Jean, mon maitre cinquantenaire

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Jean, mon maitre cinquantenaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jean, mon maitre cinquantenaire
Je pense qu'on est dans notre troisième mois de relation suivie, avec Jean.
Un jeu de domination soumission s'est installé.

Il est mon maitre, et je dois tout accepter de lui.
Lors de nos rencontres, je ne dois plus le nommer pas son prénom !
Il m'a promis de ne pas utiliser la violence, ni sombrer dans le trop crade, genre scato.

Par contre, verbalement, il n'a aucune limite.
Paradoxalement, cette relation m'équilibre !
Je me sens régénéré, après ses visites !
Peut être que me faire humilier, me vide de tous mes soucis.
Je me sens plus fort, pour affronter les responsabilités de ma vie amoureuse et professionnelle.

Je ne l'ai pas vu depuis un moment.
C'est inquiétant ! Ca lui arrive de sauter une semaine, mais pas deux !
J'espère qu'il n'a pas quitté Toulon, sans me prévenir !

Ce jour là, je rentre chez moi, après avoir raccompagné ma belle Corinne.
J'ai pas faim, j'écoute de la musique mélancolique.

On frappe à ma porte !
Etrange, on sonne à l'interphone, d'habitude !
Peut être un voisin ?

J'ouvre... C'est Jean !
"Jean ? Qu'est-ce qu... Mmmmmmm... Mmmmmmmmm !".
Il plonge sa langue dans ma bouche, en me portant, tout en claquant la porte avec un pied.

D'abord surpris, je me laisse porter, et lui montre à quel point, il m'a manqué.
On se dévore la bouche !
Il me dépose devant mon canapé.

"Putain ! Désolé, Pascal ! Mais tu vas prendre cher ! J'vais te défoncer la chatte comme une pute ! T'as pas idée !".
"Qu... Quoi ? Mais ...".

Il me pivote d'un coup sec, et me dénude le cul d'un coup, en tirant sur mes vêtements !
Il me pousse contre le bout du canapé, mes fesses se retrouvent nues et cambrées.

"Jean ! Pas comme ça !".
"Ta gueule ! T'as pas droit à la parole ! T'es ma pute ! C'est comme ça ! Je suis le maitre ? Ou pas ?".
"Oui ! Pardon maitre !".

Il me crache trois fois sur l'anus avec vulgarité !

"Putain de salope ! C'est ta faute tout ça ! J'ai les couilles pleines ! Putain ! Ca fait 3 semaines que je pense à ta chatte ! J'en peux plus !".
"Mais ... Arghhhhhhhhhhhh ! Doucement ! Maitre ! Moins vite ! Arhhhhhhhh !".

Je fais fonctionner mon sphincter le plus rapidement possible.
Je le retiens dans mon dos, mais ses mouvements d'insertions sont trop puissants.

Il recrache sur mon anus, j'en profite pour détendre ma rosette anale.
Il revient à la charge, je m'écartèle un peu !

Il crache encore, revient encore plus profondément.
J'attire le coussin vers ma bouche.

Je devine qu'il va bientôt me transpercer, en me forçant les parois anales !

"Tu sais que tu l'as mérité ! Si t'avais pas une trop bonne chatte, je serai pas excité comme ça ! J'ai tort ?".
"Arggggggggggggggg ! Nooooooooooooon maitre ! C'est ma faute !".

"Ahhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr ! Enfin ! Putain, ça fait du bien ! Orhhh, la vache ! Ca devrait être interdit d'avoir une chatte comme la tienne ! Orhhh ! Je suis trop bien ! Tu m'as manqué, salope !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Pourquoi t'es pas venu avant ! Arghhhhhhhhhhhh !".

"C'est le boulot ! Ils m'ont envoyé sur Paris, ces cons ! J'ai baisé un autre mec, mais ça l'a pas fait ! C'est pas ma pute ! C'est pas toi ! J'ai même pas réussi à l'enculer, cette fiotte ! Il avait mal ! Il a fini par me sucer ! Putain, tu m'a trop manqué ! J'vais te défoncer ma p'tite salope ! Tu vas être ma pute, ma chienne ! Tu sais ce que j'aime te faire !".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh ! Tu peux tout faire !".

"Oui, qui ?".
"Oui, maitre !".

Il m'attrape les cheveux, en tirant, et me plante sa verge plus loin encore, puis me burine comme un marteau piqueur.
Je mord mon bras, pour ne pas crier !

Le canapé bouge en crissant sur le sol.
A force de bouger, il se cale contre le mur.

Il n'a jamais été aussi excité, il me détruit analement en me faisant gueuler.
Je crie à chaque gifle sur mon cul, qu'il lâche en m'insultant !

"Arhhhhhhhhhhh ! Maitre, pas comme ça ! Arghhhhhhhh !".

Il arrête les claques trop puissantes, pour de plus légères !
Je joui en grognant comme une bête.

Les orgasmes se succèdent à un rythme très serré !
Il est toujours aussi déchainé dans ma chatte ! Béante, désormais !

L'addition des montées de plaisir me provoquent une érection incontrôlée, contre le canapé.

J'émets un énorme râle, différent des autres, mon foutre se répand contre le flanc du canapé.
Je ne sais même pas, si il s'en rend compte !

A partir de là, j'ai assez joui ! Mais c'est mon maitre, je dois le satisfaire !
Il ne pense pas à changer de position, il veut détruire la chatte de sa pute !

J'entend tous les mots vulgaires possible !
Sac à foutre ! Vide couilles ! Chienne ! Trou à bites ! Etc...

Il commence à me faire pisser contre le canapé.
Je tape sur le coté pour lui faire comprendre qu'il doit sortir de ma chatte anale.
Il retire sa grosse verge, en me libérant de la pression de sa bite sur ma prostate.

"Arghhhhhhhhhhh ! Merci maitre ! Arrgggggggggggggggg ! C'est booooooooooooooooooonnnn ! Ourghhhhhhhhh !".

Il vient de me transpercer encore !

"Putain ! Tu vas me faire jouir, sale pute ! Pisses encore ! Ca m'excite !".

Il se déchaine encore, puis me surprend par la puissance de son orgasme, alors que je tape sur le canapé !
Il grogne comme un animal, en se déversant d'une jouissance interminable !

Ma verge coule lentement, mon corps joui analement, en attendant d'être libéré de la prostate.
Je râle à chaque dernière enfoncée.

"Putain ! C'est trop génial ! Je veux tout te mettre, salope ! Tiens ! Arhhhhhhhhh ! Il y en a encoooorrrrrrrre ! Orhhh ! J'adore te dominer ! T'es à moi ! T'es ma chienne !".

Il reste statique un moment, puis retrouve ses esprits et recule.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Merci maitrrrrrrrrrrrre ! ".

J'inonde encore le flanc du canapé, pendant qu'il admire les effets de sa destruction anale.

Un long silence règne, brisé par des bruits de gouttes de sperme, qui coulent de ma chatte, vers le carrelage.

Il me flagèle l'anus, et le cul avec sa verge !

"Hummm ! Je suis content de moi ! Je t'ai bien démonté la chatte ! Ca t'as plu salope ?".
"Oui !".
"Oui, qui ?".
"Oui, maitre !".

Il revient dans mon anus, et bouge plus lentement.

"Arhhhhhhhh ! ... Arhhhhhhhh ! ... Arhhhhhhhh ! ... ".

Il augmente son rythme, puis se fige au plus profond de moi.

"Orghhhhhhhhhh ! Ca aussi, c'est trop bon !".

Mais ? Il fait quoi ?
Puis, je ressens une pression abdominale que je reconnais, il se vide en moi !
Son urine chaude me rempli les intestins.

"Mmmmmmmmmmm ! Maitre ! S'il vous plait !".

Il serre la base de sa verge et ressort.
Je me vide d'un long jet sur le carrelage.
Il revient, et reprend son vidage de vessie.
Mais cette fois en m'enculant !

Ma chatte ruisselle !

"Putain ! Ce que j'aime te faire ça !".
"Maitre ! Non !".

"J'ai tous les droits !".
"Oui ! Ourghhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! ... Arhhhhhhhh ! ... ".

Il sort encore, je gicle aussitôt !
Puis, il m'urine sur la chatte pour se finir, et m'encule comme un dingue !

"Putain, y a que toi qui me fait ça ! Tu m'excites salope ! Tiens ! Prends ça, tu vas encore avoir mon foutre !".
"Arhhhhhhhh ! ... Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh !...".

J'ai mal aux cuisses, à force de le recevoir dans l'anus !
Mais je dois avouer que j'enchaine les orgasmes, depuis le début !

Ma queue coule encore de plaisir
Je lui envoie des signes en tapant, il me laisse me vider, puis recommence.
Jusqu'à grogner de nouveau en éjaculant.

"Arghhhhhhhhhh ! Putain de salope ! C'est encore plus fort que tout à l'heurrrrrrrrrrre ! Orhhhhhh ! C'est trop bonnn !".

Après s'être vidé complètement, il recule en titubant, jusqu'au fauteuil, et admire le résultat de sa défonce sur moi, sa pute !

"Orhhh ! Tu m'as vidé complètement, Pascal ! Orhh ! la vache ! Ca fait du bien ! Nom de dieu ! J'avais les couilles trop remplies, désolé !".

Il ne décèle aucune réaction de ma part !

"Ca va ? Ma p'tite chatte ?".
"Je suis complètement mort ! Putain ! Qu'est ce qui t'es arrivé ? Orhhhhhhhhhh ! J'ai mal au cul ! Tu m'as tué !".
"Tu regrettes ? P'tite chatte ?".

"Non ! Ca fait partie du jeu ! Mais c'est beaucoup de plaisir, presque trop ! Putain ! Aides-moi à me relever, s'il te plait !".

Il m'aide, et m'emmène sous la douche.
Il est redevenu raisonné, et me lave avec le gel douche, de la tête, au cul !
Par contre, je n'ai pas la force de lui faire la même chose !

Il joue avec la béance de ma chatte avec ses doigts, en m'embrassant avec vice.

Il commande deux pizzas, pendant que je me répare sur mon lit !
Je me lève d'un coup !

"Putain ! Le canapé !".

Je le nettoie du mieux que je peux !
J'essuie également mes effluves et rejets, et tout le sperme au sol.

Puis je vais m'étendre avec lui.
En attendant le livreur, je lui fais une demande:

"Si tu m'encules encore ! Fais le moins fort, s'il te plait !".
"Promis, ma p'tite chatte !".

Malgré l'habitude, je ne peux m'empêcher d'admirer sa longue grosse bite !

"Putain ! Je l'aime trop ! Si tu étais moins bien membré, je craquerai pas autant sur toi ! T'en es conscient !".
"Je t'ai trouvé ! J'en profite ! Ma p'tite salope ! Pour l'instant, je me lasse pas de toi ! C'est bien ? Non ?".

"Oui, c'est génial ! Moi aussi, je m'en lasse pas ! On se voit pas trop souvent, c'est nickel ! Mais ce soir, tu m'a vraiment éclaté la chatte ! J'ai failli m'évanouir ! J'ai joui trop de fois ! T'es fou ! Mais, dis-moi ? C'était bien, Paris ?".

"Ouais ! Mais, le soir, je pensais qu'à toi ! Nos jeux me manquaient ! J'ai craqué en allant dans un Sex-shop ! Ne t'inquiètes pas ! J'ai mis une capote ! Mais c'était nul !".
"Pour tout te dire, moi aussi ! Avec capote aussi ! J'ai bien joui, mais pas autant qu'avec toi !".

Je me caresse les fesses, elles sont rougies par ses assauts et ses nombreuses gifles.

"Orhhhh ! Putain ! Tu m'a pas ménagé !".
"Hummmm ! Pardon, mon p'tit cul ! Ma p'tite chatte !".

Il a posé ses grosses mains dessus, et me lèche les fesses partout.
Sa grosse langue s'insère dans mon anus, il me fouille profondément !

"Orhhhhh ! C'est bon ! Ahhhh ! Salaud ! T'es un gros pervers !".
"Hummm ! Elle est délicieuse ! T'as encore le gout de tout ce que je t'ai mis !".

Il replonge et bouge son visage ! Il m'encule avec sa langue, le vicieux !

"Putain, j'y crois pas ! Tu vas me faire jouir ! Encore ! Argggggggggggghhhhhhh !".

Il ne cesse de me lécher l'anus et les fesses ensuite.
Puis, il s'allonge à mes cotés et me demande:

"Lèches-moi la bite ! J'aime ta langue, moi aussi ! On va passer le temps, comme ça !".

Je ne demande pas mieux ! Même en semi érection, j'adore lui sucer la verge !
Je le fait en me plaçant, entre ses cuisses, pendant de longues minutes.

Ensuite, on se lèche en 69 ! Un moment pervers et délicieux !

L'interphone sonne enfin, on a passé plus d'une heure, à se dévorer les parties intimes!

Il se couvre de son pantalon, en bandant comme un taureau !
Ca me fait rire !
Je ne fais plus de bruit, pendant qu'il réceptionne les pizzas, puis le rejoint nu dans la cuisine.

Pendant le repas, j'aborde le sujet interdit !

"Pourquoi, ça s'est mal passé, avec l'autre salope ?".
"Il a pété plus haut que son cul ! Il avait mal, le pauvre petit choux ! Ca m'a gonflé ! En plus, avec une capote, c'est pas évident ! Je lui ai dis de me sucer ! C'était meilleur ! Mais je lui ai bien rempli la gueule à cette salope ! Mais toi ? Racontes-moi ! Comment, il était le mec ?".

"Euh, pas le ! Les mecs !".
"Putain, de salope ! Pourquoi, ça m'étonne pas ? Continues !".

"J'ai sucé cinq bites dans les Glory Hôles, le caissier m'aime bien, donc, il m'a défoncé dans une cabine ! Après, j'ai été enculé à la chaine par six mecs ! Là ! J'ai eu mon compte ! Et je suis rentré !".
"La vache ! T'as du avaler plein de foutre, sale petite pute !".

"Oui, c'est vrai ! Mais avec les capotes, rien dans la chatte ! C'est dommage ! Y a que toi qui peut le faire, et je m'en lasse pas !".
"Putain ! Fini vite, ta pizza ! Je vais te la mettre encore ! Salope !".

"Jean ! J'en peux plus !".
"J'm'en fous !".
"Ok, mais moins fort ! S'il te plait !".

Il n'a pas menti !
Après le repas, il m'a attiré vers le canapé, en travers.
Un peu de salive a suffit !

Il m'a transpercé en m'embrassant, il se plantait entre mes cuisses ouvertes.
J'ai encore vécu un orgasme instantané à cause de ma sensibilité anale !
Il m'insultait sans cesse, mais m'enculait moins fort, j'adorai ça !

Je l'ai prévenu trop tard d'un écoulement urinaire.
Il me voit m'inonder le ventre, ses mots vulgaires m'excitent, il aime ça autant que moi !

On se tourne, il me laboure la chatte sur le flanc, puis vient dans ma bouche, reprend ma chatte ! Et ainsi de suite !

Il me pose au sol, me défonce, en me montrant sa destruction de ma chatte !
Puis, il me défonce la gorge en me la pilonnant, comme un anus !
Me pivote encore, pour me planter inlassablement par derrière, allongé sous lui !

Les plaisirs s'enchainent ! Je vis un nouvel orgasme qui me fait chavirer la tête.

Ma chatte est tellement béante, qu'il peut la détruire à sa guise !
Je ne suis plus, qu'un trou poisseux, qui joui encore et encore !

Il joue avec mon trou ouvert comme jamais, me claque les fesses avec sa verge trempée de jus anal.
S'amuse des effets de ses nouvelles enfoncées, qui me font crier de plaisir !

"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Tu me fais trop jouir ! Orghhhhh ! J'aime trop ta bite ! Je suis dingue de toi !".
"Moi aussi ! J'suis dingue de toi ! Ma p'tite salope ! Je peux enfin me laisser aller à tous mes fantasmes, avec toi ! Tu es à moi ! T'es ma pute ! Ma chienne ! Orhhh ! Il faut que je jouisse ! Donnes-moi ta bouche !".

Il se dresse, pendant que je me prosterne sous sa verge.

Il se secoue la bite frénétiquement, en me flagellant le visage par moment !

Enfin, il éjacule dans ma gorge ouverte !
Il se déverse patiemment, afin de me remplir la bouche au maximum.
Il produit moins de foutre, mais la puissance de son orgasme est excitante à entendre !
J'aime recevoir son sperme brulant et salé !

Il me caresse ensuite, pendant que je l'avale, et le lave de ses effluves éjaculatoires.

"Mmmmm ! Merci maitre ! C'est bon ! J'aime te boire !".
"Tu l'as bien mérité ! C'est normal ! C'est bien ! T'es une bonne salope !".
"Merci !".

Il me soulève et m'entraine sur le lit.
On ne dit plus rien, seules nos caresses sensuelles nous unissent.

"Je t'adore Pascal ! Merci de jouer le jeu !".
"Moi aussi, je t'adore ! Et j'aime ce qu'on fait, je me force pas ! Tu me fais du bien ! J'en ai besoin !".

"Moi aussi ! Ca me fait du bien ! J'ai toujours été attiré par la domination ! Je m'éclate avec toi !".
"Moi, je me découvre ! Mais j'aime ça ! Tu me soumets trop bien ! J'apprécie que tu respectes mes limites !".

"C'est normal ! Ma p'tite chatte ! Bon, dodo, j'en peux plus ! Moi aussi, j'ai eu mon compte !".
"Orhhhhhh ! Et moi donc ? T'as raison ! Dodo ! Putain ! Quelle soirée !".

Le matin, il s'est satisfait d'une longue fellation gourmande, avant de me laisser.
J'ai eu des gênes anales pendant deux jours, après ça !

Il est revenu la semaine suivante, ce fut très chaud, mais moins intense et fou que cette soirée là !

On pratiquait les plaisirs urophiles, une fois par mois environ.
Il n'y a qu'avec lui, que j'ai autant aimé ça ! Et j'ai apprécié qu'il ne m'impose jamais de le boire, dans ces moments là ! sauf accidents !
Je le ferai un jour, vers la fin, de mon propre chef !

J'étais plus excité et soumis que d'habitude ! Je voulais faire plaisir à mon maitre !
Sa réaction a été de m'enculer, en pissant dans ma chatte, et me couvrir de baisers !

Il était temps que cette relation se termine ! J'allais trop loin avec lui !
Je ne sais pas jusqu'où, il m'aurait entrainé !
Mais je l'aurai suivi, c'est clair !

Cette expérience m'a préparé pour Fred, le laid, et gros vicieux dominateur !
Avec sa bite énorme ! Mais bizarrement, je n'ai pas retrouvé ce respect naturel, comme chez Jean !
Mon besoin de soumission extrême m'a joué des tours.

Et je me suis perdu dans la déchéance, avec Fred !
Je n'étais plus qu'un vulgaire trou non considéré ! Un déversoir à foutre !
C'était trop dégradant !

Pas comme avec mon délicieux pervers de Jean !
J'ai aimé tout ce qu'il ma fait, et imposé !
Même le pire, parce que c'était avec lui !

Même de me faire baiser salement par deux types, qu'il a "recruté" aux toilettes de l'arsenal militaire, ou il était employé !
Mais je vous conterai ça, bientôt !

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Texte coquin : Jean, mon maitre cinquantenaire
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