Je veux te voir baiser 1ère partie (1/6) - histoire érotique

Moi, c’est Frédéric, 49 ans, un mètre soixante cinq pour soixante-dix kilo. Je suis avec Alexandra, une jolie femme blonde du même âge que moi, un mètre soixante cinq également pour un petit 60 kilo. Elle a une belle poitrine, qui se maintient bien et une paire de fesses magnifiques, qu’elle met en valeur dans ces tenues vestimentaires. Malheureusement, comme beaucoup de femmes, elle se trouve des complexes, là où il n’y en à pas. Nous sommes ensemble depuis trente ans et marié depuis vingt quatre ans. Je suis le seul homme de sa vie. Elle n’a jamais eu de relation avec un autre homme que moi. Quand je l’ai connu, j’étais heureux et fier, d’être sa première fois. Je ne me connaissais pas encore, sexuellement. Bien sûr, j’avais des fantasmes, des envies, mais je ne réalisais pas encore, que c’était ma personnalité. J’ai vraiment appris à me connaître sexuellement, à me comprendre, vers quarante ans. Depuis toujours, lorsque je regarde des pornos, ce qui me plaît le plus, c’est de voir une femme avec au moins deux hommes. Depuis que j’ai compris ma sexualité, j’imagine que c’est Alexandra l’actrice. Et je ne me place pas forcément dans le rôle d’un des acteurs, mais plutôt dans celui du caméraman. Je pense être candauliste. Je rêve de voir ma femme se faire caresser et baiser par un autre homme. Tout au début que j’ai compris ça, vers mes quarante ans, j’en ai parlé avec elle, je lui ai proposé d’essayer, mais elle a refusée. Au début, ça été compliqué. Son refus, faisait que j’étais pas bien dans ma peau. Très vite, ça c’est ressenti dans notre vie de couple. Moins d’attention l’un pour l’autre, des engueulades régulières. Bref, on vivait ensemble, mais on s’éloignait. On s’éloignait tellement, qu’à quarante deux ans, j’ai eu une maîtresse. Très vite, j’ai fait en sorte que ma femme le sache et j’ai commencé à parler divorce. Surtout que ma maîtresse, n’était pas contre l’échangisme. Mais j’aimais toujours ma femme et elle m'aimait également. Elle ne voulait pas que l’on se sépare. J’ai pris le temps de bien réfléchir, j’ai pesé le pour et le contre et j’ai décidé de rester avec Alexandra. J’ai stoppé ma relation avec ma maîtresse et on est resté ami. On s’envoie des Sms pour prendre des nouvelles, on boit un verre de temps en temps, mais ça ne va pas plus loin.

Avec Alexandra, notre vie de couple s’est renforcer avec cette expérience. De temps à autre je lui rappelle mes envies, lui propose d’essayer, mais toujours le même refus. Je ne désespère pas qu'un jour, elle change d’avis.

Tout a changé lors du voyage pour aller en vacances. Nous allions cette année, sur la côte Atlantique. On avait décidé de loué à sept, une grande maison avec piscine, pour quinze jours. Il y avait ma sœur et mon beau-frère, un couple d’amis en commun et un ami de nos amis, que l’on ne connaissait pas. C’est lors du voyage aller, qu’il s’est passé un petit problème. On avait décidé de faire une voiture en commun avec ma sœur et mon beau-frère. Tout se passait bien. Lorsque nous sommes arrivé dans le village de destination, Alexandra a voulu envoyer un message à son père, pour lui dire qu’on était arrivé. Mais son téléphone, qui ne tient plus la charge, c’est éteint. Elle a demandé le mien pour envoyer son message. Le dernier sms que j’avais envoyé, était destiné à mon ex maîtresse. Rien de mal, juste pour lui souhaiter de bonne vacances, mais c’était suffisant pour réveiller de mauvais souvenirs, dans la tête de ma femme. Elle n’a rien dit sur le moment, nous n’étions pas seul. Mais le soir, une fois dans notre chambre, elle m’a demandé une explication. Je vais passer tous les détails de cette conversation, mais finalement, elle a décidé de mettre ça de côté dans sa tête, même si elle n'était pas ravie.

Les vacances se sont super bien passé. Beaucoup de rigolade, d’apéros prolonger, barbecues, visites, plages, piscine, les vacances quoi. Mon côté et envies candauliste m’ont énormément travaillé durant le séjour. Et ceux, dès le premier jour, en faisant connaissance d’Éric. Éric, c’est l'ami de nos amis. Quand on nous l’a présenté, je l'ai tout de suite imaginé avec Alexandra. Je l’ai déshabillé du regard, comme on peut le faire lorsque l’on croise une personne qui nous attire. Il est très grand, surtout par rapport à Alex et moi. Il paraît plutôt bien bâti sous ces vêtements et a un visage assez agréable. C’est un bel homme.

On a commencé par vidé les voitures, chacun c’est installé dans sa chambre respectifs, défait les bagages et ont a décidé d’aller se détendre à la piscine. Là, mes pensées se sont emballées lorsqu’Éric nous a rejoint au bord de l’eau. Les femmes ont gloussées en le voyant. Forcément, leur homme respectif on quasiment la cinquantaine, un peu, voir beaucoup de bidons. Éric a la trentaine d’année et est bâti comme un athlète. Comme je disais, il est grand. Mais il est très musclé. Tous ses muscles sont développés. Pas exagérément, mais suffisamment pour bien les voir. Je remarque qu'il est fière de voir la gente féminine s’extasier devant son corps. Tout le monde rigole bien et personne ne se rend compte que moi aussi, je m'extasie devant Éric. J’imagine ses grosses mains se promener sur Alex. J’ai remarqué la belle bosse dans son petit maillot de bain moulant. Il paraît bien gâté par la nature. Ça amplifie mes envies et je suis obligé de plonger dans l’eau, pour cacher mon érection qui commence à pointer. Durant tout le séjour, pas un seul jour ne s’est passé, sans que je n’imagine Éric baiser avec Alex.

A la fin des vacances, lorsque nous sommes rentrés chez nous, nous avons reparlé des fameux sms avec mon ex maîtresse. Je l’ai rassuré, promis qu’il n’y avait plus rien entre nous, qu’il n'y avait personne d’autre. Mais j’en ai profité pour remettre mes envies sur le tapis. Je lui ai dit que c’était pesant pour moi, que ce manque me pourrissait presque la vie, que je ne pensais quasiment qu’à ça. J’ai bien argumenté sur la chose mais elle m’a de nouveau répondu qu’elle ne voulait pas coucher avec un inconnu.

« - Et si c’était avec Éric ?

- Éric ?

- Ce n’est pas un inconnu et pas quelqu’un de proche non plus. Il est super sympa et je suis sur qu’il doit être très attentionné avec une femme. Et il est plutôt bel homme.

- Ah ça, je confirme. Il est vraiment mignon. Si j’était célibataire, j’en ferait bien mon quatre heures.

- Tu n’es pas célibataire, mais je t’autorise à en faire ton quatre heures. Profite en.

- Je sais pas, je vais y réfléchir. »
Qu’est-ce qui fait qu’Alex ne me dis pas non. Les sms avec mon ex maîtresse et la peur que je la trompe de nouveau ? Ou bien, Éric qui lui plaît vraiment ? Ou encore, tout autre chose ? Je ne sais pas et je ne vais pas chercher à le savoir. Quoiqu’il en soit, je suis content car ce n’est pas un refus catégorique comme les autres fois. Maintenant, il n'y a plus qu’à espérer.

Il s'est déjà passé trois semaines depuis notre conversation. Toujours pas de réponse. Je commence à désespérer. On en a pas reparlé non plus. J’attends qu'elle relance la conversation, car je ne voudrais pas la brusquer. Et puis un soir, une semaine plus tard, alors que l'on venait de faire l’amour, elle m’a demandé :
« - Pourquoi a tu tellement envie de me voir baiser avec un autre homme ? »
 Je pensais lui avoir déjà expliqué, mais ce n’est pas grave. Je me lance dans ce qui m’attire et mes motivations. Durant plusieurs dizaines  de minutes, on en discute. Je réponds à toutes ses questions, trouve des arguments à ses craintes, la rassure. Finalement, elle m’annonce qu’elle se donne encore jusqu’au week-end pour y réfléchir. Je lui refais l’amour, car notre discussion m’a terriblement excité.

Les trois jours qui nous séparent du week-end sont interminables. Je pense avoir été convaincant, mais sait on jamais. Ça plus grosse crainte est que notre couple ne résiste pas à cette expérience. Que finalement, je ne supporte pas de la voir avec un autre homme. Que cet homme lui donne plus de plaisir que moi et que ça me rende jaloux. Alors que au contraire, je souhaite qu’elle prenne énormément de plaisir, qu’elle jouisse plusieurs fois sous les assauts de son amant.

C’est le samedi après-midi, alors que l’on est en voiture, qu’elle décide de me donner sa réponse :
« - Je suis d’accord pour tenter l’expérience mais, il faut que se soit avec Éric et seulement lui. S’il refuse, on ne recherche personne d’autre.

- Ok, ça marche. Mais c’est trop cool, je suis sûre qu’il sera d’accord.

- Attends, j’ai pas finis. Si l’un d’entre nous deux se sent pas à l’aise ou regrette ce choix, il le dit immédiatement et on stoppe tout, sans discuter et sans essayer de le convaincre de continuer.

- Je suis d’accord.

- Je veux surtout qu’ont prennent notre temps. Que se soit par étapes de trois ou quatre rendez-vous.

- Comment ça par étapes ?

- Le premier rendez-vous, il n’y aura pas du tout de contact entre nous. Pas d’attouchement, pas de caresses. Il se masturbe, je me masturbe. Rien de plus. Pour se donner une idée de comment on peut réagir.

- Ok, mais je sais pas s’il sera d’accord.

- S’il n’est pas d’accord, on n'ira pas plus loin.

- Donc, je vous regarde juste vous masturbez ?

- C’est ça.

- Il pourra jouir sur toi ?

- Pourquoi pas, mais pas sur mon visage ni sur mon sexe. Encore moins dans ma bouche.

- D’accord. Je verrais avec lui. Et les autres rendez-vous ?

- Au deuxième, on pourra se toucher, se masturber. Ça va monter dans notre façon de réagir. Je veux être sûr que ça nous fera pas souffrir. Surtout toi.

- Comment ça ?

- Tu va me regarder masturber un homme qui aura ses doigts dans ma chatte. Ça pourrait être compliqué pour toi de gérer ça.

- Mais j’en ai envie. C’est moi qui le veut.

- Entre le vouloir et le vivre en réel, il y a une grande différence. Tu pourrais ne pas le supporter. Et puis, c’est mes conditions, à prendre ou à laisser.

- Ça marche, on y va comme ça. Le troisième rendez-vous ?

- On pourra utiliser nos bouches. Mais toujours pas de pénétration.

- Donc, vous baiserez ensemble au quatrième rendez-vous ?

- Oui, pas avant.

- Ok.

- Je te laisse voir avec Éric…. »
On a continué de discuter ensemble, mais j’étais trop content qu’elle accepte. Dommage pour toutes ces conditions, mais je ferais avec. En tous les cas, j’avais une belle érection coincée dans mon pantalon.

A suivre…