Jean-Pierre et Maria baisent dans le TGV
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jean-Pierre et Maria baisent dans le TGV
LUILa belle nana que voilà, j’en ferais bien mon quatre heures. C’est ce que je me disais en la voyant, belle comme en cœur, dans sa petite robe à carreaux. Il me semble qu’elle me regarde.
Vas-y lève là, tu ne le regretteras pas une instant.
ELLE.
Que veut ce type, il me toise depuis un moment. Je lui plais sans doute, mais de là à me dévorer il y a un pas que je n’aimerais pas qu’il franchisse. D’accord il ne me déplait pas, seul son regard me gêne un peu. Je suis certaine qu’il voudrait me baiser.
LUIPlus je la vois plus j’ai envie d’elle. Qu’elle poitrine, quelles fesses. Je vois ses yeux luisants, elle a envie de tirer un coup sans se l’avouer. J’aimerai la lui mettre partout, j’en suis capable, je bande longtemps.
ELLEOui, son regard est insistant et pourtant plus je le regarde moins il me fait peur. Je n’ai jamais peur d’un homme, j’en ai pas mal connu, je les ai tous baisés avec succès pour moi, quand à eux, bof, je m’en fous.
LUID’abord je la prendrais par devant, son con doit être bien humide, et ensuite je l’enculerais : il me semble qu’elle doit aimer la sodomie, comme moi j’aime la faire.
ELLESi je cède, je sais qu’il voudra me faire jouir, il y arrivera : je commence à avoir envie de sa queue qui doit me plaire. J’espère qu’il bande longtemps. J’aimerais l’avoir un moment dans la bouche, il y a longtemps que je n’ai pas sucé de bite. A savoir si son jus est bon ?
LUIOui, mais, l’enculer avant ou après. Elles sont toutes les même il faut leur obéir, la plus part veulent baiser avant. Pourquoi ne pas se sucer ?
ELLEIl ne sait pas que je vais lui dire oui, je le laisse mariner un peu dans son jus : il sera plus mur pour me faire jouir. Surtout que je le veux trois fois : dans la bouche, le con et le cul. Il faut qu’il tienne le coup, sinon je serais obligée de me branler. J’aimerais bien le voir quand lui se branle. Comment il tient sa queue pour faire gicler son sperme…… Du sperme dans ma bouche, j’en veux maintenant.
LUIJe vais aller lui parler, lui dire simplement la vérité : j’ai envie de toi. Qu’est-ce que je risque : un râteau et alors, ce ne serait pas le premier ni le dernier. Mais si elle accepte je serais satisfait, surtout si elle voit que je bande.
ELLEPourquoi il ne vient pas plus près : je pourrais voir s’il a une belle bite et même s’il bande simplement comme j’aime. Mais s’il vient contre moi, il va m’embrasser. Je répondrais à sa bouche et à sa langue. Tiens il ne fume pas, une bonne note : le baiser d’un fumeur est désagréable dans la bouche. Ailleurs je ne sais pas, je ne crois pas qu’une langue gêne quand elle est sur mon abricot.
LUIJ’espère qu’elle aime les 69 comme moi. Hum de la cyprine sur ma langue !!! Et ma queue dans sa bouche : elle doit bien sucer.
ELLEPourquoi il n’est pas près de moi ?
LES VOYAGEURS EN DIRECTION DE MARSEILLE MONTPELLIER EN VOITURE QUAI NUMERO 5. EN VOITURE.
ELLETiens il monte dans le même wagon que moi.
LUIElle va comme moi à Montpellier. Pourvu que…..
ELLEQu’elle chance nous avons des sièges voisins.
LUIJe vous en prie asseyez-vous près de moi.
ELLEAvec plaisir.
LUILe train part, voulez vous un café ?
ELLEAvec plaisir, Monsieur ?
LUIJean-PierreELLEMoi c’est Maria.
Ils se lèvent ensemble pour aller vers le bar. En route Maria veux passer par les WC.
Il l’attend patiemment quand elle ressort elle l’entraine à l’intérieur en l‘invitant. L’exigüité favorise les rapprochements. Leurs lèvres font ce qu’elles devaient : un long baiser prélude la suite. C’est Jean-Pierre qui ne perd pas de temps : il lève le bas de la robe, Maria le laisse faire. La main monte vers la chatte offerte et mouillée depuis un moment. Il la branle jusqu’à la jouissance de la demoiselle qui ne se démonte pas pour sortir la bite et le branler.
Pendant la masturbation il garde assez de self-control pour lentement mettre à nu le corps de la fille. Il l’appuie contre le petit lavabo, lui fait bien écarter les jambes pour mettre sa queue dans son nid. En quelques mouvements Maria pousse un léger cri en jouissant.
Il la fait se retourner pour l’enculer. Elle a envie de l’avoir dans le cul. Elle sait bien ouvrir son anus pour être sodomisée. C’est rapidement entré. Leurs mouvements conjugués leurs donnent un large aperçu de leur plaisir. Elle se laisse aller à jouir plusieurs fois avec la queue dans le ventre. Quand la décharge arrive, elle jouit encore une fois.
Quand elle voit que la queue de Jean-Pierre est toujours dure, elle la lave au robinet du lavabo pour le sucer, pas comme un roudoudou, comme une bite : elle le lèche largement depuis les couilles jusqu’au gland. Elle aime bien faire cette chose : il lui semble posséder complètement l’homme. Lui se laisse aller au plaisir qui monte, monte jusqu’à éclater dans le bouche de l’amante à son grand plaisir.
L’arrivée est pour bientôt. Cette fois c’est Jean-Pierre qui a encore envie. Maria le pousse devant elle ? Les toilettes ont ça de bien dans les TGV, ils sont relativement libres.
Maria met nu son compagnon, reste la robe à mi taille. Elle donne sa chatte à la bite toujours dure.
C’est elle qui mène la danse. Elle enfile elle-même la queue dans sa figue. Elle la laisse plantée, malgré ses orgasmes à répétition dans l’attende de celui de l’amant.
Arrivés, après un baiser ils se séparent sans seulement savoir qui ils étaient, sans espoir de se revoir un jour sauf accident imprévisible.
Vas-y lève là, tu ne le regretteras pas une instant.
ELLE.
Que veut ce type, il me toise depuis un moment. Je lui plais sans doute, mais de là à me dévorer il y a un pas que je n’aimerais pas qu’il franchisse. D’accord il ne me déplait pas, seul son regard me gêne un peu. Je suis certaine qu’il voudrait me baiser.
LUIPlus je la vois plus j’ai envie d’elle. Qu’elle poitrine, quelles fesses. Je vois ses yeux luisants, elle a envie de tirer un coup sans se l’avouer. J’aimerai la lui mettre partout, j’en suis capable, je bande longtemps.
ELLEOui, son regard est insistant et pourtant plus je le regarde moins il me fait peur. Je n’ai jamais peur d’un homme, j’en ai pas mal connu, je les ai tous baisés avec succès pour moi, quand à eux, bof, je m’en fous.
LUID’abord je la prendrais par devant, son con doit être bien humide, et ensuite je l’enculerais : il me semble qu’elle doit aimer la sodomie, comme moi j’aime la faire.
ELLESi je cède, je sais qu’il voudra me faire jouir, il y arrivera : je commence à avoir envie de sa queue qui doit me plaire. J’espère qu’il bande longtemps. J’aimerais l’avoir un moment dans la bouche, il y a longtemps que je n’ai pas sucé de bite. A savoir si son jus est bon ?
LUIOui, mais, l’enculer avant ou après. Elles sont toutes les même il faut leur obéir, la plus part veulent baiser avant. Pourquoi ne pas se sucer ?
ELLEIl ne sait pas que je vais lui dire oui, je le laisse mariner un peu dans son jus : il sera plus mur pour me faire jouir. Surtout que je le veux trois fois : dans la bouche, le con et le cul. Il faut qu’il tienne le coup, sinon je serais obligée de me branler. J’aimerais bien le voir quand lui se branle. Comment il tient sa queue pour faire gicler son sperme…… Du sperme dans ma bouche, j’en veux maintenant.
LUIJe vais aller lui parler, lui dire simplement la vérité : j’ai envie de toi. Qu’est-ce que je risque : un râteau et alors, ce ne serait pas le premier ni le dernier. Mais si elle accepte je serais satisfait, surtout si elle voit que je bande.
ELLEPourquoi il ne vient pas plus près : je pourrais voir s’il a une belle bite et même s’il bande simplement comme j’aime. Mais s’il vient contre moi, il va m’embrasser. Je répondrais à sa bouche et à sa langue. Tiens il ne fume pas, une bonne note : le baiser d’un fumeur est désagréable dans la bouche. Ailleurs je ne sais pas, je ne crois pas qu’une langue gêne quand elle est sur mon abricot.
LUIJ’espère qu’elle aime les 69 comme moi. Hum de la cyprine sur ma langue !!! Et ma queue dans sa bouche : elle doit bien sucer.
ELLEPourquoi il n’est pas près de moi ?
LES VOYAGEURS EN DIRECTION DE MARSEILLE MONTPELLIER EN VOITURE QUAI NUMERO 5. EN VOITURE.
ELLETiens il monte dans le même wagon que moi.
LUIElle va comme moi à Montpellier. Pourvu que…..
ELLEQu’elle chance nous avons des sièges voisins.
LUIJe vous en prie asseyez-vous près de moi.
ELLEAvec plaisir.
LUILe train part, voulez vous un café ?
ELLEAvec plaisir, Monsieur ?
LUIJean-PierreELLEMoi c’est Maria.
Ils se lèvent ensemble pour aller vers le bar. En route Maria veux passer par les WC.
Il l’attend patiemment quand elle ressort elle l’entraine à l’intérieur en l‘invitant. L’exigüité favorise les rapprochements. Leurs lèvres font ce qu’elles devaient : un long baiser prélude la suite. C’est Jean-Pierre qui ne perd pas de temps : il lève le bas de la robe, Maria le laisse faire. La main monte vers la chatte offerte et mouillée depuis un moment. Il la branle jusqu’à la jouissance de la demoiselle qui ne se démonte pas pour sortir la bite et le branler.
Pendant la masturbation il garde assez de self-control pour lentement mettre à nu le corps de la fille. Il l’appuie contre le petit lavabo, lui fait bien écarter les jambes pour mettre sa queue dans son nid. En quelques mouvements Maria pousse un léger cri en jouissant.
Il la fait se retourner pour l’enculer. Elle a envie de l’avoir dans le cul. Elle sait bien ouvrir son anus pour être sodomisée. C’est rapidement entré. Leurs mouvements conjugués leurs donnent un large aperçu de leur plaisir. Elle se laisse aller à jouir plusieurs fois avec la queue dans le ventre. Quand la décharge arrive, elle jouit encore une fois.
Quand elle voit que la queue de Jean-Pierre est toujours dure, elle la lave au robinet du lavabo pour le sucer, pas comme un roudoudou, comme une bite : elle le lèche largement depuis les couilles jusqu’au gland. Elle aime bien faire cette chose : il lui semble posséder complètement l’homme. Lui se laisse aller au plaisir qui monte, monte jusqu’à éclater dans le bouche de l’amante à son grand plaisir.
L’arrivée est pour bientôt. Cette fois c’est Jean-Pierre qui a encore envie. Maria le pousse devant elle ? Les toilettes ont ça de bien dans les TGV, ils sont relativement libres.
Maria met nu son compagnon, reste la robe à mi taille. Elle donne sa chatte à la bite toujours dure.
C’est elle qui mène la danse. Elle enfile elle-même la queue dans sa figue. Elle la laisse plantée, malgré ses orgasmes à répétition dans l’attende de celui de l’amant.
Arrivés, après un baiser ils se séparent sans seulement savoir qui ils étaient, sans espoir de se revoir un jour sauf accident imprévisible.
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