Jean Marc Ep01 : Un pote de régiment
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jean Marc Ep01 : Un pote de régiment
Jean Marc Ep01 : Un pote de régiment
Il m'avait invité à passer une petite semaine chez lui. J'étais en vacances, il était en vacance, il me ferait visiter la capitale. Ça faisait quelques temps que je ne l'avais par revu, on s'était rencontré au régiment et on avait sympathisé. On était resté en contact depuis plus d'un an.
Je le revoyais dans mon souvenir. Il était beau mec, plutôt attirant. Je l'avais vu sous la douche, là il n'y avait pas de quoi s'affoler, huit centimètres pas plus, et encore je pense que là je l'avantageais.
Oui on va encore me dire que je ne pense qu'à ça. Mais c'est pas vrai, il n'y a pas que le sexe dans la vie, il y a le cul aussi …
Depuis mon retour du régiment, d'ailleurs, pour moi c'était surtout le cul. On m'avait mis la queue en cage, un engagement professionnel enfin je vous passe les détails et … Bein oui, et … Il ne me restait plus que le cul !
Ça faisait un an que j'avais la bite en cage et je ne vous dis pas il ne me fallait pas grand chose pour me mettre la cervelle en feu. Sinon au quotidien, quand on parlait pas de cul, de sexe. Quand ce sujet n'était pas abordé, même de loin, tout allait bien. Mes proches n'étaient pas au courant de cette situation et je préférais ne pas en parler.
Économiquement je m'étais placé dans une situation délicate. Si je retirais mon dispositif je perdais mon boulot, et j'étais bien payé, et j'en profitais et … c'est que je suis un panier percé moi. Un bon salaire était le bienvenu, un meilleur salaire serait encore bien mieux venu …
Jean Marc m'avait dit. Oui mon pote s'appelle Jean Marc …
Jean Marc donc m'avait dit …
– Comme tu sais c'est pas bien grand chez moi mais c'est pas grave, soit on dormira ensemble, soit on te trouvera une petite place dans un coin. Et puis s'il y a une fille on partagera !.
Pour la fille, je savais bien que c'était une boutade, et comme je sais me tenir le reste ne me préoccupait pas. Le dispositif est totalement invisible sous un caleçon, une caleçon blanc à moitié transparent et bien moulant, je ne dis pas mais, je ne sais pas seulement me tenir, je sais aussi m'habiller. Je porte des slips de toutes façon. Je ne sais pas pourquoi je vous parle de caleçon.
Je me préparait à faire péter la carte bleue. Oui je sais je vous disais à l'instant que ... mais bon je n'étais pas en découvert et même si ça ne faisait pas longtemps, je me préparait donc à faire péter la carte bleue.
Il est venu m'attendre à la gare, il est pas mignon mon pote Jean Marc ? On est passé chez lui, ce n'était pas plus grand que la dernière fois, le lit était grand et on aurait donc assez de place. D'habitude je dors nu mais bon pour une fois je garderais mon caleçon, enfin mon slip …
Il m'a fait visiter son quartier, on a fait un peu de tourisme puis je l'ai invité au restaurant. On a traîné un peu, on a bu un verre ici, puis là. On est entré, sur la route on a titubé, on a discuté, on était un peu ivre quand on s'est mis au lit.
Comme je l'avais prévu il a gardé son caleçon et moi j'ai gardé mon slip. Puis on a discuté un peu avant de s'endormir.
– D'habitude je dors à poil ! Finissait-il par me dire. Et sans prévenir il retirait son caleçon et le jetais sur la chaise ou étaient ses vêtements.
– Bon alors je fait pareil.
D'un geste je retirais mon slip et le rejetais aussi. Bon de toutes façons je sais me tenir, j'ai pas trop le choix et si lui ne sait pas se tenir, c'est certainement pas moi qui vais me plaindre. Et puis de toutes façons, une bite de huit centimètres à peine, ça fait combien quand ça bande ? Ça ne doit pas aller bien loin tout ça, ça n'a rien d'affolant.
On s'endormait.
Je dormais paisiblement quand j'entendais un cri. C'était Jean Marc, ça lui avait échappé, en dormant on avait bougé, et j'étais découvert. Lui il s'était réveillé pour aller pisser. Et là, il m'avait vu à poil …
– C'est quoi ce truc que tu portes là ? Me demandait-il en montrant mon dispositif de chasteté avec le doigt.
– Une cage à bite. Mais quelle heure est-il ?
– Mais pourquoi tu portes un truc pareil ?
– C'est pour rester sage !
La réponse ne semblait pas le convaincre, il me regardait avec un air idiot. Et en plus il bandait et il ne s'en rendait même pas compte. A force de me parler il finissait par me réveiller totalement.
Il a fini par s'allonger à côté de moi.
– Regarde dans l'état ou je suis ! Me faisait-il remarquer.
– Tu fais quoi quand ça t'arrive en pleine nuit pour te calmer ?
D'un geste il me faisait comprendre … '' Une branlette ''.
– Et là ?
– Bein là, j'ose pas me branler devant toi, avec ton machin, j'ose pas.
Remarquez là j'avais la question que je me posais. Un bite de huit centimètres au repos, ça fait plus de vingt centimètres en action. Il avait une bite énorme finalement. Je restais pensif pendant un moment en regardant sa queue.
C'est vrai que la différence entre la taille au repos et la taille en action peu varier d'une personne à une autre. La bite peut grossir un tout petit peu ou dans des proportions plus imposantes. Lui il était ce ceux-là. Sa queue rien que sur la longueur devenait presque trois plus longue. Et en largeur c'était pareil, un peu plus de deux centimètres se transformaient en bien plus.
Là j'étais bien réveillé, et j'admirais une très belle queue de plus de vingt centimètres sur plus de six. Si au repos il n'était pas affolant en action, il l'était je peut vous le dire. J'étais retourné et je n'avais plus du tout envie de me rendormir.
– Toi ça ne se voit pas vraiment quand tu bandes, tu fais comment pour te calmer. Bafouillait-il.
Pour seule réponse je me penchais vers lui et prenais sa queue dans ma bouche, il a bien réagi mais sans trop savoir quoi faire il m'a semblé. Il m'a laissé faire. Quelques instants plus tard il gémissait sous l'effet du plaisir que je lui donnais.
Ma langue en premier caressait son gland, il était gros, bien gros. J'ai toujours craqué face à un gros gland gorgé de sang, et bien lisse. Le gland est d'une douceur incroyable sur la langue. Je la lui passais, et la repassais. Sa queue entrait dans ma bouche avec force, elle se faisait de la place.
Je me concentrais sur sa queue, sa douceur, sa longueur qui m'impressionnait et sa largeur. C'est vrai qu'elle était g rosse.
Au début il n'osait pas me toucher, puis j'ai senti sa main sur mes cheveux. Ce contact m'encourageait, je prenais sa queue encore plus profond, il arrivait au fond de ma bouche, sa queue repoussait ma glotte.
Je me concentrais, j'arrivais à synchroniser ma respiration, et son gland passait un peu plus profond. Il appuyait avec ses mains maintenant, il ne se contentait pas seulement de me caresser les cheveux.
Il me caressait le corps, avec une main il me caressait toujours les cheveux et appuyait de temps en temps, avec l'autre main il me caressait le cors. Elle glissait sur mon dos, glissait vers mes fesses, passait entre mes cuisses et me tripotait les couilles.
Je bandais comme un fou, c'est pas parce que rien de dépassait de ma cage que je ne réagissait pas. Ma queue poussait de toutes ses forces.
– Il y a de la pression ici ! Faisait-il remarquer en s'amusant avec ma cage.
Je répondait par quelques sont gutturaux, n'oublions pas que j'avais la bouche pleine. Il attrapait ensuite mes couilles, elles formaient une grosse boule, il la saisissait et l'écrasait dans le paume de sa main.
– J'ai toujours eu envie de faire ça ! S'exclamait-il.
Il écrasait puis relâchait puis recommençait. À chaque fois il écrasait un peu plus fort. Il ne s'arrêtait que quand je manifestais et me tortillais. Il passait ensuite à mon cul et glissait à sec un doigt. Là aussi j'ai réagi, là aussi j'ai résisté mais il s'amusait, à ce moment il s'amusait. Si je résistais trop, il appuyait sur ma tête et sa queue s'enfonçait dans ma gorge.
Et là c'était un peu trop pour moi.
Je continuais à le sucer même s'il devenait un peu trop encombrant. J'adore les grosse queue et je me motivais tout seul. Je le masturbais en même temps que je suçais son gland. Puis je prenais sa queue dans la bouche.
Je l'entendais gémir, il aimait. L'effet de la surprise était oublié. Il s'abandonnait à son plaisir. Je le sentais, il se laissait retomber sur son lit, il me massait la tête pour m'encourager et pour le reste, il ne faisait rien.
Ma queue continuait à protester, il ne me touchait plus mais ma queue criait au secours. Personne ne viendrait l'aider mais comment aurait-elle pu le savoir ?
Je ne sais pas combien de temps il lui a fallu, au bout d'un long, d'un très long moment je l'ai senti vibrer, ses muscles se sont contracté. Il me balançait des coups de bassin dans la bouche, sa queue allait se loger dans ma gorge.
Elle y allait avec de plus en plus de force et y restait de plus en plus longtemps. Il avait mis du temps pour réagir mais là il se lâchait,il soulevait son bassin et sa queue me rentrait dans la gorge et il appuyait sur ma tête et sa queue n'en ressortait pas.
– Tu fais ça mieux qu'une fille ! Me disait-il.
Je le sentais vibrer de plus en plus, c'était le seul signe qui annonçait la suite. Il me lâchait une grosse dose de sperme, il jutait, il éjaculait généreusement dans ma gorge sans prévenir d'avantage. Il écrasait mon visage contre son ventre. Il éjaculais une seconde fois puis une troisième et me relâchait. Tous ses muscles se relâchaient.
– Avale ! M'ordonnait-il.
Rapidement sa queue revenait à des proportions plus modestes, rapidement elle n'avait plus rien d'impressionnant. Je restais épaté par cette transformation.
Il était essoufflé, je sentais son cœur qui battait fort. Je relevais la tête et le regardais, il me répondait par un sourire.
– C'était quelque chose. Me disait-il.
– C'était pas prémédité ! Répondais-je.
– J'ai bien fait de te réveiller alors ?
– Tu as aimé.
– Tu fais ça mieux que les filles, aucune filles ne m'a jamais fait ça.
– Les filles ne savent pas faire.
Il rigolait à ma réponse. Il était détendu, il tirait la couverture sur lui, me recouvrait par la même occasion.
– Il va falloir dormir maintenant. Me disait-il.
Il regardait encore un moment mon dispositif de chasteté, me tripotait une dernière fois les couilles et me donnait un baiser sur le front.
Puis il s'allongeait et rapidement il s'endormait.
Et moi je suis resté là. Je n'étais pas calmé moi. C'était même tout à fait le contraire. Ma queue continuait à protester. Mon dispositif de chasteté se relevait sous la pression. Je ne me sentais pas vraiment bien, j'étais en manque, j'avais envie de baiser pas seulement de sucer. Ça faisait un an que ça durait et cette nuit j'avais sous la main un mec avec une bite de prince, je l'avais sucé et plutôt bien même et tout s'arrêtait là.
Je me la serait bien prise dans le cul mais … On verra ça demain me disais-je. Je me laissais retomber sur le dos, j'ai bien essayé de me rendormir mais après ça, je n'avais plus du tout envie de dormir.
Il y avait juste à côté de moi un mec bien foutu avec une très grosse queue, je voulais me la prendre dans le cul mais lui, il s'était rendormi.
A suivre ( peut être )
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il m'avait invité à passer une petite semaine chez lui. J'étais en vacances, il était en vacance, il me ferait visiter la capitale. Ça faisait quelques temps que je ne l'avais par revu, on s'était rencontré au régiment et on avait sympathisé. On était resté en contact depuis plus d'un an.
Je le revoyais dans mon souvenir. Il était beau mec, plutôt attirant. Je l'avais vu sous la douche, là il n'y avait pas de quoi s'affoler, huit centimètres pas plus, et encore je pense que là je l'avantageais.
Oui on va encore me dire que je ne pense qu'à ça. Mais c'est pas vrai, il n'y a pas que le sexe dans la vie, il y a le cul aussi …
Depuis mon retour du régiment, d'ailleurs, pour moi c'était surtout le cul. On m'avait mis la queue en cage, un engagement professionnel enfin je vous passe les détails et … Bein oui, et … Il ne me restait plus que le cul !
Ça faisait un an que j'avais la bite en cage et je ne vous dis pas il ne me fallait pas grand chose pour me mettre la cervelle en feu. Sinon au quotidien, quand on parlait pas de cul, de sexe. Quand ce sujet n'était pas abordé, même de loin, tout allait bien. Mes proches n'étaient pas au courant de cette situation et je préférais ne pas en parler.
Économiquement je m'étais placé dans une situation délicate. Si je retirais mon dispositif je perdais mon boulot, et j'étais bien payé, et j'en profitais et … c'est que je suis un panier percé moi. Un bon salaire était le bienvenu, un meilleur salaire serait encore bien mieux venu …
Jean Marc m'avait dit. Oui mon pote s'appelle Jean Marc …
Jean Marc donc m'avait dit …
– Comme tu sais c'est pas bien grand chez moi mais c'est pas grave, soit on dormira ensemble, soit on te trouvera une petite place dans un coin. Et puis s'il y a une fille on partagera !.
Pour la fille, je savais bien que c'était une boutade, et comme je sais me tenir le reste ne me préoccupait pas. Le dispositif est totalement invisible sous un caleçon, une caleçon blanc à moitié transparent et bien moulant, je ne dis pas mais, je ne sais pas seulement me tenir, je sais aussi m'habiller. Je porte des slips de toutes façon. Je ne sais pas pourquoi je vous parle de caleçon.
Je me préparait à faire péter la carte bleue. Oui je sais je vous disais à l'instant que ... mais bon je n'étais pas en découvert et même si ça ne faisait pas longtemps, je me préparait donc à faire péter la carte bleue.
Il est venu m'attendre à la gare, il est pas mignon mon pote Jean Marc ? On est passé chez lui, ce n'était pas plus grand que la dernière fois, le lit était grand et on aurait donc assez de place. D'habitude je dors nu mais bon pour une fois je garderais mon caleçon, enfin mon slip …
Il m'a fait visiter son quartier, on a fait un peu de tourisme puis je l'ai invité au restaurant. On a traîné un peu, on a bu un verre ici, puis là. On est entré, sur la route on a titubé, on a discuté, on était un peu ivre quand on s'est mis au lit.
Comme je l'avais prévu il a gardé son caleçon et moi j'ai gardé mon slip. Puis on a discuté un peu avant de s'endormir.
– D'habitude je dors à poil ! Finissait-il par me dire. Et sans prévenir il retirait son caleçon et le jetais sur la chaise ou étaient ses vêtements.
– Bon alors je fait pareil.
D'un geste je retirais mon slip et le rejetais aussi. Bon de toutes façons je sais me tenir, j'ai pas trop le choix et si lui ne sait pas se tenir, c'est certainement pas moi qui vais me plaindre. Et puis de toutes façons, une bite de huit centimètres à peine, ça fait combien quand ça bande ? Ça ne doit pas aller bien loin tout ça, ça n'a rien d'affolant.
On s'endormait.
Je dormais paisiblement quand j'entendais un cri. C'était Jean Marc, ça lui avait échappé, en dormant on avait bougé, et j'étais découvert. Lui il s'était réveillé pour aller pisser. Et là, il m'avait vu à poil …
– C'est quoi ce truc que tu portes là ? Me demandait-il en montrant mon dispositif de chasteté avec le doigt.
– Une cage à bite. Mais quelle heure est-il ?
– Mais pourquoi tu portes un truc pareil ?
– C'est pour rester sage !
La réponse ne semblait pas le convaincre, il me regardait avec un air idiot. Et en plus il bandait et il ne s'en rendait même pas compte. A force de me parler il finissait par me réveiller totalement.
Il a fini par s'allonger à côté de moi.
– Regarde dans l'état ou je suis ! Me faisait-il remarquer.
– Tu fais quoi quand ça t'arrive en pleine nuit pour te calmer ?
D'un geste il me faisait comprendre … '' Une branlette ''.
– Et là ?
– Bein là, j'ose pas me branler devant toi, avec ton machin, j'ose pas.
Remarquez là j'avais la question que je me posais. Un bite de huit centimètres au repos, ça fait plus de vingt centimètres en action. Il avait une bite énorme finalement. Je restais pensif pendant un moment en regardant sa queue.
C'est vrai que la différence entre la taille au repos et la taille en action peu varier d'une personne à une autre. La bite peut grossir un tout petit peu ou dans des proportions plus imposantes. Lui il était ce ceux-là. Sa queue rien que sur la longueur devenait presque trois plus longue. Et en largeur c'était pareil, un peu plus de deux centimètres se transformaient en bien plus.
Là j'étais bien réveillé, et j'admirais une très belle queue de plus de vingt centimètres sur plus de six. Si au repos il n'était pas affolant en action, il l'était je peut vous le dire. J'étais retourné et je n'avais plus du tout envie de me rendormir.
– Toi ça ne se voit pas vraiment quand tu bandes, tu fais comment pour te calmer. Bafouillait-il.
Pour seule réponse je me penchais vers lui et prenais sa queue dans ma bouche, il a bien réagi mais sans trop savoir quoi faire il m'a semblé. Il m'a laissé faire. Quelques instants plus tard il gémissait sous l'effet du plaisir que je lui donnais.
Ma langue en premier caressait son gland, il était gros, bien gros. J'ai toujours craqué face à un gros gland gorgé de sang, et bien lisse. Le gland est d'une douceur incroyable sur la langue. Je la lui passais, et la repassais. Sa queue entrait dans ma bouche avec force, elle se faisait de la place.
Je me concentrais sur sa queue, sa douceur, sa longueur qui m'impressionnait et sa largeur. C'est vrai qu'elle était g rosse.
Au début il n'osait pas me toucher, puis j'ai senti sa main sur mes cheveux. Ce contact m'encourageait, je prenais sa queue encore plus profond, il arrivait au fond de ma bouche, sa queue repoussait ma glotte.
Je me concentrais, j'arrivais à synchroniser ma respiration, et son gland passait un peu plus profond. Il appuyait avec ses mains maintenant, il ne se contentait pas seulement de me caresser les cheveux.
Il me caressait le corps, avec une main il me caressait toujours les cheveux et appuyait de temps en temps, avec l'autre main il me caressait le cors. Elle glissait sur mon dos, glissait vers mes fesses, passait entre mes cuisses et me tripotait les couilles.
Je bandais comme un fou, c'est pas parce que rien de dépassait de ma cage que je ne réagissait pas. Ma queue poussait de toutes ses forces.
– Il y a de la pression ici ! Faisait-il remarquer en s'amusant avec ma cage.
Je répondait par quelques sont gutturaux, n'oublions pas que j'avais la bouche pleine. Il attrapait ensuite mes couilles, elles formaient une grosse boule, il la saisissait et l'écrasait dans le paume de sa main.
– J'ai toujours eu envie de faire ça ! S'exclamait-il.
Il écrasait puis relâchait puis recommençait. À chaque fois il écrasait un peu plus fort. Il ne s'arrêtait que quand je manifestais et me tortillais. Il passait ensuite à mon cul et glissait à sec un doigt. Là aussi j'ai réagi, là aussi j'ai résisté mais il s'amusait, à ce moment il s'amusait. Si je résistais trop, il appuyait sur ma tête et sa queue s'enfonçait dans ma gorge.
Et là c'était un peu trop pour moi.
Je continuais à le sucer même s'il devenait un peu trop encombrant. J'adore les grosse queue et je me motivais tout seul. Je le masturbais en même temps que je suçais son gland. Puis je prenais sa queue dans la bouche.
Je l'entendais gémir, il aimait. L'effet de la surprise était oublié. Il s'abandonnait à son plaisir. Je le sentais, il se laissait retomber sur son lit, il me massait la tête pour m'encourager et pour le reste, il ne faisait rien.
Ma queue continuait à protester, il ne me touchait plus mais ma queue criait au secours. Personne ne viendrait l'aider mais comment aurait-elle pu le savoir ?
Je ne sais pas combien de temps il lui a fallu, au bout d'un long, d'un très long moment je l'ai senti vibrer, ses muscles se sont contracté. Il me balançait des coups de bassin dans la bouche, sa queue allait se loger dans ma gorge.
Elle y allait avec de plus en plus de force et y restait de plus en plus longtemps. Il avait mis du temps pour réagir mais là il se lâchait,il soulevait son bassin et sa queue me rentrait dans la gorge et il appuyait sur ma tête et sa queue n'en ressortait pas.
– Tu fais ça mieux qu'une fille ! Me disait-il.
Je le sentais vibrer de plus en plus, c'était le seul signe qui annonçait la suite. Il me lâchait une grosse dose de sperme, il jutait, il éjaculait généreusement dans ma gorge sans prévenir d'avantage. Il écrasait mon visage contre son ventre. Il éjaculais une seconde fois puis une troisième et me relâchait. Tous ses muscles se relâchaient.
– Avale ! M'ordonnait-il.
Rapidement sa queue revenait à des proportions plus modestes, rapidement elle n'avait plus rien d'impressionnant. Je restais épaté par cette transformation.
Il était essoufflé, je sentais son cœur qui battait fort. Je relevais la tête et le regardais, il me répondait par un sourire.
– C'était quelque chose. Me disait-il.
– C'était pas prémédité ! Répondais-je.
– J'ai bien fait de te réveiller alors ?
– Tu as aimé.
– Tu fais ça mieux que les filles, aucune filles ne m'a jamais fait ça.
– Les filles ne savent pas faire.
Il rigolait à ma réponse. Il était détendu, il tirait la couverture sur lui, me recouvrait par la même occasion.
– Il va falloir dormir maintenant. Me disait-il.
Il regardait encore un moment mon dispositif de chasteté, me tripotait une dernière fois les couilles et me donnait un baiser sur le front.
Puis il s'allongeait et rapidement il s'endormait.
Et moi je suis resté là. Je n'étais pas calmé moi. C'était même tout à fait le contraire. Ma queue continuait à protester. Mon dispositif de chasteté se relevait sous la pression. Je ne me sentais pas vraiment bien, j'étais en manque, j'avais envie de baiser pas seulement de sucer. Ça faisait un an que ça durait et cette nuit j'avais sous la main un mec avec une bite de prince, je l'avais sucé et plutôt bien même et tout s'arrêtait là.
Je me la serait bien prise dans le cul mais … On verra ça demain me disais-je. Je me laissais retomber sur le dos, j'ai bien essayé de me rendormir mais après ça, je n'avais plus du tout envie de dormir.
Il y avait juste à côté de moi un mec bien foutu avec une très grosse queue, je voulais me la prendre dans le cul mais lui, il s'était rendormi.
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