédemment par le neveu de Monsieur le Marquis d’Evans. Son poignet s’agitait par des vas et viens délicats. Il sentit cette sourde chaleur, ces vagues insaisissables, ces irradiations suaves entre son cerveau et son ventre : l’ascension du désir, son amplification, son extension, sa propagation en sourdine, en cachette. Lui aussi gémissait. Son regard dans le vide percevait malgré tout la présence et ces regards d’hommes et femmes Dominants posés sur lui. Son cœur se mit à cogner plus fort, sa respiration s’accélérait. A son extrémité naissait une sensation mouillée, comme une goutte de rosée, ses doigts se délectaient de ce contact devenu glissant et ne cessaient d’étendre cette moiteur, en cercles concentriques, en balayages, en lente propagation, en chaude imprégnation. La friction s’accéléra, comme d’ailleurs les gémissements, des gouttes translucides s’échappaient continuellement… Les deux femelles jouirent simultanément, leur corps s’était tendu, cambré, arqué. Elles criaient leur jouissance, se laissaient aller à hurler leur plaisirs jouissif par des halètements puissants et longs, sachant que le Maître leur avait autorisé l’orgasme qui celui-ci était fort d’une violence telle une décharge électrique irradiant tout leur corps, par des spasmes d’une rare intensité, pour l’une comme pour l’autre. A bout de souffle, elles poussèrent ensemble un dernier dans un terrible gémissement. Elles sortirent leurs doigts gluants de leur fente. Du fond de la salle une Domina les interpella :
- Que ces doigts couverts de cyprine soit lécher par ce chien lubrique !
Les deux soumises MDE obéirent, soumis Endymion MDE ouvrit la bouche et avala ces sécrétions intimes tout en continuant à s’astiquer. Etrange sensation pour le soumis… il se branlait maintenant énergiquement mais n’arrivait pas à jouir ! Pourtant son excitation n’était plus à démontrer. Cela faisait près d’un quart d’heure qu’il se masturbait, mais toujours rien... C’est alors qu’il vit arriver face à lui, le Maître. Il baissa son regard honteusement… Il reçut deux fortes claques en plein visage en une belle volée.
- Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien !
Les doigts du Maître lui pincèrent sévèrement les tétons et là… soumis Endymion MDE sentit la force du flux épais qui se mit à jaillir, en saccades, une marée crémeuse qui giclait et se répandait, s’étalait et coulait en rivière nacrée, soumis Endymion MDE avait joui sur ordre du Maître et seul cela comptait pour lui…
(A suivre…)
Sitôt après, une salve d’applaudissements retentit. Tous les hôtes de Monsieur le Marquis d’Evans étaient là, en cercle autour de cette table… Ils avaient assistés en silence à l’incroyable enculade du soumis et à l’orgasme puissant de Monsieur CharlEd. soumis Endymion MDE ne les avait point remarqué, trop concentré par l’image se reflétant dans la glace de Monsieur le Vicomte CharlEd le besognant, sur sa propre image du soumis haletant, grimaçant parfois, à chaque assaut. Etranges sensations que de se regarder se faire marteler et pilonner. C’était peut-être une première, il s’était vu soumis, chien, jouet, salope, esclave…. Soumise Phryné MDE avait été attachée en levrette, sur un chariot à roulette. Un épais gode entravait son superbe cul relevé. Elle fut poussée sur ce chariot tout près de son frère de soumission. Monsieur CharlEd accroupit, l’attrapa par les cheveux, lui fit relever la tête, la regarda droit dans les yeux. Elle, quelque peu apeurée, se mordait les lèvres. On eut dit une petite fille fautive… Elle leva son regard dans celui du neveu du Marquis, ses paupières ne cessaient de papillonner. La main libre de Monsieur le Vicomte CharlEd lui caressait le visage, comme pour la rassurer. Deux doigts s’arrêtèrent aux commissures de ses lèvres.
- Montre-moi ta langue chienne ! lui intima-t-il.
Fébrile, elle sortit timidement cet organe de sa bouche, la tendit craintivement. Le neveu, Charles-Edouard d’Evans lui fit de beaux compliments : une belle langue bien rose et frétillante, sans doute agile et experte, une langue faite pour nettoyer le parquet des souillures échappées du cul du CharlEd MDE. Soumise Phryné MDE lapa les traces de sperme puis fut reconduite par un couple Dominant hors de portée du regard de soumis Endymion MDE. Lui, toujours vautré sur cette table, vit dans la glace, arriver derrière lui, un couple. Madame portait une jupe courte, un haut avec un décolleté qui sans être provocateur, était des plus généreux et charmants et ses bas blanc vinrent admirablement habiller ses longues jambes irrésistibles. Monsieur était plutôt débonnaire, mains dans les poches de son pantalon blanc avec une chemise débraillée de la même couleur. Une touffe de poils sortait de l’encolure de cette chemise encore largement ouverte. Madame posa sa main gauche entre les cuisses de soumis Endymion MDE, lui attrapa les couilles et la verge et malaxa le service trois pièces de l’esclave. Son autre main effleura la courbure des fesses tendues et encore zébrées du soumis. Puis, tous deux caressèrent l’esclave, offert plus que jamais. A chaque frôlement de leurs mains sur sa peau, l’esclave ressentait le plaisir l’envahir. D’ailleurs une grosse goutte perlait de son gland. Une main se glissa entre ses fesses, un doigt s’arrêta un instant sur son anus humide et encore distendu puis poursuivit son chemin sur ce sillon intime, frôla ses couilles et attrapa sa nouille raide et baveuse.
- Mais tu es tout trempé ! Susurra Monsieur à l’oreille du soumis tout en lui malaxant la queue. C’est encore pire que ma femme…
- Tiens, regarde ! reprit-il.
Il retira sa main et exhiba sous le nez de l’esclave ses doigts tout poisseux de sa propre excitation.
- Vas-y, lèche-les, nettoie-les bien.
Il les posa sur les lèvres du soumis, appuya doucement pour en forcer le passage. Ce n’était guère nécessaire, l’esclave les écarta pour accueillir dans sa bouche ses gros doigts moites et les lécher goulument avec application. Madame, elle, s’appliquait à cueillir le long des cuisses de l’esclave, du bout des doigts, les gouttes de sperme de Monsieur le Vicomte d’Evans, que le cul du soumis n’avait pas pu et su retenir… Avec application, elle réintroduisait la semence, dans cet orifice distendu en faisant remarquer à l’esclave qu’il était inadmissible qu’un chien- soumis de son espèce ne retienne pas ce don précieux, si généreusement offert !
- Ecarte-lui le cul ! Dicta-t-elle à son mari.
Il s’empara des lobes fessiers de ses deux mains, lui les écarta, dégageant ainsi la raie de l’esclave. Tandis que Madame prit dans sa main une longue et épaisse bougie vite allumée. soumis Endymion MDE laissa échapper un long gémissement, ses muscles se raidirent, La chaleur et le picotement que créaient la cire de la bougie sur sa peau le firent frissonner de douleur et de plaisir. La cire coulait dans ce sillon maintenu écarté, s’accumulait sur cet orifice entrouvert. Du bout de son index, Madame appuyait légèrement sur la cire encore tiède pour colmater la brèche…
- Voilà salope, plus rien ne s’échappera de ton trou !
Sa main glissa entre les jambes de l’esclave à la recherche de cette virilité toujours tendue, elle tira la nouille, vers l’arrière et le fit remonter entre les cuisses du soumis, la maintenant exposé dans la paume de sa main. La position était douloureuse tant soumis Endymion MDE était bandé et bondé, il devait plus encore cambrer ses reins et lorsqu’il se vit dans la glace, dans cette posture grotesque et outrancière, parfaitement impudique, son excitation redoubla d’intensité. La cire ne calmait pas ses ardeurs, au contraire même, elle aiguisait et exacerbait sa soif et sa détermination. Il se donnait telle une chienne en chaleur, se lâchait, au diable les préjugés et les soient disant valeurs morales, lui avançait d’un pas ferme, assuré, implacable, l’inéluctable était en marche et l’inéluctable sonnait comme un compte à rebours… Il s’enlisait volontairement dans la débauche et la perversité, la quintessence de la douleur et de la souffrance jouissive. Rien ne calmait les ardeurs de ce chien- soumis en rut, ni même la cire sur ses couilles, ou sur son gland décalotté, ni même la flamme de cette bougie passée furtivement à proximité de son chibre tendu, ni même les coups de cravache sur cette queue raide qui lui étaient pourtant infligés. Rien… ! Monsieur le Marquis d’Evans était là, près de Son soumis, il s’était rapproché et lui caressait les omoplates, la nuque, lui passait une main dans les cheveux. Il l’encourageait à se donner plus encore, il lui exprimait sa fierté de le voir s’abandonner, à souffrir pour Lui. Il fit détacher le soumis qui eut du mal à se redresser, tant son dos était ankylosé. D’une main ferme, il l’attrapa par son collier et l’emmena sur une estrade où étaient déjà installées les soumises Phryné MDE et Laïs MDE. Il fut placé au milieu d’elles.
- Un peu de silence s’il vous plait ! Intima le Maître.
Et le calme revint immédiatement.
- Mes trois chiennes vont nous offrir un petit spectacle avant de passer à table ! Elles vont se branler et se masturber devant nous tous réunis. Je veux les entendre gémir de plaisir et Je les autorise à jouir.
Les trois esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans s’exécutèrent sans attendre. Les deux femelles se caressaient avec douceur longuement et soigneusement, s’introduisaient un doigt puis deux dans leur vagin, puis frottaient leur clitoris gorgé de désir. Elles enfonçaient un peu plus les doigts dans leur intimité brûlante et câlinaient l’intérieur de leur vagin en poussant soupirs et gémissements. Elles remontaient leur mouille vers leur clitoris qu’elles tournaient en le pinçant délicatement. Soumise Phryné MDE tout en se masturbant plus énergiquement se caressait les seins, alors que la chienne soumise Laïs MDE de son autre main s’enfilait un doigt dans le cul. Elles étaient là toutes les deux, bouches ouvertes, langues sorties à se branler de plus belle… Le soumis lui avait saisi sa nouille déjà turgescente et si excitée de tant de perversité et de la sodomie qu’il reçut précédemment par le neveu de Monsieur le Marquis d’Evans. Son poignet s’agitait par des vas et viens délicats. Il sentit cette sourde chaleur, ces vagues insaisissables, ces irradiations suaves entre son cerveau et son ventre : l’ascension du désir, son amplification, son extension, sa propagation en sourdine, en cachette. Lui aussi gémissait. Son regard dans le vide percevait malgré tout la présence et ces regards d’hommes et femmes Dominants posés sur lui. Son cœur se mit à cogner plus fort, sa respiration s’accélérait. A son extrémité naissait une sensation mouillée, comme une goutte de rosée, ses doigts se délectaient de ce contact devenu glissant et ne cessaient d’étendre cette moiteur, en cercles concentriques, en balayages, en lente propagation, en chaude imprégnation. La friction s’accéléra, comme d’ailleurs les gémissements, des gouttes translucides s’échappaient continuellement… Les deux femelles jouirent simultanément, leur corps s’était tendu, cambré, arqué. Elles criaient leur jouissance, se laissaient aller à hurler leur plaisirs jouissif par des halètements puissants et longs, sachant que le Maître leur avait autorisé l’orgasme qui celui-ci était fort d’une violence telle une décharge électrique irradiant tout leur corps, par des spasmes d’une rare intensité, pour l’une comme pour l’autre. A bout de souffle, elles poussèrent ensemble un dernier dans un terrible gémissement. Elles sortirent leurs doigts gluants de leur fente. Du fond de la salle une Domina les interpella :
- Que ces doigts couverts de cyprine soit lécher par ce chien lubrique !
Les deux soumises MDE obéirent, soumis Endymion MDE ouvrit la bouche et avala ces sécrétions intimes tout en continuant à s’astiquer. Etrange sensation pour le soumis… il se branlait maintenant énergiquement mais n’arrivait pas à jouir ! Pourtant son excitation n’était plus à démontrer. Cela faisait près d’un quart d’heure qu’il se masturbait, mais toujours rien... C’est alors qu’il vit arriver face à lui, le Maître. Il baissa son regard honteusement… Il reçut deux fortes claques en plein visage en une belle volée.
- Je veux que tu jouisses maintenant, Mon chien !
Les doigts du Maître lui pincèrent sévèrement les tétons et là… soumis Endymion MDE sentit la force du flux épais qui se mit à jaillir, en saccades, une marée crémeuse qui giclait et se répandait, s’étalait et coulait en rivière nacrée, soumis Endymion MDE avait joui sur ordre du Maître et seul cela comptait pour lui…
(A suivre…)
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