Jennifer - Episode 3 – Nouvelles surprises
Récit érotique écrit par Lorenzo78 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Jennifer - Episode 3 – Nouvelles surprises
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Quelques mois ont passé. Tout est redevenu normal. Au bureau Patrick ne me parle plus de ses soirées libertines. J’ai eu l’occasion de revoir Karine bien entendu, la première fois nous avons échangé un long regard entendu… et fait comme si de rien n’était !
Quant-à Jennifer, je ne l’ai revue qu’une fois, lors d’une invitation chez ses parents. Elle a certainement cherché à attirer mon attention, mais comme je n’avais pas l’intention de me faire prendre au piège… elle a eu très peu droit à mes regards appréciateurs sur sa beauté et sa séduction.
Ce soir, c’est mon anniversaire. Nathalie m’a dit de rentrer vers 19 heures, et de sonner en arrivant, elle a une surprise pour moi !
A-t-elle invité nos amis ? Ou au contraire a-t-elle prévu une soirée en tête à tête ? Je parie sur cette dernière solution, et quelques surprises très coquines. Il faut dire que nous approfondissons progressivement notre exploration des relations dominants/soumis, et je suppose que ma belle a quelques idées derrière la tête…
Il est 19 heures pile lorsque je gare ma voiture devant la maison. Le quartier est calme, peu de voitures, donc à moins que nos amis ne soient venus à pied, l’hypothèse du guet-apens coquin tient plus que jamais la corde !
Je sonne, rapidement Nathalie m’ouvre. Dieu qu’elle est désirable dans cette petite robe courte noire et ces jolis escarpins ! Elle se jette à mon cou pour m’embrasser à pleine bouche, mes mains s’égarent sur ses courbes, vérifiant au passage l’absence d’autres pièces vestimentaires !
« Viens », me dit-elle en me prenant par la main. Elle m’entraine vers le salon. La maison est dans la pénombre, volets et rideaux fermés. Le salon est éclairé aux chandelles… C’est bien une soirée d’amoureux qui s’annonce !
L’apéritif est prêt sur la table basse, plus loin dans le coin salle à manger la table est mise. Oui mais… il y a un hic ! Pourquoi y-a-t-il trois couverts ?
Nathalie a suivi mon regard, avant que je ne puisse l’interroger elle me met un doigt sur les lèvres.
Puis : « Tu peux venir maintenant ! »
La porte de la cuisine s’ouvre, et devant mes yeux ébahis apparaît Jennifer, en tenue de soubrette, tenant un plateau avec trois coupes de champagne. Elle s’approche de nous les yeux baissés, Nathalie prend une coupe et me la tend :
« Bon anniversaire, mon chéri ! Jennifer est ton cadeau ce soir ! »
Je reste sans voix. J’admire la jolie jeune femme qui se tient les yeux baissés à côté de nous : dressée elle aussi sur des escarpins, ses longues jambes et sa chute de rein attirent mes regards. Sa jeune poitrine pointe fièrement à travers le tissu de sa robe de soubrette, et mes yeux peuvent plonger dans un vertigineux décolleté. Ses cheveux blonds sont sagement retenus en queue de cheval.
« Ma chérie, je ne m’attendais pas à cela. Tu souhaites vraiment que… »
« Oui, je le souhaite » m’interrompt Nathalie, « mais je te dois quelques explications ! Asseyons-nous sur le canapé. Toi, Jennifer, accroupis-toi devant nous ! »
Nous trinquons tous les trois. Jennifer garde les yeux baissés, Nathalie le lui a probablement ordonné… je reconnais là son nouveau goût pour la D/S. Mais au moment de trinquer avec elle, fugacement, elle me lance un regard plein de désir, mais où je devine également de l’anxiété.
« Tu es surpris, mon amour ! Je le conçois bien. Après cette aventure que tu m’as racontée, à laquelle cette petite garce était mêlée, je t’ai observé attentivement. Et j’ai vu que tu n’avais pas l’intention de recommencer, que ta petite femme te comblait. Le soir ou nous sommes allés diner chez Karine et Patrick, j’ai constaté qu’à la différence du passé, tu ne passais pas ton temps à mater Jennifer en cachette… Eh oui, ton petit jeu n’était pas passé inaperçu !
Moi aussi pendant quelques temps, je n’y ai plus pensé. Et puis, un jour en faisant le ménage, je suis tombé sur une petite boulette de papier froissé qui s’était glissé sous un meuble : c’était le papier sur lequel Jennifer avait noté son numéro à ton attention. Bizarrement, je ne l’ai pas jeté, je l’ai gardé « au cas où » me suis-je dit.
Alors que je cherchais une surprise à te faire pour ton anniversaire, l’idée m’est venue que peut-être je pourrais y impliquer Jennifer. Et puis, j’avais une autre idée derrière la tête.
J’ai appelé Jennifer, c’est peut dire qu’elle a été surprise lorsque je me suis présentée… J’ai entendu… un grand blanc, et j’ai eu peur qu’elle ne raccroche. Elle a fini par retrouver l’usage de la parole, et m’a demandé ce que je voulais. Je lui ai juste dit que je souhaitais la voir, et lui ai proposé un rendez-vous dans un café du centre-ville.
Là, je lui ai annoncé que je savais tout, que tu m’avais tout dit. Et je lui ai demandé, les yeux dans les yeux, si elle te désirait toujours. Elle a baissé les yeux et a lâché un petit « oui » quasi inaudible.
Je lui ai demandé pourquoi, tu en es en partie responsable, elle avait ressenti le désir de tes regards sur elle, cela l’avait émoustillé… et elle s’était mise au défi de te conquérir ! Elle était assez vexée de son échec finalement, même si elle avait pu goûter ton plaisir.
Alors, je lui ai dévoilé mon idée : je te l’offrirai pour ton anniversaire, elle pourrait assouvir son envie, mais à une et une seule condition : elle devrait m’obéir en tout, elle deviendrait à cette occasion ma soumise.
Elle n’a pas réfléchi bien longtemps pour accepter… Et la voilà ! Je crois que cette demoiselle a une certaine tendance pour la soumission, tu ne crois pas ? »
Je regarde la jeune femme sagement accroupie devant nous, les yeux toujours baissés… « En tous cas, elle en donne l’impression… As-tu déjà eu l’occasion de l’éduquer ? »
« Non, mon chéri, je ne voulais pas le faire en ton absence. Ce soir sera donc son initiation ! »
Elle s’adresse alors d’un ton décidé à Jennifer : « Jennifer, es-tu toujours d’accord pour devenir ma soumise ? Pour m’obéir en tout, subir mes envies et mes lubies, quelles qu’elles soient ? »
« Oui, Madame, je le veux ! »
« Tu es consciente que ce ne sera pas toujours une partie de plaisir ? »
« Oui, Madame. Je dois vous avouer que depuis longtemps j’ai cette envie au fonds de moi. »
« Bien. Bien-sûr, c’est ce soir l’anniversaire de Laurent, mais j’ai aussi un cadeau pour toi… Sans doute as-tu une idée de ce qui est dans ce paquet » Elle lui tend un petit paquet entouré d’un joli ruban.
« Je pense que oui, je sais ce que c’est, Madame » répond la jeune femme « Dois-je l’ouvrir maintenant ? »
« Bien-sûr ! »
Bientôt, Jennifer arbore fièrement autour de son cou son nouveau collier, signe de son appartenance à ma tendre épouse qui me révèle à ma grande surprise ses envies de domination. Nathalie l’a choisi en cuir rouge, orné de strass en verre, d’une grande finesse, avec un anneau d’inox… pour la laisse ?
« Bon, maintenant, il paraît d’après Laurent que tu es une bonne suceuse tout compte fait. Il est temps de me montrer tes talents en la matière, et par la même occasion de gâter un peu Laurent, dont il ne faudrait pas oublier que c’est l’anniversaire ! »
Nathalie déboucle ma ceinture, descend la fermeture de ma braguette, et me débarrasse rapidement de pantalon et boxer. Je pense que vous devinerez aisément que mon sexe est déjà bien dressé après tous ces évènements plus excitants les uns que les autres. Ce que Nathalie ne manque pas de faire remarquer « eh bien mon cochon, tu ne perds pas de temps, toi ! »
« Comment pourrais-je mieux te remercier de ton cadeau qu’en te montrant à quel point il me fait plaisir ? »
Sur l’ordre de Nathalie, Jennifer se positionne devant moi, accroupie, les mains dans le dos avec interdiction de s’en servir, et sa jolie bouche enfourne ma virilité dressée avec gourmandise, pour une longue dégustation… je vois ses jolies lèvres aller et venir sur ma hampe, je sens sa langue me titiller… c’est délicieux, je me laisse aller, en dégustant à petites gorgées ma coupe de champagne.
A côté de moi, Nathalie a écarté les jambes et se caresse en nous regardant.
Je bande comme jamais sous la caresse buccale… je sens le plaisir monter, je ne fais rien pour le retenir, et j’inonde la jolie bouche de ma semence. Jennifer continue à me sucer doucement.
« Montres-moi » ordonne Nathalie, et Jennifer, abandonnant mon sexe, lui montre sa bouche pleine de mon sperme.
« Avales », et Jennifer avale… puis Nathalie lui ordonne de bien nettoyer mon sexe avec sa bouche.
« As-tu déjà léché une femme ? » lui demande ensuite Nathalie
« Non, Madame »
« Eh bien, voici l’occasion de débuter. Et tu as intérêt à ma faire jouir, sinon… »
Et voici Jennifer entre les jambes de mon épouse, qui lui tient la tête plaquée contre son sexe béant, et la guide dans la découverte de son intimité. Nathalie est tellement excitée que Jennifer n’a aucun mal à lui arracher rapidement des cris de jouissance…
Une fois revenue parmi nous, Nathalie m’invite à passer à table, le diner sera servi par notre nouvelle soubrette. Mais elle pourra s’asseoir à table avec nous.
Cet apéritif fut plein de plaisir ! Seule Jennifer n’y a pas eu droit, mais n’est-ce pas le sort d’une soumise de n’avoir de plaisir qu’avec l’autorisation de sa Maitresse ?
Quelques mois ont passé. Tout est redevenu normal. Au bureau Patrick ne me parle plus de ses soirées libertines. J’ai eu l’occasion de revoir Karine bien entendu, la première fois nous avons échangé un long regard entendu… et fait comme si de rien n’était !
Quant-à Jennifer, je ne l’ai revue qu’une fois, lors d’une invitation chez ses parents. Elle a certainement cherché à attirer mon attention, mais comme je n’avais pas l’intention de me faire prendre au piège… elle a eu très peu droit à mes regards appréciateurs sur sa beauté et sa séduction.
Ce soir, c’est mon anniversaire. Nathalie m’a dit de rentrer vers 19 heures, et de sonner en arrivant, elle a une surprise pour moi !
A-t-elle invité nos amis ? Ou au contraire a-t-elle prévu une soirée en tête à tête ? Je parie sur cette dernière solution, et quelques surprises très coquines. Il faut dire que nous approfondissons progressivement notre exploration des relations dominants/soumis, et je suppose que ma belle a quelques idées derrière la tête…
Il est 19 heures pile lorsque je gare ma voiture devant la maison. Le quartier est calme, peu de voitures, donc à moins que nos amis ne soient venus à pied, l’hypothèse du guet-apens coquin tient plus que jamais la corde !
Je sonne, rapidement Nathalie m’ouvre. Dieu qu’elle est désirable dans cette petite robe courte noire et ces jolis escarpins ! Elle se jette à mon cou pour m’embrasser à pleine bouche, mes mains s’égarent sur ses courbes, vérifiant au passage l’absence d’autres pièces vestimentaires !
« Viens », me dit-elle en me prenant par la main. Elle m’entraine vers le salon. La maison est dans la pénombre, volets et rideaux fermés. Le salon est éclairé aux chandelles… C’est bien une soirée d’amoureux qui s’annonce !
L’apéritif est prêt sur la table basse, plus loin dans le coin salle à manger la table est mise. Oui mais… il y a un hic ! Pourquoi y-a-t-il trois couverts ?
Nathalie a suivi mon regard, avant que je ne puisse l’interroger elle me met un doigt sur les lèvres.
Puis : « Tu peux venir maintenant ! »
La porte de la cuisine s’ouvre, et devant mes yeux ébahis apparaît Jennifer, en tenue de soubrette, tenant un plateau avec trois coupes de champagne. Elle s’approche de nous les yeux baissés, Nathalie prend une coupe et me la tend :
« Bon anniversaire, mon chéri ! Jennifer est ton cadeau ce soir ! »
Je reste sans voix. J’admire la jolie jeune femme qui se tient les yeux baissés à côté de nous : dressée elle aussi sur des escarpins, ses longues jambes et sa chute de rein attirent mes regards. Sa jeune poitrine pointe fièrement à travers le tissu de sa robe de soubrette, et mes yeux peuvent plonger dans un vertigineux décolleté. Ses cheveux blonds sont sagement retenus en queue de cheval.
« Ma chérie, je ne m’attendais pas à cela. Tu souhaites vraiment que… »
« Oui, je le souhaite » m’interrompt Nathalie, « mais je te dois quelques explications ! Asseyons-nous sur le canapé. Toi, Jennifer, accroupis-toi devant nous ! »
Nous trinquons tous les trois. Jennifer garde les yeux baissés, Nathalie le lui a probablement ordonné… je reconnais là son nouveau goût pour la D/S. Mais au moment de trinquer avec elle, fugacement, elle me lance un regard plein de désir, mais où je devine également de l’anxiété.
« Tu es surpris, mon amour ! Je le conçois bien. Après cette aventure que tu m’as racontée, à laquelle cette petite garce était mêlée, je t’ai observé attentivement. Et j’ai vu que tu n’avais pas l’intention de recommencer, que ta petite femme te comblait. Le soir ou nous sommes allés diner chez Karine et Patrick, j’ai constaté qu’à la différence du passé, tu ne passais pas ton temps à mater Jennifer en cachette… Eh oui, ton petit jeu n’était pas passé inaperçu !
Moi aussi pendant quelques temps, je n’y ai plus pensé. Et puis, un jour en faisant le ménage, je suis tombé sur une petite boulette de papier froissé qui s’était glissé sous un meuble : c’était le papier sur lequel Jennifer avait noté son numéro à ton attention. Bizarrement, je ne l’ai pas jeté, je l’ai gardé « au cas où » me suis-je dit.
Alors que je cherchais une surprise à te faire pour ton anniversaire, l’idée m’est venue que peut-être je pourrais y impliquer Jennifer. Et puis, j’avais une autre idée derrière la tête.
J’ai appelé Jennifer, c’est peut dire qu’elle a été surprise lorsque je me suis présentée… J’ai entendu… un grand blanc, et j’ai eu peur qu’elle ne raccroche. Elle a fini par retrouver l’usage de la parole, et m’a demandé ce que je voulais. Je lui ai juste dit que je souhaitais la voir, et lui ai proposé un rendez-vous dans un café du centre-ville.
Là, je lui ai annoncé que je savais tout, que tu m’avais tout dit. Et je lui ai demandé, les yeux dans les yeux, si elle te désirait toujours. Elle a baissé les yeux et a lâché un petit « oui » quasi inaudible.
Je lui ai demandé pourquoi, tu en es en partie responsable, elle avait ressenti le désir de tes regards sur elle, cela l’avait émoustillé… et elle s’était mise au défi de te conquérir ! Elle était assez vexée de son échec finalement, même si elle avait pu goûter ton plaisir.
Alors, je lui ai dévoilé mon idée : je te l’offrirai pour ton anniversaire, elle pourrait assouvir son envie, mais à une et une seule condition : elle devrait m’obéir en tout, elle deviendrait à cette occasion ma soumise.
Elle n’a pas réfléchi bien longtemps pour accepter… Et la voilà ! Je crois que cette demoiselle a une certaine tendance pour la soumission, tu ne crois pas ? »
Je regarde la jeune femme sagement accroupie devant nous, les yeux toujours baissés… « En tous cas, elle en donne l’impression… As-tu déjà eu l’occasion de l’éduquer ? »
« Non, mon chéri, je ne voulais pas le faire en ton absence. Ce soir sera donc son initiation ! »
Elle s’adresse alors d’un ton décidé à Jennifer : « Jennifer, es-tu toujours d’accord pour devenir ma soumise ? Pour m’obéir en tout, subir mes envies et mes lubies, quelles qu’elles soient ? »
« Oui, Madame, je le veux ! »
« Tu es consciente que ce ne sera pas toujours une partie de plaisir ? »
« Oui, Madame. Je dois vous avouer que depuis longtemps j’ai cette envie au fonds de moi. »
« Bien. Bien-sûr, c’est ce soir l’anniversaire de Laurent, mais j’ai aussi un cadeau pour toi… Sans doute as-tu une idée de ce qui est dans ce paquet » Elle lui tend un petit paquet entouré d’un joli ruban.
« Je pense que oui, je sais ce que c’est, Madame » répond la jeune femme « Dois-je l’ouvrir maintenant ? »
« Bien-sûr ! »
Bientôt, Jennifer arbore fièrement autour de son cou son nouveau collier, signe de son appartenance à ma tendre épouse qui me révèle à ma grande surprise ses envies de domination. Nathalie l’a choisi en cuir rouge, orné de strass en verre, d’une grande finesse, avec un anneau d’inox… pour la laisse ?
« Bon, maintenant, il paraît d’après Laurent que tu es une bonne suceuse tout compte fait. Il est temps de me montrer tes talents en la matière, et par la même occasion de gâter un peu Laurent, dont il ne faudrait pas oublier que c’est l’anniversaire ! »
Nathalie déboucle ma ceinture, descend la fermeture de ma braguette, et me débarrasse rapidement de pantalon et boxer. Je pense que vous devinerez aisément que mon sexe est déjà bien dressé après tous ces évènements plus excitants les uns que les autres. Ce que Nathalie ne manque pas de faire remarquer « eh bien mon cochon, tu ne perds pas de temps, toi ! »
« Comment pourrais-je mieux te remercier de ton cadeau qu’en te montrant à quel point il me fait plaisir ? »
Sur l’ordre de Nathalie, Jennifer se positionne devant moi, accroupie, les mains dans le dos avec interdiction de s’en servir, et sa jolie bouche enfourne ma virilité dressée avec gourmandise, pour une longue dégustation… je vois ses jolies lèvres aller et venir sur ma hampe, je sens sa langue me titiller… c’est délicieux, je me laisse aller, en dégustant à petites gorgées ma coupe de champagne.
A côté de moi, Nathalie a écarté les jambes et se caresse en nous regardant.
Je bande comme jamais sous la caresse buccale… je sens le plaisir monter, je ne fais rien pour le retenir, et j’inonde la jolie bouche de ma semence. Jennifer continue à me sucer doucement.
« Montres-moi » ordonne Nathalie, et Jennifer, abandonnant mon sexe, lui montre sa bouche pleine de mon sperme.
« Avales », et Jennifer avale… puis Nathalie lui ordonne de bien nettoyer mon sexe avec sa bouche.
« As-tu déjà léché une femme ? » lui demande ensuite Nathalie
« Non, Madame »
« Eh bien, voici l’occasion de débuter. Et tu as intérêt à ma faire jouir, sinon… »
Et voici Jennifer entre les jambes de mon épouse, qui lui tient la tête plaquée contre son sexe béant, et la guide dans la découverte de son intimité. Nathalie est tellement excitée que Jennifer n’a aucun mal à lui arracher rapidement des cris de jouissance…
Une fois revenue parmi nous, Nathalie m’invite à passer à table, le diner sera servi par notre nouvelle soubrette. Mais elle pourra s’asseoir à table avec nous.
Cet apéritif fut plein de plaisir ! Seule Jennifer n’y a pas eu droit, mais n’est-ce pas le sort d’une soumise de n’avoir de plaisir qu’avec l’autorisation de sa Maitresse ?
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