Jennyfer et Carla 3
Récit érotique écrit par Alès [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Jennyfer et Carla 3
Pour aller en Grèce, elles traversent l’Italie avec la Fiat 500 Abarth que Jennyfer venait d’acheter. Carla était ravie de montrer le pays de ses ancêtres à sa bien aimée. Arrivées au bout de la botte elles laissent la voiture, prennent un avion et arrivent en Grèce où les attendaient Hélène et sa copine Elefteria, une jolie grecque, qui avait convaincue Hélène de quitter Nice pour le pays des Héllènes. Ensembles elles allaient d’île en île avec le bateau dont Elefteria avait héritée de son père. Ainsi elles visitaient les îles grecques et profitaient des criques désertes pour faire l’amour.
Ce n’était pas le genre de Jennyfer ou de Carla, mais Hélène et Elefteria, dont le prénom signifier « liberté » en grec, avaient réussies à convaincre le jeune couple d’oublier la notion de fidélité sexuelles pour trois semaines. Hélène avait toujours rêvée de coucher avec Carla et n’était pas contre coucher avec Jennyfer qui ressemblait beaucoup à Elefteria. Toutes les deux étaient brunes à la peau blanche. Elefteria était plus petite que la trentenaire, mince et plus féminine dans ses courbes, son allure, possédait une poitrine à peine plus petite que la française. Comme Hélène la jeune grecque avait toujours sue qu’elle était lesbienne. Mais à la différence de sa compagne française, elle aimait coucher avec toutes les filles qui l’intéressait. Elle aimait Hélène, mais elle avait besoin de séduire et de coucher avec d’autres filles. Hélène l’avait accepté et de temps en temps s’autorisait aussi des aventures. Parfois elles faisaient même fait l’amour a trois.
Le beau voilier bleu et blanc aux couleurs de la Grèce, de taille moyenne ne nécessitait qu’un capitaine pour le manoeuvrer. Hors en dehors de ses études, Elefteria comme toute bonne îlienne avait appris à naviguer avec son père sur le voilier. Ainsi Elefteria et sa compagne attendaient elles les filles dans une marina d’Athènes. Elefteria avait prévenue les françaises, trois short, et quelques t-shirt suffisaient pour les vacances. En dehors des escapades sur terre, la tenue exigée à bord était la nudité. Le temps de la traversée entre Athènes et Délos, Jennyfer et Carla étaient restés dans leur cabine, le temps pour elles de se faire au roulis. Elles rataient le coucher de soleil sur le temple du cap Sounion et les superbes églises de Sifnos. Arrivées au port de l’île, les 4 jeunes femmes descendent et visitent l’île. Les deux nouvelles venues sont sous le charme de l’île, ses paysages, ses monuments, même si pour Carla rien ne peut égaler la splendeur de l’Italie. Les 4 jeunes femmes visites les ruines antiques de l’île désertées depuis des siècles suite à l’assèchement de ses sources d’eau potable. Sans s’expliquer pourquoi Jennyfer est saisie par les ruines du temple d’Apollon qui abritait le siège de la ligue de Délos. Cette ligue formée par Athènes contre les Perses lui permettait de dominer les cités plus faibles et à terme devait lui permettre de battre Sparte sa rivale, ce qui ne fut pas le cas. Après la visite elles remontent à bord du bateau et Elefteria met le cap sur une partie de la côte de l’île complètement déserte. Là elle ancre le navire. Pour ne pas brusquer ses invitées Elefteria leur avait laisser jusque là garder leurs vêtements. Mais après avoir levée l’ancre du port de Délos, elle leur demandait de se débarrasser de leurs vêtements. Toutes les deux gênées se sont déshabillées dans leur cabine et n’en sont sortie uniquement parce qu’Hélène s’était mise nue elle aussi et pénétrait dans leur cabine. Sur le pont elles essayait de cacher seins et sexe de la vue de leurs amies, puis au fil des heures, elles se sont détendues et ont arrêtées de se cacher pour le plus grand plaisir d’Hélène et d’Elefteria qui pouvaient enfin admirer leurs corps. Hélène ne quittait pas Carla des yeux, de peur que ce corps dont elle rêvait depuis si longtemps disparaisse sous ses yeux. Elle n’en revenait pas de la chance incroyable que lui avait offert sa compagne. Pouvoir admirer le corps nue de sa meilleure amie et pouvoir faire l’amour avec elle. Il y’a encore un an elle aurait crût cela impossible. Et Carla était vraiment belle avec son corps mince, ses beaux cheveux qui retombaient sur sa poitrine, ses petits seins qui pointaient, son sexe parfaitement imberbe. Jennyfer n’était pas mal non plus, grande, mince, les cheveux bruns, avec ses grains de beautés un peu partout sur le corps, un en particulier sur le haut du sein gauche. Elle ressemblait à Elefteria et si Hélène la trouvait belle aussi, elle ne la trouvait pas aussi sexy que son Aphrodite. Elefteria de son côté trouvait effectivement Carla très jolie. Mais elle avait déjà couchée avec d’autres filles dans son style et donc contrairement à Hélène ne bavait pas devant. Jennyfer l’intéressait davantage dans le sens, où elles se ressemblaient et n’avait jamais fair l’amour avec une nana lui ressemblant autant. Elefteria se disait que cela devait être drôle et se sachant sexy, très agréable. Carla avait déjà vue Hélène nue, ou presque, dans les vestiaires en sport, et encore une fois ne lui trouvait rien de particulièrement attirant. Elle observait qu’Hélène semblait davantage musclée qu’avant et surtout ne s’épilait pas, contrairement à sa compagne qui s’était fait épiler tout le corps. Opération longue et couteuse mais que ses moyens financiers permettaient. Mais le résultat était à la hauteur de l’investissement, Elefteria était sublime. Hélène la comparait souvent une statue d’Aphrodite. Carla fait toujours pensée que son amie exagérait, mais elle devait se rendre à l’évidence que non. Jennyfer pensait la même chose que sa compagne au sujet de leurs amies. Hélène n’était pas moche, mais pas la plus sexy, quand à Elefteria qui lui ressemblait, elle la trouvait elle aussi sublime.
Pour mettre Jennyfer et Carla en confiance, Elefteria les laisse tranquille à l’avant tandis qu’elle et Hélène vont faire l’amour dans leur cabine. Là la jeune grecque se jette avidement sur la bouche de sa compagne. Bizarrement Elefteria à toujours aimée les filles ultra féminines comme elle, et surtout plus grande que le petit 1,55m d’Hélène. Pourtant quand son regard avait croisé celui de la française à l’allure de garçon, la grecque avait eût le coup de foudre. Hélène elle aussi avait tout de suite flashée sur la jeune brune aux cheveux longs. Elefteria était en fait venue dans un petit garage de Nice faire réparer sa Lancia Ypsilon et était tombée sur Hélène. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, Elefteria qui ne s’était jamais attaché à une fille était folle amoureuse d’Hélène. Même si Elefteria aimait Hélène elle lui avait tout de suite dit « Je t’aime, mais je coucherais avec d’autres filles. Je sais pas résister à une jolie fille. C’est purement sexuel. Et si jamais tu veux coucher avec d’autres filles, mais que c’est simplement sexuel, comme moi, je ne t’en voudrais pas. ». Une fois sa maîtrise en économie réussie Elefteria proposait à Hélène de partir avec elle en Grèce. Elefteria devait reprendre les affaires de son père et ne pouvait se passer de son pays. Sachant le sacrifice qu’elle demandait à Hélène, Elefteria achetait une petite maison dans l’arrière pays niçois. Et comme Hélène ne voulait pas dépendre financièrement de sa compagne, elle ouvrait un petit garage réservé aux femmes et aux touristes souvent victimes de mécaniciens machos et peux scrupuleux. Installées à Athènes elles profitent largement du voilier et font de fréquents séjours dans la maison natale d’Elefteria dans l’île de Lesbos au large des côtes turques.
Elefteria embrasse Hélène avec délectation, aussi bizarre que cela puisse paraître elle est toujours aussi amoureuse de sa française. Hélène elle aussi est toujours raide dingue de son hellène, et adore quand elle lui fait l’amour. D’ailleurs elles font l’amour presque chaque jour. Couchée sur le lit Hélène laisse son amante lécher ses petits seins fermes, rouler des pelles à son bouton rose qui l’a fait rapidement jouir. Tout l’après-midi les deux jeunes femmes font l’amour. Le soir lorsqu’elles quittent leur cabine épuisées elles retrouvent leurs amies visiblement repues de sexe elles aussi.
Lorsqu’Hélène et Elefteria s’éclipsent les filles savent très bien ce qu’elles vont faire.
« C’est bizarre d’être nue sur un bateau et d’être avec des copines nues elles aussi.
- Oui, répond Jennyfer.
- Mais pas désagréable, même si on est un peu gênée au début. Faire l’amour sur un bateau n’a jamais fait partie de mes fantasmes mais ça doit être agréable. Reprend Carla.
- J’ai très bien compris où tu voulais en venir ma chérie. Je voulais voir combien de temps tu allais tenir. Tu tiens pas longtemps. Obsédée du sexe. »
Jennyfer se lance à l’assaut des lèvres de sa bien aimée. De longues minutes elles s’embrassent tout en se caressant. Carla se laisse ensuite glisser le long du corps de son amante. Arrivée à son sexe Carla le caresse délicatement du bout de sa langue. Sous le chaud Soleil de Grèce, l’odeur de l’iode, sous l’effet de la houle elles éprouvent des sensations nouvelles. Pas agréables, mais pas désagréables Jennyfer jouit doucement. Tandis que Carla se couche sur son transat, Jennyfer se lève et vient au dessus d’elle pour lui faire l’amour, s’occuper de ces petits seins délicats de jeune fille, de son joli sexe que le Soleil n’a pas encore eût le temps de colorer d’un beau brun. Carla jouit tout aussi doucement. Des orgasmes doux, qui les emplissent pleinement de bonheur. Un bonheur tranquille et calme. Et qui laissera la place une heure plus tard à un amour déchaîné, passionné.
Après l’apéritif et le repas typiquement grecs préparés par Elefteria (salade de fromage de brebis, feuilles de vigne farcies, glace au raisin, ouzo, … ) toutes les quatre discutent avant de partir se coucher sagement. En effet Elefteria avait décidée de quitter Délos pour Patmos. Le lendemain elles arrivent en fin de journée au large de l’île et décident d’aller la visiter le lendemain, Elefteria ajoutant qu’elle emmènerait l’une des filles faire les courses avec elles.
« Tu sais Carla j’ai toujours rêvée de te faire l’amour. Maintenant que tu es lesbienne je peux te le dire. Si tu es toujours d’accord on peut en profiter que les filles sont à terre.
- Je savais depuis longtemps que tu avais envie de moi. Et que tu en profiterais dès que tu pourrais. Alors viens. »
Les deux jeunes filles s’enlacent et s’embrassent. Hélène attendait ce moment depuis des années. Et même si elle aimait profondément sa jolie grecque elle rêvait depuis toujours de coucher avec elle. Même si Carla et Jennyfer étaient fidèles ces vacances elles le savaient seraient une exception qui ne viendrait pas troubler leur amour. Hélène n’est pas un canon de beauté, petite mince, les cheveux châtains courts, des yeux noisettes, un nez long, des petits seins, et une voix légèrement éraillée par la clope qu’elle avait enfin arrêtée depuis sa rencontre avec Elefteria, mais Carla aujourd’hui s’en fichait, elle avait envie d’aider son amie à réaliser son rêve.
Leurs mains caressent leurs cheveux avant de descendre le long de leurs corps. Carla à des impressions étranges. Elle ne peut s’empêcher de trouver étrange ce corps mince entre ses mains qui n’est pas celui de sa compagne. Carla est la première à quitter la bouche de sa compagne pour descendre le long de son corps. Les petits seins d’Hélène sont agréables à lécher son ventre ferme de sportive un peu moins, quand à sa caverne c’est une surprise, Hélène la protège par des poils pubiens. Carla fait passer sa langue entre ce bosquet et accède au palais des plaisirs de son amie. Ses caresses sont douces, elle veut faire profiter un maximum Hélène de ce moment de plaisir. Hélène halète de plus en plus, sent monter son orgasme, qui est là. Carla se relève tandis qu’Hélène couvre son corps de baisers. Cette dernière est au comble du bonheur. Les petits seins de Carla sont souples, son ventre aussi et son sexe complètement nu. Hélène laisse pénétrer sa langue, elle alterne les mouvements. Carla atteint le nirvana, elle n’en peux plus et jouit sous les assauts d’Hélène. Carla savait qu’elle jouirait, mais cette jouissance la surprend. Elle n’a jamais jouit avec une autre femme. Toutes les deux heureuses se couchent l’une à côté de l’autre sans rien dire attendant le retours de leurs compagnes.
De retour sur le bateau Jennyfer et Elefteria ne sont pas dupes et savent très bien ce qu’on fait leurs amoureuses en leur absence. Rentrées chacun dans leurs cabines, les couples se racontent ce qu’ils ont fait.
« Tu as pu réaliser ton fantasme Héli ?
- Oui. J’ai adoré lui faire, l’amour, c’était très agréable. Merci mon amour de m’avoir aidé à réalisé ce fantasme.
Ce n’est rien ma chérie. Maintenant à moi d’y goûter. »
« Alors vous avez fait l’amour ? Demande Jennyfer.
- Oui.
- Tu as aimé ?
- Pas tant que ça. Elle fait bien l’amour, mais finalement il n’y a que ton corps qui me rende folle. Son corps est trop mince et trop ferme. Mais je suis contente qu’elle ait assouvit son fantasme. Ca faisait tellement longtemps qu’elle rêvait de ce moment.
- Oui. Je ne sais pas comment va se dérouler la croisière, mais à mon avis ce n’est que le début. »
Le lendemain Hélène et Carla partaient faire de la plongée dans les eaux bleues de la mer Egée. Hélène avait découvert la plongée en Grèce et depuis elle adorait plonger chaque fois qu’elle le pouvait. Elle adorait observer la faune et la flore sous-marine. Carla qui aimait elle aussi la nature, curieuse et n’ayant jamais fait de plongée avait accepter de la suivre. Jennyfer restée avec Elefteria savait très bien que la belle brune allait en profiter pour lui faire l’amour. A peine Hélène et Carla parties sous la surface, Elefteria vient poser sa main sur le sein de Jennyfer couchée sur le pont avant un livre à la main. Tout aussi doucement qu’elle était venue elle fait le tour et pose ses lèvres sur l’autre sein de la française. Elle va droit au but. Doucement sa langue lèche ce sein. Ce n’est pas la première fois qu’elle va coucher avec une fille avec des seins plus gros qu’elle. Elle avait déjà couchée avec des filles aux seins plus gros, naturellement ou siliconnés. Elle aimait toutes les sortes de seins, mais ceux de Jennyfer lui plaisaient particulièrement. Sa langue passe sur tout le sein avant de se diriger vers l’aréole, de tourner autours du téton qu’elle finit par embrasser, lécher, sucer, titiller. Elle reste de longues minutes à s’occuper de ces deux magnifiques seins avant de descendre sur le ventre mince et souple où elle ne s’attarde pas longtemps, pour s’occuper de la caverne à bonheur de sa partenaire. Elle y fait pénétrer son doigt, avant d’y glisser une minute après sa langue. Avant de jouer avec le bouton rose de son amante, elle explore les moindres recoins de sa caverne du bout de sa langue, la caresse, la titille avant d’aller chercher le bouton magique. Jenyfer halète comme une folle sous les coups de langue de la belle grecque. Mais Elefteria qui veut faire durer son plaisir ralenti, change de mouvements pour ralentir la machine, dévoilant ainsi tout son talent. Plusieurs minutes durant Elefteria prend un plaisir fou à faire l’amour à Jennyfer qui halète de nouveau. Cette fois la grecque laisse faire, décidant même de l’achever par quelques coups de langues bien placés. Jennyfer crie son plaisir et laisse sa cyprine se répandre sur la langue de son amante grecque. Il faut de longues minutes à la française pour se remettre d’un tel cataclysme. Une fois remise elle décide de donner autant de plaisir à Elefteria que celle-ci lui en a donné. Même si elle sait que c’est quasi impossible étant donné la maîtrise de son amante. Mais elle veut essayer, simplement pour remercier cette beauté de lui avoir donné tant de plaisir. Elle se penche sur sa bouche qu’elle embrasse langoureusement. Après avoir baisée ces lèvres elle baise ces seins. Elefteria n’est pas sa première amante à avoir une si belle poitrine, mais cela fait longtemps qu’elle n’en as pas embrassée de pareil. Jennyfer en vient à regretter que Carla n’ait pas de seins un peu plus gros. Pendant de longues minutes Jennyfer se régale à lécher, sucer, titiller ces seins qu’elle trouve magnifique. Elle aussi ne s’attarde pas sur le ventre de son amante et dirige droit sa bouche vers son sexe où déjà son doigt s’est introduit. Pendant de longues minutes elle caresse plus ou moins vite, avec le bout ou le plat de sa langue cette caverne héllènique. Ce n’est qu’après plusieurs minutes d’efforts qu’elle entend la belle brune commencer à haleter. Alors elle redouble d’efforts et finit par sentir la cyprine couler sur sa langue. Elle à fait jouir Elefteria. Ca n’a pas été facile mais elle l’a fait jouir.
« J’ai pas été aussi bonne que toi, mais je suis heureuse de t’avoir fait jouir. Fais Jennyfer.
- Tu sais quand j’ai rencontré Hélène elle n’était pas douée, encore moins douée que toi. Mais depuis elle s’est améliorée, même si elle peut encore faire des progrès. Toi aussi tu peux progresser. Ce qu’il faut c’est savoir écouter le corps de sa partenaire. Ca demande beaucoup d’attention, mais c’est payant. Refais moi l’amour et tu verras.
- Tu ne penses qu’a ça répond la française en riant.
- Oui.
- Tu as de la chance d’être belle et de vouloir m’apprendre. »
Alors Jennyfer refait l’amour à Elefteria.
« Tu t’es améliorée. Mais je pense qu’avec de l’entraînement tu peux faire encore mieux.
- Je veux pouvoir tout donner à Carla.
- Ne t’inquiètes pas Jennyfer d’ici la fin des vacances tu auras le temps de te perfectionner, Carla aussi.
- C’est bien ce que je pensais.
- Mais tu sais ce n’est pas venu comme ça. C’est parce que j’ai couché avec des dizaines de nanas que je peux aussi bien faire l’amour.
- Tu exagères pas un peu ?
- Même si je suis une méditerranéenne tu crois vraiment que j’exagère si je te dit que je me suis tapée plusieurs dizaines de nanas.
… .
- Non. »
Jennyfer avait pris beaucoup de plaisir avec Elefteria. Et si elle trouvait la jeune grecque magnifique et même tout à fait à son goût c’est Carla qu’elle aimait. Même si ce problème de taille de seins la chagrinait toujours. En y réfléchissant pour les augmenter de manière naturelle, il n’y avait pas 36 solutions. Car Jennyfer refusait les implants mammaires, trop artificiels à son goût. Pour que les seins de Carla grossissent soit elle prenait du poids, soit elle tombait enceinte. Mais Jennyfer ne voulait voir que les seins de Carla grossir un peu. Quand à la grossesse elle voulait encore profiter de sa chérie avant d’avoir des enfants. Les seins de Carla allaient sans doute garder leur taille encore quelques temps. De son côté Elefteria avait adorée faire l’amour avec Jennyfer qui se débrouillait très bien et avait un corps qui lui plaisait beaucoup. Si Hélène n’avait pas été l’amour de sa vie, elle aurait à coup sûr draguée Jennyfer et tout fait pour la séparer de Carla. Et à ce petit jeu là, qui lui plaisait beaucoup elle était redoutable.
Une heure après Hélène et Carla étaient de retour. Carla avait adorée. Elle avait pris beaucoup de plaisir à nager nue, à observer les animaux marins, les plantes aquatiques, se rêvant par moment en sirène. Le lendemain soir Hélène emmenait Jennifer voir la collection de vieilles voitures d’un ami de la famille d’Elefteria. Carla et Elefteria qui ne s’intéressaient pas aux vieilles voitures restaient sur le bateau, sachant bien que la grecque allait trouver un autre moyen de passer du bon temps.
Une demie-heure après le départ des filles la brune toque à la porte de la cabine des françaises.
« Carla je vais être directe. Tu préfères qu’on fasse l’amour dans votre cabine ou dans la votre ?
- Dans la votre. »
Sitôt la porte de la cabine refermée Elefteria se jette sur la bouche de Carla. Enlaçant la française elle se fait douce et langoureuse. Sans que Carla ne s’en aperçoive elle descendait le long de son corps. Sa bouche se posait sur les petits seins de Carla, ensuite sur son ventre souple. Arrivée à l’entrejambe Carla les yeux fermées écarte ses jambes laissant la langue de sa partenaire la pénétrer. Cette langue était d’une douceur incroyable. A l’intérieur du palais d’amour de Carla elle caressait chaque partie, chaque recoin. Son rythme n’augmentait qu’a un rythme extrêmement lent. Mais arrivée à pleine vitesse c’était une tornade qui se déchaînait et ravageait ce sexe de plus en plus humide, prêt à jouir. Carla n’en pouvait plus de plaisir. Elle n’avait jamais connu ça, que ce soit avec ses ex ou même avec Jennyfer. Elle se demandait comme elle pourrait faire aussi bien. Se doutant de ce qui se passait dans le cerveau de la jeune française couchée à ses côtés, la jeune grecque lui dit « Ecoute mon corps, fais bien attention à tout. ». Carla remise de ses émotions se penche au dessus du corps de la brune et l’embrasse. Embrasse goulument ses généreux seins, avant de lécher son sexe. Et sans s’en rendre compte elle applique à la lettre le conseil d’Elefteria et il ne lui faut pas longtemps pour la faire jouir. Le plaisir submerge la beauté grecque, elle même surprise de la rapidité et de l’intensité de sa jouissance. Quel plaisir ! Remise de cet orgasme particulier elle laisse Carla se coucher à ses côtés.
« Tu es une déesse au lit Elef. Même si je m’en doutais. C’est la première fois qu’on me fait aussi bien l’amour.
- Tu sais il m’a fallut du temps et j’ai coucher avec pas mal de filles avant de faire aussi bien l’amour. Surtout j’ai ce physique depuis peu. Enfant j’étais grosse, ado j’ai fait beaucoup de sport pour perdre tous ces kilos, je suis devenu un vrai garçon manqué. Quand je suis arrivée à la fac j’ai fait des rencontres qui ont fait que je suis devenue plus féminines, en fait telle que je suis aujourd’hui. »
Jennyfer et Hélène sont rentrées trois heures plus tard. Après l’amour Carla et Elefteria avaient continuées à discuter sagement. Carla confirmait à Jennyfer à quel point Elefteria était douée. Le lendemain Elefteria emmène Carla à terre pour ravitailler le bateau. Pendant ce temps là Hélène et Jennyfer ont quartier libre pour faire l’amour.
Jennyfer est curieuse de goûter à ce corps mince et ferme qu’elle côtoyait depuis plusieurs jours. Hélène n’était pas son style de filles, mais elle se disait pourquoi pas, histoire d’une fois, goûter à un type de fille qui n’était pas son genre. Couchée sur le lit de leur cabine Jennyfer laisse faire Hélène. Tout de suite Hélène se montre un peu brusque. Jennyfer se demande alors si les conseils d’Elefteria ont vraiment porté leurs fruits sur Hélène ou s’il s’agit simplement du style de la niçoise. Pendant un long moment, après avoir embrassée Jennyfer, Hélène s’occupe des seins volumineux de sa partenaire qu’elle semble apprécier particulièrement, les léchant, les suçant, les titillant, avec sa bouche, les malaxant avec ses mains. Sa langue et ses mains parcourent ensuite le ventre de son amante, avant de glisser un doigt dans son intimité. Quelques secondes après y avoir introduit son doigt, Hélène le retire pour laisser sa langue prendre ce palais. Mais ses gestes restent brusquent et Jennyfer à du mal à sentir son plaisir monter, mais Hélène développe une telle ardeur avec sa langue que sa partenaire finit par se sentir submerger par le plaisir. Une fois son plaisir passé Jennyfer se relève et vient se placer au dessus d’Hélène dont elle parcoure le corps avec sa langue. Passant sa langue à travers la toison brune, Jennyfer se déchaîne. Et il ne faut pas longtemps à cette langue aussi fougueuse que douce, pour déclencher la jouissance de la jeune femme. Jennyfer remonte et vient se coucher à côté d’Hélène.
Cette dernière est heureuse, Jennyfer ne fait pas aussi bien l’amour et n’est pas aussi jolie que sa chérie, mais elle lui à tout de même donné beaucoup de plaisir. Jennyfer de son côté ne comprend pas ce qu’Hélène apporte sexuellement à Elefteria. Ne trouvant pas de réponse à sa question elle laisse cette question à plus tard. Hélène se met alors à parler de Carla et Elefteria qui sont très différentes, leur seul point commun étant leur amour pour leur pays d’origines respectifs. Jennyfer ne comprenait pas ce qui faisait qu’Hélène et Elefteria s’aiment, cela tenait peut-être leur complémentarité. Hélène n’était pas la plus jolie mais étais tendre, fidèle, désintéressée, tandis qu’Elefteria était belle, intelligente, rusée, intéressée. Et Jennyfer qui appréciait la française craignait qu’un jour l’histoire entre les deux femmes finissent mal et qu’Hélène en sorte abîmée, ce qu’elle ne méritait pas. Au retour de Carla, Jennyfer lui confiait ses doutes. Mais Carla qui avait déjà longuement parlé d’Elefteria avec son amie était plus optimiste. Certes Elefteria était l’opposée d’Hélène, mais leur lien était solide car elles s’aimaient profondément, sans que personnes ne puisse comprendre pourquoi. Aussi surprenant que cela puisse paraitre de la part de la jeune grecque elle était folle amoureuse d’Hélène. La française était son port d’attache, son refuge, celle vers qui se tourner pour trouver le calme, le réconfort dans les mauvais moments.
Le lendemain le bateau quittait Patmos pour Kalimnos, avant de faire route vers Lesbos, l’île natale d’Elefteria, près de la côte turque. Kalimnos plaisait beaucoup à Hélène et Elefteria pour le spectacle qu’offrait les pêcheur d’éponges, du moins les vrais, c’est à dire une demie poignée. La majorité des éponges vendues étant industrielles et en provenance directe de Chine. Mais comme attirée par son île, Elefteria sitôt remontée à bord du bateau met tait le cap sur son île. Il fallait deux jours au voilier pour arriver en vue de l’île de la mythique Sappho. C’est là qu’Elefteria avait prévue de faire se terminer le séjour des deux françaises. Débarquée sur l’île Elefteria emmène son petit monde à la villa qu’elle avait héritée de son père, là où tous les deux étaient nés. Les françaises sentaient combien cet endroit était cher au coeur de la grecque, elle rayonnait. Après ce passage à la villa familiale, elles continuent leurs visite de l’île. Heureuse de se retrouver sur son île Elefteria abuse de l’ouzo et Jennyfer est obligée de piloter le canot pour rentrer jusqu’au voilier ou avec Carla elle couche Elefteria et Hélène. Si Hélène avait arrêtée de fumer pour Elefteria, cette dernière buvait facilement. Le lendemain matin le couple propose à Hélène d’aller se baigner pendant qu’Elefteria dort encore. Elles nagent un long moment dans l’eau bleu, s’amusant à s’éclabousser. Quand elles remontent sur le pont, Elefteria qui vient de se lever se jette à l’eau à son tour. Alors les françaises retournent à l’eau et s’amusent à nouveau dans cette eau à la couleur du ciel. Fatiguées par ce long moment passé dans l’eau elles décident de remonter. Mais à peine sont elles toutes les 4 remontées à bord, que le regard d’Elefteria se fait lubrique.
Elefteria s’approche de Jennyfer et Carla, les enlace et les embrasse tour à tour, Hélène se joint au trio. Sous l’effet des gestes d’Hélène, Elefteria se couche sur le pont suivie par ses partenaires. Bouches contre bouches elles s’embrassent alternativement, avant de se fixer au hasard sur l’une en particulier. Bientôt les bouches se séparent et glissent le long des corps humides, sentant le sel. Les corps bougent et les quatre femmes se retrouvent bientôt entremelées, ne sachant plus qui elles embrassaient. Les gestes sont tendres, langoureux, doux. Ce n’est que par certains détails qu’elles savent qui elles embrassent, la toison d’Hélène, les petits seins dressés de Carla, les grains de beautés de Jennyfer, … . Des gestes lents pour apprécier toute la tendresse de cet amour qu’elles partagent. Et dont Elefteria donne le rythme. La jolie grecque souhaite faire durer ce plaisir le plus longtemps possible. De manière imperceptible, elle augmente le rythme de ses mouvements. Elefteria le sait ce n’est pas le genre de choses que Jennyfer et Carla ont l’habitude de faire, cet échange de partenaire, cet amour à 4, mais elle sent bien que les deux jeunes femmes s’oublient et prennent un profond plaisir, un plaisir nouveau à faire l’amour à 4. Cet amour les bouleverse. Les halètements de plaisirs changent au fur et à mesure qu’Elefteria accélère le rythme de ses caresses à sa partenaire, qui entraînée accélère à son tour. Cela faisait maintenant une heure que les 4 jeunes femmes faisaient l’amour. Leurs sexes détrempés de cyprine, n’en pouvaient plus de ce plaisir délicieux, et demandaient le coup de grâce à travers les râles exprimées par les 4 bouches. Elefteria le savait les orgasmes allaient être puissants, elle devait agir avec doigté. Quelques coups de langues savamment dosés de sa part et sa partenaire exultait. Un véritable tsunami les submergeait toutes les 4, les laissant pantelantes de longues minutes. Après avoir repris leurs esprits, Carla, Elefteria, Jennyfer et Hélène se sont mises à discuter.
Durant la semaine et demi suivante elles ont continuées à vivres nues sur le pont faisant l’amour une bonne partie de la journée, soit à deux, soit à quatre. Finalement Carla et Jennyfer ont fini par aimer faire l’amour avec Hélène, qui après la pression de la première fois se montrait plus détendue. Le couple qui craignait de passer de mauvaises vacances, devait reconnaître que vivre nue sur un bateau avec un autre couple de femmes était agréable, très agréable aussi de faire l’amour avec elles. Finalement peut-être recommencerais t’elle ?
Après avoir passées trois jours à Lesbos dont elles avaient admirées les ruines, Elefteria les emmenait à Nos, puis Rhodes. Si elles avaient eûent une ou deux semaines de plus Elefteria les auraient emmenées en Crète, dont les paysages et les ruines auraient sans doute intéressée Jennyfer qui semblait véritablement fascinée par l’Histoire de la Grèce antique. Elle leur aurait même appris à naviguer, tout du moins à Jennyfer. Carla avait tenu la barre quelques heures et avait écouté les explications d’Elefteria mais elle n’avait pas réussie à s’y intéresser. Nager oui, naviguer non. De même les monuments, les paysages si elle les trouvait jolis ce qu’elle aimait c’était la terre d’Italie, celle de sa mère, celle de ses grands-parents, contrairement à Jennyfer émerveillée par ce prestigieux passé. Jennyfer au contraire avait essayée d’apprendre à lire une carte marine, à manipuler les voiles, , à lire les informations de l’ordinateur de bord qui donnait en continue la vitesse des vents, leurs direction, la profondeur sous quille, …, des données qu’Elefteria lisait et analysait sans problème. On aurait presque crût qu’elle un professionnelle de la navigation, tant elle connaissait la navigation. Devant le regard admiratif d’Hélène et Jennyfer, elle se sentait fière. Acheté peu avant sa mort le père de la jeune grecque avait voulu un voilier au dernier cri des techniques marines. Après Rhodes, Elefteria filait vers Athènes évitant comme à l’aller la trop touristique Mykonos. Profitant de leur dernier jour de vacances Carla et Jennyfer guidées par Elefteria et Hélène partent à la découverte d’Athènes, dont l’Acropole et son fameux Parthénon dédié à Athéna par Périclès. Après cette journée chargée les deux jeunes femmes reprennent l’avion pour la talon italien, leur voiture et la route du retour.
Après avoir passées trois semaines nues sur un bateau il leur à été un peu difficile de remettre des vêtements. Chez elles elles étaient souvent nues, mais elles avaient eûent du mal à se mettre nues devant leurs amies. Mais leur pudeur n’avait pas durée longtemps et elle avait pris du plaisir à être ainsi et à voir leur amie telle qu’elles étaient. Etre nue était même très pratique pour se toucher de temps à autre. Souvent Hélène et Elefteria retrouvaient Jennyfer et Carla en train de se caresser et venaient se joindre à elle, d’autres fois Jennyfer et Elefteria trouvaient Carla et Hélène se caressant, . … Bien souvent cela finissait en amour. Carla et Jennyfer n’avait jamais autant fait l’amour en trois semaines. Que ce soit ensembles ou avec leurs amies, elles faisaient l’amour une fois par jour au minimum, bien souvent trois fois. Un jour elles le firent même six fois. Mais elles aimaient ça. Peu importe avec qui et où elles le faisaient. Carla à même demandé à Jennyfer de laisser pousser légèrement sa toison. Carla avait pris goût un sexe protégé par une courte toison comme celle d’Hélène. Jennyfer avait laisser repousser ses poils pubiens pour le plus grand plaisir de Carla, qui ne pouvait en faire autant, étant complètement imberbe à cet endroit. Un jour elles l’ont fait toute une journée sur une plage complètement déserte. Elles n’avaient jamais passé d’aussi bonne vacances.
En revanche Jennyfer était bonne pour aller voir un dermatologue tant sa peau blanche avait souffert, rougie sous le puissant soleil égéen. Au contraire Carla qui avait la peau mate, revenait bronzée. Pas un centimètre carrée de son corps n’avait échappé au bronzage. Puisque le dessous de ses seins lui même avait pris la même couleur que le reste du corps. Sa peau avait si bien pris le soleil qu’on pouvait lui appliquer le terme de bronze. Et la jeune femme était fière de son bronzage.
Hélène et Elefteria étaient elles aussi heureuses de ces vacances. Elles avaient fait découvrir la Grèce à leurs amies, mais aussi le plaisir d’être nues et de faire l’amour avec d’autres femmes. Elefteria était aussi contente d’avoir initiée Jennyfer à la navigation, mais plus encore d’avoir fait découvrir de nouvelles manières en amour. Et c’est à regret qu’elle les voyait partir. Un ménage à 4 ne l’aurait pas dérangé, même si c’était un peu compliqué. Mais elle savait que Carla et Jennyfer même si elles avaient aimées ces vacances seraient contre, tout comme Hélène qui se sentirait délaissée, noyée dans ce ménage. Mais la française était elle aussi triste de les voir partir. Ces vacances avaient un vrai bonheur pour elle. Car si elle avait réalisée son rêve en faisant l’amour avec Carla, elle avait adorer faire l’amour avec Jennyfer et à 4. Elle espérait tout comme Elefteria qu’elles pourraient refaire de telles vacances. Ce qu’elles feront l’année suivante le long des côtes italiennes en mer Adriatique.
Ce n’était pas le genre de Jennyfer ou de Carla, mais Hélène et Elefteria, dont le prénom signifier « liberté » en grec, avaient réussies à convaincre le jeune couple d’oublier la notion de fidélité sexuelles pour trois semaines. Hélène avait toujours rêvée de coucher avec Carla et n’était pas contre coucher avec Jennyfer qui ressemblait beaucoup à Elefteria. Toutes les deux étaient brunes à la peau blanche. Elefteria était plus petite que la trentenaire, mince et plus féminine dans ses courbes, son allure, possédait une poitrine à peine plus petite que la française. Comme Hélène la jeune grecque avait toujours sue qu’elle était lesbienne. Mais à la différence de sa compagne française, elle aimait coucher avec toutes les filles qui l’intéressait. Elle aimait Hélène, mais elle avait besoin de séduire et de coucher avec d’autres filles. Hélène l’avait accepté et de temps en temps s’autorisait aussi des aventures. Parfois elles faisaient même fait l’amour a trois.
Le beau voilier bleu et blanc aux couleurs de la Grèce, de taille moyenne ne nécessitait qu’un capitaine pour le manoeuvrer. Hors en dehors de ses études, Elefteria comme toute bonne îlienne avait appris à naviguer avec son père sur le voilier. Ainsi Elefteria et sa compagne attendaient elles les filles dans une marina d’Athènes. Elefteria avait prévenue les françaises, trois short, et quelques t-shirt suffisaient pour les vacances. En dehors des escapades sur terre, la tenue exigée à bord était la nudité. Le temps de la traversée entre Athènes et Délos, Jennyfer et Carla étaient restés dans leur cabine, le temps pour elles de se faire au roulis. Elles rataient le coucher de soleil sur le temple du cap Sounion et les superbes églises de Sifnos. Arrivées au port de l’île, les 4 jeunes femmes descendent et visitent l’île. Les deux nouvelles venues sont sous le charme de l’île, ses paysages, ses monuments, même si pour Carla rien ne peut égaler la splendeur de l’Italie. Les 4 jeunes femmes visites les ruines antiques de l’île désertées depuis des siècles suite à l’assèchement de ses sources d’eau potable. Sans s’expliquer pourquoi Jennyfer est saisie par les ruines du temple d’Apollon qui abritait le siège de la ligue de Délos. Cette ligue formée par Athènes contre les Perses lui permettait de dominer les cités plus faibles et à terme devait lui permettre de battre Sparte sa rivale, ce qui ne fut pas le cas. Après la visite elles remontent à bord du bateau et Elefteria met le cap sur une partie de la côte de l’île complètement déserte. Là elle ancre le navire. Pour ne pas brusquer ses invitées Elefteria leur avait laisser jusque là garder leurs vêtements. Mais après avoir levée l’ancre du port de Délos, elle leur demandait de se débarrasser de leurs vêtements. Toutes les deux gênées se sont déshabillées dans leur cabine et n’en sont sortie uniquement parce qu’Hélène s’était mise nue elle aussi et pénétrait dans leur cabine. Sur le pont elles essayait de cacher seins et sexe de la vue de leurs amies, puis au fil des heures, elles se sont détendues et ont arrêtées de se cacher pour le plus grand plaisir d’Hélène et d’Elefteria qui pouvaient enfin admirer leurs corps. Hélène ne quittait pas Carla des yeux, de peur que ce corps dont elle rêvait depuis si longtemps disparaisse sous ses yeux. Elle n’en revenait pas de la chance incroyable que lui avait offert sa compagne. Pouvoir admirer le corps nue de sa meilleure amie et pouvoir faire l’amour avec elle. Il y’a encore un an elle aurait crût cela impossible. Et Carla était vraiment belle avec son corps mince, ses beaux cheveux qui retombaient sur sa poitrine, ses petits seins qui pointaient, son sexe parfaitement imberbe. Jennyfer n’était pas mal non plus, grande, mince, les cheveux bruns, avec ses grains de beautés un peu partout sur le corps, un en particulier sur le haut du sein gauche. Elle ressemblait à Elefteria et si Hélène la trouvait belle aussi, elle ne la trouvait pas aussi sexy que son Aphrodite. Elefteria de son côté trouvait effectivement Carla très jolie. Mais elle avait déjà couchée avec d’autres filles dans son style et donc contrairement à Hélène ne bavait pas devant. Jennyfer l’intéressait davantage dans le sens, où elles se ressemblaient et n’avait jamais fair l’amour avec une nana lui ressemblant autant. Elefteria se disait que cela devait être drôle et se sachant sexy, très agréable. Carla avait déjà vue Hélène nue, ou presque, dans les vestiaires en sport, et encore une fois ne lui trouvait rien de particulièrement attirant. Elle observait qu’Hélène semblait davantage musclée qu’avant et surtout ne s’épilait pas, contrairement à sa compagne qui s’était fait épiler tout le corps. Opération longue et couteuse mais que ses moyens financiers permettaient. Mais le résultat était à la hauteur de l’investissement, Elefteria était sublime. Hélène la comparait souvent une statue d’Aphrodite. Carla fait toujours pensée que son amie exagérait, mais elle devait se rendre à l’évidence que non. Jennyfer pensait la même chose que sa compagne au sujet de leurs amies. Hélène n’était pas moche, mais pas la plus sexy, quand à Elefteria qui lui ressemblait, elle la trouvait elle aussi sublime.
Pour mettre Jennyfer et Carla en confiance, Elefteria les laisse tranquille à l’avant tandis qu’elle et Hélène vont faire l’amour dans leur cabine. Là la jeune grecque se jette avidement sur la bouche de sa compagne. Bizarrement Elefteria à toujours aimée les filles ultra féminines comme elle, et surtout plus grande que le petit 1,55m d’Hélène. Pourtant quand son regard avait croisé celui de la française à l’allure de garçon, la grecque avait eût le coup de foudre. Hélène elle aussi avait tout de suite flashée sur la jeune brune aux cheveux longs. Elefteria était en fait venue dans un petit garage de Nice faire réparer sa Lancia Ypsilon et était tombée sur Hélène. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, Elefteria qui ne s’était jamais attaché à une fille était folle amoureuse d’Hélène. Même si Elefteria aimait Hélène elle lui avait tout de suite dit « Je t’aime, mais je coucherais avec d’autres filles. Je sais pas résister à une jolie fille. C’est purement sexuel. Et si jamais tu veux coucher avec d’autres filles, mais que c’est simplement sexuel, comme moi, je ne t’en voudrais pas. ». Une fois sa maîtrise en économie réussie Elefteria proposait à Hélène de partir avec elle en Grèce. Elefteria devait reprendre les affaires de son père et ne pouvait se passer de son pays. Sachant le sacrifice qu’elle demandait à Hélène, Elefteria achetait une petite maison dans l’arrière pays niçois. Et comme Hélène ne voulait pas dépendre financièrement de sa compagne, elle ouvrait un petit garage réservé aux femmes et aux touristes souvent victimes de mécaniciens machos et peux scrupuleux. Installées à Athènes elles profitent largement du voilier et font de fréquents séjours dans la maison natale d’Elefteria dans l’île de Lesbos au large des côtes turques.
Elefteria embrasse Hélène avec délectation, aussi bizarre que cela puisse paraître elle est toujours aussi amoureuse de sa française. Hélène elle aussi est toujours raide dingue de son hellène, et adore quand elle lui fait l’amour. D’ailleurs elles font l’amour presque chaque jour. Couchée sur le lit Hélène laisse son amante lécher ses petits seins fermes, rouler des pelles à son bouton rose qui l’a fait rapidement jouir. Tout l’après-midi les deux jeunes femmes font l’amour. Le soir lorsqu’elles quittent leur cabine épuisées elles retrouvent leurs amies visiblement repues de sexe elles aussi.
Lorsqu’Hélène et Elefteria s’éclipsent les filles savent très bien ce qu’elles vont faire.
« C’est bizarre d’être nue sur un bateau et d’être avec des copines nues elles aussi.
- Oui, répond Jennyfer.
- Mais pas désagréable, même si on est un peu gênée au début. Faire l’amour sur un bateau n’a jamais fait partie de mes fantasmes mais ça doit être agréable. Reprend Carla.
- J’ai très bien compris où tu voulais en venir ma chérie. Je voulais voir combien de temps tu allais tenir. Tu tiens pas longtemps. Obsédée du sexe. »
Jennyfer se lance à l’assaut des lèvres de sa bien aimée. De longues minutes elles s’embrassent tout en se caressant. Carla se laisse ensuite glisser le long du corps de son amante. Arrivée à son sexe Carla le caresse délicatement du bout de sa langue. Sous le chaud Soleil de Grèce, l’odeur de l’iode, sous l’effet de la houle elles éprouvent des sensations nouvelles. Pas agréables, mais pas désagréables Jennyfer jouit doucement. Tandis que Carla se couche sur son transat, Jennyfer se lève et vient au dessus d’elle pour lui faire l’amour, s’occuper de ces petits seins délicats de jeune fille, de son joli sexe que le Soleil n’a pas encore eût le temps de colorer d’un beau brun. Carla jouit tout aussi doucement. Des orgasmes doux, qui les emplissent pleinement de bonheur. Un bonheur tranquille et calme. Et qui laissera la place une heure plus tard à un amour déchaîné, passionné.
Après l’apéritif et le repas typiquement grecs préparés par Elefteria (salade de fromage de brebis, feuilles de vigne farcies, glace au raisin, ouzo, … ) toutes les quatre discutent avant de partir se coucher sagement. En effet Elefteria avait décidée de quitter Délos pour Patmos. Le lendemain elles arrivent en fin de journée au large de l’île et décident d’aller la visiter le lendemain, Elefteria ajoutant qu’elle emmènerait l’une des filles faire les courses avec elles.
« Tu sais Carla j’ai toujours rêvée de te faire l’amour. Maintenant que tu es lesbienne je peux te le dire. Si tu es toujours d’accord on peut en profiter que les filles sont à terre.
- Je savais depuis longtemps que tu avais envie de moi. Et que tu en profiterais dès que tu pourrais. Alors viens. »
Les deux jeunes filles s’enlacent et s’embrassent. Hélène attendait ce moment depuis des années. Et même si elle aimait profondément sa jolie grecque elle rêvait depuis toujours de coucher avec elle. Même si Carla et Jennyfer étaient fidèles ces vacances elles le savaient seraient une exception qui ne viendrait pas troubler leur amour. Hélène n’est pas un canon de beauté, petite mince, les cheveux châtains courts, des yeux noisettes, un nez long, des petits seins, et une voix légèrement éraillée par la clope qu’elle avait enfin arrêtée depuis sa rencontre avec Elefteria, mais Carla aujourd’hui s’en fichait, elle avait envie d’aider son amie à réaliser son rêve.
Leurs mains caressent leurs cheveux avant de descendre le long de leurs corps. Carla à des impressions étranges. Elle ne peut s’empêcher de trouver étrange ce corps mince entre ses mains qui n’est pas celui de sa compagne. Carla est la première à quitter la bouche de sa compagne pour descendre le long de son corps. Les petits seins d’Hélène sont agréables à lécher son ventre ferme de sportive un peu moins, quand à sa caverne c’est une surprise, Hélène la protège par des poils pubiens. Carla fait passer sa langue entre ce bosquet et accède au palais des plaisirs de son amie. Ses caresses sont douces, elle veut faire profiter un maximum Hélène de ce moment de plaisir. Hélène halète de plus en plus, sent monter son orgasme, qui est là. Carla se relève tandis qu’Hélène couvre son corps de baisers. Cette dernière est au comble du bonheur. Les petits seins de Carla sont souples, son ventre aussi et son sexe complètement nu. Hélène laisse pénétrer sa langue, elle alterne les mouvements. Carla atteint le nirvana, elle n’en peux plus et jouit sous les assauts d’Hélène. Carla savait qu’elle jouirait, mais cette jouissance la surprend. Elle n’a jamais jouit avec une autre femme. Toutes les deux heureuses se couchent l’une à côté de l’autre sans rien dire attendant le retours de leurs compagnes.
De retour sur le bateau Jennyfer et Elefteria ne sont pas dupes et savent très bien ce qu’on fait leurs amoureuses en leur absence. Rentrées chacun dans leurs cabines, les couples se racontent ce qu’ils ont fait.
« Tu as pu réaliser ton fantasme Héli ?
- Oui. J’ai adoré lui faire, l’amour, c’était très agréable. Merci mon amour de m’avoir aidé à réalisé ce fantasme.
Ce n’est rien ma chérie. Maintenant à moi d’y goûter. »
« Alors vous avez fait l’amour ? Demande Jennyfer.
- Oui.
- Tu as aimé ?
- Pas tant que ça. Elle fait bien l’amour, mais finalement il n’y a que ton corps qui me rende folle. Son corps est trop mince et trop ferme. Mais je suis contente qu’elle ait assouvit son fantasme. Ca faisait tellement longtemps qu’elle rêvait de ce moment.
- Oui. Je ne sais pas comment va se dérouler la croisière, mais à mon avis ce n’est que le début. »
Le lendemain Hélène et Carla partaient faire de la plongée dans les eaux bleues de la mer Egée. Hélène avait découvert la plongée en Grèce et depuis elle adorait plonger chaque fois qu’elle le pouvait. Elle adorait observer la faune et la flore sous-marine. Carla qui aimait elle aussi la nature, curieuse et n’ayant jamais fait de plongée avait accepter de la suivre. Jennyfer restée avec Elefteria savait très bien que la belle brune allait en profiter pour lui faire l’amour. A peine Hélène et Carla parties sous la surface, Elefteria vient poser sa main sur le sein de Jennyfer couchée sur le pont avant un livre à la main. Tout aussi doucement qu’elle était venue elle fait le tour et pose ses lèvres sur l’autre sein de la française. Elle va droit au but. Doucement sa langue lèche ce sein. Ce n’est pas la première fois qu’elle va coucher avec une fille avec des seins plus gros qu’elle. Elle avait déjà couchée avec des filles aux seins plus gros, naturellement ou siliconnés. Elle aimait toutes les sortes de seins, mais ceux de Jennyfer lui plaisaient particulièrement. Sa langue passe sur tout le sein avant de se diriger vers l’aréole, de tourner autours du téton qu’elle finit par embrasser, lécher, sucer, titiller. Elle reste de longues minutes à s’occuper de ces deux magnifiques seins avant de descendre sur le ventre mince et souple où elle ne s’attarde pas longtemps, pour s’occuper de la caverne à bonheur de sa partenaire. Elle y fait pénétrer son doigt, avant d’y glisser une minute après sa langue. Avant de jouer avec le bouton rose de son amante, elle explore les moindres recoins de sa caverne du bout de sa langue, la caresse, la titille avant d’aller chercher le bouton magique. Jenyfer halète comme une folle sous les coups de langue de la belle grecque. Mais Elefteria qui veut faire durer son plaisir ralenti, change de mouvements pour ralentir la machine, dévoilant ainsi tout son talent. Plusieurs minutes durant Elefteria prend un plaisir fou à faire l’amour à Jennyfer qui halète de nouveau. Cette fois la grecque laisse faire, décidant même de l’achever par quelques coups de langues bien placés. Jennyfer crie son plaisir et laisse sa cyprine se répandre sur la langue de son amante grecque. Il faut de longues minutes à la française pour se remettre d’un tel cataclysme. Une fois remise elle décide de donner autant de plaisir à Elefteria que celle-ci lui en a donné. Même si elle sait que c’est quasi impossible étant donné la maîtrise de son amante. Mais elle veut essayer, simplement pour remercier cette beauté de lui avoir donné tant de plaisir. Elle se penche sur sa bouche qu’elle embrasse langoureusement. Après avoir baisée ces lèvres elle baise ces seins. Elefteria n’est pas sa première amante à avoir une si belle poitrine, mais cela fait longtemps qu’elle n’en as pas embrassée de pareil. Jennyfer en vient à regretter que Carla n’ait pas de seins un peu plus gros. Pendant de longues minutes Jennyfer se régale à lécher, sucer, titiller ces seins qu’elle trouve magnifique. Elle aussi ne s’attarde pas sur le ventre de son amante et dirige droit sa bouche vers son sexe où déjà son doigt s’est introduit. Pendant de longues minutes elle caresse plus ou moins vite, avec le bout ou le plat de sa langue cette caverne héllènique. Ce n’est qu’après plusieurs minutes d’efforts qu’elle entend la belle brune commencer à haleter. Alors elle redouble d’efforts et finit par sentir la cyprine couler sur sa langue. Elle à fait jouir Elefteria. Ca n’a pas été facile mais elle l’a fait jouir.
« J’ai pas été aussi bonne que toi, mais je suis heureuse de t’avoir fait jouir. Fais Jennyfer.
- Tu sais quand j’ai rencontré Hélène elle n’était pas douée, encore moins douée que toi. Mais depuis elle s’est améliorée, même si elle peut encore faire des progrès. Toi aussi tu peux progresser. Ce qu’il faut c’est savoir écouter le corps de sa partenaire. Ca demande beaucoup d’attention, mais c’est payant. Refais moi l’amour et tu verras.
- Tu ne penses qu’a ça répond la française en riant.
- Oui.
- Tu as de la chance d’être belle et de vouloir m’apprendre. »
Alors Jennyfer refait l’amour à Elefteria.
« Tu t’es améliorée. Mais je pense qu’avec de l’entraînement tu peux faire encore mieux.
- Je veux pouvoir tout donner à Carla.
- Ne t’inquiètes pas Jennyfer d’ici la fin des vacances tu auras le temps de te perfectionner, Carla aussi.
- C’est bien ce que je pensais.
- Mais tu sais ce n’est pas venu comme ça. C’est parce que j’ai couché avec des dizaines de nanas que je peux aussi bien faire l’amour.
- Tu exagères pas un peu ?
- Même si je suis une méditerranéenne tu crois vraiment que j’exagère si je te dit que je me suis tapée plusieurs dizaines de nanas.
… .
- Non. »
Jennyfer avait pris beaucoup de plaisir avec Elefteria. Et si elle trouvait la jeune grecque magnifique et même tout à fait à son goût c’est Carla qu’elle aimait. Même si ce problème de taille de seins la chagrinait toujours. En y réfléchissant pour les augmenter de manière naturelle, il n’y avait pas 36 solutions. Car Jennyfer refusait les implants mammaires, trop artificiels à son goût. Pour que les seins de Carla grossissent soit elle prenait du poids, soit elle tombait enceinte. Mais Jennyfer ne voulait voir que les seins de Carla grossir un peu. Quand à la grossesse elle voulait encore profiter de sa chérie avant d’avoir des enfants. Les seins de Carla allaient sans doute garder leur taille encore quelques temps. De son côté Elefteria avait adorée faire l’amour avec Jennyfer qui se débrouillait très bien et avait un corps qui lui plaisait beaucoup. Si Hélène n’avait pas été l’amour de sa vie, elle aurait à coup sûr draguée Jennyfer et tout fait pour la séparer de Carla. Et à ce petit jeu là, qui lui plaisait beaucoup elle était redoutable.
Une heure après Hélène et Carla étaient de retour. Carla avait adorée. Elle avait pris beaucoup de plaisir à nager nue, à observer les animaux marins, les plantes aquatiques, se rêvant par moment en sirène. Le lendemain soir Hélène emmenait Jennifer voir la collection de vieilles voitures d’un ami de la famille d’Elefteria. Carla et Elefteria qui ne s’intéressaient pas aux vieilles voitures restaient sur le bateau, sachant bien que la grecque allait trouver un autre moyen de passer du bon temps.
Une demie-heure après le départ des filles la brune toque à la porte de la cabine des françaises.
« Carla je vais être directe. Tu préfères qu’on fasse l’amour dans votre cabine ou dans la votre ?
- Dans la votre. »
Sitôt la porte de la cabine refermée Elefteria se jette sur la bouche de Carla. Enlaçant la française elle se fait douce et langoureuse. Sans que Carla ne s’en aperçoive elle descendait le long de son corps. Sa bouche se posait sur les petits seins de Carla, ensuite sur son ventre souple. Arrivée à l’entrejambe Carla les yeux fermées écarte ses jambes laissant la langue de sa partenaire la pénétrer. Cette langue était d’une douceur incroyable. A l’intérieur du palais d’amour de Carla elle caressait chaque partie, chaque recoin. Son rythme n’augmentait qu’a un rythme extrêmement lent. Mais arrivée à pleine vitesse c’était une tornade qui se déchaînait et ravageait ce sexe de plus en plus humide, prêt à jouir. Carla n’en pouvait plus de plaisir. Elle n’avait jamais connu ça, que ce soit avec ses ex ou même avec Jennyfer. Elle se demandait comme elle pourrait faire aussi bien. Se doutant de ce qui se passait dans le cerveau de la jeune française couchée à ses côtés, la jeune grecque lui dit « Ecoute mon corps, fais bien attention à tout. ». Carla remise de ses émotions se penche au dessus du corps de la brune et l’embrasse. Embrasse goulument ses généreux seins, avant de lécher son sexe. Et sans s’en rendre compte elle applique à la lettre le conseil d’Elefteria et il ne lui faut pas longtemps pour la faire jouir. Le plaisir submerge la beauté grecque, elle même surprise de la rapidité et de l’intensité de sa jouissance. Quel plaisir ! Remise de cet orgasme particulier elle laisse Carla se coucher à ses côtés.
« Tu es une déesse au lit Elef. Même si je m’en doutais. C’est la première fois qu’on me fait aussi bien l’amour.
- Tu sais il m’a fallut du temps et j’ai coucher avec pas mal de filles avant de faire aussi bien l’amour. Surtout j’ai ce physique depuis peu. Enfant j’étais grosse, ado j’ai fait beaucoup de sport pour perdre tous ces kilos, je suis devenu un vrai garçon manqué. Quand je suis arrivée à la fac j’ai fait des rencontres qui ont fait que je suis devenue plus féminines, en fait telle que je suis aujourd’hui. »
Jennyfer et Hélène sont rentrées trois heures plus tard. Après l’amour Carla et Elefteria avaient continuées à discuter sagement. Carla confirmait à Jennyfer à quel point Elefteria était douée. Le lendemain Elefteria emmène Carla à terre pour ravitailler le bateau. Pendant ce temps là Hélène et Jennyfer ont quartier libre pour faire l’amour.
Jennyfer est curieuse de goûter à ce corps mince et ferme qu’elle côtoyait depuis plusieurs jours. Hélène n’était pas son style de filles, mais elle se disait pourquoi pas, histoire d’une fois, goûter à un type de fille qui n’était pas son genre. Couchée sur le lit de leur cabine Jennyfer laisse faire Hélène. Tout de suite Hélène se montre un peu brusque. Jennyfer se demande alors si les conseils d’Elefteria ont vraiment porté leurs fruits sur Hélène ou s’il s’agit simplement du style de la niçoise. Pendant un long moment, après avoir embrassée Jennyfer, Hélène s’occupe des seins volumineux de sa partenaire qu’elle semble apprécier particulièrement, les léchant, les suçant, les titillant, avec sa bouche, les malaxant avec ses mains. Sa langue et ses mains parcourent ensuite le ventre de son amante, avant de glisser un doigt dans son intimité. Quelques secondes après y avoir introduit son doigt, Hélène le retire pour laisser sa langue prendre ce palais. Mais ses gestes restent brusquent et Jennyfer à du mal à sentir son plaisir monter, mais Hélène développe une telle ardeur avec sa langue que sa partenaire finit par se sentir submerger par le plaisir. Une fois son plaisir passé Jennyfer se relève et vient se placer au dessus d’Hélène dont elle parcoure le corps avec sa langue. Passant sa langue à travers la toison brune, Jennyfer se déchaîne. Et il ne faut pas longtemps à cette langue aussi fougueuse que douce, pour déclencher la jouissance de la jeune femme. Jennyfer remonte et vient se coucher à côté d’Hélène.
Cette dernière est heureuse, Jennyfer ne fait pas aussi bien l’amour et n’est pas aussi jolie que sa chérie, mais elle lui à tout de même donné beaucoup de plaisir. Jennyfer de son côté ne comprend pas ce qu’Hélène apporte sexuellement à Elefteria. Ne trouvant pas de réponse à sa question elle laisse cette question à plus tard. Hélène se met alors à parler de Carla et Elefteria qui sont très différentes, leur seul point commun étant leur amour pour leur pays d’origines respectifs. Jennyfer ne comprenait pas ce qui faisait qu’Hélène et Elefteria s’aiment, cela tenait peut-être leur complémentarité. Hélène n’était pas la plus jolie mais étais tendre, fidèle, désintéressée, tandis qu’Elefteria était belle, intelligente, rusée, intéressée. Et Jennyfer qui appréciait la française craignait qu’un jour l’histoire entre les deux femmes finissent mal et qu’Hélène en sorte abîmée, ce qu’elle ne méritait pas. Au retour de Carla, Jennyfer lui confiait ses doutes. Mais Carla qui avait déjà longuement parlé d’Elefteria avec son amie était plus optimiste. Certes Elefteria était l’opposée d’Hélène, mais leur lien était solide car elles s’aimaient profondément, sans que personnes ne puisse comprendre pourquoi. Aussi surprenant que cela puisse paraitre de la part de la jeune grecque elle était folle amoureuse d’Hélène. La française était son port d’attache, son refuge, celle vers qui se tourner pour trouver le calme, le réconfort dans les mauvais moments.
Le lendemain le bateau quittait Patmos pour Kalimnos, avant de faire route vers Lesbos, l’île natale d’Elefteria, près de la côte turque. Kalimnos plaisait beaucoup à Hélène et Elefteria pour le spectacle qu’offrait les pêcheur d’éponges, du moins les vrais, c’est à dire une demie poignée. La majorité des éponges vendues étant industrielles et en provenance directe de Chine. Mais comme attirée par son île, Elefteria sitôt remontée à bord du bateau met tait le cap sur son île. Il fallait deux jours au voilier pour arriver en vue de l’île de la mythique Sappho. C’est là qu’Elefteria avait prévue de faire se terminer le séjour des deux françaises. Débarquée sur l’île Elefteria emmène son petit monde à la villa qu’elle avait héritée de son père, là où tous les deux étaient nés. Les françaises sentaient combien cet endroit était cher au coeur de la grecque, elle rayonnait. Après ce passage à la villa familiale, elles continuent leurs visite de l’île. Heureuse de se retrouver sur son île Elefteria abuse de l’ouzo et Jennyfer est obligée de piloter le canot pour rentrer jusqu’au voilier ou avec Carla elle couche Elefteria et Hélène. Si Hélène avait arrêtée de fumer pour Elefteria, cette dernière buvait facilement. Le lendemain matin le couple propose à Hélène d’aller se baigner pendant qu’Elefteria dort encore. Elles nagent un long moment dans l’eau bleu, s’amusant à s’éclabousser. Quand elles remontent sur le pont, Elefteria qui vient de se lever se jette à l’eau à son tour. Alors les françaises retournent à l’eau et s’amusent à nouveau dans cette eau à la couleur du ciel. Fatiguées par ce long moment passé dans l’eau elles décident de remonter. Mais à peine sont elles toutes les 4 remontées à bord, que le regard d’Elefteria se fait lubrique.
Elefteria s’approche de Jennyfer et Carla, les enlace et les embrasse tour à tour, Hélène se joint au trio. Sous l’effet des gestes d’Hélène, Elefteria se couche sur le pont suivie par ses partenaires. Bouches contre bouches elles s’embrassent alternativement, avant de se fixer au hasard sur l’une en particulier. Bientôt les bouches se séparent et glissent le long des corps humides, sentant le sel. Les corps bougent et les quatre femmes se retrouvent bientôt entremelées, ne sachant plus qui elles embrassaient. Les gestes sont tendres, langoureux, doux. Ce n’est que par certains détails qu’elles savent qui elles embrassent, la toison d’Hélène, les petits seins dressés de Carla, les grains de beautés de Jennyfer, … . Des gestes lents pour apprécier toute la tendresse de cet amour qu’elles partagent. Et dont Elefteria donne le rythme. La jolie grecque souhaite faire durer ce plaisir le plus longtemps possible. De manière imperceptible, elle augmente le rythme de ses mouvements. Elefteria le sait ce n’est pas le genre de choses que Jennyfer et Carla ont l’habitude de faire, cet échange de partenaire, cet amour à 4, mais elle sent bien que les deux jeunes femmes s’oublient et prennent un profond plaisir, un plaisir nouveau à faire l’amour à 4. Cet amour les bouleverse. Les halètements de plaisirs changent au fur et à mesure qu’Elefteria accélère le rythme de ses caresses à sa partenaire, qui entraînée accélère à son tour. Cela faisait maintenant une heure que les 4 jeunes femmes faisaient l’amour. Leurs sexes détrempés de cyprine, n’en pouvaient plus de ce plaisir délicieux, et demandaient le coup de grâce à travers les râles exprimées par les 4 bouches. Elefteria le savait les orgasmes allaient être puissants, elle devait agir avec doigté. Quelques coups de langues savamment dosés de sa part et sa partenaire exultait. Un véritable tsunami les submergeait toutes les 4, les laissant pantelantes de longues minutes. Après avoir repris leurs esprits, Carla, Elefteria, Jennyfer et Hélène se sont mises à discuter.
Durant la semaine et demi suivante elles ont continuées à vivres nues sur le pont faisant l’amour une bonne partie de la journée, soit à deux, soit à quatre. Finalement Carla et Jennyfer ont fini par aimer faire l’amour avec Hélène, qui après la pression de la première fois se montrait plus détendue. Le couple qui craignait de passer de mauvaises vacances, devait reconnaître que vivre nue sur un bateau avec un autre couple de femmes était agréable, très agréable aussi de faire l’amour avec elles. Finalement peut-être recommencerais t’elle ?
Après avoir passées trois jours à Lesbos dont elles avaient admirées les ruines, Elefteria les emmenait à Nos, puis Rhodes. Si elles avaient eûent une ou deux semaines de plus Elefteria les auraient emmenées en Crète, dont les paysages et les ruines auraient sans doute intéressée Jennyfer qui semblait véritablement fascinée par l’Histoire de la Grèce antique. Elle leur aurait même appris à naviguer, tout du moins à Jennyfer. Carla avait tenu la barre quelques heures et avait écouté les explications d’Elefteria mais elle n’avait pas réussie à s’y intéresser. Nager oui, naviguer non. De même les monuments, les paysages si elle les trouvait jolis ce qu’elle aimait c’était la terre d’Italie, celle de sa mère, celle de ses grands-parents, contrairement à Jennyfer émerveillée par ce prestigieux passé. Jennyfer au contraire avait essayée d’apprendre à lire une carte marine, à manipuler les voiles, , à lire les informations de l’ordinateur de bord qui donnait en continue la vitesse des vents, leurs direction, la profondeur sous quille, …, des données qu’Elefteria lisait et analysait sans problème. On aurait presque crût qu’elle un professionnelle de la navigation, tant elle connaissait la navigation. Devant le regard admiratif d’Hélène et Jennyfer, elle se sentait fière. Acheté peu avant sa mort le père de la jeune grecque avait voulu un voilier au dernier cri des techniques marines. Après Rhodes, Elefteria filait vers Athènes évitant comme à l’aller la trop touristique Mykonos. Profitant de leur dernier jour de vacances Carla et Jennyfer guidées par Elefteria et Hélène partent à la découverte d’Athènes, dont l’Acropole et son fameux Parthénon dédié à Athéna par Périclès. Après cette journée chargée les deux jeunes femmes reprennent l’avion pour la talon italien, leur voiture et la route du retour.
Après avoir passées trois semaines nues sur un bateau il leur à été un peu difficile de remettre des vêtements. Chez elles elles étaient souvent nues, mais elles avaient eûent du mal à se mettre nues devant leurs amies. Mais leur pudeur n’avait pas durée longtemps et elle avait pris du plaisir à être ainsi et à voir leur amie telle qu’elles étaient. Etre nue était même très pratique pour se toucher de temps à autre. Souvent Hélène et Elefteria retrouvaient Jennyfer et Carla en train de se caresser et venaient se joindre à elle, d’autres fois Jennyfer et Elefteria trouvaient Carla et Hélène se caressant, . … Bien souvent cela finissait en amour. Carla et Jennyfer n’avait jamais autant fait l’amour en trois semaines. Que ce soit ensembles ou avec leurs amies, elles faisaient l’amour une fois par jour au minimum, bien souvent trois fois. Un jour elles le firent même six fois. Mais elles aimaient ça. Peu importe avec qui et où elles le faisaient. Carla à même demandé à Jennyfer de laisser pousser légèrement sa toison. Carla avait pris goût un sexe protégé par une courte toison comme celle d’Hélène. Jennyfer avait laisser repousser ses poils pubiens pour le plus grand plaisir de Carla, qui ne pouvait en faire autant, étant complètement imberbe à cet endroit. Un jour elles l’ont fait toute une journée sur une plage complètement déserte. Elles n’avaient jamais passé d’aussi bonne vacances.
En revanche Jennyfer était bonne pour aller voir un dermatologue tant sa peau blanche avait souffert, rougie sous le puissant soleil égéen. Au contraire Carla qui avait la peau mate, revenait bronzée. Pas un centimètre carrée de son corps n’avait échappé au bronzage. Puisque le dessous de ses seins lui même avait pris la même couleur que le reste du corps. Sa peau avait si bien pris le soleil qu’on pouvait lui appliquer le terme de bronze. Et la jeune femme était fière de son bronzage.
Hélène et Elefteria étaient elles aussi heureuses de ces vacances. Elles avaient fait découvrir la Grèce à leurs amies, mais aussi le plaisir d’être nues et de faire l’amour avec d’autres femmes. Elefteria était aussi contente d’avoir initiée Jennyfer à la navigation, mais plus encore d’avoir fait découvrir de nouvelles manières en amour. Et c’est à regret qu’elle les voyait partir. Un ménage à 4 ne l’aurait pas dérangé, même si c’était un peu compliqué. Mais elle savait que Carla et Jennyfer même si elles avaient aimées ces vacances seraient contre, tout comme Hélène qui se sentirait délaissée, noyée dans ce ménage. Mais la française était elle aussi triste de les voir partir. Ces vacances avaient un vrai bonheur pour elle. Car si elle avait réalisée son rêve en faisant l’amour avec Carla, elle avait adorer faire l’amour avec Jennyfer et à 4. Elle espérait tout comme Elefteria qu’elles pourraient refaire de telles vacances. Ce qu’elles feront l’année suivante le long des côtes italiennes en mer Adriatique.
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