Jeannine Courtecuisse
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2020 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Jeannine Courtecuisse
Faut dire qu'avec un nom pareil elle avait du mal à passer inaperçue, cette grande cruche...
Dans la boite tout le monde savait qu'elle bossait au département compta. On la voyait chaussée de lunettes de myope derrière les gros ordi Bull à enfourner les données à grandes pelletées.
A la pause, devant la machine à café dans le fond du hall, elle papotait avec copines du même acabit.
Dans acabit, n'entendez-vous pas le son bite ? Qui résonne ... à grands gongs ?
O Jeannine, Jeannine médicament bluesFaçon de jazz, façon GoldmanAmbiance club...
Et bien je vous le dis, cette Jeannine-là, elle avait le goût suave de la chanson de JJG. Enfin, on y était. Et la voix forte de Carole Fredericks dans la chaleur moite du New Morning nous faisait tous bander.
Hanches larges taille fine et jupe plutôt longue légère qui virevoltait à chaque mouvement. Fesse ronde et ventre plat, elle était bien faite, la Jeannine. Devant la photocopieuse, elle nous plaisait bien et chacun en passant pensait, moi à la cafète midi je la drague ... et ce soir je la raccompagne.
On pensait, vit-elle chez ses parents ou bien a-t-elle une chambre un studio en ville ? Nul n’imaginait qu’elle pût être en ménage ou même pire mariée.
Effectivement elle ne l’était pas. Cette grande fille dégingandée était fille libre.
Et en conséquence elle s’offrait le luxe de se faire draguer à la cantine le midi, de se faire emballer à la sortie des bureaux le soir, de s’octroyer petit préliminaire de souper aux chandelles dans un bistro du coin offert par le prétendant en mise en bouche et de conclure dans son grand loft du Marais, le mâle exténué lourd sur son ventre. Achevé.
Et ce chaque jour que Dieu faisait. Heureusement notre entreprise était côtée au CAC 40 avec 18 000 employés dont une grosse majorité de mecs dont la plupart étaient solidement montés et lourdement burnés. On disait, elle a du pain sur la planche, la Jeannine...
Jeannine Courtecuisse portait une jupe de coton tissé fin coloré qui nappait ses hanches et ses fesses et ne cachait rien du rond d’icelles. Un beau rond de fesses de fille saine et sportive auquel tout gars normalement constitué avait désir de porter la main.
Et nous, les gars, quand on porte la main à un beau fessier, on a bonheur à tâter le galbé et à caresser de deux doigts intrusifs le creux de craque un peu moite un peu chaud, enfin toujours très accueillant.
Accueillante elle l’était, la Jeannine. A croire qu’elle n’avait en tête que de faire oublier ce patronyme de « Courtecuisse » peu valorisant.
D’autant plus facilement qu’elle était fille svelte comme cigogne au nid d’un clocher alsacien. Avec ce regard fier et superbe d’oiseau de vieille noblesse strasbourgeoise.
Son truc à elle était de marquer sa consentance par un geste sans équivoque. Alors elle avait un truc imparable pour dire alentour son état d’esprit.
Je laisse ici l’histoire interrompue pour vous laisser réver. Saurez-vous trouver les strophes suivantes ?
Avez-vous compris qu’elle passait ses mains sous sa jupe en toute simplicité ? Et crochait l’élastique de la culotte pour la descendre aux chevilles...
Aviez-vous compris ceci ?
Et qu’ensuite elle glissait la dite culotte dans la poche du garçon.
Avec sourire complice de fille chaleureuse.
Jeannine Courtecuisse.
Dans la boite tout le monde savait qu'elle bossait au département compta. On la voyait chaussée de lunettes de myope derrière les gros ordi Bull à enfourner les données à grandes pelletées.
A la pause, devant la machine à café dans le fond du hall, elle papotait avec copines du même acabit.
Dans acabit, n'entendez-vous pas le son bite ? Qui résonne ... à grands gongs ?
O Jeannine, Jeannine médicament bluesFaçon de jazz, façon GoldmanAmbiance club...
Et bien je vous le dis, cette Jeannine-là, elle avait le goût suave de la chanson de JJG. Enfin, on y était. Et la voix forte de Carole Fredericks dans la chaleur moite du New Morning nous faisait tous bander.
Hanches larges taille fine et jupe plutôt longue légère qui virevoltait à chaque mouvement. Fesse ronde et ventre plat, elle était bien faite, la Jeannine. Devant la photocopieuse, elle nous plaisait bien et chacun en passant pensait, moi à la cafète midi je la drague ... et ce soir je la raccompagne.
On pensait, vit-elle chez ses parents ou bien a-t-elle une chambre un studio en ville ? Nul n’imaginait qu’elle pût être en ménage ou même pire mariée.
Effectivement elle ne l’était pas. Cette grande fille dégingandée était fille libre.
Et en conséquence elle s’offrait le luxe de se faire draguer à la cantine le midi, de se faire emballer à la sortie des bureaux le soir, de s’octroyer petit préliminaire de souper aux chandelles dans un bistro du coin offert par le prétendant en mise en bouche et de conclure dans son grand loft du Marais, le mâle exténué lourd sur son ventre. Achevé.
Et ce chaque jour que Dieu faisait. Heureusement notre entreprise était côtée au CAC 40 avec 18 000 employés dont une grosse majorité de mecs dont la plupart étaient solidement montés et lourdement burnés. On disait, elle a du pain sur la planche, la Jeannine...
Jeannine Courtecuisse portait une jupe de coton tissé fin coloré qui nappait ses hanches et ses fesses et ne cachait rien du rond d’icelles. Un beau rond de fesses de fille saine et sportive auquel tout gars normalement constitué avait désir de porter la main.
Et nous, les gars, quand on porte la main à un beau fessier, on a bonheur à tâter le galbé et à caresser de deux doigts intrusifs le creux de craque un peu moite un peu chaud, enfin toujours très accueillant.
Accueillante elle l’était, la Jeannine. A croire qu’elle n’avait en tête que de faire oublier ce patronyme de « Courtecuisse » peu valorisant.
D’autant plus facilement qu’elle était fille svelte comme cigogne au nid d’un clocher alsacien. Avec ce regard fier et superbe d’oiseau de vieille noblesse strasbourgeoise.
Son truc à elle était de marquer sa consentance par un geste sans équivoque. Alors elle avait un truc imparable pour dire alentour son état d’esprit.
Je laisse ici l’histoire interrompue pour vous laisser réver. Saurez-vous trouver les strophes suivantes ?
Avez-vous compris qu’elle passait ses mains sous sa jupe en toute simplicité ? Et crochait l’élastique de la culotte pour la descendre aux chevilles...
Aviez-vous compris ceci ?
Et qu’ensuite elle glissait la dite culotte dans la poche du garçon.
Avec sourire complice de fille chaleureuse.
Jeannine Courtecuisse.
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