Je veux sucer un mec
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je veux sucer un mec
Il y a quelques week end de cela, j’ai reçu une invitation au mariage d’un ami. Pour Paulo et moi.
Malheureusement, Paulo ne pouvant être là ce jour là, j’ai demandé si je pouvais venir avec un autre ami, Abdel en l’occurrence. Pas de problème : vous serez les bienvenus. Le jour dit, on se rend, après la mairie, dans une splendide propriété appartenant au père de la mariée. Jardin, parc arboré, grande salle, grande terrasse, chapiteau, orchestre….Tout est prévu pour une fête inoubliable.
Assemblée majoritairement jeune de hipsters, accompagnés ou pas, avec aussi la famille des deux côtés.
Cocktail interminable mais super fin. Abdel veut goûter à tout. Il goûte à tout. Je sais qu’il tient l’alcool mais je le préviens quand même. On enchaîne sur l’apéro puis le repas. Au cours du repas, les mariés font le tour des invités et présentent chacun à l’assemblée. Il nous présente donc comme….un couple d’amis. En fait, tout le monde a compris homos. Certains nous regardent déjà avec …intérêt. En fait, ça ne nous dérange absolument pas.
La soirée s’avance. Le repas est entrecoupé de pauses dansantes. L’orchestre est top et très polyvalent. Il « sent » parfaitement bien l’ambiance et s’adapte en conséquence. Bien sûr, comme souvent, on a eu droit, en ouverture à la « choré » des mariés. Pas si mal, finalement. Abdel continue à s’alcooliser copieusement.
Après le repas, et avant les gâteaux, on a droit à une très longue séance de danses qui déménagent. Je remarque alors un jeune vingtenaire qui danse pas loin de nous, en nous décochant des sourires à tout va. Visiblement, il cherche le contact. Eh bien, contactons- nous ! Il s’appelle Axel, il a 23 ans, il est « dans la pub », il a une tête de hipster parfait, une barbe de trois jours, les cheveux très très courts, de belles lèvres charnues et pulpeuses, un chinos marine, un teeshirt blanc de grande marque… Je suis méchant, il est migon et seul apparemment .
Il nous invite à aller boire un verre avec lui. On discute. Finalement, il est sympa et loin d’être inintéressant. Je dirais même, assez mûr pour son âge. Il nous branche assez vite sur les homos. Il veut tout savoir. Il a l’air prodigieusement intéressé. On cause, on cause mais simplement de notre cas personnel, Paulo, notre vie à trois. Il est subjugué.
Puis, les gâteaux arrivent…On se perd de vue.
C’est le moment que choisit Abdel pour ne pas se sentir bien, mais alors pas bien du tout, au point de devoir lui trouver, avec l’aide du marié, un lit dans une des chambres de la maison. Le voilà hors circuit pour un moment.
Dans les mariages, ce que je préfère, perso, c’est quand la nuit s’étire, que, la fatigue aidant, les masques tombent, qu’on se confie au premier compagnon de boisson… Ca me rappellera toujours le début du fabuleux film de Michael Cimino « Voyage au bout de l’enfer », avec ce mariage polonais qui n’en finit plus, juste avant l’enfer du Vietnam…Un peu saturé de bruit et d’alcool, je prends le frais sur le bord de la grande terrasse, en surplomb du dance floor. L’air est doux, la nuit parfaite. Je regarde un peu tout ça, avec un léger recul. C’est alors que j’entends une voix dans mon dos :« -Tu es seul ? Abdel n’est pas là ? »Je me retourne. C’est Axel.
« -Non, il est un peu « out »…L’alcool.
-Rien de grave ?
-Non, dans une heure ou deux, ça ira impec-Tant mieux ! Il est chouette, Abdel…-… ?
-Je veux dire, il est cool, sympa et tout…-Merci, pour lui-Beau aussi…-…Dis moi, Axel, tu le dragues à distance ou quoi ? Ou alors t’est attiré par les mecs ?
-Sérieux, je me pose la question de plus en plus…-Et la réponse, c’est quoi ?
-J’en sais rien…Je crois oui… Les homos m’ont toujours attiré et intéressé. Peut être que j’en suis un aussi ? J’ai jamais rien fait avec un mec. Tu es le premier à qui je raconte tout ça. Mais je sens aussi qu’avec les filles, c’est pas toujours top pour moi…-Tu te cherches encore, quoi…-C’est exactement ça, je me cherche-Et, du coup, c’est quoi ton plus gros délire ?
-Ben…-Allez ! Dis le ! Ca restera entre nous. Dans quelques heures, on se quittera pour, peut être, ne plus jamais se revoir…-Ben…Ca serait de sucer un mec…. ! Comme ça, je saurais peut être si j’aime vraiment ça…-C’est que ça ???
-Ben, c’est énorme, non ?
-Pas vraiment, non… Tu sais quoi, Axel ? T’es touchant et sympa, je veux bien t’aider sur ce coup là, pour t’aider à y voir plus clair.
-… ?
-Si tu y tiens, tu peux me sucer. Mais tu sais, tous les gays ne sont pas comme moi à démarrer au quart de tour. Faut le savoir, sinon tu risques de tomber sur des becs. Nous, Paulo, Abdel et moi, je dirais qu’on est un peu « sex addict », tu vois ? Et puis tu sais, t’es super mignon alors, ça sera pas vraiment un taf ! Mais, je vais quand même te mettre un petit gage : on fait pas ça tout de suite. On attend que j’en ai vraiment envie -ou pas – et tant pis si Abdel se réveille entretemps. OK ?
-…OK- Va danser un peu, je te ferai signe - ou pas -… »Là-dessus, Axel repart sur le dance floor avec moult regards en arrière. Je vais voir comment se porte Abdel. Il dort profondément. Ca va lui permettre de récupérer. En revenant je tombe sur le marié qui me dit qu’il m’a vu en grande conversation avec Axel . Je lui balance tout. Il me dit qu’il s’en doutait depuis toujours, qu’il le trouve touchant – tiens, comme moi – et qu’il me trouve sympa de le prendre comme ça. En rigolant, il me demande s’il pourra assister lui aussi ! Pas de problème, amènes ta femme, aussi !!! On rigole.
La nuit s’étire lentement. Je lie conversation avec plein d’autres jeunes. On boit des coups. Mais, dans un coin de ma tête, je repense à la demande d’Axel. Elle commence doucement à m‘exciter, son histoire. Et puis, si je veux conclure, il faudrait peut être que ce soit avant le lever du jour, si on veut faire ça dans le parc. Alors, je le rejoins sur la piste de danse et lui souffle discrètement :« -Suis moi ! »On s’enfonce dans les profondeurs du parc, loin des lumières. On entend à peine la musique. Décidément, ce parc est immense et le beau père est blindé de chez blindé. Je m’adosse à un énorme tronc d’arbre.
« -Axel, je suis à toi… ! Ah, un dernier truc, j’aimerais jouir sur ton visage si tu es OK, plutôt que dans ta bouche-…OK ! »Axel s’agenouille devant moi et colle son visage contre mon pantalon, en me tenant les fesses. Je me met à bander tout doucement. Il doit le sentir contre sa joue. Il laisse venir… Puis, doucement, il commence à me caresser le cul, à même le tissu du pantalon. Avec beaucoup de douceur, il passe ses mains devant et me caresse. Cette fois ma bite décrit un arc très prononcé, bloquée par le slip et le pantalon. Il se met à me desserrer lentement ma ceinture et à me déboutonner, bouton après bouton… Il écarte légèrement les côtés, faisant apparaître mon mini boxer jaune fluo déformé…« -Enlève moi tout Axel, ça sera plus cool » lui dis je tout en passant mon tee shirt par-dessus et en me débarrassant de mes mocassins.
Il me fait glisser lentement le pantalon, me l’enlève mais me garde le slip. Me voilà face à lui, en slip, pas sous la lune, y’en avait pas cette nuit là. Il glisse doucement ses mains sous le fin tissu, par en dessous et arrive sur mes couilles du bout de ses doigts.
« -Tiens, tu es rasé ?
-Oui, c’est bien plus agréable quand on est caressé. Tu devrais essayer. Attends, moi aussi, je vais te mettre à l’aise…Laisse moi t’enlever tout ça. » Aussitôt, je le débarrasse de son tee shirt et de son chinos, le laissant dans un magnifique mini slip rose tendu à l’extrême. J’en profite pour l’attirer contre moi, je cherche ses lèvres…Il se laisse embrasser avec ferveur.
Il doit être au bord de l’excitation maxi mais il se remet à genoux et continue à me débarrasser de mon slip très très lentement en me le faisant glisser très lentement. Je dois lui reconnaître un certain self control. Cette fois, ça y est. Le slip est en bas et ma bite lui a explosé au visage. Il prend bien le temps de la scruter dans le noir, de la sentir, d’y frotter doucement sa joue, ses lèvres… Mon gland est dégoulinant de mouille – bien sûr qu’il m’a excité -, il prend un peu de mouille sur ses doigts et la porte à sa bouche. Puis il pose délicatement ses lèvres entrouvertes sur le bout de mon gland et…ne bouge plus.
Je me mets à bouger millimètre par millimètre pour pénétrer lentement dans sa bouche, en faisant d’infimes allers et retours. Il a mis ses mains en coquille autour de mes couilles et se laisse faire. Oh, je ne vais pas le défoncer d’un coup, ni lui faire une gorge profonde de suite. Allons y doucement, laissons le savourer, laissons lui un bon souvenir de sa première. Il a levé les yeux vers moi, je vois le blanc de ses yeux dans la nuit. Je lui empoigne doucement le crâne et le caresse.
Il reprend alors l’initiative en descendant de plus en plus sur ma hampe. Je sens sa langue chaude me caresser, sa salive m’inonder. J’aime sa façon de faire : hésitante, attentionnée et décidée en même temps. Petit à petit, il prend son rythme. Cette fois, il m’a englobé la base de ma bite de ses deux mains et me pompe avec détermination, à bonne cadence. Trop bien ! Doué, le petit, je dirais ! On dirait qu’il aime ça ! Je me mets à gémir, ça le décuple dans son rythme. J’ai attrapé son crâne et l’accompagne dans son mouvement.
Ce qu’il ne peut pas connaître, c’est mon endurance avant de jouir. Il faut dire qu’elle est beaucoup fonction des circonstances. Je ne sais jamais, pour moi-même, à quoi m’en tenir. Il a attrapé ma bite à deux mains et il me branle, il me branle et, le bout, il le suce, il le suce. A ce rythme là, je ne vais pas faire long feu. Je lui dis dans un râle :« -Je viens ! Je viiiieeenns !! »Il retire sa bouche et reçoit tout sur son visage. Il se relève. Je lui enduis son joli visage avec mon sperme, lui chuchote un merci à l’oreille et reprends sa bouche avec gourmandise. Je sens son barreau contre mon ventre tel un épieu dressé.
« -Je ne peux pas te laisser repartir ainsi…. Ca t’a plu au moins ?
-Alors là ! Enormément ! J’espère que j’ai pas été trop nul…-Pas du tout ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie-Ma vie future, oui… »Je me mets à genoux et lui fais glisser le slip dont la bite dépassait largement. Je découvre alors qu’il est super bien monté et qu’il a une touffe des plus fournie, noir d’encre. Je ne peux m’empêcher de le féliciter« -Dis donc, t’as une super bite !
-Merci ! »Je décide alors de lui laisser que de bons souvenirs de sa première fois avec un mec. Je lui demande de se retourner, jambes légèrement écartées.
« -T’inquiète, je vais pas te prendre. Juste te faire goûter certains plaisirs… »Je commence à lui lécher la raie à grands coups de langue. Il gémit. Puis je lui fais une belle « feuille de rose » du bout de ma langue pointée. Je le sens tressaillir de tout son corps sous mes mains. Je le retourne alors et entreprends sa bite. Je voudrais aussi faire monter son plaisir le plus doucement possible bien qu’il ne doit pas être loin de l’explosion.
Je commence par lui lécher et luis sucer ses couilles une à une – c’est quand même mieux quand elles sont rasées -. Puis je mordille sa hampe depuis le bas jusqu’au début de son gland décalotté qui dégouline littéralement de mouille le long de sa pine. Je lui lèche doucement du bout de ma langue en finissant par le frein du prépuce. Il se tend comme un arc contre le tronc d’arbre.
Je commence alors à le branler doucement, juste avec le bout de trois doigts. Tout en légèreté. Petit à petit, je rapproche ma main jusqu’à englober toute sa queue sans la serrer, juste en la faisant coulisser. Vu sa taille, il en reste un sacré morceau, alors j’y mets l’autre main. Il gémit de plus belle. Je me mets alors à le suçoter du bout de mes lèvres, puis à sucer son gland, à descendre sur sa tige et à me mettre à le pomper sur presque toute sa longueur – j’ai un peu de mal à lui faire une gorge profonde totale -. Il a empoigné mes cheveux et me tire vers lui.
J’alterne alors les branles et les fellations de plus en plus rapidement…« -Je vais jooouuuiiirr ! »Il se déverse sur l’herbe en longs jets puissants. Je me redresse pour l’embrasser à nouveau.
« -J’ai beaucoup aimé….
-Moi aussi, TOUT ! »On se nettoie vaguement avec quelques mouchoirs en papier, on se rhabille et on rejoint lentement la fête en parlant.
« -Tu sais ce qu’on dit ? me lance-t-il-Non…-Un mariage en amène souvent d’autres…-Tu me proposes quoi, là ? Une vie à trois euh à quatre ?
-Non…-Ecoute. Fais tes expériences. Ecoute ton cœur. Vas où il te dit d’aller ,taille toi la touffe et surtout protèges toi. Et…on verra. Par contre, si tu es intéressé par le sexe à plusieurs, laisse moi ton 06, on organise des trucs comme ça de temps en temps à l’appart…-06…-Hé, on va smeller un max le 05 d’Eros, non ?
-De chez « Mémoila » ? »Et en plus, il a de l’humour. Ca tombe super, en lisière du bois, il y a une fontaine avec un jet d’eau. Ca va nous permettre de nous débarbouiller un peu. Il me laisse prendre du champ pour qu’on ne nous voie pas rentrer ensemble.
En rentrant, je tombe sur Xav, le marié qui prend congé de certains avant d’aller s’envoyer en l’air avec sa jolie femme.
« -Abdel va mieux ?
-Je sais pas, j’arrive…-Ah ! Tu es allé avec Axel ?
-Oui…-Et c’était bien ?
-Oui. ( Ah ces hétéros fascinés, on se retrouvera un jour… !)-Tu n’es plus avec Paulo ?
-Si-Et ….Rémi ?
-Parti avec Tim…-Et Abdel, c’est nouveau ?
-Oui, ça fait pas très longtemps.
-Bon, ben tu m’f’ras des fiches, hein ? » On rigole. Il part.
Sur ce, Abdel réapparaît.
« -Hé ! Je croyais que tu étais reparti mais j’ai vu que la voiture était encore là…-Hé ! Ca a l’air d’aller mieux, dis donc-Oui, ça va mieux, je m’excuse-Si tu veux, je te raconte…-Et comment !! »Là-dessus, je lui balance tout, avec les détails…Qu’il le trouve beau, qu’il est super bien monté, qu’il suce bien…« -A ce que je vois, tu n’as pas perdu de temps….
-Ben, tu dormais….
-Pour fêter ça, on va boire un coup !!! »L’orchestre se lance alors dans une série de slows italiens torrides.
« -Viens, on va danser ça, collé serré-T’es dans la provoc, là ?
Non, tu verras. Ca montre qu’ils sont tolérants, qu’ils ont les idées larges. Ils adorent ça. »Abdel avait raison. On a le droit à pas mal de regards brillants et bienveillants des couples quarantenaires mais pas du tout des filles vingtenaires…
L’aube commence alors à rosir la cîme des arbres. C’est magique. L’orchestre nous fait faire une salutation au soleil.
L’after peut commencer…
Malheureusement, Paulo ne pouvant être là ce jour là, j’ai demandé si je pouvais venir avec un autre ami, Abdel en l’occurrence. Pas de problème : vous serez les bienvenus. Le jour dit, on se rend, après la mairie, dans une splendide propriété appartenant au père de la mariée. Jardin, parc arboré, grande salle, grande terrasse, chapiteau, orchestre….Tout est prévu pour une fête inoubliable.
Assemblée majoritairement jeune de hipsters, accompagnés ou pas, avec aussi la famille des deux côtés.
Cocktail interminable mais super fin. Abdel veut goûter à tout. Il goûte à tout. Je sais qu’il tient l’alcool mais je le préviens quand même. On enchaîne sur l’apéro puis le repas. Au cours du repas, les mariés font le tour des invités et présentent chacun à l’assemblée. Il nous présente donc comme….un couple d’amis. En fait, tout le monde a compris homos. Certains nous regardent déjà avec …intérêt. En fait, ça ne nous dérange absolument pas.
La soirée s’avance. Le repas est entrecoupé de pauses dansantes. L’orchestre est top et très polyvalent. Il « sent » parfaitement bien l’ambiance et s’adapte en conséquence. Bien sûr, comme souvent, on a eu droit, en ouverture à la « choré » des mariés. Pas si mal, finalement. Abdel continue à s’alcooliser copieusement.
Après le repas, et avant les gâteaux, on a droit à une très longue séance de danses qui déménagent. Je remarque alors un jeune vingtenaire qui danse pas loin de nous, en nous décochant des sourires à tout va. Visiblement, il cherche le contact. Eh bien, contactons- nous ! Il s’appelle Axel, il a 23 ans, il est « dans la pub », il a une tête de hipster parfait, une barbe de trois jours, les cheveux très très courts, de belles lèvres charnues et pulpeuses, un chinos marine, un teeshirt blanc de grande marque… Je suis méchant, il est migon et seul apparemment .
Il nous invite à aller boire un verre avec lui. On discute. Finalement, il est sympa et loin d’être inintéressant. Je dirais même, assez mûr pour son âge. Il nous branche assez vite sur les homos. Il veut tout savoir. Il a l’air prodigieusement intéressé. On cause, on cause mais simplement de notre cas personnel, Paulo, notre vie à trois. Il est subjugué.
Puis, les gâteaux arrivent…On se perd de vue.
C’est le moment que choisit Abdel pour ne pas se sentir bien, mais alors pas bien du tout, au point de devoir lui trouver, avec l’aide du marié, un lit dans une des chambres de la maison. Le voilà hors circuit pour un moment.
Dans les mariages, ce que je préfère, perso, c’est quand la nuit s’étire, que, la fatigue aidant, les masques tombent, qu’on se confie au premier compagnon de boisson… Ca me rappellera toujours le début du fabuleux film de Michael Cimino « Voyage au bout de l’enfer », avec ce mariage polonais qui n’en finit plus, juste avant l’enfer du Vietnam…Un peu saturé de bruit et d’alcool, je prends le frais sur le bord de la grande terrasse, en surplomb du dance floor. L’air est doux, la nuit parfaite. Je regarde un peu tout ça, avec un léger recul. C’est alors que j’entends une voix dans mon dos :« -Tu es seul ? Abdel n’est pas là ? »Je me retourne. C’est Axel.
« -Non, il est un peu « out »…L’alcool.
-Rien de grave ?
-Non, dans une heure ou deux, ça ira impec-Tant mieux ! Il est chouette, Abdel…-… ?
-Je veux dire, il est cool, sympa et tout…-Merci, pour lui-Beau aussi…-…Dis moi, Axel, tu le dragues à distance ou quoi ? Ou alors t’est attiré par les mecs ?
-Sérieux, je me pose la question de plus en plus…-Et la réponse, c’est quoi ?
-J’en sais rien…Je crois oui… Les homos m’ont toujours attiré et intéressé. Peut être que j’en suis un aussi ? J’ai jamais rien fait avec un mec. Tu es le premier à qui je raconte tout ça. Mais je sens aussi qu’avec les filles, c’est pas toujours top pour moi…-Tu te cherches encore, quoi…-C’est exactement ça, je me cherche-Et, du coup, c’est quoi ton plus gros délire ?
-Ben…-Allez ! Dis le ! Ca restera entre nous. Dans quelques heures, on se quittera pour, peut être, ne plus jamais se revoir…-Ben…Ca serait de sucer un mec…. ! Comme ça, je saurais peut être si j’aime vraiment ça…-C’est que ça ???
-Ben, c’est énorme, non ?
-Pas vraiment, non… Tu sais quoi, Axel ? T’es touchant et sympa, je veux bien t’aider sur ce coup là, pour t’aider à y voir plus clair.
-… ?
-Si tu y tiens, tu peux me sucer. Mais tu sais, tous les gays ne sont pas comme moi à démarrer au quart de tour. Faut le savoir, sinon tu risques de tomber sur des becs. Nous, Paulo, Abdel et moi, je dirais qu’on est un peu « sex addict », tu vois ? Et puis tu sais, t’es super mignon alors, ça sera pas vraiment un taf ! Mais, je vais quand même te mettre un petit gage : on fait pas ça tout de suite. On attend que j’en ai vraiment envie -ou pas – et tant pis si Abdel se réveille entretemps. OK ?
-…OK- Va danser un peu, je te ferai signe - ou pas -… »Là-dessus, Axel repart sur le dance floor avec moult regards en arrière. Je vais voir comment se porte Abdel. Il dort profondément. Ca va lui permettre de récupérer. En revenant je tombe sur le marié qui me dit qu’il m’a vu en grande conversation avec Axel . Je lui balance tout. Il me dit qu’il s’en doutait depuis toujours, qu’il le trouve touchant – tiens, comme moi – et qu’il me trouve sympa de le prendre comme ça. En rigolant, il me demande s’il pourra assister lui aussi ! Pas de problème, amènes ta femme, aussi !!! On rigole.
La nuit s’étire lentement. Je lie conversation avec plein d’autres jeunes. On boit des coups. Mais, dans un coin de ma tête, je repense à la demande d’Axel. Elle commence doucement à m‘exciter, son histoire. Et puis, si je veux conclure, il faudrait peut être que ce soit avant le lever du jour, si on veut faire ça dans le parc. Alors, je le rejoins sur la piste de danse et lui souffle discrètement :« -Suis moi ! »On s’enfonce dans les profondeurs du parc, loin des lumières. On entend à peine la musique. Décidément, ce parc est immense et le beau père est blindé de chez blindé. Je m’adosse à un énorme tronc d’arbre.
« -Axel, je suis à toi… ! Ah, un dernier truc, j’aimerais jouir sur ton visage si tu es OK, plutôt que dans ta bouche-…OK ! »Axel s’agenouille devant moi et colle son visage contre mon pantalon, en me tenant les fesses. Je me met à bander tout doucement. Il doit le sentir contre sa joue. Il laisse venir… Puis, doucement, il commence à me caresser le cul, à même le tissu du pantalon. Avec beaucoup de douceur, il passe ses mains devant et me caresse. Cette fois ma bite décrit un arc très prononcé, bloquée par le slip et le pantalon. Il se met à me desserrer lentement ma ceinture et à me déboutonner, bouton après bouton… Il écarte légèrement les côtés, faisant apparaître mon mini boxer jaune fluo déformé…« -Enlève moi tout Axel, ça sera plus cool » lui dis je tout en passant mon tee shirt par-dessus et en me débarrassant de mes mocassins.
Il me fait glisser lentement le pantalon, me l’enlève mais me garde le slip. Me voilà face à lui, en slip, pas sous la lune, y’en avait pas cette nuit là. Il glisse doucement ses mains sous le fin tissu, par en dessous et arrive sur mes couilles du bout de ses doigts.
« -Tiens, tu es rasé ?
-Oui, c’est bien plus agréable quand on est caressé. Tu devrais essayer. Attends, moi aussi, je vais te mettre à l’aise…Laisse moi t’enlever tout ça. » Aussitôt, je le débarrasse de son tee shirt et de son chinos, le laissant dans un magnifique mini slip rose tendu à l’extrême. J’en profite pour l’attirer contre moi, je cherche ses lèvres…Il se laisse embrasser avec ferveur.
Il doit être au bord de l’excitation maxi mais il se remet à genoux et continue à me débarrasser de mon slip très très lentement en me le faisant glisser très lentement. Je dois lui reconnaître un certain self control. Cette fois, ça y est. Le slip est en bas et ma bite lui a explosé au visage. Il prend bien le temps de la scruter dans le noir, de la sentir, d’y frotter doucement sa joue, ses lèvres… Mon gland est dégoulinant de mouille – bien sûr qu’il m’a excité -, il prend un peu de mouille sur ses doigts et la porte à sa bouche. Puis il pose délicatement ses lèvres entrouvertes sur le bout de mon gland et…ne bouge plus.
Je me mets à bouger millimètre par millimètre pour pénétrer lentement dans sa bouche, en faisant d’infimes allers et retours. Il a mis ses mains en coquille autour de mes couilles et se laisse faire. Oh, je ne vais pas le défoncer d’un coup, ni lui faire une gorge profonde de suite. Allons y doucement, laissons le savourer, laissons lui un bon souvenir de sa première. Il a levé les yeux vers moi, je vois le blanc de ses yeux dans la nuit. Je lui empoigne doucement le crâne et le caresse.
Il reprend alors l’initiative en descendant de plus en plus sur ma hampe. Je sens sa langue chaude me caresser, sa salive m’inonder. J’aime sa façon de faire : hésitante, attentionnée et décidée en même temps. Petit à petit, il prend son rythme. Cette fois, il m’a englobé la base de ma bite de ses deux mains et me pompe avec détermination, à bonne cadence. Trop bien ! Doué, le petit, je dirais ! On dirait qu’il aime ça ! Je me mets à gémir, ça le décuple dans son rythme. J’ai attrapé son crâne et l’accompagne dans son mouvement.
Ce qu’il ne peut pas connaître, c’est mon endurance avant de jouir. Il faut dire qu’elle est beaucoup fonction des circonstances. Je ne sais jamais, pour moi-même, à quoi m’en tenir. Il a attrapé ma bite à deux mains et il me branle, il me branle et, le bout, il le suce, il le suce. A ce rythme là, je ne vais pas faire long feu. Je lui dis dans un râle :« -Je viens ! Je viiiieeenns !! »Il retire sa bouche et reçoit tout sur son visage. Il se relève. Je lui enduis son joli visage avec mon sperme, lui chuchote un merci à l’oreille et reprends sa bouche avec gourmandise. Je sens son barreau contre mon ventre tel un épieu dressé.
« -Je ne peux pas te laisser repartir ainsi…. Ca t’a plu au moins ?
-Alors là ! Enormément ! J’espère que j’ai pas été trop nul…-Pas du tout ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie-Ma vie future, oui… »Je me mets à genoux et lui fais glisser le slip dont la bite dépassait largement. Je découvre alors qu’il est super bien monté et qu’il a une touffe des plus fournie, noir d’encre. Je ne peux m’empêcher de le féliciter« -Dis donc, t’as une super bite !
-Merci ! »Je décide alors de lui laisser que de bons souvenirs de sa première fois avec un mec. Je lui demande de se retourner, jambes légèrement écartées.
« -T’inquiète, je vais pas te prendre. Juste te faire goûter certains plaisirs… »Je commence à lui lécher la raie à grands coups de langue. Il gémit. Puis je lui fais une belle « feuille de rose » du bout de ma langue pointée. Je le sens tressaillir de tout son corps sous mes mains. Je le retourne alors et entreprends sa bite. Je voudrais aussi faire monter son plaisir le plus doucement possible bien qu’il ne doit pas être loin de l’explosion.
Je commence par lui lécher et luis sucer ses couilles une à une – c’est quand même mieux quand elles sont rasées -. Puis je mordille sa hampe depuis le bas jusqu’au début de son gland décalotté qui dégouline littéralement de mouille le long de sa pine. Je lui lèche doucement du bout de ma langue en finissant par le frein du prépuce. Il se tend comme un arc contre le tronc d’arbre.
Je commence alors à le branler doucement, juste avec le bout de trois doigts. Tout en légèreté. Petit à petit, je rapproche ma main jusqu’à englober toute sa queue sans la serrer, juste en la faisant coulisser. Vu sa taille, il en reste un sacré morceau, alors j’y mets l’autre main. Il gémit de plus belle. Je me mets alors à le suçoter du bout de mes lèvres, puis à sucer son gland, à descendre sur sa tige et à me mettre à le pomper sur presque toute sa longueur – j’ai un peu de mal à lui faire une gorge profonde totale -. Il a empoigné mes cheveux et me tire vers lui.
J’alterne alors les branles et les fellations de plus en plus rapidement…« -Je vais jooouuuiiirr ! »Il se déverse sur l’herbe en longs jets puissants. Je me redresse pour l’embrasser à nouveau.
« -J’ai beaucoup aimé….
-Moi aussi, TOUT ! »On se nettoie vaguement avec quelques mouchoirs en papier, on se rhabille et on rejoint lentement la fête en parlant.
« -Tu sais ce qu’on dit ? me lance-t-il-Non…-Un mariage en amène souvent d’autres…-Tu me proposes quoi, là ? Une vie à trois euh à quatre ?
-Non…-Ecoute. Fais tes expériences. Ecoute ton cœur. Vas où il te dit d’aller ,taille toi la touffe et surtout protèges toi. Et…on verra. Par contre, si tu es intéressé par le sexe à plusieurs, laisse moi ton 06, on organise des trucs comme ça de temps en temps à l’appart…-06…-Hé, on va smeller un max le 05 d’Eros, non ?
-De chez « Mémoila » ? »Et en plus, il a de l’humour. Ca tombe super, en lisière du bois, il y a une fontaine avec un jet d’eau. Ca va nous permettre de nous débarbouiller un peu. Il me laisse prendre du champ pour qu’on ne nous voie pas rentrer ensemble.
En rentrant, je tombe sur Xav, le marié qui prend congé de certains avant d’aller s’envoyer en l’air avec sa jolie femme.
« -Abdel va mieux ?
-Je sais pas, j’arrive…-Ah ! Tu es allé avec Axel ?
-Oui…-Et c’était bien ?
-Oui. ( Ah ces hétéros fascinés, on se retrouvera un jour… !)-Tu n’es plus avec Paulo ?
-Si-Et ….Rémi ?
-Parti avec Tim…-Et Abdel, c’est nouveau ?
-Oui, ça fait pas très longtemps.
-Bon, ben tu m’f’ras des fiches, hein ? » On rigole. Il part.
Sur ce, Abdel réapparaît.
« -Hé ! Je croyais que tu étais reparti mais j’ai vu que la voiture était encore là…-Hé ! Ca a l’air d’aller mieux, dis donc-Oui, ça va mieux, je m’excuse-Si tu veux, je te raconte…-Et comment !! »Là-dessus, je lui balance tout, avec les détails…Qu’il le trouve beau, qu’il est super bien monté, qu’il suce bien…« -A ce que je vois, tu n’as pas perdu de temps….
-Ben, tu dormais….
-Pour fêter ça, on va boire un coup !!! »L’orchestre se lance alors dans une série de slows italiens torrides.
« -Viens, on va danser ça, collé serré-T’es dans la provoc, là ?
Non, tu verras. Ca montre qu’ils sont tolérants, qu’ils ont les idées larges. Ils adorent ça. »Abdel avait raison. On a le droit à pas mal de regards brillants et bienveillants des couples quarantenaires mais pas du tout des filles vingtenaires…
L’aube commence alors à rosir la cîme des arbres. C’est magique. L’orchestre nous fait faire une salutation au soleil.
L’after peut commencer…
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